• Auroville, la ville dont la terre a besoin (57 mn)

    Auroville, la ville dont la terre a besoin

        Depuis toujours, l’homme rêve de construire un monde meilleur, d’inventer une autre manière de vivre grâce à laquelle il pourrait s’affranchir du racisme, de la religion, de la politique, de la pollution, et surtout de l’argent. Mais existe-t-il encore des hommes qui croient en ce rêve impossible ?
        La réponse se trouve à Auroville, au Sud-est de l’Inde. C’est ici, que des hommes et des femmes venus du monde entier se sont rassemblés dès la fin des années 60, pour tenter cette expérience. Ils sont aujourd’hui 1800 auroviliens, de 40 nationalités différentes, à espérer l’impensable. Pour eux, l’utopie d’aujourd’hui est la réalité de demain...

       Le Matrimandir, centre et lieu de méditation d'Auroville

     

    Ce film est en Français, il est également disponible en Anglais.
       This film is in French, but it is also available in English.

    Un documentaire de Guillaume Estivie
     
      Louer le film: https://www.filmsdocumentaires.com/shopping_cart   2,90 €
      DVD :14 € (provisoirement indisponible)  

    Auroville (« la ville de Sri Aurobindo » mais aussi « la ville de l'Aurore »1) est une ville expérimentale située à une dizaine de kilomètres au nord de Pondichéry dans l'État du Tamil Nadu en Inde.

    Elle fut créée en 1968 par Mirra Alfassa (Mirra Richard), plus connue sous le nom de la Mère et compagne spirituelle du philosophe indien Sri Aurobindo. Auroville a pour vocation d'être, selon les termes de sa conceptrice, le lieu d'une vie communautaire universelle, où hommes et femmes apprendraient à vivre en paix, dans une parfaite harmonie, au-delà de toutes croyances, opinions politiques et nationalités2,3.

    Aujourd'hui, les Aurovilliens, issus de cinquante pays, sont organisés en 35 unités de travail : agriculture, informatique, éducation, santé, artisanat, etc. Désert à l'origine4, le lieu est maintenant parfaitement viable. 

    District :Viluppuram  

    Population : 2 814 (2018)
    État ou territoire : Tamil Nadu
    Indicatif de zone : 0413
    Coordonnées : 12° 00′ 25″ nord, 79° 48′ 38″ est
                                                                 Le symbole d'Auroville   

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  •  Democracy (film)

     (98 mn)   Sortie le 16 novembre 2016

    Les données personnelles sont le pétrole du 21e siècle ! 

    Democracy nous entraîne dans un monde réputé impénétrable : celui du kafkaïen processus législatif européen. 
    À la façon d’un thriller politique, le film retrace la longue lutte politique du parlementaire Jan Philipp Albrecht et de la commissaire européenne Viviane Reding pour une nouvelle loi sur la protection des données personnelles. 
    Deux longues années semées d’embuches, de discussions, d’intrigues en tous genres, accélérées par les remous de l’affaire Snowden, afin de garantir les libertés et protéger les citoyens européens dans le futur numérique. 
     Une histoire unique qui réussit à rendre sensible et attachante l'architecture complexe de la démocratie contemporaine.

    Chaque fois que nous faisons nos courses sur Internet, interrogeons un moteur de recherche, activons la géolocalisation sur notre smartphone ou même utilisons notre carte de transport ou de crédit, nous laissons des traces : des masses d'informations personnelles sont collectées sur nos habitudes de consommation, nos goûts, nos déplacements ou nos opinions.

    Première sortie : 12 novembre 2015 (Allemagne)          Réalisateur : David Bernet
    Scénario : David Bernet                      Nominations : Prix du film allemand du meilleur film documentaire
    Producteurs : Arek Gielnik, Sonia Otto

    Langue : anglais sous-titres français
    DVD Pal Toutes Zones

     

    Location 48h (VOD): 4,90 €       http://www.film-documentaire.fr/4DACTION/w_fiche_film/48477_1

     

    Le DVD : 20,40 € Democracy_jaq_small

     

    Democracy a été sélectionné parmi les trois documentaires en lice pour le Deutscher Filmpreis 2016 (Prix du meilleur documentaire)

    La Ligue des droits de l’Homme soutient le film Democracy du documentariste suisse David Bernet.

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  •  

    Les médias le monde et moi (film)

       Total produits TTC 20,00 €            Frais de port (HT) 3,00 €

    « Les médias vous racontent des salades ? Assaisonnez-les ! »

    Un film documentaire écrit par Anne-Sophie Novel, co-réalisé avec Flo Laval

    Produit par Les Films d’un Jour, en coproduction avec Place To B, avec la participation de DOCS TV

    Durée : 70 min            21 articles

        Fake News, infobésité, rejet des médias, défiance à l'égard des journalistes, etc. La presse a du plomb dans l'aile, et le public semble en avoir ras-le-bol des informations déversées du matin au soir sur les ondes. Pourquoi et comment en sommes-nous arrivés là ? Est-il possible de renouveler le métier de journaliste ? D'adopter une autre posture entre producteur et consommateur d'info ? A travers cette enquête, la réalisatrice, elle-même journaliste, partage son expérience, ses questionnements, et investigue les effets de la fabrique de l’information sur notre conception du monde.

       Dans un périple qui nous mène du Danemark aux Etats-Unis, en passant par la France et le Royaume-Uni, cette introspection s'enrichit de nombreux échanges. L'enthousiasme de nos interlocuteurs et les exemples mis en avant prouvent que ça marche : n'est-il pas temps, dans la profession, et avec le public, d'envisager de nouveaux chemins de faire ?

    ​Avec les interviews de Stéphane Paoli, Eric Fottorino, Laurent Beccaria et Patrick de Saint-Exupéry, Elise Lucet, Samuel Laurent, Sylvain Lapoix et Julien Goetz, Ulrik Haagerup, David Bornstein, Jodie Jackson, Benoït Raphaël, Julia Cagé, Yves Citton…

    Contactez-nous

    boutique@colibris-lemouvement.org                   01 71 50 83 01

    Colibris      18-20, rue Euryale Dehaynin 75019 Paris


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  • Qu'est-ce qu'on attend? : Affiche

     

        Date de sortie 23 novembre 2016 (1h 59min)  De Marie-Monique Robin
        Genre Documentaire      Nationalité français
       Distributeur M2R Films
      Très connue notamment pour son documentaire « Le monde selon Monsanto » ou Notre poison quotidien » Marie Monique Robin sort un nouveau film documentaire le 26 novembre prochain qui se penche sur les initiatives écologiques et citoyennes d’un petit village Alsacien : Ungersheim. Lorsque l’on en lit les résultats, on en reste pantois. Alors, oui, effectivement, qu’est-ce qu’on attend, tous ?

    Synopsis et détails

       Qui croirait que la championne internationale des villes en transition est une petite commune française ? C’est pourtant Rob Hopkins, fondateur du mouvement des villes en transition, qui le dit. Qu’est ce qu’on attend ? raconte comment une petite ville d’Alsace de 2 200 habitants s’est lancée dans la démarche de transition vers l’après-pétrole en décidant de réduire son empreinte écologique.

      

      Anecdotes, potins, actus, autour de "Qu'est-ce qu'on attend?" et de son tournage !

    Le projet

    Le village alsacien d'Ungersheim a lancé en 2009 un programme de démocratie participative, intitulé "21 actions pour le XXIe siècle. Tous les aspects de la vie quotidienne y sont présents : l’alimentation, l’énergie, les transports, l’habitat, l’argent, le travail et l’école. L'ambition du programme est de parvenir à rendre le village complètement autonome, à travers notamment une activité et une production localisées afin de réduire les dépenses énergétiques. L'économie locale est également soutenue grâce à une monnaie à part, le radis. Depuis 2005, 120 000 euros ont été économisés en frais de fonctionnement et les émissions directes de gaz à effet de serre ont été réduites de 600 tonnes par an. Une centaine d’emplois a également été créée.

    Tournage

    Qu'est-ce qu'on attend ? a été tourné sur quatre saisons en 2015, année qui a vu l’aboutissement du projet de transition du village.

    Genèse

    Marie-Monique Robin a réalisé un documentaire pour Arte en 2014 intitulé Sacrée croissance !, qui s'intéressait déjà aux expériences de société autonomes "post-carbone, plus durable, plus juste et plus solidaire", explique la réalisatrice. Si elle avait tourné pour l'occasion dans sept pays, il n'y avait aucun exemple français. "C’est lors d’une projection du film à Thann (Haut-Rhin) que j’ai découvert l’existence du programme de transition exceptionnel d’Ungersheim. L’envie de faire ce film a grandi en moi tout au long de l’année 2015 alors que je tournais un documentaire intitulé Sacré village ! pour France 3 Alsace et Ushuaïa Télévision : on y voit Rob Hopkins – le père du mouvement des villes en transition – déclarer que l’expérience d’Ungersheim est « unique au monde »", se souvient-elle.

    De la télévision au cinéma

    Devant la quantité d'informations et d'images, Marie-Monique Robin a choisi de passer de la télévision au cinéma pour Qu'est-ce qu'on attend ?. "Après mon repérage en février 2015, j’avais écrit un synopsis qui permettait de raconter la mise en œuvre des 21 actions du programme de transition à travers des personnages clés, sur lesquels je voulais construire mon documentaire, mais j’avais complètement sous-estimé la puissance de la dynamique que génère une démarche de transition globale, encouragée par des élus et désirée par des citoyens éclairés, qui d’un coup sont prêts à libérer le meilleur d’eux-mêmes", explique la cinéaste.

      Le nouveau film de Marie-Monique ROBIN : « Qu’est-ce qu’on attend? » au congrès International de santé Naturelle par l’IPSN 

      http://www.transitionfrance.fr/2016/08/29/nouveau-film-de-marie-monique-robin-quest-ce-quon-attend-ua-congres-intrenational-de-sante-naturelle-par-lipsn-le-1er-et-2coct-2016/

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  •  "Qu'est-ce qu'on attend?" DVD

    Qu'est-ce qu'on attend ? (169 mn)

    Un documentaire de Marie-Monique Robin

    Qui croirait que la championne internationale des villes en transition est une petite commune  française ? C’est pourtant Rob Hoskins, fondateur du mouvement des villes en transition, qui le dit.
    Qu’est-ce qu’on attend ? raconte comment Ungersheim, une petite ville d’Alsace de 2 200 habitants, s’est lancée dans la démarche de transition vers l’après-pétrole en décidant de réduire son empreinte écologique.
    Ce film est un hommage à ces élus locaux, éclairés et courageux, qui savent mobiliser l’enthousiasme de leurs concitoyens dans le sens du bien commun.
    « L'exemple n'est pas le meilleur moyen de convaincre, c'est le seul. » Gandhi (la devise de Jean-Claude Mensch, maire de Ungersheim)
    Bonus :
    plus de 50 minutes en 14 vidéos inédites - Livret 8 pages

    Langue : français - Sous-titres : anglais, allemand, sourds et malentendants
    DVD Multizones

    Le coffret : 19,99 € Questcequonattend_jaq_small 

    LES 21 ACTIONS
    DU PROGRAMME DE TRANSITION

    L’AUTONOMIE ALIMENTAIRE PAR LA RELOCALISATION DE LA PRODUCTION EN BIO
    La commune a acheté un terrain de huit hectares, appartenant à un céréalier (Ungersheim est cerné par mille hectares de blé et de maïs conventionnels) pour le louer à l’association Icare, membre du Réseau national des Jardins de Cocagne (www.reseaucocagne.asso.fr). En sont issus Les Jardins du Trèfle Rouge, une ferme
    maraîchère bio qui emploie une trentaine de salariés, dont vingt-cinq personnes en contrat de réinsertion. Toutes les semaines, ils fournissent 200 paniers et alimentent la cuisine collective municipale, qui prépare chaque jour plus de 500 repas (entièrement bio) pour la cantine d’Ungersheim et de cinq communes avoisinantes.
    Afin d’atteindre l’autonomie alimentaire, la municipalité a aussi créé une Régie agricole dont elle a confié la direction à un ex-jeune vétérinaire reconverti dans la permaculture et le maraîchage. Les Jardins du Trèfle Rouge et la Régie agricole constituent les piliers de la filière « De la graine à l’assiette », complétée par une
    LES 21 ACTIONS DU PROGRAMME DE TRANSITION

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  • Notre révolution intérieure  (DVD)

    Notre révolution intérieure

    Pays d’origine : France                                          Genre : Documentaire

    Année de production : 2017

    Version originale : Français, Anglais, Espagnol             Version(s) sous-titrée(s) : Français

    Durée : 105 minutes

    Plus de 30 minutes de bonus

    Remettant en cause le monde qu'ils ont connu jusqu'à aujourd'hui, trois jeunes délaissent leur quotidien et leurs habitudes pour partir en voyage. Cette recherche de la connaissance va changer leur regard mais surtout les amener à découvrir la possibilité d'une autre existence

    Secrets de tournage

    Partir un jour

    Le réalisateur Alex Ferrini, son frère Romain Ferrini et son ami Xavier Darbaumont ont décidé de reprendre leur vie en main en partant à l'aventure. Une chance s’est présentée à nous : "Aleix Belov, un vieux loup de mer cherchait trois jeunes pour l’aider à faire le tour de l’Amérique du Sud sur un voilier qu’il avait construit lui-même", se souvient le cinéaste. "Nous avions donc le choix entre laisser notre quotidien, notre confo... Lire plus

    Road-trip

    Au cours de leur périple de 18 mois, nos trois protagonistes ont traversé l'Amérique du sud et visité le Brésil, l'Argentine, le Chili, le Pérou et la Bolivie. Ils ont rencontré trente personnes qui pour eux incarnent le changement et enregistré pas moins de 200 heures de rush.

    Nouveau projet

    Alex Ferrini, qui ne se définit ni comme cinéaste, ni comme globe-trotteur, réalise déja son deuxième long-métrage, cette fois consacré à l'enfance. 

    Conseils d'ami

    Alex Ferrini a quelques conseils pour nous aider à trouver la paix intérieure : "Prendre des risques avec le coeur. Il faut voir au-delà du voyage physique et sentir le cheminement intérieur. Observer, comprendre le mystère de la vie puis, valoriser nos découvertes", affirme-t-il. "Je pense qu’aller vers ce qui nous fait le plus peur est un bon chemin. Il nous sort de notre zone de confort et nous propulse en mouvement dans l’inconnu, vers le savoir qui rime avec évolution. Il est enfin prouvé scientifiquement que notre mode de vie (alimentation, stress, suractivité…) a des conséquences négatives".

    Trouver la paix

    Pour Alex Ferrini, il est essentiel de faire un travail sur soi pour améliorer notre qualité de vie et la société dans son ensemble : "Nous ne pourrons pas faire l’économie de nous connaître nous-mêmes, de savoir comment nous fonctionnons, physiologiquement et émotionnellement. (...) Il faut sortir de cette léthargie confortable dans laquelle nous sommes. Le seul moyen d’être libre est d’entrer dans la connaissance afin de devenir le roi de son chemin", déclare-t-il. "Nous avons donc appris à nous réécouter. C’est comme si l’être humain était un instrument, composé d’un corps physique, d’émotions, de pensées et d’un lien avec le sacré. Le voyage initiatique nous a enseigné à mieux jouer de cet instrument. Ces outils, mis dans le bon ordre, nous permettent de créer notre propre réalité. C'est une révélation à nous-mêmes qui nous a permis le désapprentissage... comme si on enlevait les différentes couches d’un oignon pour libérer le centre.

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  • Hubert Reeves : "Faisons comme si c’était pas foutu"

    Version originale en français
    v.o.f.s.-t.a. : La terre vue du coeur

    1h31 Documentaire Québec 2018    - Couleur - v.o. : français

    Réalisateur et scénariste: Iolande Cadrin-Rossignol 

     Distributeur:Maison 4:3                Studio:  JANE LOSA Films
     

    Dans La Terre vue du cœur, l’auteur et astrophysicien évoque l’état de la planète et l’urgence d’agir. Cette fois, pas juste avec «un regard qui essaie de comprendre, mais un regard qui essaie de sentir".

    https://voir.ca/cinema/2018/04/11/hubert-reeves-faisons-comme-si-cetait-pas-foutu/

    Adaptation du dernier livre d’Hubert Reeves, Le banc du temps qui passe, le film donne la parole à de nombreux experts qui apportent leur éclairage sur la situation environnementale, que ce soit Frédéric Lenoir pour discuter de philosophie, ou le bassiste Jérôme Dupras, de la fondation écologiste des Cowboys fringants. On y parle d’intelligence animale, de forêts tropicales, d’identité et, surtout, de cette sixième extinction de masse qui est en cours: la nôtre. Entrevue avec Hubert Reeves, scientifique et militant.

    Voir: Quand vous êtes-vous rendu compte de l’urgence de la situation environnementale?

    Hubert Reeves: Ç’a été progressif. Dans les années 1980, on parlait peu de la hausse de la température; c’était des rumeurs… Puis je m’y suis intéressé parce que ça promettait d’être sérieux. On commençait à avoir des preuves que la température augmentait vraiment, mais on ne savait pas si c’était dû à l’activité humaine ou si c’était un phénomène naturel, comme les grandes glaciations.

    Le GIEC (Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat), mis sur pieds par les Nations-Unies, a déterminé que le rôle de l’homme dans les changements climatiques était majeur par rapport à d’autres phénomènes naturels invoqués, comme le changement du champ magnétique du Soleil. Maintenant, il est très clair que la part humaine est plus que majeure: le réchauffement climatique est presque dû à 95% à l’activité humaine. Et aujourd’hui, c’est suffisamment prouvé pour qu’une personne raisonnable puisse s’en convaincre.

    Trouvez-vous qu’aujourd’hui les gens sont suffisamment conscients de la situation?

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  • http://thomassankara.net/sirene-de-faso-fani-film-de-michel-k-zongo/

     Fiche technique

    Burkina Faso | 2014 | 90 min | vostf

      Distribution : Cinédoc films (Annecy, France)

      Sénario: Michel La Sirène de Faso Fani (film)K. ZONGO & Christophe Cognet

      Image: Michel K. ZONGO     Montage: François Sculier   Son: Moumouni Jupiter Sodré   

      Genre: Documentaire  Langue originale: Français – Mooré    Support de réalisation: HD

      Support de diffusion: DCP – HDCAM – Blu Ray – DVD – PRO RES

      Production: Cinédoc films – Diam Production – Perfect Shot Films

      Co-production: Lyon Capitale TV – Télé Paese

      Partenaires: Doha Film Institut (QA), Cinéma du Monde (CNC – Institut Français) Région Rhône Alpes – PROCIREP – ANGOA Bertha Fund (IDFA – Nl) – EZEF (D) – CIRTEF (B) Organisation Internationale de la Francophonie Arte International – Fond Sud-Est et  DDC

      Musique originale: Smokey    Version sous-titrée: Français – Anglais – Espagnol- Allemand

     

     

            Un article de Frédérique Lagny, credit photos ©Diam Production.

    Présentation du film

    Pendant longtemps, Koudougou a été considérée comme la ville textile du Burkina Faso, et pour cause la présence d’une usine : Faso Fani, qui signifie « Le pagne du pays ».

    Toute la ville se réveillait le matin au son de la sirène de Faso Fani.

    Je suis né et j’ai grandi dans cette ville. L’usine a compté beaucoup dans mon enfance.

    Faso Fani était le projet d’une nation et un signal fort d’indépendance.

    Un magnifique pari qui fit vite ses preuves : les pagnes étaient de grande qualité et leur réputation dépassa largement les frontières du Burkina. Une fierté pour notre ville.

    Mais l’usine a fermé en 2001 suite à plusieurs plans de restructuration imposés par le FMI et la banque mondiale. Des centaines d’employés se sont alors retrouvés brutalement au chômage.

    Plus de 10 ans après, je pars à la rencontre des ex-employés de Faso Fani pour révéler les conséquences désastreuses d’une politique économique mondiale aveugle des réalités locales, celle de Koudougou. Sur mon chemin, je rencontre également ces tisseuses qui perpétuent obstinément la fabrication artisanale des pagnes. Tous ensembles, nous rêvons de voir renaître la filière du coton dans notre ville, dans notre pays.

    Nos commentaires

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  •  Le couvercle du soleil :film

    Tamiyoshi Tachibana, producteur,

    Durée : 1h.30          Réalisé par Futoshi Sato (2017)

    « Le cercle du soleil, une fiction journalistique puissante qui se définit comme une quête de la vérité dans laquelle les ministres de l’époque apparaissent sous leur véritable nom,  où l’accident et sa gestion sont scrupuleusement retracés. Les informations sont chaotiques et des hommes doivent gérer dans une tension extrême une situation limite. »  

    Le couvercle du soleil film réalisé par Futoshi Sato (2017)

    Synopsis : 5 ans ont passé depuis l’accident de Fukushima. L’abondance de témoignages, d’informations, de documentaires, et de rapports ont laissé croire que la lumière était faite. Mais la mémoire s’est vite altérée et l’accident nucléaire est en passe d’être enterré, sans que la vérité ne soit révélée. L’analyse des rapports et documents et les reportages en direct de la zone sinistrée nous éclairent sur le rôle des protagonistes de la gestion de crise, des politiciens, et des journalistes. Au bout de 5 ans, enfin la vérité sur ces journées terrifiantes. Un jour où « la pire crise de l’histoire » est arrivée, que se passait-il à la résidence du Premier ministre ? Une fiction journalistique puissante où les ministres de l’époque apparaissent sous leur véritable nom !

      L'avant-première au cinéma les 7 parnassiens a eu lieu le 12 mars avec la présence exceptionnelle de Naoto Kan, ancien premier ministre du Japon, en exercice au moment de la catastrophe de Fukushima et M. Tamiyoshi Tachibana, producteur exécutif.

      Cette date a été la première de la tournée française de Naoto Kan, qui s'est rendu ensuite au parlement européen et sur le site de Flamanville.  

      Dans ce film de Furoshi Sato le héros, Nabeshima, journaliste en poste dans le Press Club du Cabinet du premier ministre essaye, dès le début de la catastrophe à Fukushima-Daiichi, de comprendre les moments successifs et l’évolution de la catastrophe. A la fin du film, on voit Nabeshima interroger un jeune salarié de la compagnie d’électricité sur la situation actuelle de la centrale. Celui-ci lui dit clairement : « Rien n’a changé au bout de cinq ans. »

     


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  •  20 ans pour changer le monde (film)     Date de sortie 11 avril 2018 (1h 26min)
          De Hélène Medigue
          Avec acteurs inconnus
          Genre Documentaire
          Nationalité Français
        Produit par Rendez-Vous Production

     ON A 20 ANS POUR CHANGER LE MONDE, LE DOCUMENTAIRE PLAIDOYER DE L’AGROÉCOLOGIE

        Si l’agroécologie était l’avenir de la France ? C’est ce que donne à voir le documentaire "On a 20 ans pour changer le monde", signé Hélène Médigue. La réalisatrice a suivi dans son combat Maxime de Rostolan, le créateur des Fermes d’avenir et de la ferme expérimentale de Bourdaisière. Son but est de montrer que l’agroécologie est plus rentable que l’agriculture conventionnelle. Stéphane Le Foll et Nicolas Hulot témoignent également en ce sens dans le long-métrage, dont la sortie est prévue le 11 avril.

       Il ne nous reste que 20 ans. 20 ans pour que plus aucun intrant chimique ne soit présent dans notre alimentation. C'est à cet "état de faillite programmée" auquel s'attaque aujourd'hui la réalisatrice Hélène Médigue. L'ancienne actrice de "Plus belle la vie", très concernée par la question de l'agriculture, a décidé de suivre pendant un an l'ascension des Fermes d'Avenir. Un réseau de fermes agroécologiques porté par Maxime de Rostolan.

       "J’avais envie de filmer des gens qui font", raconte-t-elle à Novethic. "Et même si parfois ils se trompent, ils essayent de changer les choses. Aujourd’hui, le constat est accablant, l’état de nos sols montre que nous avons perdu le sens des réalités", explique-t-elle.

      Du concret face à la défaillance de l'État

      Le documentaire, en forme de plaidoyer de l’agroécologie, dresse le bilan d’une agriculture conventionnelle qui a détruit les sols. "L’agriculture chimique nous amène dans le mur, elle n’est pas du tout rentable. Si elles n’étaient pas subventionnées, 70 % des fermes déposeraient le bilan demain", affirme Maxime de Rostolan dans le documentaire.

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  •  "Nouveau monde " film

    Réalisé par Yann Richet  (2016)

    Durée 52 mn    Nationalité : français

      Nouveau Monde sortira prochainement dans toute la France, Suisse et Belgique.

    Pour organiser une projection, écrivez-nous à info@jupiter-films.com.

    Nous avons besoin de votre aide pour faire connaître le film. N’hésitez pas à transférer à votre réseau.

      Source Jupiter-Film visitez la page pour connaître les prochaines projections.

       Pendant quatre ans, le réalisateur a sillonné la France à la recherche d'initiatives locales porteuses d'espoir pour un monde plus solidaire. Pour obtenir des réponses aux questions qu'il se pose concernant partage des savoirs et nouvelles technologies, nouveaux modes de production quand les ressources se raréfient, il est allé à la rencontre de spécialistes de l’environnement, de la consommation collaborative, de blogueurs, d'élus, de médias activistes ou de simples citoyens. Yann Richet tente également de savoir quelles sont les nouvelles logiques économiques et sociales et comment les mettre au service de la communauté...

      "L'un des tous meilleurs films documentaires sur l'espoir de changement de notre société.

    Un film plein de joie et d'idées qui donne du sens a notre vie dans un monde empreint de néo-libéralisme a tout va. Il traite principalement des initiatives citoyennes et de l’économie participative. Franchement a voir et a diffuser dans les écoles, les salles de quartiers les cinemas d'art et essais et tous les lieus où le peuple a envie que cela change... Bravo aux réalisateurs..." Commentaire d'un spectateur

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  • Notre ciel soumis à une évolution contrôlée (18/06/2017)  

    Ecologie 71 mn (location: 5 € sur https://www.filmsdocumentaires.com/shopping_cart)

    Présentation du projet

    Notre ciel est souvent voilé et nous perdons beaucoup de luminosité.

    Ce documentaire est une enquête sur les modifications climatiques, les accords les concernant, leurs enjeux, la mission intergouvernementale dédiée à l’évolution climatique.

    La géo-ingénierie, présente à la COP21, est une science ; une technologie industrielle qui consiste à pulvériser des aérosols dans l’atmosphère pour créer un ensemencement des nuages et filtrer le rayonnement solaire.

    Sommes-nous correctement informés sur les recherches scientifiques liées au climat ?

    Leurs conséquences ou leurs dangers ? Sur la croissance des métaux lourds ?

    Les pics de pollution aux particules fines ?  L’acidification de notre corps ?

    Les méthodes de géo-ingénierie, sont en passe de devenir la finalité d’une industrie émergente aux possibilités prometteuses.

     Il est juste de susciter un vrai débat public et de commencer à l’alimenter sans parti-pris.

    Origine du projet

    Journaliste et photographe professionnelle, Jacqueline Roche a toujours été à la recherche de fonds de ciels bleus pour son travail sur l’image. Avec le temps, elle constate que ces fonds ne sont plus aussi intensément bleus, que notre ciel est souvent voilé et nettement moins lumineux.

    Elle rencontre alors une personnalité indépendante bien informée et connue pour ses avis documentés, Patrice Hernu, homme politique, ayant participé à la fondation de Génération Ecologie.

    Celui-ci révèle que certains scenarii de la COP21 recourent à la géo-ingénierie. Ce constat l’entraine dans une enquête sur les modifications climatiques, les accords les concernant, leurs enjeux, la mission intergouvernementale dédiée à l’évolution climatique.

    A quoi servira l'argent collecté ?

    Le documentaire "Vers Un Climat Artificiel ?" a été financé par la réalisatrice, et le film a déjà été projeté dans plusieurs salles.

    Grâce à vous, nous allons pouvoir inscrire le film dans des festivals partout en France et créer les moyens de communication (bandes-annonce, affiches ...) pour donner à ce documentaire un véritable impact écologique.

    En effet, suite à la diffusion d’un trailer de 13 minutes sur les réseaux sociaux, ce sujet a pris une dimension internationale et nous avons des demandes de diffusion dans différents pays, tels que l'Allemagne, la Chine, les Etats Unis, l'Espagne et l'Inde.

    Vos contributions vont nous permettre de traduire "Vers Un Climat Artificiel ?" en anglais, en allemand et en espagnol, ainsi qu'à enregistrer les voix off en studio dans différentes langues, payer les frais d'inscription dans des festivals internationaux, et pourquoi pas trouver des diffuseurs étrangers, afin de faire voyager ce documentaire qui traite d'un sujet universel, bien au-delà de nos propres frontières, car il s’agit effectivement d’enjeux internationaux.

     

    Notre équipe

    Jacqueline Roche

    Journaliste et photographe durant 17 années en France et à l’international, elle créée sa société de Production qui lui permet d’être indépendante.

     Puis elle décide de mettre son expérience au service de ses convictions et en 2008, elle réalise un ouvrage intitulé “Humains Doués de Conscience” pour lequel elle réunit 30 personnalités du sport français qui associent leurs images respectives (sans marque ni sponsor) aux 30 articles de la Déclaration Universelle des Droits de l’Homme (DUDH).

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  • Zéro phyto 100 % bio’, un documentaire d’utilité publique

    Zéro phyto 100 % bio          Date de sortie 31 janvier 2018 (1h 16min)
              De Guillaume Bodin
               Avec Silvère Chéret
              Genre Documentaire
              Nationalité Français

    ‘Zéro phyto 100 % bio’, le nouveau documentaire sur les cantines bio et les villes sans pesticides de Guillaume Bodin sortira au cinéma le 31 janvier prochain. Après plus de 200 avant-premières en France, il a déjà conquis 11.000 spectateurs…

     

      Rédigé par Marie Mourot, le 25 Dec 2017, "Rédactrice web freelance et maman de deux enfants, je me suis toujours sentie très concernée par l'écologie et le développement durable. Constamment en quête de solutions citoyennes créatives et d'initiatives positives pour changer le monde, je m'engage au quotidien pour les diffuser car je crois sincèrement qu'un autre monde est possible."
     
       Avant d’être réalisateur, producteur et distributeur de ses propres documentaires, Guillaume Bodin était vigneron en bio et en biodynamie. Après « La clef des terroirs » en 2011 et « Insecticide mon amour » en 2015, son nouveau documentaire « Zéro phyto 100 % bio »s’apprête à sortir en salles. Cette enquête répond à la sollicitation de trois associations (Agir pour l’environnement, Bio Consom’acteurs et Générations futures). Son ambition ? Accompagner les élus, les communes et les citoyens dans la transition écologique.

    Zéro phyto 100 % bio : des cantines bio et des villes sans pesticides, c’est possible !

    Le documentaire de Guillaume Bodin, c’est avant tout l’histoire de femmes et d’hommes qui agissent pour l’environnement et la santé publique. Conscients qu’ils ont un rôle important à jouer, ils ont choisi de prendre les choses en main. Arrêt des pesticides dans leurs communes, développement des cantines bio : des initiatives positives qui fleurissent un peu partout et qui ont de quoi nous réjouir.

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  •  

    Les sentinelles (Film)

    SORTIE NATIONALE LE 8 NOVEMBRE

    https://www.les-sentinelles.org/

    documentaire 1h31mn   DE PIERRE PEZERAT

     https://www.les-sentinelles.org/contact/

     hervemillet@destinydistribution.com

     

     Le 15 octobre le film a reçu le coup de coeur de l'ADEME au festival Atmosphères de Courbevoie !

       Josette Roudaire et Jean-Marie Birbès étaient ouvriers, en contact avec l'amiante.

    Paul François est agriculteur, il a été intoxiqué par un pesticide de Monsanto, le Lasso.

    Ils ont rencontré mon père, Henri Pezerat, chercheur au CNRS, qui a marqué leurs vies en les aidant à se battre pour que ces empoisonnements ne restent pas impunis.

    Les ouvriers agricoles de la coopérative de Nutréa Triskalia, intoxiqués par des insecticides, n'ont pas connu Henri, mais ils sont le vivant symbole de ceux qu'il a défendus toute sa vie, des sentinelles. 

    Chacun d'eux raconte, des années 1970 à 2015, les combats menés, l'interdiction de l'amiante, l'attaque de Paul contre Monsanto, avec à chaque fois le rôle décisif joué par Henri. Qu'ils soient ouvriers ou paysan, ils partagent le même sentiment : la justice n'est pas encore passée, ni pour les responsables du grand mensonge de l'amiante, encore moins pour ceux de la catastrophe annoncée des pesticid


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  • Les moissons du futur

    • Réalisateurs : Marie-Monique Robin 
    • Format : Couleur, Plein écran, Cinémascope, PAL
    • Langue : Allemand, Français, Anglais
    • Région : Région 2 (Ce DVD ne pourra probablement pas être visualisé en dehors de l'Europe. Plus d'informations sur les formats DVD/Blu-ray.).
    • Nombre de disques : 1
    • Studio : ARTE ÉDITIONS
    • Date de sortie du DVD : 24 octobre 2012
    • Durée : 90 minutes

    Le documentaire de Marie-Monique Robin est plein d'espoir sur les solutions possibles à la crise alimentaire.
    Comment nourrir les 9 milliards d'habitants annoncés en 2050 ? Une émission de télévision a convaincu Marie-Monique Robin de poursuivre ses investigations sur l'urgence de produire autrement.

    Les moissons du futur (DVD de M. M. ROBIN )Après "Le Monde selon Monsanto" et "Notre poison quotidien", Marie-Monique Robin enquête sur les méthodes de l'agroécologie dans différents points du globe. Un film plein d'espoir sur les solutions possibles à la crise alimentaire.

    Le documentaire

    Comment nourrir les 9 milliards d'habitants annoncés en 2050 ? Une émission de télévision a convaincu Marie-Monique Robin de poursuivre ses investigations sur l'urgence de produire autrement.

    Président de l'Association nationale de l'industrie agro-alimentaire, Jean-René Buisson y affirmait qu'aucune alternative aux pesticides n'était possible et qu'une agriculture bio entraînerait une baisse de la production de 40 % pour une hausse des prix de 50 %. Rapporteur spécial pour le droit à l'alimentation des Nations unies, Olivier de Schutter, lui, prétend exactement le contraire. Qui croire ? Enquêtant aux quatre coins du globe, la journaliste a rencontré des paysans qui ont renoncé à ces insecticides et pesticides dont les coûts indirects colossaux — pollution, énergie et santé publique — ne sont jamais pris en compte.

    Souveraineté alimentaire

    Les moissons du futur (DVD de M. M. ROBIN )Pluriculture au Mexique ou au Japon, agroforesterie au Malawi, méthode du push-pull au Kenya - des plantes repoussent herbes et insectes nuisibles au maïs, quand d'autres les attirent... Partout, des petits producteurs à la conscience aiguë témoignent des bénéfices vertueux de leur (re)conversion à l'agriculture biologique : lutte contre l'érosion, la pollution et les émissions de gaz à effet de serre, fertilisation des sols, mais aussi rendements nettement accrus au fil des années. Tous plaident et s'organisent pour l'autosuffisance et la Les moissons du futur (DVD de M. M. ROBIN )souveraineté alimentaire, à travers des circuits courts, tandis que se dessine une nouvelle alliance entre producteurs et consommateurs. De leur côté, les experts insistent : l'agroécologie de demain devra mêler savoir-faire paysan et savantes innovations dans cette révolution nécessaire pour nourrir la planète. Un documentaire édifiant où la méthode Robin, mélange de rigueur journalistique et de candeur citoyenne, livre une fois encore une implacable démonstration. Avec d'encourageantes conclusions.


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  • audio CD  22,57 €

     Ce n'est pas un livre mais un disque ! Nouvel album des frères Volo qui s'ouvre sur une mise en boîte de la production industrialisée de grands tubes internationaux. On appréciera la justesse de La crise sur nos comportements sociaux et J'hésite ravira les critiques des élites économiques européennes. On s'amuse bien avec Un gars honnête qui réinvente le hold-up (virez-moi tout ce que vous avez sur un compte aux Caïmans !) pour nous parler des questions liées à la dette. Et quelques autres titres encore, à découvrir.

      Christian Chavagneux 12/07/2017

      https://www.alternatives-economiques.fr//dix-ouvrages-a-emporter-bronzer-intelligent


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  • Power to Change

    Titre original: Power To Change - Die EnergieRebellion

    Date de sortie 11 janvier 2017 (1h 30min)
    De Carl-A. Fechner
    Avec acteurs inconnus
    Genre Documentaire
    Nationalité allemand
    Distributeur Jupiter Films

    Synopsis et détails

       POWER TO CHANGE - La Rébellion Énergétique présente une vision d’avenir : un système de fourniture d’énergie démocratique, durable et d’un coût abordable, à partir de sources 100% renouvelables.
      Le film nous entraîne dans un voyage à la découverte d’un pays où des centaines de milliers de personnes — les rebelles d’aujourd’hui — transforment cette vision en une réalité concrète. Des pionniers combatifs, des bricoleurs amateurs, luttant pour la révolution énergétique grâce à des technologies innovantes et surprenantes. Passionnés et pleins d’espoir, ils acceptent les revers et célèbrent leurs succès.
      L’avenir de l’Énergie du Monde est lié à des sources décentralisées et propres, 100% renouvelables. Ce film est un plaidoyer impressionnant pour une mise en œuvre rapide de la révolution énergétique.

    Secrets de tournage

    Faire bouger les lignes

    Power To Change : la Rébellion Énergétique est le premier film de Carl-A. Fechner depuis 2010 et La 4e Révolution, déjà centré sur les énergies renouvelables. "Lorsque nous avons réalisé le film La 4e Révolution, il y avait un sentiment d’euphorie qui reflétait le développement incroyable des énergies renouvelables à l’époque, principalement solaires. Puis il y a eu depuis une régression. Le film nous avertissait déjà que les opérateurs des centrales nucléaires et au charbon, qui gagnent des millions d’euros de bénéfices, ne laisseraient pas le changement se produire sans résistance. Et c’est exactement ce qu’il s’est passé", explique le réalisateur. "Nous avions donc le sentiment qu’il nous fallait agir pour contrecarrer ce mouvement de régression. C’est ce que nous cherchons à faire dans le film Power To Change".

    L'exemple de l'Allemagne

    Power To Change : la Rébellion Énergétique se concentre sur le modèle allemand pour étayer son argumentaire, le pays étant déjà fortement engagé dans une politique d'énergie renouvelable à grande échelle : "Nous aurions tout aussi bien pu prendre les USA. Mais en faisant abstraction du battage publicitaire à ce sujet, en réalité la part des énergies renouvelables dans la production d’énergie totale des USA, ne dépasse toujours pas les 13%. Ici en Allemagne, nous en sommes déjà à 33%. En Allemagne, nous avons vu qu’il existait une grande variété et un grand nombre d’engagements concrets en faveur de cette révolution énergétique", indique Carl-A. Fechner.

    Ambition et exigences

    Carl-A. Fechner voulait réaliser bien plus qu'un film documentaire : "Nous voulions réaliser un documentaire qui ressemble à un long-métrage classique, car j’apprécie particulièrement les images fortes et mémorables. Et nous avons pris beaucoup de temps - sept mois - pour le monter. Nous avons choisi l’Orchestre philharmonique de Prague pour la musique du film, ce qui a été un grand moment pour moi", résume le cinéaste.

    Film unique

    Power To Change : la Rébellion Énergétique a été monté sans financement public ni subventions officielles, mais seulement grâce à des sponsors et des collaborateurs. Ce choix fait suite au refus des subventions pour La 4e Révolution, qui a ensuite connu un éclatant succès en salles, aussi bien en Allemagne que dans le monde. "Nous avons cherché à avoir le financement le plus dispersé et indépendant possible en utilisant autant de sponsors différents que possible, et qui n’avaient du coup aucune influence sur le contenu du film. C’est la première fois qu’un projet de film de ce genre est lancé et co-financé par le grand public", explique Carl-A. Fechner.

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  •  Scénario et réalisation: Carole Poliquin

    Producteurs: Carole Poliquin et Isaac Isitan

    Les productions ISCA inc.
    6103 Jeanne-Mance
    Montréal, Québec,

    film documentaire plein d'humour bien que le sujet ne semble pas s'y prêter.

    Bande annonce sur  www.homotoxicus.com

       

    "Carole Poliquin réussit le pari d'exposer un problème  grave avec clarté et humour."
    Marjorie Marcillac, ICI

    "...statistiques désolantes, témoignages troublants, photographies éloquentes, rien pour rassurer le bon peuple. (...) La situation est grave, mais le ton de Carole Poliquin n'est pas désespéré."
    André Lavoie, Le Devoir

    "Une bonne enquête"
    Isabelle Massé, La Presse

    "Une approche accessible qui n'exclut pas l'humour"
    Véronique Leduc, Métro

    Une expérience planétaire est en cours et nous en sommes les cobayes

    Chaque jour, des tonnes de substances toxiques sont libérées dans l'environnement sans que nous en connaissions les effets à long terme pour les êtres vivants. Certaines d'entre elles s'infiltrent à notre insu dans nos corps et dans celui de nos enfants. En même temps que notre patrimoine génétique, nous transmettons aujourd'hui à nos enfants notre patrimoine toxique.

    Dans une enquête inédite, menée avec rigueur et humour à partir de ses propres analyses de sang, la réalisatrice explore les liens entre ces substances toxiques et l'augmentation de certains problèmes de santé comme les cancers, les problèmes de fertilité et l'hyperactivité. Les conclusions sont troublantes...

       Posted by stephane in Documentaires, La grande invasion on 19. fév, 2010

       Il fallait au moins une Québécoise pour faire un film comme celui-là. Documentaire de 90 mn, Homo Toxicus raconte notre prise en otage par les substances chimiques, avec le sourire et le délicieux accent de Carole Poliquin. En jouant la citoyenne lambda faussement naïve, la réalisatrice explore les différents enjeux de la problématique.

       Tout commence par une prise de sang qui relève plus de 100 polluants chimiques dans ses veines. Suivie par la caméra, elle part demander à des scientifiques à quoi correspondent ces noms imprononçables, et à quels risques elle s’expose en les hébergeant dans son corps.

       L’objet de ce post n’est bien sûr pas de vous raconter le film. Mais je ne décrirai que la première séquence, particulièrement frappante. Choquante, même. Carole Poliquin embarque pour le Nunavik, la Grand Nord canadien. On le sait depuis la fin des années 1980 et les travaux du chercheur Eric Dewailly : la pollution chimique touche les populations arctiques plus que nous autres. Le DDT, les PCB, dioxines et autres polluants persistants (ou produits organiques persistant – POP, interdits par la convention de Stockholm) sont portés jusqu’à eux par les courants atmosphériques. Grands pêcheurs et chasseurs, les habitants du grand Nord se contaminent davantage en mangeant la viande des baleines, phoques, narvals, morses, ours. Animaux dont les graisses accumulent justement les POP .

       Voilà donc Carole Poliquin dans le village de Palaqsivik où les petits inuits rigolent dans la neige. Mais dans la salle de classe, l’institutrice est branchée sur micro, façon téléopératrice. Une enceinte est fixée au mur. Plusieurs enfants portent des appareils auditifs. Ils entendent mal. Dans cette région, les petits sont touchés par des otites à répétition. Selon Eric Dewailly, c’est l’exposition à de fortes doses de polluants pendant la grossese et via le lait maternel qui pourrait contribuer à l’affaiblissement du système immunitaire des enfants et provoquer cet excès d’infections .


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  •   "Notre poison quotidien", livre et film de Marie Monique Robin, sur ARTE le 15 mars à 20h40 

         Du 20 au 30 mars 2011 : 6ème édition de la semaine pour les alternatives aux pesticides : inscrivez vous dès aujourd'hui aux marches pour les alternatives aux pesticides!

       "Notre poison quotidien", livre et film de Marie Monique Robin, sur ARTE le 15 mars à 20h40
        Ce documentaire sous forme d'enquête retrace le mode de production, de conditionnement et de consommation des aliments, depuis le champ jusqu'à notre assiette. MM Robin s'intéresse tout particulièrement aux pesticides, à l'aspartame et au BPA. Au travers de ces exemples, elle décortique le système des évaluations et d'homologation de ces substances chimiques en montrant qu'il est totalement défaillant et inadapté. Elle raconte les pressions et les manipulations de l'industrie chimique pour maintenir sur le marché des substances toxiques.
         L'ouverture de ce documentaire se fait sur la réunion que Générations Futures avait organisé à Ruffec en janvier 2010. MM Robin a dédié son film à Yannick Chônet qui apparait dans le documentaire et qui nous a quitté samedi 15 janvier

         (voir hommage : http://www.generations-futures.fr/news/news210110_chenet.html ).
    Le documentaire a été diffusé sur Arte le mardi 15 mars 2011 à 20h40.
        Le livre publié aux éditions La Découverte sera en librairie à partir du 7 mars.
      

       

        Le DVD du documentaire est sorti le 23 mars 2011chez Arte Vidéo


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  • Les Petits Gars de la Campagne (Documentaire)
     
        De Arnaud Brugier     Avec acteurs inconnusGenre     Documentaire
       Nationalité   Français
       Distributeur Les Productions de la Main Verte
     
        En cinquante ans, l'agriculture française a changé du tout au tout. Une transformation radicale inédite dans l'histoire qui entraîna de profondes mutations économiques, sociales et environnementales.
    Derrière cette révolution restée silencieuse, il y a la PAC, la Politique Agricole Commune dont tout le monde a entendu parler sans la connaître vraiment. Elle a pourtant bouleversé la vie de millions d'individus en modelant  leur alimentation, leurs paysages, leur quotidien.     "Les petits gars de la campagne" plonge au coeur de cette volonté politique initiée à l’échelle européenne il y a 60 ans, avec l'ambition de contribuer à remettre l'agriculture au coeur d'un débat public dont elle a été écartée
     
         Pour la préparation d'une séance de projection-débat avec le film, la fiche pédagogique rédigée par le CFSI propose : 

    - la biographie du réalisateur,

    - son intention et le contexte de tournage,

    - le scénario et son séquençage minuté,

    - la présentation des protagonistes et intervenants principaux,

    - les chiffres clefs de la PAC, de l'agriculture française et européenne,

    - un historique de la PAC, une analyse des ses résulats pour l'Europe et le reste du monde,

    - le profil d'intervenants potentiels et des questions d'entrées dans le débat,

    - une boîte à outils d'animations,

    - une bibliographie pour aller plus loin.

    pendant trop longtemps. 

    Une suite logique

    Les petits gars de la campagne fait office de suite au premier documentaire d'Arnaud Brugier, Ca sent le roussi (2007) dans lequel il ouvrait le sujet de la Politique Agricole Commune.
      Un projet de longue date

    Arnaud travaille sur ce projet pendant plus d’un an à partir de documentations et de rencontres, qui ont forgé le propos du film. Le metteur en scène a mis plus que 4 ans pour boucler Les petits gars de la campagne.

    Une petite tournée

    L’équipe de tournage s’est déplacée à Paris, Bruxelles, Grenoble et Rennes pour rencontrer des politiciens et représentants syndicaux 

    Une équipe réduite

    L’équipe de tournage était très réduite, comptant seulement 3 membres. 

    Financement

    Pour financer le film, Arnaud Brugier a reçu des aides du CNC (COSIP et aide sélectives) et d’acteurs institutionnels de l’agriculture (banques et représentants politiques).

    Site internet

    Où commander le DVD ?

    Sur le site du film http://lespetitsgarsdelacampagne.tumblr.com/dvd#dvd * Prix du DVD à usage privé : 20 € TTC 

    Information complémentaire ?

    Contacter Les Productions de la Main Verte: contact@maverda.fr / 09 53 35 45 59

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  •  Connaissez-vous Steve Cutts ? C’est un artiste freelance qui réside à Londres. Spécialisé dans l’animation, il a mis en ligne, à la toute fin de l’année dernière, une vidéo : MAN. Celle-ci retrace l’histoire de l’homme sur Terre depuis son apparition, il y 500 000 ans. Au début, l’homme exploite et détruit tout ce qu’il rencontre… Mais je vous laisse regarder sa vidéo : Pessimiste, mais très bien réalisé, non ?

     https://www.youtube.com/watch?v=WfGMYdalClU

    --------

     http://www.picturalis.fr/2/in-the-fall-steve-cutts

      https://vimeo.com/21485928

      Parfois, au détour d’une page web, on tombe sur une petite perle. Et c’est ce qui s’est passé quand “In The Fall” a croisé notre route un soir d’été 2011. Il est vrai que ce court film d’animation  – contant les derniers instants de la vie – est loin d’être drôle même s’il peut faire sourire. Il est porte un regard très critique et cynique, et pleins d’autres mots en “-ique” sur notre existence. La votre aussi. Steve Cutts nous en dit un peu plus, histoire d’élucider le pourquoi du comment de son projet.

    Plus d’infos sur son site (http://www.stevecutts.com/), son portfolio, et le reste de l’article !

    Animation et illustration, cette semaine sur Picturalis, on apprécie le mélange des genres. Un court métrage d’un londonien sarcastique et déjanté sous fond de bonne musique.

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      http://www.buzzly.fr/illustrations-problemes-societe.html 

    http://www.ufunk.net/artistes/steve-cutts/

       Une sélection des illustrations de Steve Cutts, qui dépeint avec un regard acerbe les dérives de notre triste monde moderne et de nos sociétés de consommation dans des illustrations satiriques trash et décalées… Steve Cutts est un illustrateur anglais basé à Londres dont nous avions déjà parlé avec ses excellents courts métrages Anytime Ice Cream et MAN

        Deux exemples:

    Steve-Cutts-illustrations-7

    Steve-Cutts-illustrations-6


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    Distributeur:   Haut et Court   long métrage
    Récompenses: 4 prix
     
    • 2015 Oscars    Meilleur Film Documentaire
    • 2015 BAFTA Awards    Meilleur Film Documentaire
    •  2015 Independent Spirit Awards   Meilleur Film Documentaire
    • 2015 Directors Guild of America Awards   Meilleur réalisateur de film documentaire - Laura Poitras
     
     
    Année de production:  2015
    Date de sortie DVD:  09/09/2015
    Date de sortie Blu-ray:  06/12/2015
    Langues:   Anglais, Portugais, Allemand
    Secrets de tournage 6 anecdotes

    Synopsis et détails

       En 2013, Edward Snowden déclenche l’un des plus grands séismes politiques aux Etats-Unis en révélant des documents secret-défense de la NSA. Sous le nom le code « CITIZENFOUR », il contacte la documentariste américaine Laura Poitras. Elle part le rejoindre à Hong Kong et réalise en temps réel CITIZENFOUR, un document historique unique et un portrait intime d’Edward Snowden.  

     

    Par Pierre Murat (Télérama)

    Dès les premières secondes, le documentaire vire au film noir. Lumières dans un tunnel, sur une autoroute. Et voix off, comme dans un film adapté d'un roman de Raymond Chandler... La cinéaste est en route pour Hongkong. Avec Glenn Greenwald, journaliste au Guardian, elle doit y rencontrer un hurluberlu qui signe « Citizenfour » ses mails : un drôle de type qui veut dénoncer les manoeuvres de la NSA (National Security Agency). Un organisme d'Etat qui espionnerait, illégalement, les communications privées des citoyens du monde entier (on apprendra, bien plus tard, que le portable de la chancelière Angela Merkel elle-même avait été piraté). Comment reconnaître Citizenfour : dans le centre commercial qui jouxte son hôtel, il aura un Rubik's Cube dans la main...

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  •   Affiche Earthlings

    • Réalisation : Shaun Monson   (2005)    1h 35min
    • Scénario : Shaun Monson
    • Production : Shaun Monson, Persia White, Maggie Q, Libra Max et Nicole Visram
    • Musique originale : Brian Carter, Natalie Merchant, Moby, Gabriel Isaac Mounsey et Barry Wood
    • Pays : Drapeau des États-Unis États-Unis
    • Langue de tournage : anglais
    • Disponibilité: Monde

       Earthlings est un film documentaire américain de Shaun Monson sorti en 2005, et dont la réalisation a nécessité cinq années de travail et d'investigations. Il montre le traitement des animaux destinés à la nourriture, à l'habillement, aux divertissements et aux recherches scientifiques.

    La bande originale est signée Moby.

    Le narrateur de la version originale américaine est Joaquin Phoenix, le narrateur de la version originale allemande est Helmut Krauss et le narrateur de la version originale française est l'ex-hockeyeur végétalien Georges Laraque des Canadiens de Montréal. Il n'existe que trois versions officielles de Earthlings mais de nombreux détournements ont été réalisés sur internet par des activistes, comme celui de Maxime Ginolin.  

    En utilisant des caméras cachées et des images inédites, Earthlings est une condamnation de la conduite humaine face au monde animal. Y sont présentées de grandes et petites industries contemporaines, dont les profits dépendent — d'une manière ou d'une autre — de l'exploitation animale.

    •   Pets ; première partie : Animaux domestiques
    •  deuxième partie : Nourriture
    •  Clothes ; troisième partie : Habillement
    •  Entertainment ; quatrième partie : Divertissement
    •  Science ; cinquième partie : Science. 

    Le film est controversé notamment à cause de sa comparaison entre le traitement des animaux dans les abattoirs et les camps d'extermination ou de concentration du nazisme 

    Pour d'autres, plus particulièrement les végétariens et les végétaliens, ce film est le meilleur documentaire jamais tourné sur le sujet.

      Dans son ouvrage, Plaidoyer pour les animaux, le scientifique et moine bouddhiste Matthieu Ricard dénonce le fait que ce film n'ait jamais été diffusé sur les chaînes publiques de télévision (de même que les films Food Inc. et LoveMEATender) : « On ne montre jamais à la télévision ce qui se passe tous les jours dans ces lieux (élevages, abattoirs...) ». Les chaînes de télévision prétextent, pour leur refus de diffusion, que ce genre de film documentaire est susceptible de choquer, raison insuffisante pour le moine bouddhiste, étant donné que les chaînes de télévision ne se privent jamais de montrer des images de guerre ou d'attentats qui sont elles aussi susceptibles de choquer.

    Récompenses

    • En 2005 Meilleur film documentaire au festival de film d'Artivist.
    • En 2005 Meilleur film documentaire au Festival international du film de Boston.
    • En 2005 Meilleur film documentaire et la récompense humanitaire de Joaquin Phoenix au festival de film de San Diego.   Publié par Wikipédia

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  • We Feed the World - le marché de la faim
       Date de sortie 25 avril 2007 (1h 36min)
       De Erwin Wagenhofer
       Avec Peter Brabeck, Jean Ziegler
       Genre Documentaire
       Nationalité Autrichien
       Titre original We Feed the World
        Distributeur Zootrope Films
        Récompense 1 nomination

       Le réalisateur s'est inspiré du livre de Jean Ziegler, L'Empire de la honte et  il   

       lui donne à plusieurs reprises la parole .

       Chaque jour à Vienne, la quantité de pain inutilisée, et vouée à la destruction, pourrait nourrir la seconde plus grande ville d'Autriche, Graz... Environ 350 000 hectares de terres agricoles, essentiellement en Amérique latine, sont employés à la culture du soja destiné à la nourriture du cheptel des pays européens alors que près d'un quart de la population de ces pays souffre de malnutrition chronique. Chaque Européen consomme annuellement 10 kilogrammes de légumes verts, irrigués artificiellement dans le Sud de l'Espagne, et dont la culture provoque des pénuries d'eau locales...
     
    dimanche 4 novembre 2007 à 23h09 - par  zorgol

    We Feed The World, Le Marché de la Faim, est sorti en salle. Ce documentaire d’Erwin Wagenhofen démonte les mécanismes d’une l’industrie agroalimentaire mondialisée.

    En suivant les trajets qu’effectuent les nourritures, il met au jour les déséquilibres absurdes d’un monde qui pourrait nourrir 12 milliards d’êtres humains, et dans lequel 850 millions de personnes sont sous alimentées.

    Dans ce système, le Brésil qui n’a pas atteint l’autosuffisance alimentaire, au lieu de développer des cultures vivrières, transforme la forét amazonienne en culture de soja qui sera utilisé à nourrir les poulets européens.

    Et l’Afrique reçoit à bas prix des tomates cultivées en Europe qui ruinent les agriculteurs locaux.   

      Jean Ziegler est le rapporteur spécial pour le droit à l'alimentation (en) du Conseil des droits de l’homme de l’Organisation des Nations unies de 2000 à 2008, poste auquel lui succède Olivier De Schutter. Il est actuellement vice-président du comité consultatif du Conseil des droits de l'homme des Nations unies

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    C'est l'été, Kaizen 3 va arriver !

    Cher Colibri,

    Le numéro 3 de Kaizen sera en kiosque le 29 juin.
    En ces temps de vacances et de prise de recul il aborde le sujet de l'école :

    • À quoi sert-elle ?
    • À quoi devrait-elle ressembler au XXIème siècle ?
    • Quels sont les modèles et les expérimentations susceptibles de nous inspirer ?

    Si l'école participe à modeler nos représentations du monde et nous prépare à entrer dans la société, alors il est grand temps de se pencher sur l'école que nous voulons pour nos enfants !

    Également au menu dans ce Kaizen n°3 :

    • Idée remuante : "L’anti-spécisme" vu par Michel Onfray
    • Désenfumage : le BBC (Bâtiment Basse Consommation) démasqué
    • François Sarano ouvre les portes des derniers espaces sauvages : l'Océan
    • "Comment faire un compost collectif"
    • Les fonds d'investissement citoyens pour réinventer l'économie
    • Une nouvelle rubrique : Yes they can !
    • Le Carrot Mob pour tous
    • Des recettes à base de sureau
    • Et toujours : la chronique de Pierre Rabhi

    Ensemble, changeons le monde pas à pas !

    À bientôt !

    L'équipe de Colibris


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  • ref : DVD016 https://kokopelli-semences.fr/boutique/produit/DVD016     50 €

       Planter ses choux, c'est bien. Mais produire ses propres semences de choux, c'est encore mieux !

    Avec ce coffret de 4 DVD, Semences Buissonnières, il est désormais possible de renouer avec un savoir-faire ancestral, aujourd’hui en voie de disparition : la production de semences !

    En plus des 32 petits films consacrés chacun à un légume, Semences Buissonnières en propose également 8 autres traitant de quelques principes généraux à connaître. Cet « ABC », vrai petit manuel de connaissances théoriques et techniques de la production de semences, aborde entre autres thèmes, la classification botanique, la pollinisation, la sélection, les méthodes d'isolement ou encore le stockage des semences.

    « Semences buissonnières » s'adresse à tous ceux qui veulent produire leurs propres semences et contribuer à la sauvegarde de la biodiversité cultivée. Ces films sont conçus comme des outils pédagogiques afin d'expliquer l’évolution de la plante de la graine à la graine, de faciliter la compréhension de la biologie des fleurs, des phénomènes de pollinisation, des gestes et méthodes utilisés pour les récoltes, de l’extraction, du tri et du stockage des graines. 

    Les réalisatrices :

    Martina Widmer et Sylvie Seguin de la Coopérative Longomaï et du Forum civique européen ont une pratique de la production de semences depuis 15 ans. Elles participent au réseau des parrains-marraines de l’Association Kokopelli qui œuvrent à la conservation et la diffusion de la biodiversité ainsi qu’à la campagne « Semences sans frontières ».

    Olga Widmer est chef opératrice image. Elle travaille dans le cinéma documentaire depuis plus de dix ans. Son métier l’a amené à filmer dans de nombreux pays en Amérique du Sud, au Maghreb ou au Proche-Orient. Au travers de portraits, elle filme au plus près des gens, leur quotidien, leur intimité, leur histoire.
    Filmer au plus près des gens l’a conduit à s’intéresser aux problématiques de l’habitat et plus particulièrement aux questions de réhabilitation des grands ensembles. Depuis deux ans, elle a quitté le béton pour les fleurs et les légumes du jardin dans lequel elle a filmé et coréalisé ce coffret Semences buissonnières.
     

    Le coffret contient 4 DVD pour une durée de 436 min et un livret de présentation.

    Source : http://www.seedfilm.org/


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  •  Christophe Cupelin - documentaire Suisse/Burkina Faso    2015    1h30mn   VOSTF -

    http://www.cinemas-utopia.org/toulouse/index.php?id=2942&mode=film

      CAPITAINE THOMAS SANKARA  (film) Thomas Sankara devient président de la Haute-Volta le 4 août 1983. Une année après, il marque définitivement l'histoire et l'identité de son pays en le rebaptisant Burkina Faso, littéralement la « terre des hommes intègres ». Bien au-delà des frontières de son pays, il a représenté un immense espoir pour une grande partie de la jeunesse africaine.
        Sa politique d'affranchissement du Burkina Faso, qui promeut notamment l'autosuffisance de la nation sur le plan alimentaire, l'amène à prendre radicalement position contre toute forme d'influence impérialiste ou néocoloniale, et lui fait adopter un discours sans ambages à l'égard des puissants de son époque. Sankara tente de réformer en profondeur la société civile, qu'il considère comme encore figée sur le modèle féodal, en luttant contre les inégalités entre hommes et femmes, l'analphabétisme, la corruption, les privilèges des fonctionnaires…

      Mais en dépit des succès apparents et de la popularité de sa révolution, Sankara est contesté en coulisses. Il est brusquement assassiné le 15 octobre 1987 lors d'un coup d'État que l'on dit organisé par Blaise Compaoré, l'homme qu'il considérait comme son frère, actuel président du Burkina Faso.
       À travers un montage d'archives rares méticuleusement rassemblées, le réalisateur Christophe Cupelin offre une vision complète de l'héritage intellectuel et politique de Sankara, et restitue fidèlement l'atypisme de ce chef d'Etat, percutant dans son action comme dans ses propos. Vingt-sept ans après sa disparition tragique et officiellement non élucidée, ce film donne enfin à voir et à entendre la parole de Thomas Sankara, l'un des plus importants leaders africains du xxe siècle. 

            " Passionnant documentaire sur le président du Burkina Faso, assassiné en 1987. Impossible de ne pas tomber en admiration devant ce révolutionnaire anticolonialiste, féministe et écologiste, qui rebaptisa son pays (la Haute-Volta devint « le Pays des hommes intègres »), lutta contre l'illettrisme et réclama l'annulation de la dette africaine. Après avoir réentendu son discours sur les exclus à la tribune de l'ONU et revu les images du dîner officiel où, devant François Mitterrand, il condamnait la France pour avoir accueilli Pieter Botha, le Premier ministre d'Afrique du Sud, et Jonas Savimbi, chef de l'Unita (Union nationale pour l'indépendance de l'Angola), « couverts de sang des pieds jusqu'à la tête », on est prêt à croire que ce capitaine courage aurait pu changer le monde. — G.O." Télérama

    Capitaine Thomas Sankara La flamme de la révolution au Burkina. Africulture 24 novembre 2015 

    Vu par Michel AMARGER (Afrimages / Médias France) pour le magazine Africiné

    La distribution dans les salles françaises de Capitaine Thomas Sankara, réalisé par Christophe Cupelin, met en lumière la détermination de deux hommes engagés. L’un est le fameux président du Burkina Faso, Thomas Sankara, assassiné en 1987, dont le film brosse un portrait fouillé ; l’autre est le réalisateur, Christophe Cupelin, qui a bataillé obstinément pour concrétiser son projet et obtenir le droit de montrer ses images.

    Capitaine Thomas Sankara, réalisé en 2012, finalisé pour le grand écran en 2014, est la contribution documentée d’un cinéaste suisse à la valorisation d’une période révolutionnaire en Afrique, qui l’a fait mûrir. Débarqué au Burkina Faso en 1985, en pleine effervescence de l’ère Sankara, Christophe Cupelin, âgé de 19 ans, éprouve un choc qui secoue ses questions de justice sociale et d’engagement citoyen. Il assiste aux réformes audacieuses du régime, reçoit les vibrations de la société du Burkina en marche sur laquelle il engrange des images.

    Capitaine Thomas Sankara est la combinaison de plans d’époque, d’archives récupérées en 2007, à l’occasion des 20 ans de la mort de Sankara, quand certaines apparaissent libres de droit sur le Net. Cupelin tente alors de retrouver toutes les images et les témoignages possibles pour faire revivre la figure charismatique et anticonformiste de Thomas Sankara. Le film est nourri des impressions du cinéaste sur le terrain, dès 1985, des documents écrits et audiovisuels disponibles mais aussi de témoignages oraux de protagonistes de l’époque qui ne figurent pas toujours dans le montage, élaboré par Christophe Cupelin lui-même.

    Le portait composé par le réalisateur suisse fait ainsi revivre la figure emblématique de Thomas Sankara. Ce militaire décidé, né le 21 décembre 1949, devient à 34 ans, président de la Haute-Volta dont il change le nom pour devenir Burkina Faso, "la Patrie des hommes intègres". La formule annonce l’ambition du politique révolutionnaire qui tente de moraliser la vie du pays en le modernisant et en l’émancipant des influences étrangères. Entre le 4 août 1983 où il accède au pouvoir, et le 15 octobre 1987 où il est tué avec 12 collaborateurs, Thomas Sankara mène le changement au pas de charge.

    Ses mesures sociales se font sur tous les fronts. Il prône une campagne de vaccination pour améliorer la santé. Il construit des logements, lance un mouvement de reboisement massif, soutient l’Union des paysans. Tout en défendant la promotion de la femme, il réforme l’éducation en misant sur l’alphabétisation dans toutes les langues nationales. Cette politique est menée tambour battant car Sankara sait que son temps est limité. Il fonce avec intransigeance vers ses objectifs et bouscule son entourage qui veut préserver ses privilèges. Mais la réaction interne n’est pas la seule menace pour le président.

    Ses prises de position en faveur d’une plus grande autonomie du Burkina, ses attaques contre les forces occidentales toujours impliquées dans la gestion des territoires africains, sont violentes. Il déclare effrontément, lors de la conférence des pays membres de l’Organisation de l’Unité Africaine, en juillet 1987 : "La dette ne peut pas être remboursée parce que si nous ne payons pas, nos bailleurs de fonds ne mourrons pas. Par contre si nous payons, c’est nous qui allons mourir." Le message passe mal avec certains interlocuteurs de l’Occident mais Sankara s’impose comme une référence de la dignité africaine.

    Capitaine Thomas Sankara permet de mesurer le charisme du leader burkinabè qui tient ses discours percutants avec une verve alerte, ponctuée d’un humour corrosif. Cette aptitude, illustré par le film de Christophe Cupelin, impose Sankara comme le porte-parole des laissés pour compte dans son pays mais aussi dans le reste du continent. En découvrant Sankara jouer de la guitare, être galant avec les femmes, affable avec ses alliés, se dessine à l’écran le portrait d’un homme contrasté que le réalisateur n’hésite pas à démystifier. Mais il propose aussi de réhabiliter la stature du leader politique assassiné dont l’empreinte a été reléguée par Blaise Compaoré, son successeur.

    Ce documentaire qui vise à fixer la mémoire en faisant parler les documents, est l’aboutissement de l’engagement extrême de Christophe Cupelin. Cinéaste indépendant, capable de saisir la vie d’un village du Burkina avec Kononga, 2006, tourné en Super 8, il signe aussi des portraits de Burkinabès à Genève ou Ouagadougou. Cette approche témoigne de l’empathie du réalisateur suisse avec l’évolution du Pays des hommes intègres. Sa fascination pour l’élan de Sankara le motive à repousser les limites des productions normées en créant seul, Capitaine Thomas Sankara. Ce combat, poursuivi pour récupérer les droits des archives, lui permet aujourd’hui de toucher des spectateurs dans les salles suisses, françaises, jusqu’en Afrique. Un hommage indispensable au leader politique qui a, selon sa formule, "osé inventer l’avenir".

    Source : http://www.africultures.com/php/index.php?nav=article&no=13327

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      SANKARA MITTERRAND, de Jacques Jouet, avec Ibrahima Bah, François Fehner et Pascal Papini (35mn). Palais présidentiel de Ouagadougou, 17 novembre 1986. Deux hommes se font face à une table de banquet. Thomas Sankara se lance dans une diatribe enflammée pour dénoncer notamment l’attitude de la France, François Mitterand réplique. S’engage un échange aigre-doux où la causticité du vieux lion répond à l’impertinence et à l’ironie du jeune loup. C’est cet échange qui a inspiré façon Oulipo cette pièce qui y introduit un troisième intervenant : le « Théâtre simple », personnage théorique, modérateur du débat et allégorie de l’art scénique. Une pièce aux multiples facettes, chaque fois différente, qui s’attaque aux mécanismes de l’art oratoire…


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  • Le dernier continent (film)

    De Vincent Lapize, sortie le 11 novembre.
    Article publié dans le

    N° 72 - novembre 2015

    Comment le capitalisme va croquer l’économie du partage

      Tourné de 2012 à 2014, « Le dernier continent » propose un portrait subjectif de la ZAD de Notre-Dame-des-Landes et de ses habitants.

    Tout le monde a entendu parler de la ZAD de Notre-Dame-des-Landes. Largement alimentée par les médias et par les défenseurs du projet d’aéroport, la version d’une bande de marginaux venus se mettre au vert ne tient pas la route si l’on y regarde de plus près. C’est ce qu’a fait Vincent Lapize en filmant deux ans de lutte, entre 2012 et 2014. Si l’opération César – qui, en 2012, a mobilisé 800 gendarmes pour expulser les derniers occupants – a échoué, c’est grâce à l’alliance entre agriculteurs, habitants, et ces nouveaux venus prêts à en découdre. Malgré l’hétérogénéité du mouvement, malgré les motifs différents et parfois divergents qui les ont fait venir, les occupants ont su organiser une vie en collectif nourrie par des débats politiques. Depuis 2012, des espèces protégées ont permis de retarder la reprise des travaux de défrichage. Mais les recours en justice s’épuisent et il ne reste plus que le campagnol amphibie en travers du chemin de Vinci. On parle moins de Notre-Dame-des-Landes en cet automne 2015. Mais la lutte pourrait bientôt reprendre et ce documentaire tombe à point nommé pour en rappeler la nature.  

    Par   Anne de Malleray  pour Terraeco.net
     

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    Lire la suite...


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  •     Long  métrage | 2014 Examen d'État Dieudo Hamadi
       www.agatfilms...lm.php?id=641  

        Contact producteur/distributeur : julie@agatfilms.com  

      EXAMEN D'ÉTAT, de Dieudo Hamadi, 2014 / Congo, France - Cinéma du Réel from Africiné www.africine.org on Vimeo.   

    Examen d'état  film   Titre anglais : National diploma

       Pays Concerné : République démocratique du Congo

       Réalisateur : Dieudo Hamadi

       Pays du réalisateur : République démocratique du Congo

       Production : AGAT Films et Cie, Karoninka, Studios Kabako, Vosges Télévision Images Plus

       Pays de production : France, République démocratique du Congo, Sénégal

       Distribution : AGAT Films et Cie

       Durée : 90'   Genre : portrait

       Type : documentaire

       Format de Distribution (Vidéo Numérique )

       À Kisangani, un groupe de lycéens qui n'ont pas les moyens de s'acquitter de la "prime des professeurs" s'organise pour préparer ensemble l'examen d'État (le baccalauréat congolais). Dieudo Hamadi, jeune cinéaste congolais fait de la société dans laquelle il vit son champ d'investigation exclusif. Aujourd'hui il veut ausculter le futur de sa génération en se focalisant sur l'examen d'Etat (l'équivalent du baccalauréat) qui, pour des milliers de jeunes congolais, ouvre (ou ferme) les portes de l'avenir.
        Pour se préparer à ces examens, les étudiants de la République Démocratique du Congo doivent surmonter d'innombrables difficultés et ont recours à plusieurs méthodes, des plus sérieuses aux plus fortuites.
       L'Athénée royal de Kisangani se révèlera être un véritable microcosme de la République Démocratique du Congo. Les enjeux de ces examens permettront au réalisateur de porter un regard incisif sur la société congolaise actuelle et sur les réalités d'un pays qui souffre de son passé colonial et dictatorial et du manque d'avenir.

        NOTE DE LA PROGRAMMATRICE (Festival Cinéma du Réel 2014, Paris)
    Devant le lycée Athénée royal de Kisangani, de larges flaques de pluie demeurent, ressac d'une inondation. "Athénée royal ? Athénée poubelle, oui !" : le ton est donné, qui mêle désaffection pour la vénérable institution et nécessité pour les adolescents de décrocher malgré tout le baccalauréat congolais, dit "examen d'Etat". De même qu'il parvenait à filmer à la fois un individu et une foule pendant la campagne électorale présidentielle de République démocratique du Congo Atalaku, Dieudo Hamadi s'insère ici on ne sait comment dans un groupe composite de candidats libres qui vont se construire un "plan maquis", une maison commune de révisions. Passe-ton bac d'abord ? Non, paie d'abord la "prime du professeur", sans quoi celui-ci t'éjecte de son cours, fût-ce devant une caméra. Le système scolaire, microcosme d'une société où corruption et débrouille s'entretiennent, n'est pas vraiment un objet d'analyse. C'est un tremplin vers une histoire : les élèves débarqués vont vivre deux mois avec des inconnus, récupérer des manuels, prier ensemble, faire bénir leurs stylo à bille et recruter des étudiants plus lettrés qu'eux. En suivant plus particulièrement la trajectoire de Joël, déterminé à ne pas finir porteur au marché, Dieudo Hamadi crée un contrepoint intime et, pour finir, poignant, au portrait de groupe.
    (Charlotte Garson)

    Versions disponibles : VF / Version Anglaise
    Editeur vidéo : POTEMKINE
    Diffusion TV : 19-05-14 à 16h25 sur Vosges Télévisio

    36ème Festival Cinéma du Réel - Festival international de documentaires, PARIS, France
    * Sélection - Compétition internationale
        Prix international de la SCAM (Société civile des auteurs multimédia), décerné par le Jury de la Compétition Internationale, composé de Jérôme Baron (directeur artistique du festival des 3 Continents), Xiaolu Guo (réalisatrice chinoise), Elisabeth Kapnist (réalisatrice française) et Nicolas Philibert (réalisateur français).
       Prix des éditeurs (Potemkine) décerné par un jury d'éditeurs DVD indépendants, composé de: Laetitia Fourmond (Ina), Nicolas Giuliani (Potemkine), Guillaume Sorel (Survivance).

    Festival International de Documentaire d'Agadir, Maroc : Grand Prix FIDADOC

    Sélections en festival :
    Toronto Int. Film Fest - Docs selection, Canada
    Festival de Lasalle en Cévennes
    Etats Généraux du Film Documentaire, Lussas
    Festival de Cinéma de Douarnenez, France
    Festival Cinéma d'Afrique, Lausanne, Suisse
    Festival Int. du Film de Colombo, Sri Lanka



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  • Pôle emploi, ne quittez pas ! (DVD)   Pôle emploi, ne quittez pas !(78 mn)    

    Titre original : Pole Emploi, ne quittez pas !

    Année de production : 2013

    Pays de Production : France

    Durées : 78 & 59 minutes

    Un film écrit et réalisé par : Nora Philippe

    Image : Cécile Bodénès

    Production : Gloria Films – Maud Huynh

    Coproduction : Les Films de l’air – LCP Assemblée Nationale

    Avec la participation du Centre National de la Cinématographie et de l’image animée et le soutien de la PROCIREP- Société des Producteurs et de l’ANGOA

    Distribution : DOCKS 66

    Presse : Claire Viroulaud – Ciné-Sud Promotion

    programmation : Charlotte Bolze

    Numéro de visa : 140 569

    Numéro d'ISAN : 0000-0003-8B86-0000-V-0000-0000-I

    • CONTACT VENTES ET DISTRIBUTION:  Docks66

      Violaine Harchin:     violaine@docks66.com / +33 6 18 46 24 58

      Aleksandra Chevreux:   aleksandra@docks66.com / + 33 6 99 70 92 87

          Dans un Pôle emploi du 93, quarante agents font face à quatre mille demandeurs d’emploi. Samia, Corinne, Thierry, Zuleika doivent soutenir et surveiller, faire du chiffre, obéir aux directives politiques et aux injonctions de communication, trouver du travail là où il n’y en a pas. C’est la vie d’une équipe qui a intégré l’impossible à son quotidien.

         Pôle emploi, ne quittez pas ! est le premier film documentaire tourné en immersion sur le long terme dans une agence Pôle Emploi.
        « Le film passionne par les complexités qu’il révèle. » Télérama
        « Une immersion vertigineuse dans les arcanes d’une bureaucratie déréglée. » Le Monde
        « Un documentaire à la Frederick Wiseman axé sur les agents. » Les Inrocks
        « Parfois cocasse, souvent accablant, toujours juste, un film brutalement contemporain. » Rue 89
       

         Bonus :
          Captation d’un débat avec Pierre Haski (Rue89) et Nora Philippe – Scènes inédites – Bande-annonce. Livret de 32 pages : Entretien entre la réalisatrice et la monteuse Anne Souriau, « Pôle Emploi, un archétype de la modernisation du service public » par Claire Vivès, sociologue du travail, « Le Rêve du Travail – Sur Pôle emploi, ne quittez pas ! de Nora Philippe » par Emanuele Coccia, philosophe et maître de conférence à l’EHESS.

    • Revue de presse

      Positif  : "Nora Philippe signe un film qui en dit plus long sur la réalité de l’époque que la plupart des longs discours entendus ici et là. (...) Parfois cocasse, souvent accablant, toujours juste, un film brutalement contemporain."

      Le Monde : "En plantant sa caméra dans ce décor, la jeune documentariste Nora Phillipe, (...) dévoile, sans forcer le trait, les failles d’un système arrivé en bout de course."

      Les Inrockuptibles  : "Nora Philippe pose sa caméra dans l’agence Pôle Emploi de Livry-Gargan (…) C’est évidemment ce qui fait le sel et l’intérêt de ce documentaire à la Frederick Wiseman (sans commentaire, sans interviews), surtout axé sur les agents (auxquels on s’attache parfois) et non sur les gens au chômage."

      Première : « Entre Frederick Wiseman et Jacques Tati, Pôle Emploi, ne quittez pas ! observe avec lucidité les logiques absurdes de l’institution. »

      Le canard enchainé  : « Jamais complaisant, parfois drôle mais souvent effrayant. »


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