• L'Ivermectine : rêvons un peu ...

     

    L’AIMSIB ne vous propose pas d’essayer une nouvelle drogue à la mode, mais de vous projeter dans un monde parallèle. Face à la théorie inéluctablement vouée à l’échec du « tout-vaccin » qui nie par nature l’existence même des traitements préventifs et curatifs, imaginons quelques secondes que l’ANSM attribue en fin de mois une RTU( 1) à l’ivermectine en traitement de la Covid-19. Que se passerait-il alors en France ? Quelques éléments de réponse dans cet article rédigé par les Docteurs Vincent Reliquet (2) et Éric Ménat (3), propre à pouvoir nous apporter un retour incroyablement rapide vers la vie normale. Bonne lecture. 

      https://www.aimsib.org/2021/03/21/un-monde-sous-ivermectine-essai-danticipation/

      (Aller sur ce site pour voir la totalité de l'article qui est paru sur

       https://www.lessymboles.com/un-monde-sous-ivermectine/?utm_source=wysija&utm_medium=email&utm_campaign=Lettre-MDS-289 )

    Introduction

    Notre propos consiste à imaginer ce que deviendrait la France (et le monde) si l’ANSM attribuait en cette fin de mois une RTU à l’Ivermectine. Rêvons plus fort : Et si dans un bel ensemble la HAS, la DGS voire l’Académie de Médecine édictaient toutes la même recommandation, traiter précocement tous les malades fragiles avec cette molécule sans danger…

    Naturellement rien ne doit changer quant à une supplémentation systématique en vitamine D3 de toute la population en fonction de sa non-exposition aux UV du soleil.

    On sortirait alors immédiatement du concept de solution vaccinale seule salvatrice, ce mythe infernal ayant cours partout à ce jour. Au lieu d’attendre qu’on arrive « enfin » à vacciner 40 millions de français, de s’empêtrer dans un passeport sanitaire qui ne changera ni la vie de la population ni l’évolution de l’épidémie, au lieu de rester répétitivement cloitrés des mois encore en attendant que ces décisions politiques puissent un jour être efficaces, nous pourrions nous libérer quasi-immédiatement de cette somme de brimades invraisemblables et retrouver le cours habituel de nos vies.

    Notre raisonnement part d’un constat simplissime : Cette maladie peut aussi se prendre en charge… par la thérapeutique. Désolés si nos propos sont susceptibles d’affoler les vaccino-obsédés et les milieux financiers internationaux, car en plus le médicament que nous proposons ne coûte pas grand-chose.

       On a bien compris le concept du « tout vaccin anti-Covid » actuel, il s’agit de vacciner préventivement la population la plus large possible (patients très fragiles, enfants et femmes enceintes inclus) avec un « produit » dont le rapport bénéfice/risque est très loin d’être bien évalué et dont on peut penser que la supposée efficacité ne peut guère durer plus de quelques semaines vue la rapidité d’apparition des variants résistants.

       Cette pseudo-solution nécessitera d’imposer des rappels vaccinaux semestriels à tous (4), le graal absolu pour leurs fabricants mais est-ce une solution humainement raisonnable et scientifiquement valide ?

    En effet, tous les vaccins actuellement mis sur le marché visent à créer des anticorps dirigés contre une composante particulière du Sars-CoV-2, la protéine Spike, présente sur le virus apparu fin 2019 à Wuhan. Or, il n’échappe à personne que 18 mois plus tard le SARS-CoV-2 initial a déjà considérablement muté en une multitude de variants différents. Pour ceux qui en doutent, nous vous conseillons chaudement le visionnage en temps réel du site nextstrain.org dont voici une des illustrations les plus éclairantes:

       Tous les virologues objectifs nous expliquent qu’il suffit de contraindre un coronavirus par la vaccination pour que celui-ci mute encore plus inexorablement et finisse par être résistant au vaccin. Que les sceptiques se penchent sur la mésaventure des pays qui ont testé le vaccin AstraZeneca pendant leurs phases préindustrielles : Ils ont tous, USA (Ohio), Brésil (Manaus), Afrique du Sud, Angleterre et Japon vu apparaître un variant plus ou moins résistant à la vaccination (5)(6).

      Bien peu de journalistes viennent nous informer de l’apparition inexorable de variants particulièrement inquiétants, tel que le B.1.525 encore appelé un temps « le virus écossais » (7) et qui pourrait présenter la particularité d’avoir tellement varié qu’aucun vaccin n’aurait plus la moindre efficacité antigénique contre sa protéine S mutée (8)… Et que penser du nouveau « variant breton » (9), tellement muté qu’il ne serait même pas reconnu par les tests RT-PCR actuels et qui aurait tué huit patients peut-être tous vaccinés anti-covid?

           On rappelle enfin ce que Jacques Testart, un scientifique pourtant bienveillant vis-à-vis de cette technique, a écrit au sujet des dangers majeurs encourus par le fait de vacciner une énorme partie de la population contre ce coronavirus en pleine période épidémique : – « Alors l’argument responsabilisant « Si tu ne te fais pas vacciner, tu fais courir un risque aux autres » se retourne, en faisant de chaque vacciné un nouveau foyer potentiel ! Se vacciner, à coup sûr bénéfique pour soi, peut être irresponsable pour l’espèce…/… Le choix de ne pas se vacciner pourrait illustrer l’inversion de la responsabilité telle que définie par les injonctions officielles, au nom du souci des autres » (10).

      .........;

       otes et sources:
    (1) RTU ou Recommandation Temporaire d’Utilisation : « L’ANSM peut encadrer des prescriptions non conformes à l’autorisation de mise sur le marché (AMM), sous réserve qu’il existe un besoin thérapeutique et que le rapport bénéfice/risque du médicament soit présumé favorable, notamment à partir de données scientifiques publiées d’efficacité et de tolérance. Elle élabore à cette fin des Recommandations Temporaires d’Utilisation (RTU). Les RTU ont une durée maximale de 3 ans renouvelable. Leur objectif est de sécuriser l’utilisation des médicaments grâce à la mise en place d’un suivi des patients organisé par les laboratoires concernés ».
    https://www.ansm.sante.fr/Activites/Recommandations-Temporaires-d-Utilisation-RTU/Les-Recommandations-Temporaires-d-Utilisation-Principes-generaux/(offset)/0
    (2) Le Dr Vincent Reliquet est médecin généraliste, rédacteur en chef du site aimsib.org, membre de la Coordination Santé Libre intervenant pour elle auprès de la cellule « vaccin »
    (3) Le Dr Eric Ménat est médecin généraliste, membre du Comité médical de l’aimsib, membre du Conseil Scientifique Indépendant élu par la Coordination Santé Libre, intervenant pour elle auprès de la cellule « TAP ».
    (4) Israël: « Nous nous préparons au scénario pessimiste, selon lequel il faudra renouveler les vaccins tous les six mois » (B. Netanyahou, 01 mars 2021)
    https://www.i24news.tv/fr/actu/israel/1614593916-israel-nous-nous-preparons-au-scenario-pessimiste-selon-lequel-il-faudra-renouveler-les-vaccins-tous-les-six-mois-b-netanyahou
    (5) https://www.lequotidiendumedecin.fr/actus-medicales/recherche-science/vaccins-arnm-le-variant-bresilien-7-fois-plus-resistant-la-neutralisation-des-anticorps-le-sud?xtor=EPR-4-%5BNL_weekend%5D-%5B20210320%5D&utm_content=20210320&utm_campaign=NL_weekend&utm_medium=newsletter&utm_source=qdm
    (6) Layet M. “Les essais cliniques du vaccin AstraZeneca ont-ils provoqué l’apparition des variants ? », Nexus, n°133
    (7) https://cov-lineages.org/global_report_B.1.525.html
    (8) https://www.gov.uk/government/news/confirmed-cases-of-covid-19-variants-identified-in-uk
    (9) https://www.egora.fr/actus-medicales/infectiologie/65787-covid-un-nouveau-variant-potentiellement-plus-difficilement#xtor=EPR-3-5[News_Best_Of_M%C3%A9decine]-20210321-

    (10) https://criigen.org/rapport-dexpertise-sur-les-vaccins-genetiquement-modifie/


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