• 2015    100 p.    10 €

       « À 20 ans, j’ai eu faim et honte de le dire. Il n’est pas simple, dans une société où l’image importe tant, d’avouer qu’on ne gagne pas beaucoup d’argent. À compter de ce jour, le combat contre le gaspillage alimentaire est devenu ma priorité. Comment tolérer cette aberration en bas de chez nous : des kilos de nourriture mis à la poubelle par les supermarchés, à deux pas des SDF qui peinent à se nourrir et dorment dans la rue ?
      Avec l’aide de bénévoles et d’amis de ma ville, avec aussi le soutien de personnalités, j’ai initié une vaste mobilisation et réussi à faire plier la grande distribution : le 21 mai 2015, l’Assemblée nationale a voté à l’unanimité un amendement obligeant les grandes surfaces à distribuer leurs invendus à l’association de leur choix. Le Conseil constitutionnel l’a invalidé pour un motif de procédure, mais une nouvelle proposition de loi a immédiatement été redéposée, et elle sera votée très bientôt. Nos efforts ont aussi permis le vote d’un amendement au Parlement européen le 9 juillet.
      À la fois récit de cette action collective et guide pratique, ce manifeste prouve qu’il est facile de cesser de gaspiller : en n’achetant que le nécessaire, en faisant ses achats dans le bon ordre, en comprenant mieux l’étiquetage et les dates de péremption, en apprenant à accommoder les restes, mais aussi en veillant à économiser l’eau et l’énergie.
      Parce que chacun peut contribuer à faire reculer la faim dans notre pays et dans le monde. »
     
      Né en 1979 à Paris, éditeur, docteur en droit et futur avocat, Arash Derambarsh s’est engagé très tôt en politique. Depuis 2014, il est conseiller municipal à Courbevoie.

    Préfaces de Mathieu Kassovitz et de Jean-Jacques Eledjam (président de la Croix-Rouge française), postface de Stéphanie Rivoal (présidente d’Action contre la faim).
     

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  • Ils ont construit leur maison

    2016     239 p.    29,90 €

       Le logement, l'écologie, le développement durable, la finance éthique, l'entrepreneuriat social... Autant de thématiques qui passionnent notre société, intéressent nos consciences et inspirent nos contemporains. L'habitat cristallise ces problématiques avec des projets, à l'échelle individuelle, tous plus créatifs et innovants les uns que les autres. C'est en effet par les auto-constructeurs qu'émergent souvent de nouvelles techniques ainsi que des matériaux alternatifs. Une maison qui nous ressemble, qui coûte moins cher et qui nous implique...
      C'est le pari que se sont lancés, pour des questions de budget mais aussi d'envie, 28 bâtisseurs témoignant dans ce livre, aux profils très divers, depuis ceux qui font tout eux-mêmes à ceux qui s'inscrivent dans des initiatives collectives et des démarches écologiques. Convaincus que l'on peut tout (ou presque) faire soi-même, ils ont conçu et réalisé de A à Z, ou presque, leur maison, véritable nid élaboré pour le bonheur et le confort quotidien de leur famille.
      Au-delà de ces aventures et réalisations singulières, le livre se complète d'un guide pratique décrivant les étapes essentielles pour devenir un bon autoconstructeur (choix du terrain, gestion du temps, assurance, formation technique, chantiers participatifs, outils indispensables, etc.), ainsi que les trucs et astuces pour réduire le budget de sa construction. Le principe de la collection est simple : 28 témoignages largement illustrés, complétés d'un cahier pratique sur le thème.

       Julie Barbeillon est rédactrice en chef adjointe de La Maison écologique, revue bimestrielle dédié à l'éco-construction et aux énergies renouvelables.

      Anne Bertucci, journaliste spécialisée en architecture, culture, société et environnement, collabore notamment pour Ouest-France, Architecture bois et Télérama.

      Céline Cammarata est journaliste, spécialisée dans les thématiques liées à l'économie, la politique, l'écologie et l'habitat.


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  • Philippe Bihouix

      http://www.institutmomentum.org/dans-les-entrailles-de-la-machine-a-expresso-mondiale/

      Seuls les plus obtus écolo-sceptiques nient encore le risque d’effondrement environnemental qui guette nos sociétés : du changement climatique en cours à la sixième extinction de masse, en passant par l’épuisement des énergies fossiles et des métaux, la pollution généralisée ou la destruction de la terre arable (par érosion et par artificialisation), tous les clignotants sont désormais au rouge.

    Rétroactions positives et accélération

    Pire, ces facteurs de risque interagissent entre eux dans une logique systémique, dans de puissantes boucles de rétroaction positive : la pénurie énergétique engendrera celle des métaux, tandis que la disponibilité en métaux pourrait limiter par exemple le développement des énergies renouvelables ; nos pratiques agricoles épuisent la terre et entraînent le défrichement des dernières forêts primaires ; le changement climatique va accélérer l’érosion de la biodiversité et la chute de rendements agricoles dans certaines zones ; etc.

    En l’espace d’une ou deux générations, nous devrons affronter l’ensemble des ces facteurs concomitamment, et c’est bien le problème : comment relever à la fois tous ces défis, dont chacun pourrait suffire à mobiliser toute notre énergie ?

    N’idéalisons pas la période qui a précédé notre entrée dans l’anthropocène. Les dommages environnementaux, pour la plupart irréversibles, y furent nombreux. La chasse excessive conduisit, à la fin du paléolithique et au néolithique, à un véritable écocide (qui se souvient de l’hippopotame de Chypre ?) La forêt de feuillus méditerranéenne finit par disparaître sous les coups de hache des puissants, de Salomon à Xerxès (un pont de bateaux en bois pour traverser le Bosphore !), ou ceux des nationalismes naissants (les batailles navales entre Athènes et Sparte, entre Rome et Carthage). Pendant ce temps, les sols fragiles s’épuisaient, transformant une grande partie de l’Afrique du Nord, un des greniers à blé de l’antiquité, en région stérile. Plus tard, nos ancêtres ne furent pas en reste, et les forêts d’Europe occidentale payèrent leur tribu au défrichage, à l’industrie naissante, aux besoins de bois d’œuvre (de l’ordre de 3000 chênes centenaires pour fabriquer un bateau de guerre). La France n’est quasiment couverte que de forêts artificielles.

    La différence avec notre situation actuelle est pourtant de taille : l’échelle est incomparable (pour ne prendre que le cas de l’énergie sur le dernier siècle, une multiplication par 4 de la population et par 7 de la consommation par individu…) et l’effet d’emballement indéniable : compte-tenu de la croissance passée, on prévoit d’extraire de la croûte terrestre plus de métaux en une génération que pendant toute l’histoire de l’humanité. Nos entrées de ville en sont les témoins, on a artificialisé 1% du territoire – soit un département français – en l’espace de 10 ans, puis encore 1% en 7 ans seulement !

    Qui croit encore au discours du développement durable, développé à partir du rapport Brundtland de 1987, et tellement ânonné, déformé, détourné, usé jusqu’à la corde depuis lors ? On n’a jamais autant produit, consommé, jeté – et de plus en plus vite. Les abeilles se réfugient dans les villes, préférant les suies des moteurs diesel aux molécules innovantes de notre industrie chimique. Nos poubelles sont toujours plus pleines (ou quand le poids baisse, c’est la nocivité qui augmente) et les taux de recyclage progressent péniblement.

    Certains ont beau jeu alors d’accuser le « décollage » des pays émergents, Chine en tête. Après tout, pourquoi le cinquième de la population mondiale ne pourrait-il pas continuer à consommer sans vergogne 86% des ressources mondiales ? Mais n’oublions pas que le développement de la consommation de ressources en Chine est aussi tiré par son rôle d’ « usine du monde ».

    Dans les entrailles de la machine à expresso mondiale

    Face aux défis, l’utopie technologique a la vie dure. « On a toujours trouvé une solution » reste l’horizon indépassable : jusqu’à présent tout va bien, se dit, rendu au premier étage, le fou qui a sauté du haut de l’immeuble. Effectivement, juste à temps pour sortir l’Europe du Peak Wood de la deuxième moitié du 17ème siècle, la machine à vapeur de Thomas Newcomen, couplée à la pompe de Thomas Savery, permet l’exploitation du charbon de terre sous le niveau de la nappe phréatique et fait entrer l’humanité dans la civilisation thermo-industrielle.

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  •  Le jeu éducatif et coopératif Ecolandi

    ECO'LANDI

    Pour enfants et pour adultes

    " Un cadeau intelligent pour noël "

     

    Jeu éducatif et coopératif : créer son jardin potager

     

    Renseignement et commandes :  http://www.millevarietesanciennes.com/?page_id=7 

    Le Memory du Potager

    est un jeu éducatif et coopératif pour adultes et enfants dès 8 ans qui peut se jouer en famille, entre amis, ou dans votre établissement scolaire.

    Créer un potager !! en famille, entre amis, dans votre établissement scolaire ou au centre de loisir. Découvrez ECO'LANDI jeu éducatif et coopératif, qui propose les techniques et les savoirs-faire en jardinage écologique .

    Le but du jeu est de créer un projet de jardin potager sous forme d'un dessin, applicable grandeur nature dans votre jardin.

    Ce jeu, approuvé par des conseillés pédagogiques mobilise le désir d'apprendre. 

    Vous y apprendrez :

    • à identifier les insectes et les plantes auxiliaires,
    • à économiser les ressources naturelles, et
    • à comprendre l’intérêt de la biodiversité.

    Il stimule les capacités et les mécanismes d'apprentissages ( de 8 à 88 ans, de 1 à 15 participants), pour nous faire découvrir et comprendre l’intérêt de la biodiversité . 

     

      POUR COMMANDER le Jeu ECO’ LANDI              Prix du Jeu : 25 €

    Renvoyez le bon de commande accompagné de votre chèque à :

    Association Redécouverte de Notre Nature
    Ferme de Sainte Marthe         F-41200 Millançay

    Contact : Véronique Bonaventure

    e-mail   : ecolandi2012@gmail.com                Tél : 06 86 17 84 41


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  • 18 avril 2014 / Hélène Crié-Wiesner (Reporterre)

      https://reporterre.net/Les-Etats-Unis-font-le-choix-de-l  

      (publié par http://www.intelligenceverte.org/201607)

       Alors que le Sénat français vient d’adopter une loi sur l’agriculture qui laisse la part belle au productivisme agricole, les Etats-Unis ont adopté en mars une nouvelle loi de programmation agricole, le « Farm Bill ». Elle réduit les avantages accordées aux grandes cultures agro-industrielles et ouvre franchement la porte à l’agriculture bioloqique.

      Raleigh (Etats-Unis), correspondance  (photo Modern Farmer)

      Certes l’agriculture industrielle et le recours massif aux OGM ne sont pas remis en question. Mais, pour la première fois depuis le début du XX° siècle, les cultures de fruits et de légumes, et surtout le bio en général, sont à la fête. Les environnementalistes américains, peu enclins à se déclarer contents, ne cachent pas leur satisfaction. Tout en rouspétant que ça aurait pu être mieux…

      Des cadeaux, le secteur du bio en a reçu son compte, on va détailler cela plus loin. Mais il y a surtout, dans ce « Farm Bill » (loi sur l’agriculture), l’abandon des traditionnelles subventions gouvernementales aux seuls céréaliers. Cet ancien système garantissait à ces derniers un prix minimum pour leur récolte, indépendamment de la quantité plantée ou du cours des produits sur le marché mondial.

    Les Républicains, à droite de l’échiquier politique, accusaient ce programme de fausser le marché libre. Les Démocrates lui reprochaient de pousser les fermiers à cultiver des produits inutiles ou mauvais pour la santé.

    Il aura fallu presque trois ans à tout ce monde, rodé au sabotage politique depuis l’élection d’Obama, pour s’entendre sur un système de remplacement des subventions, négocié avec la participation des grandes associations environnementales et de santé publique.

    Les sommes colossales qui étaient dévolues aux subventions vont servir à aider les fermiers – tous, même les producteurs de fruits, de légumes, de poules, de lapins, d’écrevisses… - à souscrire des assurances contre les intempéries, les mauvaises récoltes, les variations des cours du marché, ces assurances étant garanties par l’Etat. 

    Les lobbies écologistes – le mot n’a rien de honteux là-bas - ont été associés aux négociations menées par le Congrès. Avec le soutien du secrétaire d’Etat à l’Agriculture, Tom Vilsnack, qui avait pris son poste en 2009 en claironnant qu’il voulait que « les fermiers préservent la nature », ils ont obtenu que l’accès aux assurances soit conditionné à de bonnes pratiques agricoles.

    Voici comment la National Wildlife Federation (Fédération nationale pour la vie sauvage) se félicitait en mars de l’adoption du Farm Bill : « On peut applaudir la clause qui permet l’accès aux assurances gouvernementales aux seuls fermiers respectant des règles précises de travail du sol, de protection des zones humides et des zones vulnérables comme les prairies. Cette clause va contribuer à protéger des millions d’hectares contre l’assèchement, l’érosion, et la dégradation des ressources en eau. » Plus généralement, la loi régule plus sévèrement l’usage des produits phytosanitaires.

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  • Chère amie, cher ami,

    Le 9 juillet dernier, le Pr Henri Joyeux a été radié de l’Ordre des médecins pour avoir souligné les contradictions qui existent dans la politique vaccinale en France.

    Le verdict de la chambre régionale du Conseil de l’Ordre est tombé. Il est conforme à ce que l’on pouvait attendre d’un système aux abois pour qui la moindre critique est perçue comme une dangereuse subversion.

    Le scénario était cousu de fil blanc. L’Ordre des médecins ne pouvait pas laisser passer un discours qui fût légèrement différent de celui des autorités de santé. Cela aurait été contraire au despotisme exercé par cette institution sur les médecins bâillonnés avec la double bénédiction de la Sécurité sociale et des laboratoires pharmaceutiques.

    Sans grande surprise, les médias officiels ont répété, sans analyser ni réfléchir, l’information.

    Selon eux, le Professeur Henri Joyeux aurait été radié pour avoir « critiqué la vaccination ». Ces médias « oublient » de mentionner que, sans l’alerte lancée par le Pr. Joyeux, personne ne se serait ému de l’augmentation vertigineuse du coût des vaccins obligatoires passé de 7 euros en 2008 à 39 euros à l’heure actuelle.

    Personne non plus n’aurait pris le temps de vous expliquer qu’en France on mélange sciemment vaccination obligatoire et vaccination recommandée, notamment pour écouler les stocks de vaccins hépatite B, vaccin controversé et non nécessaire pour les petits enfants.

    Tous les médias officiels se font donc les complices d’une stratégie commerciale inique des laboratoires pharmaceutiques. Leurs articles semblent n’être qu’une autre manière de faire de la publicité pour des annonceurs dont l’intérêt premier est que vous soyez désinformés. Dont acte.

    Le Professeur Henri Joyeux se donne le temps pour réfléchir à la meilleure manière de répondre à ses détracteurs. Mais il semblerait utile pour tous qu’il fasse appel de cette décision régionale afin qu’elle soit jugée au niveau national. Ce niveau du Conseil de l’Ordre n’est pas plus indépendant que le précédent, mais cela aura le mérite de continuer à faire vivre un débat nécessaire.

    Par ailleurs, quelle que soit la position prise par le Conseil de l’Ordre en appel, il restera toujours la possibilité de saisir le Conseil d’État qui, en matière de liberté d’expression des médecins, sera - on l’espère - plus rigoureux et protecteur des libertés fondamentales.

    Nous soutenons pleinement et avec détermination l’engagement du Professeur Henri Joyeux dans cette affaire qui reste donc à suivre !

    Si ce n’est pas fait, vous pouvez toujours signez notre grande pétition ici.

    Plainte contre la ministre de la Santé Marisol Touraine. Où en sommes-nous ?

    De notre côté, nous restons en relation étroite avec Maître Bergel-Hatchuel dans le cadre de la plainte que nous avons déposée contre la ministre de la Santé, Madame Marisol Touraine, en novembre dernier. Il est probable, du reste, que les deux affaires soient liées. L’avenir nous le dira.

    Vous étiez près de 2 500 à mandater notre avocate pour agir auprès de la ministre de la Santé et lui demander de mettre de l’ordre dans la politique vaccinale.

    La ministre de la Santé avait deux mois pour répondre à notre requête. Elle ne l’a pas fait. Au bout de deux mois, c'est-à-dire à partir du 14 janvier 2016, un nouveau délai s’est ouvert au terme duquel nous pouvions saisir le Conseil d’État.

    Le 12 février 2016, le gouvernement par le biais du Pr. Benoît Vallet, directeur général de la Santé, a répondu. Les autorités tentent vainement de faire croire qu’il existe une alternative aux vaccins hexavalents avec le kit DTVax + Imovax qui serait accessible à tous gratuitement. Cela s’est révélé inexact. Ce vaccin n’est disponible que pour certains enfants allergiques aux vaccins contre la coqueluche. Il existe en quantité limitée et nécessite une prescription spécifique pour être obtenu. Parmi vous, certains l’ont obtenu relativement facilement grâce à leur médecin, tandis que d’autres ont eu toutes les peines du monde…

    Les autorités avaient jusqu’au 12 juin pour s’expliquer. Ce délai a été prolongé et nous devrions en savoir plus dans les jours qui viennent.


    Des parents laissés dans le doute

    Toutefois, même si le temps des juges est un temps long, ce statu quo ne satisfait personne.

    800 000 bébés naissent tous les ans. C’est autant de familles laissées à l’abandon, confrontées au doute et à l’angoisse.

    Lorsqu’un petit bébé nait, les parents souhaitent lui donner ce qu’il y a de mieux, lui apporter les meilleurs soins. C’est toujours un moment d’anxiété et de joie mêlées. S’y ajoute désormais la culpabilisation des parents que l’on oblige à choisir des traitements qui n’ont rien d’anodin.

    Quand ils posent des questions à l’Etat absent, ils risquent la condamnation. C’est, d’une certaine manière, ce qui s’est passé dans l’affaire des époux Larère. Et, comme l’État refuse de répondre à ces questions délicates, la justice elle-même se trouve obligée de prendre des décisions sibyllines [1].

    Les médecins sont mis dans une situation impossible. S’ils informent les parents des risques sur l’aluminium, l’hépatite B et les vaccins en général (choc anaphylactique par exemple), ils peuvent susciter l’inquiétude de leurs patients et le courroux du Conseil de l’Ordre. S’ils ne disent rien, ils agissent contre la loi (obligation d’information – Loi Kouchner) et ne respectent plus leur serment d’Hippocrate.

    Faire évoluer la loi

    Faire évoluer la situation est possible et nécessaire. Le problème n’est pas d’abord médical. Il est juridique. Trois points doivent être pris en compte par l’Etat :

    1. La responsabilité de l’Etat : Se vacciner contre la diphtérie, le tétanos et la poliomyélite est une obligation. Ne pas s’y conformer est une infraction pénale. Si vous ne le faites pas, vous êtes considéré comme délinquant. Vous risquez une condamnation potentiellement sévère et bien des ennuis administratifs. Ce n’est donc pas un choix. Il n’y a par conséquent aucune raison que l’Etat, qui vous impose ce traitement, échappe à sa responsabilité si la vaccination devait mal se passer. Avec six vaccins, dont trois que vous êtes censés avoir choisis, il existe une faille juridique évidente.

    2. La vente liée :
     Il y avait trois vaccins pour un prix de 7 euros. Il y en a six aujourd’hui pour un prix de 39 euros. On vous impose trois valences de plus et vous payez le prix fort, que la Sécurité sociale rembourse. Comment, dans ces conditions, nos gouvernants peuvent-ils être crédibles sur la question de la dette publique, de l’âge des retraites et de la bonne gestion des finances publiques ?


    3. Les risques reconnus liés aux vaccins hépatite B et à l’aluminium :
     A la gabegie financière s’ajoute le scandale sanitaire.

    La Cour de cassation a reconnu à deux reprises, à partir d’expertises scientifiques, l’existence d’un lien entre le vaccin hépatite B et la sclérose en plaques. Et malgré cela, ce vaccin est intégré de fait dans la vaccination obligatoire ! C’est au mieux irresponsable, au pire criminel. Sur l’aluminium, les avis sont plus partagés. Toutefois, les arguments contre l’aluminium (détaillés dans une lettre du Professeur Henri Joyeux que vous trouverez ici http://www.professeur-joyeux.com/rendez-vaccin-dt-polio-aluminium/) sont suffisamment nombreux pour que le risque soit pris en compte, à fortiori dans le cadre de la vaccination obligatoire.
    Le plus simple serait donc de sortir de l’obligation vaccinale qui n’est plus pratiquée par de nombreux pays, à commencer par le Royaume-Uni. Cela suppose aussi que cesse l’exigibilité vaccinale des crèches et des écoles. Il n’est pas normal qu’un enfant ne puisse pas aller en collectivité s’il n’est pas vacciné. Si les autres le sont, ils sont protégés. Alors pourquoi refuser l’accès à un enfant non vacciné ?

    L’autre possibilité serait que l’État contraigne les laboratoires à produire un vaccin conforme à l’obligation telle qu’elle est prévue en France. Il faudrait un peu de courage et de volonté politique pour cela. L’Etat a tout en main pour le faire. Il s’y refuse aujourd’hui et préfère jeter l’opprobre sur les citoyens en les qualifiant d’irresponsables. De l’art d’éviter sa propre responsabilité !

    Le combat continue !

    Augustin de Livois


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  •                                                            2014     330 p.    19,50 € 

       Face aux signaux alarmants de la crise globale ; croissance en berne, tensions sur l'énergie et les matières premières, effondrement de la biodiversité, dégradation et destruction des sols, changement climatique et pollution généralisée, on cherche à nous rassurer.
       Les technologies "vertes" seraient sur le point de sauver la planète et la croissance grâce à une quatrième révolution industrielle, celle des énergies renouvelables, des réseaux intelligents, de l'économie circulaire, des nano-bio-technologies et des imprimantes 3D. Plus consommatrices de ressources rares, plus difficiles à recycler, trop complexes, ces nouvelles technologies tant vantées nous conduisent pourtant dans l'impasse.
      Ce livre démonte un à un les mirages des innovations high tech, et propose de prendre le contre-pied de la course en avant technologique en se tournant vers les low tech, les "basses technologies". Il ne s'agit pas de revenir à la bougie, mais de conserver un niveau de confort et de civilisation agréables tout en évitant les chocs des pénuries à venir.
      Si l'auteur met à bas nos dernières illusions, c'est pour mieux explorer les voies possibles vers un système économique et industriel soutenable dans une planète finie. 

       Philippe Bihouix est ingénieur centralien. Il a travaillé, en France et à l’international, dans différents secteurs industriels (énergie, chimie, transports, bâtiment, télécommunications, aéronautique…) comme ingénieur-conseil, chef de projet ou à des postes de direction. Il est co-auteur de l’ouvrage

       -« Quel futur pour les métaux ? » (EDP sciences, 2010),

      qui traite de la finitude des ressources minières et de son étroite interaction avec la question énergétique, et pose les limites techniques et sociétales du recyclage, de l’économie circulaire et de la croissance verte.


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  • Avez-vous déjà essayé de présenter notre organisation à quelqu'un qui ne la connaît pas?

    Soutenez Survival et les peuples premiers   Vous serez surpris de voir combien de personnes n'ont aucune idée de la violence génocidaire et du racisme auxquels sont quotidiennement confrontés les peuples autochtones - ou du travail mené par Survival International afin de les aider à protéger leurs vies et à défendre leurs terres.

       Voilà la vidéo qu'il vous faut ! Elle explique comment notre travail empêche que les peuples autochtones menacés soient anéantis, et pourquoi il est essentiel.
       

      Regardez la vidéo sur http://www.survivalfrance.org/

      L'acteur britannique Mark Rylance, ambassadeur de Survival, présente de manière poignante le travail de votre organisation.

       Une fois que vous aurez regardé la vidéo, n'hésitez pas à la partager à un maximum de personnes autour de vous.

        Plus nous atteindrons de personnes, plus nous nous approcherons d'un monde où les peuples autochtones sont considérés comme des sociétés contemporaines et où leurs droits fondamentaux sont respectés.

       Ensemble, nous sommes le mouvement mondial pour les droits des peuples autochtones.
     

    'Sans vous, nous serions tous morts'
     Davi Yanomami, Brésil

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  • 2014    96 p.    8 €

     

    VOUS ÊTES ÉLU, DIRIGEANT D’ENTREPRISE OU CITOYEN MILITANT ?
    VOUS AUSSI, DEVENEZ ACTEUR DE LA RÉDUCTION DES DÉCHETS !

    Le scénario Zero Waste, c'est la possibilité de :
    - faire des économies considérables en matière de traitement des déchets ;
    - créer des emplois locaux dans la collecte, la réparation ou encore
    le réemploi ;
    - préserver les ressources naturelles et économiser de l’énergie,
    grâce à des modes de consommation et de production évitant le gaspillage ;
    - développer le réemploi et le recyclage via, en particulier, la généralisation du tri à la source pour un maximum de produits et matériaux.
    LE SCÉNARIO ZERO WASTE EST DÉJÀ APPLIQUÉ À CAPANNORI, À TRÉVISE ET À SAN FRANCISCO, OU LE POIDS DES DÉCHETS RÉSIDUELS A ÉTÉ RÉDUIT JUSQU’À 80 % !
    POUR QU'IL DEVIENNE AUSSI UNE RÉALITÉ EN FRANCE, OUVREZ CE LIVRE !

       Zero Waste France est le nouveau nom du Cniid (Centre national d'information indépendante sur les déchets), association créée en 1997 qui a pour mission de fournir à tous une information indépendante et de décrypter les enjeux environnementaux, sanitaires et économiques liés à la gestion des déchets. Relais de vigilance citoyenne,  Zero Waste France est aussi une force de proposition qui va à la rencontre des citoyens et des élus pour faire connaître les moyens de prévention et les modes de gestion les plus écologiques.

      Pour en savoir plus :   www.zerowastefrance.org


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  •                                                             2016    200 p.   15 €

    Regards sur les acteurs d’un changement de société

    Une présentation synthétique de la mouvance des Créatifs Culturels, replacée dans son contexte plus « global » et historique.
    L'ouvrage montre les différentes tendances de cette nouvelle culture notamment en s’appuyant sur une enquête de terrain. 

    Véritable dynamique collective qui impacte la société, Les Créatifs Culturels sont un vaste groupe socio-culturel à la pointe du changement social. Il regroupe des individus qui partagent des valeurs : écologie, implication solidaire dans la société, développement personnel et spirituel, consommation responsable…

    Alors que ces Créatifs Culturels sont à contre-courant de l’hyper-modernité et ressentent de l’isolement, ils sont de plus en plus nombreux et incarnent leur pensée dans des actes concrets, partout dans le monde.

    Alors que la société occidentale moderne arrive à bout de souffle, une véritable dynamique collective grandit dans la société civile. Partout dans le monde, des milliers d'individus ont pris la ferme décision de ne plus soutenir un modèle capitaliste, compétitif et patriarcal en déclin.

    Ils construisent leurs propres maisons passives, mangent bio et local, boycottent la grande distribution, expérimentent une démocratie participative, deviennent entrepreneurs sociaux, cultivent la terre, rejoignent des banques éthiques ; ils se questionnent sur le sens de leur vie et s'imprègnent de différentes formes de spiritualités ; ils voyagent, innovent, réinventent le lien social et inspirent un nouvel élan de liberté et d émancipation, au niveau collectif et individuel.

    Engagés et en quête de sens, les Créatifs Culturels sont les pionniers, à échelle mondiale, d'un véritable changement de civilisation.

    À travers une enquête de terrain et des références historiques et sociologiques majeures, Ariane Vitalis nous présente une vision globale et synthétique des grands enjeux planétaires, de ses différents acteurs d'hier et d aujourd'hui, en abordant des disciplines et thématiques extrêmement variées.
    Le XXIe siècle s'apprête à vivre des mutations sociétales, culturelles, environnementales et épistémologiques profondes et inédites. 
     

    Diplômée d'un Master en Lettres Modernes et en Sociologie de la culture à l'Université d Avignon, Ariane Vitalis s engage depuis quelques années dans diverses actions liées aux Créatifs Culturels. Créatrice du festival La Conspiration Positive en 2014, elle partage sa vie entre voyages, créations artistiques et entrepreneuriat social.

    Ariane Vitalis vit à Avignon. Après des études de Lettres Modernes, elle s'oriente vers un Master 2 sur la sociologie des publics de la culture. Créatrice du festival La Conspiration Positive en 2014 en Avignon (http://conspirationpositive.free.fr), elle s’engage dans diverses actions liées aux Créatifs Culturels et aux alternatives depuis quelques années.


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  •   (Bruno LHOSTE)

    2012     96 p.    5 €

        En France, tout au long de la chaîne de production, le gaspillage alimentaire représente 260 kg par personne et par an, soit 29 % des 900 kg de nourriture qu’il a fallu produire.
      À l’échelle de la planète, un tiers des aliments destinés à la consommation humaine sont perdus ou gaspillés depuis le champ jusqu’à l’assiette. Ce qui est jeté en Europe et en Amérique du Nord permettrait de nourrir jusqu’à trois fois le milliard de personnes qui souffrent encore de la faim dans le monde.
      Ces chiffres sont stupéfiants, et les conséquences de ce gâchis sont innombrables : dilapidation des ressources (terres arables, eau, énergie), impacts sociaux sur les populations fragiles en France comme dans les pays du Sud, dégâts environnementaux...
      Comment éviter cette Grande (sur-)Bouffe ?
      Si ce livre dresse l’état des lieux de la situation française à partir des études les plus récentes, il explore aussi les solutions : depuis les pistes d’amélioration à court terme, s’inspirant d’actions innovantes en France comme en Europe, jusqu’aux moyens de faire évoluer plus profondément notre système de production alimentaire pour générer des réductions pérennes du gaspillage – avec des conséquences positives tant en termes de santé publique que d’emplois.

       Auteur de cet ouvrage, Bruno Lhoste est le directeur général d'Inddigo, société de conseil et d'ingénierie en développement durable, et l'un des meilleurs spécialistes français du sujet.

      Préfacier et initiateur de ce livre, Tristram Stuart est devenu en Angleterre un véritable leader d'opinion en matière de lutte contre le gaspillage alimentaire. Il mène désormais une campagne internationale très active, en organisant notamment des banquets publics préparés grâce à des légumes mis au rebut par la grande distribution.

      Préface de Philippe Desbrosses


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  • 14.06.2016    Pour la moitié des Français, consommer responsable c’est avant tout consommer « mieux »

    Pour la moitié des Français, consommer responsable c’est avant tout consommer « mieux »

        2016, année charnière pour la consommation responsable ?

      Si l’on s’en réfère aux chiffres, ceux-ci ne mentent pas : les Français sont bel et bien enclins à consommer mieux et autrement. Par exemple, l’essor spectaculaire du marché des produits issus de l’agriculture biologique illustre ce qui est désormais bien plus qu’une tendance de court terme : avec un chiffre d’affaires record de 5,5 milliards d’euros, la bio en France est en croissance de 14,7% par rapport à 2014, selon l’Agence Bio.

      Au delà du bio, l’édition 2016 de l’étude Ethicity « Les Français et la consommation responsable » parue récemment révèle que les consommateurs ont à cœur de « consommer mieux » plutôt que de « consommer moins ».

      Consommer autrement, cela signifie pour une grande majorité d’entre eux acheter des produits éthiques, moins polluants, éco-labellisés et locaux.

      Le local a aussi une importance croissante : 49% des consommateurs estiment que l’achat de produits locaux est un moyen de consommer autrement et 85% privilégient d’ailleurs les entreprises ayant préservé une implantation locale. A titre d’exemple, le succès de la Camif, qui a relancé récemment son activité sur une offre d’ameublement Made in France, illustre cette conviction.

      Importance du local mais aussi des produits naturels et frais : bien-être et santé sont plus que jamais au cœur des préoccupations des Français et 60% affirment privilégier systématiquement ou régulièrement les produits les plus naturels quand 89% choisissent leurs aliments pour rester en bonne santé. Une quête qui impacte également la consommation de viande, en baisse chez 38% des consommateurs interrogés.
       De réels changements de fond s’observent ainsi dans la consommation des Français, sur fond de défiance envers les entreprises et les grandes marques. Pour preuve, le niveau de confiance envers les grandes entreprises n’a jamais été aussi bas (26% en 2016 vs 30% en 2013). Pour une grande majorité des sondés, les marques et la grande distribution devraient pouvoir accompagner et conseiller les Français dans la consommation responsable. Le défi pour les marques, entreprises et distributeurs est de taille, au delà de l’accompagnement, et passera par une nécessaire évolution de leur offre pour entrer en résonance avec les préoccupations de notre époque et remporter l’adhésion des consommateurs.

    Retrouvez l’étude Ethicity « Les Français et la consommation responsable 2016

      http://www.greenflex.com/go/etude-ethicity2016/


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  • 21.06.2016

      http://www.mescoursespourlaplanete.com/Actualites/Les_moquettes_vont_elles_sauver_la_planete

     

    Les moquettes vont-elles sauver la planète ?   Le secteur des moquettes, a priori un peu morne et faiblement attractif, est agité depuis 1994 par l’entreprise Interface, leader sur les dalles de bureau, et son engagement ambitieux de devenir la première entreprise industrielle à respecter les lois du développement durable en amenant à zéro l’impact de ses activités sur l’environnement d’ici 2020.
      Le pari était osé mais Interface est progressivement devenue l’une des entreprises pionnières en matière d’écologie industrielle à travers son programme « Mission Zero » dont la majorité des objectifs ont d’ores et déjà été atteints : réductions significatives des consommations d’eau (-87%), des émissions de gaz à effet de serre liées à ses sites de production (-92%) et de l’empreinte carbone de ses dalles de moquette depuis 1996 (-50%).
      A ce jour, Interface fait figure de groupe industriel exemplaire en matière d’environnement, qui plus est dans un secteur régit par des enjeux forts en matière de productions de déchets et d’émissions nocives : ses usines fonctionnent à 84% grâce aux énergies renouvelables, le recyclage est au cœur de son offre puisque la moitié des matériaux utilisés pour ses moquettes sont issus du recyclage ou de bio-matériaux…
      Sans compter qu’Interface est l’un des seuls sur son marché à proposer la récupération et le recyclage de ses produits une fois usagés mais a aussi développé des services permettant la location de ses dalles de moquette. Une initiative qui, même si elle n’a pas complètement séduit ses clients, vaut la peine d’être mise en avant !

       Alors que cette entreprise est en passe d’atteindre ses objectifs visant à limiter le plus possible ses impacts négatifs sur l’environnement, sa direction a annoncé récemment le lancement d’un nouveau programme baptisé Climate Take Back. Outre la poursuite de ses engagements historiques, Interface entend inverser la courbe du changement climatique, ni plus ni moins !

      Par là, le groupe ambitionne surtout d’aller au delà de la compensation de ses impacts mais d’avoir une action véritablement positive pour la planète. Concrètement, cela consiste par exemple à transformer les sites de production en lieux fournissant des écoservices qui auraient pu être fournis par la nature en leur absence (stockage et purification d’eau, régulation de la température et stockage du carbone, etc).

      Interface poursuit également l’objectif de "retirer" du CO2 de l’atmosphère pour le revaloriser. A ce sujet, La Tribune évoque notamment des expérimentations menées en Islande pour transformer du CO2 en roche. Outre ces axes d’action innovants, Interface appelle de ses vœux une profonde révolution dans le secteur de l’industrie. Pour cela, le groupe vise à fédérer l’ensemble de ses clients et fournisseurs dans un mouvement global d’entreprises soucieuses de l’accompagner dans ses actions.
       Au vu des progrès déjà accomplis par Interface depuis 20 ans, il y a fort à parier que cette entreprise étonnante saura remplir ces nouveaux objectifs pour le moins idéalistes.

       Pour en savoir plus sur le sujet, consultez notre fiche-produit Tapis et moquettes.


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  • Le sort du glyphosate n'est toujours pas tranché au niveau européen. Sans décision, l'herbicide le plus vendu en Europe sera interdit à la vente le 1er juillet 2016. Ce blocage inhabituel met au jour une défiance grandissante des États membres de l'UE face à un système d'homologation européen opaque. Explications.

      http://www.novethic.fr/index

     Le glyphosate discrédite le système d'homologation européenManifestation de protestation à Bruxelles le 18 mai contre la réautorisation de vente du glyphosate.John Thys / AFP

      La Commission européenne tenait à une décision collective des États membres de l'UE sur le renouvellement de l'autorisation du glyphosate. Elle ne l'a pas eue. Lundi 6 juin, aucune majorité qualifiée ne s'est dégagée du vote des représentants des 28 États membres de l'Union européenne (UE), réunis en comité d'experts.

    Ce nouvel échec intervient après deux précédents votes qui se sont tenus en mars et en mai dernier et qui n’avaient pas permis d'aboutir à une décision. À chaque fois, la majorité qualifiée requise, soit 55 % de la population de l'UE, n'a pas été obtenue. Hier, six États membres se sont abstenus, dont les trois poids lourds démographiques de l'Europe que sont la France, l’Allemagne et l’Italie. Un seul pays, Malte, a voté contre.

    La Commission européenne proposait de prolonger de douze à dix-huit mois l'autorisation du glyphosate sur le territoire de l'UE, qui expire le 30 juin. Le temps pour l’Agence européenne des produits chimiques (ECHA), chargée de la réglementation européenne sur les substances de synthèse, de rendre une nouvelle évaluation.

    Un processus d'évaluation opaque

    Le front d'opposition de certains États membres montre une défiance grandissante face au système d'homologation européen. L'avis du Centre international de recherche sur le cancer (CIRC), qui a classé début 2015 le glyphosate cancérogène pour l'homme, a remis en question l'évaluation de la toxicité par les agences sanitaires européennes. Ces dernières confirment, elles, l’innocuité du produit. Mais, à la différence du CIRC, leur processus d'évaluation est opaque.

    Les études de toxicité produites par l'industrie sont tenues secrètes. Et les noms des experts qui ont participé à l'évaluation du glyphosate pour l'Agence europénne de la sécurité des aliments (EFSA) ne sont toujours pas connus. Les conflits d'intérêt mis au jour au sein des agences d'évaluation et le lobbying important de l'industrie chimique à Bruxelles ont également discrédité le processus.

    Des gouvernements sous pression

    La très forte mobilisation qui s'est exercée sur les gouvernements, en particulier en France, en Allemagne et en Italie, explique aussi les atermoiements des représentants de ces États. Pétitions, plaintes, lettres ouvertes... se sont multipliées. Dernière initiative en date, celle de l'Assemblée médicale allemande qui a appelé, le 27 mai, Berlin à s’opposer à l’autorisation du glyphosate. 

    La Commission a quant elle annoncé qu'un nouveau vote serait proposé autour du 20 juin. Mais il est peu probable qu'un consensus se dégage. Ce sera alors à elle de trancher. Si elle doit endosser seule la responsabilité d'une nouvelle homologation pour une courte durée, Bruxelles rappelle que la balle sera alors dans le camp des États membres. Libre à eux, en effet, en dépit d'une autorisation à l’échelle européenne, de refuser la commercialisation d'herbicides contenant du glyphosate sur leur territoire.

    Les débats nationaux s'annoncent houleux. En France, la ministre de l'Environnement, Ségolène Royal s'est formellement engagée contre une autorisation du glyphosate et devrait donc interdire l'utilisation des pesticides le contenant. Mais les agriculteurs français sont aussi parmi les premiers utilisateurs européens du produit chimique et Stéphane Le Foll, le ministre de l'Agriculture leur est ... favorable.

     Magali Reinert
    © 2016 Novethic - Tous droits réservés


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  • Comment fait l'Allemagne (Vincent BOULANGER)

    2015     172 p.    14 €

       La transition énergétique en Allemagne attire sur elle les regards des pays industrialisés. Elle interroge, voire agace, de nombreux observateurs. En France, plusieurs idées reçues circulent sur son compte. L'Allemagne relance-t-elle vraiment ses centrales à charbon depuis sa décision de sortir du nucléaire ? En d'autres termes, pollue-t-elle ses voisins comme on peut souvent l'entendre ? Son réseau électrique est-il menacé de black-out ? Les citoyens allemands paient-ils un prix prohibitif ?
      En plus de démystifier ces idées reçues, le livre présente par le menu ce qui est qualifié outre-Rhin de "chantier du siècle". Loin d'être vue comme une charge, la transition énergétique est avant tout considérée en Allemagne comme une formidable opportunité de s'affranchir de la dépendance aux énergies fossiles. Le pays ambitionne rien de moins que de devenir la référence mondiale d'un nouveau modèle énergétique, permettant à son industrie de devenir leader sur de nouveaux marchés.
       L'Allemagne se donne comme objectif de diminuer ses émissions de CO2 de 80 à 95 % d'ici à 2050, ce qui implique de s'approvisionner quasi intégralement grâce aux énergies renouvelables.
      Comment se chauffer sans recourir au gaz russe ?
      Comment se déplacer sans importer de pétrole ?
      L'Allemagne peut-elle réussir ?
      Et peut-elle nous inspirer pour penser notre propre transition énergétique ?
      Le livre lève le voile sur ce qui se trame chez notre voisin, qui expérimente déjà les solutions du futur.

        Vincent Boulanger est journaliste spécialisé dans les questions d'écologie. Depuis 2011, il vit à Hambourg, en Allemagne et couvre la transition énergétique pour la presse française (Le Journal des énergies renouvelables, Alternatives économiques, Alternatives internationales...).


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  • L'invention de la science (Guillaume CARNINO)

                                                                2015    321 p.    24 € 

       «La science a prouvé que...». D'où nous vient cette idée selon laquelle la science serait garante du vrai ?
     
      Guillaume Carnino propose une enquête historique et généalogique permettant de comprendre pourquoi et comment, en France, à l'heure de la IIIe République, cette idée en est venue à être unanimement partagée. Il dévoile les rouages de la carrière de savants comme Louis Pasteur, mais aussi l'histoire de simples artisans et pêcheurs dont les découvertes furent convoitées par les industriels.
      Il montre de quelle manière l'image d'un Galilée anticlérical a pu être fabriquée et renouvelle le regard que l'on porte sur la mise en place de l'école gratuite et obligatoire par Jules Ferry.
      Parallèlement à la décision démocratique, la pratique scientifique devient peu à peu un mode de gouvernement des êtres et des choses, qui marque l'avènement de la civilisation des experts.
      La science, désormais auréolée d'un prestige quasi religieux et présentée comme pure - c'est-à-dire indifférente aux intérêts individuels -, se révèle finalement un moyen d'administrer la société autant que de transformer la nature par l'industrie. 
     

       Guillaume Carnino est docteur en histoire et enseigne l'histoire des sciences et techniques à l'université de Compiègne. Il a dirigé plusieurs ouvrages collectifs

      -La Tyrannie technologique. Critique de la société numérique, 2006 et

      -Les Luddites en France. Résistances à l'industrialisation et à l'informatisation, 2010),

      parus aux éditions L'échappée.


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  • Président de Biodyvin et vigneron (domaine Zind-Humbrecht)

    « la biodynamie se joue du climat »

    olivier_humbrechtPour la 6ème édition de ses Primeurs, Biodyvin présente le dernier millésime, le 2011 – ce qui est classique pour des ventes de primeurs, mais aussi « le vintage » 2008. Parlez-nous de ces 2 millésimes.
    Olivier Humbrecht : le 2011 est un millésime un peu précoce, avec un débourrement(1) le 25 mars. Du jamais vu depuis des années, sauf en 2003. En Alsace, la floraison(2) a eu lieu avec un mois d’avance par rapport à une année classique.
    Toutes proportions gardées, et avec des décalages pouvant être importants en fonction des régions, le phénomène a été valable dans toute la France en raison de la chaleur et de la sécheresse qui ont prévalu l’année dernière.
    A côté de nos primeurs, nous avons choisi de présenter un millésime plus ancien, le 2008, car pour certaines régions comme la Loire ou la Bourgogne, le 2011 est encore difficile à juger, les fermentations ne sont pas toutes terminées, les gaz sont encore présents, sans compter un petit côté oxydatif. Nous avons voulu donner aux dégustateurs une idée de ce que seront ces vins dans trois ans, quand tout se sera stabilisé et mis en place avec le temps. 
     Vous évoquez l’effet millésime, mais ne dit-on pas que la biodynamie gomme l’effet millésime ?
      Olivier Humbrecht : je fais mienne la réponse qu’a donnée, il y a quarante ans mon père à un journaliste canadien « biodynamy beats the climate », la biodynamie se joue des conditions climatiques.
    En biodynamie on travaille les sols, soit pour leur permettre de conserver leur fraîcheur fen cas de sécheresse, soit au contraire pour les assécher ou les drainer en cas de trop grande pluviosité.
    On travaille aussi sur le palissage(3) et la surface foliaire. On travaille avec les préparations(4) et les tisanes(5) pour aider la plante accomplir sa floraison, sa nouaison(6), sa véraison(7) dans les meilleures conditions possibles. Est-ce que ce sont les préparations, est-ce que ce sont les tisanes ou les deux en même temps, toujours est-il que les vignes vèrent plus tôt, ce qui nous permet de faire des vendanges plus tôt, avec en général 15 jours d’avance, mais toujours avec la même maturité physiologique et de conserver ainsi fraîcheur et meilleure acidité.

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  • [Alerte ] Une association d'agriculteurs intensifs obtient l'abrogation d'un arrêté protégeant les riverains et salariés exposés aux pesticides!

      Conséquences? La santé de millions de français est menacée par ces pulvérisations par grand vent suite à cette l'abrogation ! 

    [Acte 1 - Agissons] Ensemble interpellons le ministre de l'Agriculture, Stéphane Le Foll! 

    Exigeons du ministre de l’Agriculture, Stéphane le Foll, qu’il prenne le plus rapidement possible un nouvel arrêté protégeant réellement les voisins et salariés des zones cultivées avec des pesticides, notamment, en interdisant les pulvérisations par grand vent !

      https://www.change.org/p/st%C3%A9phane-le-foll-prot%C3%A9gez-les-voisins-des-zones-cultiv%C3%A9es-interdisez-les-pulv%C3%A9risations-de-pesticides-par-vent-fort 

    Pour en savoir plus...

    Les faits : L’arrêté du 12 septembre 2006 interdisant les pulvérisations de pesticides par grand vent a été attaqué au Conseil d’Etat par le lobby des producteurs de pommes et de poires cultivées de manière intensive qui en a obtenu l’abrogation.

    Le risque ? En l’absence de cet arrêté des millions de personnes vivant à proximité des zones cultivées (champs, vergers, vignes…) vont être demain encore plus exposées aux pesticides venant de ces cultures voisines car les agriculteurs pourront de nouveau pulvériser des pesticides par grand vent ! Il s'agit d'un véritable permis à polluer qui leur est ainsi accordé !

    Agissez avec nous pour éviter cette catastrophe !

    Exigeons du Ministre de l’Agriculture Stéphane Le Foll qu’il prenne immédiatement un autre arrêté réintroduisant une vitesse du vent maximum pour les pulvérisations et à terme une zone sans pulvérisations de pesticides de synthèse près des zones habitées !

    Signez cette lettre pétition envoyée à Stéphane Le Foll depuis le lien ci dessous, et duffisez là largement dans vos réseaux, sur Facebook et Twitter.. il en va de la santé de millions de personnes habitant en milieu rural en France ! 

     Merci de votre aide précieuse ! 

     L'équipe de Générations Futures

    Exemple de Tweets pour diffuser la pétition

    #pesticides: Signez la pétit° demandant à @SLeFoll 1 décret protégeant les populat° exposées https://www.change.org/p/st%C3%A9phane-le-foll-prot%C3%A9gez-les-voisins-des-zones-cultiv%C3%A9es-interdisez-les-pulv%C3%A9risations-de-pesticides-par-vent-fort 

    #Pesticides : Le seul arrêté protégeant – a minima – les riverains va être abrogé ! Signez et interpellez @SLeFoll  https://www.change.org/p/st%C3%A9phane-le-foll-prot%C3%A9gez-les-voisins-des-zones-cultiv%C3%A9es-interdisez-les-pulv%C3%A9risations-de-pesticides-par-vent-fort 

    Signez + RT la pétition @genefutures pour que @SLeFollinterdise les pulvérisations de pesticides par vent fort ! https://www.change.org/p/st%C3%A9phane-le-foll-prot%C3%A9gez-les-voisins-des-zones-cultiv%C3%A9es-interdisez-les-pulv%C3%A9risations-de-pesticides-par-vent-fort 

    Exemples de message à mettre sur Facebook

    [ Acte 1 ] Suite à notre dernier post où nous vous informions de l'action du lobby visant à attaquer un arrêté protégeant les populations des pulvérisation de pesticides, nous vous invitons à Signez et faire signer la pétition demandant au Ministre de l’agriculture de publier un décret réellement protecteur pour les populations (riverains, salariés agricoles, promeneurs etc.) exposées aux pesticides! https://www.change.org/p/st%C3%A9phane-le-foll-prot%C3%A9gez-les-voisins-des-zones-cultiv%C3%A9es-interdisez-les-pulv%C3%A9risations-de-pesticides-par-vent-fort  

    Les faits : L’arrêté du 12 septembre 2006 interdisant les pulvérisations de pesticides par grand vent a été attaqué au Conseil d’Etat par le lobby des producteurs de pommes et de poires cultivées de manière intensive qui en a obtenu l’abrogation.

    Le risque ? En l’absence de cet arrêté des millions de personnes vivant à proximité des zones cultivées (champs, vergers, vignes…) et les salariés agricoles également vont être demain encore plus exposées aux pesticides venant de ces cultures voisines car les agriculteurs pourront de nouveau pulvériser des pesticides par grand vent ! Il s'agit d'un véritable permis à polluer qui leur est ainsi accordé !

    Agissez avec nous pour éviter cette catastrophe !

    Exigeons du Ministre de l’Agriculture Stéphane Le Foll qu’il prenne immédiatement un autre arrêté réintroduisant une vitesse du vent maximum pour les pulvérisations et à terme une zone sans pulvérisations de pesticides de synthèse près des zones habitées ! Signez cette lettre pétition envoyée à Stéphane Le Foll et diffusez la auprès de vos contacts et sur les réseaux sociaux. Il en va de la santé de millions de personnes habitant en milieu rural en France ! 

      Monsieur le Ministre de l’Agriculture,

    L’arrêté du 12 septembre 2006 relatif à la mise sur le marché et à l’utilisation des pesticides a été attaqué au Conseil d’Etat par des producteurs de fruits qui en  ont obtenu l’abrogation. Or cet arrêté était le seul outil réglementaire permettant aux riverains de zones cultivées de se protéger contre les pesticides pulvérisés près de chez eux en limitant notamment la possibilité de pulvériser des pesticides par un vent supérieur à 19 km/h.  Ce même texte interdisait la pulvérisation à moins de 5 mètres des cours d’eau visible sur une carte au 1/25000.

    Afin de protéger la santé publique nous vous demandons, Monsieur le Ministre, de prendre rapidement un nouvel arrêté interdisant les pulvérisations de pesticides par grand vent et à moins de 5 mètres des cours d’eau. Nous demandons également qu’à terme des zones sans pulvérisation de pesticides soient mises en place à proximité des zones habitées.

    Nous comptons sur vous, Monsieur le Ministre, pour prendre rapidement ces mesures d’intérêt général.


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  • La ville renaturée (Geoffrey GALAND)

    2015    224 p.    32 €

       Pour la première fois, dans l'histoire de l'humanité, nous sommes plus nombreux à vivre en ville qu'à la campagne. Cet accroissement rapide de la population et de la consommation en milieu urbain exerce une pression grandissante non seulement sur la biodiversité, mais aussi sur les services qu'elle offre et dont dépendent les villes.
       Or, pour bien vivre en ville, il est nécessaire de préserver la nature qui l'environne et s'y intègre. Renaturons la ville pour que l'homme et la nature vivent en harmonie au quotidien.
       Aimer la nature et vivre en ville, c'est se réconcilier avec elle, lui laisser plus de place dans un espace urbain non plus régi par les routes et l'automobile, mais par l'eau, les arbres, les champs, les forêts, afin qu'ils en redeviennent des éléments structurants. Un cercle vertueux se mettra alors nécessairement en place. Inutile de vivre à la campagne pour s'entourer de nature. A l'échelle du territoire, de plus en plus de collectivités montrent leur volonté de s'engager en faveur de la biodiversité.
       Ce livre présente de nombreux exemples et réalisations en ville, dans nos quartiers, nos jardins, nos maisons. Ces choix judicieux d'aménagement et d'intégration de la nature à tous les niveaux peuvent améliorer la qualité de la vie de centaines de millions de personnes et réduire massivement l'empreinte écologique inhérente à notre mode de vie.

       Geoffrey Galand est un architecte DPLG diplômé de l'Ecole d'Architecture de Lille spécialisé dans les questions de développement durable. Enseignant "morphologie urbaine" section paysage à l'ENSAP de Lille et "Diagnostic et projet urbain" à l'IUT "Gestion urbaine" de Lille III. Il participe régulièrement à des séminaires et colloques sur le développement durable et la ville. Il est également auteur et directeur de collection aux Editions Autrement.


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  • ref : DVD016 https://kokopelli-semences.fr/boutique/produit/DVD016     50 €

       Planter ses choux, c'est bien. Mais produire ses propres semences de choux, c'est encore mieux !

    Avec ce coffret de 4 DVD, Semences Buissonnières, il est désormais possible de renouer avec un savoir-faire ancestral, aujourd’hui en voie de disparition : la production de semences !

    En plus des 32 petits films consacrés chacun à un légume, Semences Buissonnières en propose également 8 autres traitant de quelques principes généraux à connaître. Cet « ABC », vrai petit manuel de connaissances théoriques et techniques de la production de semences, aborde entre autres thèmes, la classification botanique, la pollinisation, la sélection, les méthodes d'isolement ou encore le stockage des semences.

    « Semences buissonnières » s'adresse à tous ceux qui veulent produire leurs propres semences et contribuer à la sauvegarde de la biodiversité cultivée. Ces films sont conçus comme des outils pédagogiques afin d'expliquer l’évolution de la plante de la graine à la graine, de faciliter la compréhension de la biologie des fleurs, des phénomènes de pollinisation, des gestes et méthodes utilisés pour les récoltes, de l’extraction, du tri et du stockage des graines. 

    Les réalisatrices :

    Martina Widmer et Sylvie Seguin de la Coopérative Longomaï et du Forum civique européen ont une pratique de la production de semences depuis 15 ans. Elles participent au réseau des parrains-marraines de l’Association Kokopelli qui œuvrent à la conservation et la diffusion de la biodiversité ainsi qu’à la campagne « Semences sans frontières ».

    Olga Widmer est chef opératrice image. Elle travaille dans le cinéma documentaire depuis plus de dix ans. Son métier l’a amené à filmer dans de nombreux pays en Amérique du Sud, au Maghreb ou au Proche-Orient. Au travers de portraits, elle filme au plus près des gens, leur quotidien, leur intimité, leur histoire.
    Filmer au plus près des gens l’a conduit à s’intéresser aux problématiques de l’habitat et plus particulièrement aux questions de réhabilitation des grands ensembles. Depuis deux ans, elle a quitté le béton pour les fleurs et les légumes du jardin dans lequel elle a filmé et coréalisé ce coffret Semences buissonnières.
     

    Le coffret contient 4 DVD pour une durée de 436 min et un livret de présentation.

    Source : http://www.seedfilm.org/


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  •  
    Aidez-nous à organiser le Tribunal Monsanto !
     
    Pour signer une pétition et/ou faire un don allez sur : http://www.monsanto-tribunal.org
      
    Le comité d’organisation du Tribunal comprend :  

    Vandana Shiva, Corinne Lepage, Marie-Monique Robin, Olivier de Schutter, Gilles-Eric Séralini, Hans Herren

         Un nombre croissant de citoyens de différentes régions du monde voient aujourd’hui l’entreprise américaine Monsanto comme le symbole d’une agriculture industrielle et chimique qui pollue, accélère la perte de biodiversité et contribue de manière massive au réchauffement climatique.

      Le modèle agro-industriel promu par Monsanto est à l’origine d’au moins un tiers des émissions de gaz à effet de serre mondiales dues à l’activité humaine ; il est aussi largement responsable de l’épuisement des sols et des ressources en eau, de l’extinction de la biodiversité et de la marginalisation de millions de petits paysans. Il menace aussi la souveraineté alimentaire des peuples par le jeu des brevets sur les semences et de la privatisation du vivant.

    Depuis le début du XXème siècle, cette multinationale a commercialisé des produits hautement toxiques qui ont durablement contaminé l’environnement et rendu malades ou causé la mort de milliers de personnes dans le monde :

    • · les PCB qui font partie des douze Polluants organiques persistants (POP) et affectent la fertilité humaine et animale ;
    • · le 2,4,5 T, l’un des composants de l’agent orange contenant de la dioxine qui fut déversé par l’armée américaine pendant la guerre du Vietnam et continue de provoquer malformations congénitales et cancers ;
    • · le lasso, un herbicide aujourd’hui interdit en Europe ;
    • · ou le roundup, l’herbicide le plus utilisé au monde, qui est à l’origine de l’un des plus grands scandales sanitaires et environnementaux de l’histoire moderne. Ce désherbant très toxique est associé aux monocultures transgéniques, principalement de soja, maïs et colza, destinées à l’alimentation animale ou à la production d’agro-carburants.

    Le modèle agro-industriel promu par Monsanto est à l’origine d’au moins un tiers des émissions de gaz à effet de serre mondiales dues à l’activité humaine ; il est aussi largement responsable de l’épuisement des sols et des ressources en eau, de l’extinction de la biodiversité et de la marginalisation de millions de petits paysans. Il menace aussi la souveraineté alimentaire des peuples par le jeu des brevets sur les semences et de la privatisation du vivant. 

    Lire la suite...


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  • http://www.femininbio.com/agir-green/actualites-nouveautes/soldes-out-vers-vestiaire-ethique-2-84555

    Sonia Bellouti
    Formée aux massages et au Feng Shui, responsable d’un espace bio de bien-être. Dans ma vie 2.0, j’ai fait de belles rencontres et partagé sur la toile mes passions, mes coups de gueule et mes coups de main. Biotiful green, sustainable kindness & cyber active !    Publié le 1 juillet 2016
     
    © Pixabay

       Il y a quelques semaines, Sonia nous parlait de l'importance de reconsidérer nos pratiques liées à la mode. Aujourd'hui, elle nous aide à adopter les bons gestes !

      Après avoir parlé de la Slow Fashion, et si on s’attaquait à l’étiquetage ?

       Mieux vaut opter pour des matériaux naturels car moins polluants et biodégradables. Autre alternatives : des pièces à partir de matériaux recyclés ou encore à partir de vieux vêtements. 

       Autre info sur l’étiquette ; le lieu de fabrication : en France et en Europe ou alors très loin à condition que le fabricant réponde à une charte de commerce équitable et choisi à minima, un acheminement low impact. Ces deux critères sont (à peu près) l’assurance que les conditions de travail et de rémunération sont correctes. Leurs prix sont souvent plus élevés sans être exorbitants pour autant. Les questions environnementales riment désormais avec tendance, délicatesse et créativité. La mode green n’a pas à rougir de ses grandes sœurs plus conventionnelles.

    Et si tu as peu de moyens, offre une seconde vie aux vêtements en achetant dans des vides-dressing ou des ventes caritatives, comme Shopping Ethique et Engagé en banlieue parisienne, plutôt que du neuf « cheap ». Je ne te cache pas que je n’étais pas particulièrement attirée par l’idée de porter des vêtements qui avaient déjà servis et puis un jour je me suis laissée tenter. Je sortais d’une longue maladie, ma silhouette avait changé et je n’avais pas trop les moyens de renouveler toute ma garde-robe. L’été approchait et j’avais envie de sortir de mes anciennes habitudes vestimentaires : plus de couleurs, plus girly… bref, de modifier mon style plus en adéquation avec ma nouvelle vie. Une amie organisait avec d’autres copines une vente de pièces peu ou pas portées. Je suis sortie de là revêtue de la tête aux pieds : 2 robes, 1 pantalon, 1 paire d’escarpins et même une veste avec encore l’étiquette dessus, le tout pour… 70 €. Ces vêtements, même s’ils ont été fabriqués et acheminés dans des conditions médiocres, sont recyclés et on permet de réduire leur impact initial.

    Soldes « out » / Soldes green :

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  • L'art de la simplicité (Dominique LOREAU)

                                                             2013   320 p.  6,50 € (Poche)

       Simplifier sa vie, c'est l'enrichir, contrairement à ce que prône notre société de consommation. Découvrez un mode de vie zen, directement issu de l'art de vivre japonais, reposant sur le principe du "moins pour plus", appliqué à tous les domaines. Essayer : épurez votre intérieur, videz vos armoires, abandonnez vos achats compulsifs, apprenez à manger plus frugal, prenez soin de votre corps et donc de votre esprit...L'élégance, le bien-être et le mieux-vivre à l'usage des femmes occidentales, telles sont les promesses de cet ouvrage inspiré des philosophies orientales. L'Art de la simplicité appréhende toutes les approches pour se sentir en harmonie avec soi-même et, par conséquent, avec les autres : vivre zen, voici la clé de l'équilibre et du bonheur.  

    Sommaire

    La première partie aborde le matérialisme et le minimalisme en 3 temps:

    1. les excès du matérialisme: le poids des possessions (au sens propre et au figuré); la maison : non à l'encombrement; les choses: qu'éliminer, que garder?; la garde-robe: style et simplicité
    2. les avantages du minimalisme: le temps: moins le perdre pour davantage et mieux en profiter; l'argent (notre serviteur et non notre maître)
    3. Ethique et esthétique: le besoin de beauté; "moins pour plus" d'ordre et de propreté.

    La deuxième partie traite du corps en 3 rubriques:

    1. la beauté et vous: découvrez votre propre image; libérez votre corps par les soins et le sommeil
    2. les soins d'une minimaliste: la peau, les cheveux et les ongles; Dites adieu aux impuretés; sans les clubs de sport
    3. manger moins mais mieux: les excès de l'alimentation; les repas: sobriété et raffinement; quelques rappels de diététique pour "é-li-mi-ner": réapprenez la faim

    La troisième et dernière partie parle du mental sous 3 angles:

    1. votre écologie intérieure: purifiez votre esprit; contrôlez votre mental; concentration et méditation
    2. les autres: simplifiez votre carnet d'adresses; quand vous êtes en compagnie; altruisme et solitude
    3. polissez-vous comme un galet: soyez prêt à changer; lecture et écriture; les exercices et la discipline, économisez votre énergie

     Dominique Loreau est une essayiste française qui vit depuis la fin des années 1970 au Japon, où elle propose des séminaires destinés à ceux qui veulent simplifier leur vie.

     « Je ne suis pas du tout écrivain », déclare-t-elle. Lorsqu'elle a commencé à rédiger son livre à partir de ses notes personnelles, certains passages s'adressaient spécifiquement aux femmes, d'autres aux hommes, puis elle s'est dit: « Flûte! Le monde est toujours au masculin, moi je le mets au féminin. C'est une petite plaisanterie ».

      L'idée de son livre est née en voyant les citadins japonais « vivre dans tant d'encombrement et de choses, et d'être toujours stressés et fatigués, à chercher leurs affaires, à vivre dans des intérieurs qui sont vraiment pleins à craquer. On ne sait pas où s'asseoir. Et je me dis: "A quoi ça sert tout ça?". »

        Elle propose des séminaires à ceux qui veulent simplifier leur vie. Elle est l'auteur, chez Marabout, de 

       -L'Art des listes,

       -L'Art de la frugalité et de la volupté, et de

       -Faire le ménage chez soi, faire le ménage en soi.


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    Cher·e·s adhérent·e·s d’Attac,

    L’édition 2016 de l’AlterVillage aura lieu du 14 au 21 juillet, au Relais des Pas Sages, lieu associatif au sein d’une ferme de l’Indre, près de Châteauroux. Ce village alternatif permet une réflexion sur les enjeux actuels, les formes d‘actions et les pratiques militantes. Cette année, au programme : démocratie participative, logiciel libre, susciter la mobilisation, permaculture, alternatives agricoles locales, luttes et droits des femmes, fraude fiscale, artivisme… chantier participatif, forum ouvert… soirées pour se retrouver, danser, partager ses talents…

    L’AlterVillage est un espace temporaire où s’organise une vie collective, on y fait l’apprentissage du vivre ensemble et de la prise de responsabilités collectives : ici, ni organisateur ni consommateur, mais tous acteurs ! C’est une occasion de mettre en adéquation nos idées et nos modes de vie, d’expérimenter l’intelligence collective à partir des principes de non-violence, d’autogestion et du refus de tout comportement discriminatoire.

    L’AlterVillage est ouvert à toutes et tous, adhérent·e·s ou sympathisant·e·s d’Attac.

    > Inscrivez-vous en ligne
    > Retrouvez le programme complet sur le site d’Attac France

    Informations pratiques

    L’adresse exacte du lieu qui nous accueille est :

    Ferme du Relais des Pas Sages
    Le Relais
    36180 Pellevoisin

    La forme principale d’hébergement se fera sous la tente ou dans son véhicule, autour de la ferme.
    Un hébergement en dur est possible, une quinzaine de lits sont disponibles, deux options sont proposées :
    > 8 € par nuit en dortoir de 6-7 lits ;
    > 12 € par nuit en chambre d’hôte (2 ou 3 lits par chambre).

    Cette forme d’hébergement est possible dans la limite des places disponibles ! Indiquez votre demande dans le formulaire d’inscription en cochant la case « Vous souhaitez réserver un lit ».

    Concernant l’alimentation, inutile d’apporter votre nourriture et vos boissons ! Les repas seront cuisinés de façon collective par les participant·e·s de l’AlterVillage. Le prix du repas est libre, c’est-à-dire que chacun·e donne ce qu’il veut et/ou ce qu’il peut. Nous estimons à une douzaine d’euros les frais réels de participation par jour et par personne : petit-déjeuner, déjeuner, dîner, électricité, eau et frais divers.

    Nous utiliserons des douches solaires et des toilettes sèches : les deux premières journées, les vendredi 15 et samedi 16 juillet, seront l’occasion d’installer les sanitaires !

    Pour toute demande d’information complémentaire, vous pouvez contacter l’équipe de préparation de l’AlterVillage à l’adresse altervillage@attac.org.

    Au plaisir de vous y retrouver !


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  •   Sonia Bellouti  http://www.femininbio.com/agir-green/conseils-astuces/soldes-out-vers-vestiaire-ethique-1-84465

     
    Formée aux massages et au Feng Shui, responsable d’un espace bio de bien-être. Dans ma vie 2.0, j’ai fait de belles rencontres et partagé sur la toile mes passions, mes coups de gueule et mes coups de main. Biotiful green, sustainable kindness & cyber active !
      Mis à jour le 19 juin 2016

    Soldes out … vers un vestiaire éthique #1  On a parlé la semaine dernière des conséquences de l’industrie textile. Une des plus polluantes et des moins éthiques.  D’un autre côté se vêtir en se faisant plaisir est important … la mode ne date pas d’aujourd’hui.

       Comment concilier ton bonheur avec certains principes déontologiques ? Pas besoins d’être parfait pour agir. Pas besoin de verser dans le sacrifice ni même dans l’informe néo-hippie « sac de jute » en coton rêche ou en poils de chèvre du Larzac pour constituer une garde-robe responsable.

      Mais d’abord permets-moi de te définir ce qu’est, selon moi, un vêtement « éthiquetable ».

     Idéalement le vêtement doit être fabriqué localement, avec des matériaux naturels, bio et avec des teintures végétales. Les conditions humaines, sociétales et salariales doivent être respectées. Je te rassure ce vêtement n’existe pas … ou peut-être seulement du côté des grandes marques de luxe.

    Mais pour toi et moi, pauvres mortelles, il nous reste le compromis. L’idée est de faire de son mieux en appliquant quelques règles simples, trouver deux ou trois marques qui, après vérifications des méthodes et des sources d’approvisionnement, feront l’affaire et te suivront des années durant.

    Pour ça, j’aimerais te parler de mon expérience de la slow-fashion.
    D’abord, j’ai commencé par acheter moins… mais mieux ! Il y a 10 ans j’étais tombée sur un passage tiré du livre de Dominique Loreau «  L’art de la simplicité » dans lequel elle expliquait que, pour éviter d’avoir un bazar permanent dans ses placards, il valait mieux miser sur 2 ou 3 pulls en cashmere qu’une multitude de tops de qualité moyenne et de pulls qui se déforment au premier lavage. Je me souviens m’être insurgée contre ses propos que je trouvais élitistes et j’ai refermé le livre. Non mais, pour qui elle se prenait, tout monde ne peut pas se payer du cashmere !

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  •   Commentaire. Les plantes sont merveilleuses, elles ont de l’intuition, du ressenti, de l’empathie. Magnifique article. Merveilles de la vie.

      Nous avons d’un côté une création dont nous réalisons chaque jour la merveille et de l’autre un risque majeur qui pèse sur elle.

      L’ARTICLE :

      Elles sont tout autour de nous : dans nos appartements, nos rues, nos parcs, nos jardins et nos bois. Leur discrétion apparente cache un trésor de sensibilité, d’ingéniosité, et peut-être même des clés pour comprendre qui nous sommes, et notre place dans l’univers.

      Sans elles, nous ne serions pas là : elles nous permettent de respirer et de nous nourrir. Considérées par beaucoup comme des figurantes dans nos paysages, elles constituent 99,7 % de la biomasse de la Terre, et restent pourtant de grandes énigmes. Qui donc ? Les plantes…

      Bien qu’elles soient dépourvues de système nerveux, nous savons déjà avec certitude qu’elles sont intelligentes. Mais jusqu’où va cette intelligence ? Peut-on aller jusqu’à penser qu’elles sont « conscientes » ? La conscience est communément définie comme la capacité à créer une image de soi-même et de sa position dans l’espace et le temps, en relation avec l’environnement et les autres organismes. Si les plantes n’ont pas d’yeux, de bouche ou d’oreilles, leurs « équivalents » sont toutefois hautement développés. On sait qu’elles peuvent détecter et mesurer avec précision au moins vingt paramètres physiques et chimiques, tels que la force de gravité, la lumière photosynthétique, l’humidité, la température, le vent, la qualité du sol et de l’eau, les métaux lourds, les micro-organismes, les vibrations du sol… Elles ont aussi un sens de l’orientation sophistiqué, et même une très bonne mémoire ! Le professeur Stefano Mancuso, qui étudie la neurobiologie des plantes, explique que l’on peut enseigner à un Mimosa pudica à ne plus fermer ses feuilles si le stimulus n’est pas dangereux. La plante se « souviendra » de l’information durant quarante jours. En comparaison, l’insecte a une mémoire de vingt-quatre heures ! Même nous, humains, ne faisons pas toujours aussi bien…

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         La Fabrique des colibris est une plateforme d’entraide citoyenne où chacun peut trouver comment “faire sa part”
       https://www.colibris-lafabrique.org/liste-des-projets

    Partout en France des citoyens expérimentent des initiatives qui sont la preuve qu’un autre mode de vie est possible en privilégiant la mutualisation et les échanges de biens et de services, l’éducation positive, la sobriété énergétique, l’agriculture vivrière, l’éco-construction, les économies locales… . Colibris a développé la Fabrique pour soutenir le travail de ces femmes et ces hommes qui participent, grâce à leurs projets, à engager le tournant écologique de notre société.

    Plus de 250 000 personnes suivent les actualités de Colibris et vous êtes de plus en plus nombreux à nous contacter chaque jour et à demander comment vous engager au sein de l’association. Colibris c’est avant tout un mouvement citoyen, et participer à la vie du mouvement c’est aussi soutenir tous ces acteurs qui construisent le monde de demain.

    Faire sa part

    Vous souhaitez mettre votre énergie, votre expérience, du matériel, ou un peu d’argent au service de projets inspirants ? Ça tombe bien, des centaines de projets n’attendent que vous ! En quelques clics, vous découvrirez comment vous impliquer et soutenir des projets qui participent à l’émergence d’une société plus écologique et solidaire !

    Besoin de soutien

    Vous êtes porteur d’un projet et vous avez besoin de bénévoles, d’un financement participatif, d’une expertise, d’un conseil ou encore d’un prêt de matériel ? Présentez votre projet et vos demandes sur la Fabrique et bénéficiez du soutien de la communauté des colibris.

    La Fabrique des colibris, ensemble, on va plus loin !

      La légende du colibri 

       Un jour, dit la légende, il y eut un immense incendie de forêt. Tous les animaux terrifiés, atterrés, observaient impuissants le désastre. Seul le petit colibri s’activait, allant chercher quelques gouttes avec son bec pour les jeter sur le feu. Après un moment, le tatou, agacé par cette agitation dérisoire, lui dit : «Colibri ! Tu n’es pas fou ? Ce n’est pas avec ces gouttes d’eau que tu vas éteindre le feu !» Et le colibri lui répondit : «Je le sais, mais je fais ma part.»

       Partout dans le monde, des citoyens ont apporté la preuve qu’un autre mode de vie plus écologique et solidaire est possible en privilégiant la mutualisation et échange de biens et de services, l’éducation positive, la sobriété énergétique, l’agriculture vivrière, l’éco-construction, les économies locales… Ces initiatives expérimentent de nouveaux modèles et dessinent la société de demain.

      Avec le mouvement Colibris, nous sommes au cœur de cette nouvelle réalité et plus que jamais déterminés à soutenir et élargir la dynamique ! Crée en 2007 sous l’impulsion de Pierre Rabhi, Colibris est une association loi 1901 dont la mission est d’accompagner les citoyens qui font le choix de s'engager dans un mode de vie plus écologique et solidaire. Colibris c’est aujourd’hui une communauté de 200.000 personnes, et 4.500 membres qui soutiennent financièrement les actions de l’association. Colibris, c’est aussi 70 collectifs locaux sur toute la France. Chacun travaille sur des projets concrets et participe à donner de nouvelles couleurs à la vie locale !

      Faire un don à Colibris, c’est permettre à l’association de continuer à développer des outils comme la Fabrique pour soutenir et faire grandir tous ces projets qui changent le monde !


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    Chers  Amis,

       La transparence du travail de lobbying qui se fait à Bruxelles fait aussi partie des
    valeurs et droits démocratiques fondamentaux des citoyens pour lesquels ELIANT s’engage activement.

       L’opacité du lobbying affecte profondément la confiance des citoyens dans la démocratie, les gouvernements et les institutions de l‘Union Européenne. Or, sans transparence, comment saurons-nous si les décideurs publics prennent leurs décisions dans l’intérêt de tous? Les raisons de ce dysfonctionnement se trouvent dans des règles facultatives et insuffisantes pour le lobbying. Nous ne savons en effet actuellement même pas combien il y a réellement de lobbyistes à Bruxelles, combien d’argent ils dépensent, de qui ce dernier provient et quels processus législatifs ils cherchent à influencer.

        ELIANT suit donc avec un grand intérêt les recherches de Transparency International et désire les soutenir. Voilà pourquoi nous vous demandons d’aider vous aussi Transparency International dans son travail difficile en signant la pétition Mettons fin à l’opacité du Lobbying en Europe! qui se trouve sur: change.org

      Jean-Claude Juncker, le président de la Commission européenne, a promis de rendre sa Commission plus transparente que celles de ses prédécesseurs en créant au moins un registre obligatoire des lobbyistes pour toutes les institutions de l‘UE. Ces mots ne doivent pas rester lettre morte!

        Transparency International appelle la Commission à:

    • garantir que toutes les organisations de lobbying s’inscrivent sur le registre de l‘UE,
    • garantir que toutes les institutions de l’UE y participent,
    • améliorer les contrôles et les sanctions pour les lobbyistes qui ne respectent pas toutes les règles.

     Nous nous réjouissons d’avance que vous souteniez ces revendications de
    Transparency International en signant la pétition et que vous transmettiez cette
    information à vos amis et connaissances.

      Nous vous remercions aussi chaleureusement pour toute contribution financière – si petite soit-elle – versée à ELIANT, car cela nous aide à soutenir des organisations partenaires dans leur travail pour une Europe plus humaine. Avec nos salutations les plus chaleureuses,
       votre dévouée Michaela Glöckler

       ELIANT est le porte-parole des personnes qui aspirent à une Europe où règnent la diversité culturelle et la libre possibilité de choix.

       France et Europe:
    Alliance ELIANT / Fondation pour l’encouragement de la médecine anthroposophique
    N°: 790 255 50 01          Code bancaire: 430 609 67
    GLS Bank Bochum           IBAN: DE66 4306 0967 7902 5550 01
    BIC/Swift: GENODEM1GLS

      Alliance ELIANT | Rue du Trône 194 | 1050 Bruxelles | Belgique | info@eliant.eu | www.eliant.eu


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