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  • Liste 2020 de 105 médicaments plus dangereux qu'utiles selon Prescrire

    Psychomédia
    Publié le 29 novembre 2019
      Pour des compléments d'information allez sur le site de la revue Prescrire.

    Pour la 8e année consécutive, la revue Prescrire a actualisé, dans son numéro de décembre 2019, sa liste des « médicaments plus dangereux qu'utiles » qui sont « à écarter des soins ».

    Cette liste 2020 recense « 105 médicaments (dont 92 commercialisés en France) dont la balance bénéfices-risques est défavorable dans toutes les situations cliniques pour lesquelles ils sont autorisés en France ou dans l'Union européenne ».

     

    « L'évaluation par Prescrire de la balance bénéfices-risques d'un médicament dans une situation donnée repose sur une procédure rigoureuse : recherche documentaire méthodique et vérifiable, détermination de critères d'efficacité qui comptent pour les patients, hiérarchisation des données scientifiques selon la solidité des preuves, comparaison versus traitement de référence (s'il existe), prise en compte des effets indésirables et de leur part d'inconnues. »

    Ce bilan 2020 porte sur les médicaments analysés dans Prescrire de 2010 à 2019.

    Par rapport au bilan de 2019, 12 médicaments ont été ajoutés :

    • Alpha-amylase (Maxilase ou autre), dans les maux de gorge
    • Ginkgo biloba (Tanakan ou autre) dans les troubles cognitifs chez les patients âgés
    • Naftidrofuryl (Praxilène ou autre) dans la claudication intermittente ischémique liée à une artériopathie des membres inférieurs
    • Pentosane polysulfate oral (Elmiron) dans le syndrome de la vessie douloureuse
    • Pentoxyvérine (Vicks sirop pectoral 0,15 % ; Clarix toux sèche pentoxyvérine 0,15 %) dans la toux
    • Ténoxicam (Tilcotil), un anti-inflammatoire non stéroïdien
    • Xylométazoline, un décongestionnant rhinopharyngé disponible en Belgique, Suisse et ailleurs

    La contamination par du plomb des argiles médicamenteuses utilisées dans divers troubles intestinaux, dont les diarrhées, justifie de les écarter des soins :

    • Attapulgite (Actapulgite, ou en association dans Gastropulgite)
    • Diosmectite (Smecta ou autre)
    • Hydrotalcite (Rennieliquo)
    • Montmorillonite beidellitique alias monmectite (Bedelix, ou en association dans Gelox)
    • Kaolin (en association dans Gastropax et Neutroses)

    « Le plus souvent, quand un traitement médicamenteux apparaît souhaitable, d'autres options ont une meilleure balance bénéfices-risques que ces médicaments à écarter. »

    Dans un document PDF, Prescrire précise, pour chacun des médicaments de la liste, les raisons de l'évaluation négative et les alternatives préférables.

    Même « en situation d’impasse thérapeutique dans une maladie grave, il n’est pas justifié d’exposer les patients à des risques graves, quand l’efficacité clinique n’est pas démontrée », souligne Prescrire. « L’utilisation de ces médicaments dans le cadre d’une recherche clinique est parfois acceptable, à condition d’informer les patients des inconnues sur la balance bénéfices-risques et des objectifs de l’évaluation.  »

    Voici la liste de ces 105 « médicaments plus dangereux qu'utiles » :

    (Pour vérifier si un médicament spécifique se trouve dans cette « liste noire », vous pouvez utiliser les touches CTRL F [simultanément] pour faire apparaître un champ de recherche. Utilisez le nom de la molécule active plutôt que le nom commercial.)

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  • Chers amis,

    Le lien entre l’exposition répétée aux radiofréquences des téléphones portables et le développement de cancers fait l’objet de vifs débats depuis vingt ans.

    Les choses ont bougé ces toutes dernières semaines.

    Dans le bon ET dans le mauvais sens.

    La santé est le cadet de leurs soucis

    On a dans cette affaire les ingrédients d’un scandale analogue à celui de l’industrie du tabac :

    • Une accumulation de « signes » médicaux attestant d’un risque ;
    • Des lobbys industriels et économiques très puissants qui minimisent voire étouffent les études scientifiques alertant du même risque.

    On a un ingrédient supplémentaire cependant. Avec la téléphonie mobile, il s’agit d’une technologie au centre d’intérêts géopolitiques entre grandes puissances, Chine et États-Unis en première ligne : déploiement des satellites, guerre de l’information, rapidité de la communication, brevetage des technologies innovantes… tout y est.

    Au milieu de ces considérations, la santé est la dernière roue du carrosse…

    … voire le nid de poule qui empêche le carrosse d’avancer !

    C’est pourquoi seules la justice et la recherche scientifique indépendante peuvent jouer le rôle de contre-pouvoirs.

    En Italie, cause officielle de tumeurs au cerveau

    En 2017, le tribunal d’Ivrée, dans la province de Turin, a reconnu l’usage régulier du téléphone dans le cadre de son travail comme la cause du neurinome acoustique (une tumeur bénigne du cerveau) qu’a développé un employé.

    L’Institut italien d’assurance contre les accidents du travail a fait appel de cette décision.

    Au bout de plusieurs mois d’expertise de scientifiques indépendants mandatés par la Haute Cour de justice de Turin, celle-ci a produit le jugement suivant en janvier dernier :

    « Les données épidémiologiques, les résultats des expériences sur les animaux (non contredits, à l’heure actuelle, par d’autres expériences du même type), la durée et l’intensité de l’exposition … qui sont particulièrement importants compte tenu de la relation dose-réponse établie – au niveau scientifique – entre l’exposition aux radiofréquences des téléphones mobiles et le risque de neurinome acoustique, ainsi que l’absence d’un autre facteur qui pourrait avoir causé la maladie (…) confirment le rôle causal entre l’exposition professionnelle du plaignant, son exposition au rayonnement des téléphones portables et la maladie qui s’est déclarée[1] »

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  • Chers amis,

    Ici Joachim des éditions Nouvelle Page.

    https://nouvelle-page-sante.com/nouvelle-etude-sur-la-borreliose-de-lyme/#sources?

       Des chercheurs polonais et slovaques viennent de faire une découverte sur les tiques[1]. Ils ont observé que les tiques étaient attirées par les ondes GSM émises par votre téléphone portable. Mais plus intéressant encore : certaines tiques étaient plus attirées par les ondes GSM que les autres…

      … il s’agit des tiques infectées par la borréliose de Lyme (la bactérie responsable de la maladie), ou la rickettsia (bactérie responsable du typhus).

    Comment est-ce possible ?

      Les tiques possèdent un “sixième sens” : elles sentent les champs électromagnétiques, et vont avoir tendance à se diriger vers eux. La bande qui les attire le plus, aux alentours de 900 MHz, est encore utilisée en France pour la 3G (UMTS)

    Vous voyez que tous les opérateurs utilisent actuellement la bande 900 MHz (RFF correspond à Réseau ferré de France, car les trains utilise leur propre réseau 3G pour communiquer)[2].

      Cette capacité à percevoir les champs électromagnétiques est répandue dans le règne animal, notamment chez les insectes, mais aussi chez les poissons[3] (saumons, truites, anguilles) et même chez certains oiseaux[4].

    La plupart utilisent ce sixième sens pour s’orienter dans l’espace — de la même manière que nous utilisons une boussole.

    Autre information importante : un téléphone qui capte mal est un aimant pour les tiques !

    Il faut savoir que plus votre téléphone est éloigné du signal (comprendre : vous n’avez que quelques barres de réseau), plus il émet d’ondes pour compenser.

    Cela signifie qu’en forêt, votre téléphone émet un signal électromagnétique bien plus puissant. Ceci attire d’autant plus les tiques à vous...

    À retenir

    La saison des tiques a commencé !

    L’hiver 2019-2020 a été doux et la population de tiques a explosé par rapport aux années précédentes. Le risque est maximal !

    Utilisez ce savoir à votre avantage la prochaine fois que vous irez vous promener en forêt.

    Éteignez votre téléphone ou mettez-le en mode avion si vous en avez besoin pour prendre des photos.

    À bientôt !

    Joachim

        PS : Si vous ne connaissez pas tous les gestes pour prévenir ou lutter contre la maladie de Lyme, cliquez ici (https://paid.santenatureinnovation.info/maladie-lyme/?source=SNI33020000&utm_campaign=maladie-lyme)pour vous procurer notre guide complet. Il y a une offre spéciale en ce moment. 

    Sources :

    [1] https://www.sciencedirect.com/science/article/abs/pii/S1877959X19301979?via%3Dihub

    [2]https://fr.wikipedia.org/wiki/Fr%C3%A9quences_de_t%C3%A9l%C3%A9phonie_mobile_en_France#Bande_des_900_MHz_(R-GSM_et_E-GSM_inclus)

    [3] https://dspace.lib.cranfield.ac.uk/bitstream/handle/1826/7787/Final%20Report.pdf?sequence=1&isAllowed=y

    [4] https://www.sciencealert.com/birds-see-magnetic-fields-cryptochrome-cry4-photoreceptor-2018 

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  • Quels sont les dangers du sucre sur la santé ?

    https://therapeutesmagazine.com/quels-sont-les-dangers-du-sucre-sur-la-sante/?utm_source=wysija&utm_medium=

    Les méfaits du sucre

       Le sucre est partout, il a envahi l’alimentation industrielle, mais également bon nombre de produits biologiques et sans gluten.

       Vous le trouverez bien sûr dans les céréales, les sodas, les bonbons et jus de fruits, mais également dans les pizzas, pains, biscuits apéritifs, conserves de poissons, sauces tomates, charcuterie … Ainsi de nombreuses personnes se retrouvent addictes au sucre à leur insu.

      Il y a plusieurs raisons à cela, tout d’abord des surproductions de betteraves, cannes à sucre et maïs à écouler …

    Et puis, le sucre étant associé au plaisir, les industriels ont vite compris leur double intérêt à en ajouter dans tous les produits alimentaires, vendre plus et absorber les stocks.

    Ils ont tenté de nous faire croire au travers de nombreuses campagnes que la cause du surpoids et des maladies qui en découlent, était le gras, sans faire la différence entre les bons et mauvais gras, et qu’il valait bien mieux manger des céréales, du pain ou encore des féculents … 

      Quels sont les différents sucres ?

    Les sucres que vous trouverez au supermarché sont issus soit de la betterave, soit de la canne à sucre.

    Ils subissent différentes transformations avant d’être conditionnés.

    L’extraction du sucre se fait par broyage ou diffusion.

    Le jus va être filtré et va traverser différentes chaudières à différentes pressions et températures pour éliminer l’eau, puis il va être cristallisé.

    Il va ensuite être raffiné si on veut obtenir du sucre blanc, puis essoré, séché et conditionné.

    Le sucre récolté ayant été raffiné ne contient plus ni vitamines, ni oligo-éléments, ni minéraux.

    Le sucre roux est souvent un sucre blanc qui a été coloré avec de la mélasse, du caramel ou des colorants.

    Si vous souhaitez du vrai sucre complet, vous devrez aller l’acheter dans un magasin bio, sous l’appellation de Muscovado ou Rapadura.

    Ce sucre n’a été ni raffiné, ni transformé, il est issu de la canne et a été juste déshydraté et séché.

    Sa texture est légèrement humide et sa couleur foncée, il conserve donc ses bons nutriments, sels minéraux et vitamines.

    Le sucre peut également être dérivé des fruits, on obtiendra alors du fructose, vous le trouverez notamment dans le sirop d’agave et il est largement utilisé en pâtisserie industrielle.

    Il peut provenir aussi de céréales, comme le blé, l’orge, le riz ou le maïs. Il est là aussi beaucoup utilisé en pâtisserie industrielle.

    Enfin, le miel fabriqué par les abeilles, le sirop d’érable et le sirop d’agave sont également utilisé pour leur pouvoir sucrant.

    Il est par ailleurs difficile de s’y retrouver tant il y a d’appellations dans l’industrie alimentaire, lactose, maltose, fructose, glucose, dextrose, isoglucose … 

    Que provoque le sucre au niveau physiologique ?

    L’ingestion de sucre entraine une hyperglycémie, c’est-à-dire qu’il fait monter le taux de sucre dans le sang.

    Plus un aliment contient de sucre, plus il fait grimper la glycémie et plus cela nécessite de production d’insuline par le pancréas pour faire pénétrer le glucose dans la cellule.

    En cas de consommation régulière et répétée de sucre, cela peut conduire à une perte d’insensibilité à l’insuline, c’est-à-dire que l’insuline est en perte d’efficacité et que le glucose reste dans la circulation sanguine et va se transformer en triglycérides.

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  • La panacée universelle (Thomas LEVY)

    2017  320 p.  25 € (Éd. Michel Dumestre )

      « Un défaut génétique héréditaire empêche l'homme de produire, contrairement à presque tous les animaux, la vitamine C, miraculeuse substance qui guérit quasiment tout. D'habiles financiers, pour protéger leur business, font tout pour interdire son homologation. "La situation en cette fin 2016 est alarmante. Au stade actuel de marchandisation de la vie, une médecine pharmaceutique peut se vanter d'avoir soumis la santé

      La médecine est droguée aux considérables crédits alloués via la prétendue recherche et répète inlassablement l'antienne commerciale de la nécessité d'accepter une vie, possible uniquement sous sa surveillance médicamenteuse.

        Pourtant, depuis plus de 70 ans, la recherche orthomoléculaire nous démontre que nous sommes des enfants de la Nature, en manque non pas de médicaments mais de produits naturels, à des doses étudiables, véritables, sûres et déjà pratiquées par les animaux ; que le modèle animal, absent des gadgets électroniques, ne ment pas.

      Que celui qui le comprend et s'en inspire aura la possibilité de ne pas obéir à une quelconque autorité politique ou médicale ; de tester par lui-même, de créer et de partager avec les autres hommes une vie pleine et édifiante, dans un monde meilleur. Parmi les découvertes de cette recherche, la non-brevetable Vitamine C, aux étonnantes mais réelles et irremplaçables capacités, ne peut laisser indifférent.

      Il fallait offrir au public des démonstrations simples et logiques, plus d'un millier de références scientifiques, des réponses rassurantes et constructives, des dosages illicitement adéquats, des modes d'emploi éprouvés et facilement reproductibles, un courage et une force scientifiquement tranquille. C'est ce qu'a construit, page après page, le cardiologue américain Thomas E. Lévy. Aucun ouvrage complet sur ce sujet de la vitamine C n'existait en français.
       Naturopathe orthomoléculaire, j'ai eu le bonheur d'y participer, en tant que traducteur-éditeur". » 

         Thomas E. Lévy MD, JD est un cardiologue américain, auteur de plusieurs ouvrages médicaux. Il est considéré aujourd’hui comme l’un des meilleurs experts au monde sur la vitamine C et est un conférencier renommé pour ses exposés, auprès des médecins, sur les rôles de la vitamine C et des antioxydants, dans les traitements de nombreuses maladies et conditions médicales graves. 

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  • Chère lectrice, cher lecteur,

    https://www.santenatureinnovation.com/puissants_conavirus/#sources?base=647&campaignId=

      Le Prince Charles, le Prince Albert de Monaco, le Premier ministre anglais Boris Johnson, l’acteur Tom Hanks et sa femme, le Premier ministre canadien Justin Trudeau et sa femme, l’acteur anglais Idris Elba, le producteur américain Harvey Weinstein, le chanteur d’opéra Placido Domingo, le jazzman Manu Dibango et l’ancien président de l’OM de Marseille Pape Diouf.Le chanteur Patrick BruelCharlélie CoutureCécile Bois, l’ex James-Bond girl Olga Kurylenko...

      Notre ministre de la Culture Franck Riester, le Président des Hauts-de-Seine Patrick Devedjian, le maire de Nice Christian Estrosi, le sénateur américain Rand Paul, le commissaire européen Michel Barnier, l’ambassadeur d’Israël en Allemagne Jeremy Issacharoff, le ministre de l’Intérieur d’Australie Peter Dutton, le vice-président iranien Massoumeh Ebtekar, la femme du Premier ministre espagnol Pedro Sanchez, la ministre espagnole Irene Montero, le maire de Miami Francis Suarez, le ministre polonais Michal Wos, l’attaché de presse du Président brésilien Bolsonaro, le ministre de l’intérieur du Burkina-Faso Simeon Sawadogo ainsi que trois autres ministres de son gouvernement, l’ancien Premier ministre de Somalie Nur Hassan Hussein, etc.

      Tous sont atteints, et certains sont morts, du coronavirus.

      Je pourrais continuer très longtemps cette liste en incluant les innombrables parlementaires, footballeurs, sportifs, producteurs, célébrités, contaminés. [1]

      Leur point commun ?

      Sillonner le ciel en permanence (en avion de ligne mais bien souvent aussi en jet privé).

       Partir chaque week-end pour Marrakech, Londres, Moscou ou la Floride. Enchaîner les événements mondains, les congrès, les festivals en tout genre, avec la jet-set internationale.

      On savait depuis longtemps qu’un tel mode de vie était dangereux pour tout le monde.

      Aujourd’hui, on en a la confirmation concrète.

      Le coronavirus dans les stations de ski :

      Avez-vous remarqué la particularité du coronavirus d’avoir infecté les stations de ski de luxe ?

    •  En Autriche, c’est la station ultra-branchée d’Ischgl, surnommée “l’Ibiza des Alpes”, qui a joué le rôle d’un des principaux foyers de propagation ; fréquentée par Paris Hilton, elle a permis à des centaines de riches vacanciers de rapporter le virus dans leur pays; [2]
    • En Suisse, la station de ski de Verbier, fréquentée par les têtes couronnées, les Anglais fortunés, les milliardaires russes, est un foyer majeur de l’épidémie. Le virus aurait contaminé des centaines de personnes lors d’un “week-end de fête” dès le mois de février, selon la presse helvétique, qui se sont ensuite envolés vers les quatre coins de la planète, emportant l’infection avec eux ; [3]
    • En France, c’est dans la station de Courchevel que politiciens, hommes d’affaires et “people” ukrainiens ont contracté le coronavirus lors d’un “voyage festif”.
    • Aux Etats-Unis, c’est dans la luxueuse station de ski de Vail, dans le Colorado, qu’ont été contaminés 50 riches Mexicains venus s’amuser au mois de mars. Ils ont ensuite rapporté le virus dans le pays (un grand patron de la tequila, José Cuervo, et le directeur de la Bourse de Mexico Jaime Ruiz Sacristan, sont infectés).
    • En Uruguay, le virus est revenu par la créatrice Carmela Hontou, qui était à un mariage à Madrid auquel participaient 500 personnes.
    • Au Brésil, des riches touristes revenus d’Italie ont rapporté le coronavirus avec eux. [4]
      Dans le monde entier, ce sont bien souvent des hommes et des femmes d’affaires revenant de Chine qui ont contaminé leur pays. Que faisaient-ils là-bas ? Ils délocalisaient ?

    Comment vont faire les chefs d’Etat africains ?

       Habitués à sauter dans un avion pour venir se faire soigner en Europe ou aux Etats-Unis, les hommes politiques africains sont aujourd’hui bien ennuyés.

       Depuis des décennies, beaucoup d’entre eux préfèrent mettre les milliards du pétrole, des matières premières et des impôts sur des comptes au Liechtenstein ou à Dubaï, plutôt que d’investir dans les routes et les hôpitaux de leurs pays.
      Selon un ministre de la Santé de l’Afrique du Sud, Aaron Motsoaledi : “Nous sommes le seul continent dont les dirigeants se font soigner en dehors de leur continent, de leur territoire. Nous devrions avoir honte.

      Mais c’est en train de changer, avec le coronavirus.

      Aujourd’hui, 30 aéroports internationaux sur 57 sont fermés en Afrique et pratiquement plus un avion ne vole. L’occasion pour l’élite de profiter enfin des mêmes soins que ceux qu’elles avaient prévus pour le peuple.

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  • De nouvelles recherches suggèrent que l'élevage industriel, et non les marchés de produits frais, pourrait être à l'origine du Covid-19

    by GRAIN | 1 Apr 2020 | Corporations      https://grain.org/e/6441

    Coronavirus et élévages intensifs

       Soyons clairs : il n'existe aucune preuve solide que l'origine du SARS-CoV-2, qui est la cause de l'actuelle pandémie de la maladie Covid-19, se situe dans un marché aux fruits de mer ouvert de Wuhan où l'on trouve également des animaux sauvages et domestiques. Tout ce que l'on sait, c'est que plusieurs des premiers cas diagnostiqués avec le Covid-19 soit travaillaient dans ce marché, soit y avaient effectué des achats dans les jours précédant leur diagnostic. De nombreux médias et commentateurs se sont emparés de cette information pour affirmer que les marchés chinois de produits frais et le commerce d'animaux sauvages et domestiques vivants étaient responsables de l'apparition de la maladie1. Et certains appellent même à interdire les marchés de produits frais – qui sont vitaux à la subsistance et à la sécurité alimentaire de millions de paysans, de commerçants et de consommateurs2.

       Un nombre croissant de preuves désigne une autre histoire à l'origine du Covid-19. Nous savons à présent qu'aucun des animaux testés sur le marché aux fruits de mer de Wuhan n'ont été testé positifs, et qu'environ un tiers du premier échantillon de cas humains déclarés à Wuhan, au début du mois de décembre 2019, n'avaient aucun lien avec le marché, y compris le premiers cas déclaré3 4. Et maintenant nous avons également appris, grâce à la fuite d'un rapport officiel chinois relayé par le South China Morning Post, qu'en réalité le premier cas connu de Covid-19 dans la province d'Hubei a été détecté mi-novembre, bien avant que le premier groupe de cas liés au marché aux fruits de mer de Wuhan n'ait été signalé5.
     
    La semaine passée, les scientifiques de l'Institut de recherche Scripps ont publié dans le journal Nature une analyse du séquençage du génome du virus SARS-CoV-2. Celle-ci soulèvent encore plus de doutes sur le fait que SARS-CoV-2 soit issu du marché aux fruits de mer de Wuhan6.
     
    Les scientifiques arrivent à la conclusion que SARS-CoV-2 a évolué par sélection naturelle et non par génie génétique dans un laboratoire, et ils affirment que cette sélection naturelle a pu se produire selon deux scénarios possibles. Le premier est que le virus a évolué chez les humains vers sa forme hautement pathogène. Dans ce cas, une forme moins pathogène du virus serait passée d'un hôte animal à un hôte humain et aurait ensuite évolué vers sa forme actuelle par le biais d'une "période étendue" de "transmission non détectée d'humain à humain". Selon ce scénario, il n'y a aucune raison de croire que le marché aux fruits de mer de Wuhan ait un quelconque lien avec l'évolution de la maladie, bien qu'il soit tout à fait possible qu'une personne infectée ait transmis la maladie à d'autres personnes dans le cadre du marché.
     

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  •  Le nouveau guide des additifs (COLLECTIF)

                                                          2017    280 p.  10,45 € (Th. Souccar)

       " Un formidable outil informatif et pédagogique mis à la disposition des consommateurs " selon le Pr Jean-François Narbonne. Il permet d'identifier les additifs sûrs et ceux qui ne le sont pas. C'est le seul guide à jour des données scientifiques.  Voici le premier guide sur les additifs basé sur la science, pas les rumeurs alarmistes. Vous saurez en quelques secondes si un aliment peut être acheté sans inquiétude.
    Vous découvrirez ce que cachent réellement les codes ou les noms compliqués qui figurent sur les emballages : des additifs sans risque comme le E 330 ou le E 920, ou plus problématiques comme le E 250 ou le E 621.

       Comment les auteurs ont procédé
    Pour classer les 338 additifs autorisés, Anne-Laure Denans, docteur en pharmacie, nutritionniste, et les journalistes scientifiques de LaNutrition.fr ont examiné plus de 200 études scientifiques et toxicologiques et défini 4 catégories :
    rouge : additif qu'il vaut mieux éviter
    orange : à éviter dans des circonstances précises
    gris : additif douteux
    vert : additif qui ne pose pas de problèmes
    Avec, pour chaque additif : les aliments dans lesquels on le trouve, la dose à ne pas dépasser et s'il vaut mieux l'éviter chez l'enfant ou en cas d'allergie, diabète, maladie rénale, prédisposition au cancer, risque cardio-vasculaire... Et les références des études consultées.

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  • Coronavirus: Pourquoi les hôpitaux privés sont sous-sollicités? Le Plan blanc l'explique en partie.

    https://www.huffingtonpost.fr/entry/coronavirus-pourquoi-les-hopitaux-prives-sont-sous-sollicites-le-plan-blanc-lexplique-en-partie_

       Depuis plusieurs jours, les cliniques et hôpitaux privés appellent à être réquisitionnés après avoir fait de la place dans leurs structures pour les patients Covid-19.

      CORONAVIRUS - En pleine crise sanitaire, alors que les hôpitaux publics font face à toujours plus de patients atteints du Covid-19, le premier TGV médicalisé d’Europe est parti de Strasbourg pour en évacuer une vingtaine vers des hôpitaux des Pays-de-la-Loire, ce jeudi 26 mars. Le but? Soulager les hôpitaux du Grand Est saturés. 

       Cette initiative, tout comme la création d’un hôpital militaire de campagne à Mulhouse, interpelle les hôpitaux et cliniques privés, qui eux se disent sous sollicités compte tenu de la crise sanitaire. “On nous a demandé de libérer des lits, de faire de la place, on a annulé des opérations non urgentes pour pouvoir accueillir les personnes atteintes du Covid-19 et aujourd’hui il n’y a toujours personne”, regrette auprès du HuffPost Jean-Paul Ortiz, président de la Confédération des syndicats médicaux français, travaillant dans une clinique proche de Perpignan. 

    10.000 lits disponibles en France dans le privé

    Il y a encore quelques jours, le 22 mars, la Fédération des hôpitaux privés lançait un appel: “Faites appel à nous!”. “4000 places en réanimation et soins critiques ont été libérées dans les cliniques dès la semaine dernière. Nous pouvons augmenter ces capacités grâce au dévouement de nos médecins et soignants. 100.000 opérations non urgentes ont été déprogrammées pour permettre d’accueillir des patients atteints de Covid-19, soit plus de 10.000 lits sur le territoire. [...] La Fédération de l’Hospitalisation Privée demande à ce que les cliniques soient directement mobilisées par le ministre de la Santé et les directeurs généraux d’ARS”.

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  • https://www.medias-presse.info/royaume-uni-et-coronexit-le-defi-de-boris-johnson/

      A rebours des décisions prises par de nombreux pays occidentaux, le Royaume-Uni, sous la gouvernance de Boris Johnson, a pris un tout autre chemin. La stratégie anti-coronavirus annoncée par le premier ministre britannique, source de nombreuses polémiques, s’appuie sur les études de deux scientifiques britanniques,  Sir Patrick Vallance et Chris Whitty,  qui visent à retarder le pic de contagion pour créer une immunité collective pour la majorité de Britanniques.

    « Sur le front du Coronavirus, écrit La Nouva Bussola Quotidiana, la nouvelle est venue de Londres et a déjà suscité de nombreuses réactions controversées. Depuis des jours, nous nous demandons pourquoi le gouvernement de Sa Majesté n’a pris aucune des mesures restrictives qui sont imposées à travers l’Europe, l’Italie étant le chef de file du « modèle chinois » consistant à fermer tout ce qui pourrait être fermé. Partout en Grande-Bretagne, les écoles et les universités sont ouvertes et la vie se déroule selon des habitudes normales. Le championnat de football s’est poursuivi avec des stades bondés, comme nous l’avons vu cette semaine à Liverpool et à Glasgow, et seulement à partir du week-end prochain les portes des stades resteront fermées. 

    Quelqu’un a parlé de folie ou d’inconscience, mais vendredi Boris Johnson, qui a reconnu que le pays était confronté à une grave urgence sanitaire, a révélé que son gouvernement avait une stratégie totalement différente pour faire face au défi de l’épidémie.

    Johnson a suivi les conseils de deux experts, qu’il a appelés pour le conseiller, deux personnalités importantes de la santé britannique : Sir Patrick Vallance et le professeur Chris Whitty. Le premier est depuis 2018 le conseiller scientifique en chef du gouvernement. Il a dirigé pendant des années le secteur de la recherche de la plus grande société pharmaceutique britannique, GlaxoSmithKline. Le deuxième est le professeur Chris Whitty, médecin-chef du gouvernement britannique, épidémiologiste et expert en santé publique.

    Ces deux scientifiques sont donc à la tête de la stratégie britannique, une stratégie qui fait déjà beaucoup débat. Quels sont ses points? Vallance et Whitty ont déclaré qu’ils étaient bien conscients que de nombreux pays prenaient des mesures sévères pour réprimer la propagation du coronavirus, y compris la fermeture des écoles, la fin des réunions de masse et de sévères restrictions de voyage, tandis que le Royaume-Uni a adopté un contrôle relativement modeste. Cependant, le système de restrictions pour les deux professeurs britanniques n’est pas le seul modèle possible, et il pourrait même s’avérer être un boomerang.

    Les simulations informatiques effectuées par les experts indiquent que le Royaume-Uni est aux premiers stades de son épidémie, qui devrait augmenter rapidement en quatre semaines et culminer entre 10 et 14 semaines. Sir Patrick et le professeur Whitty ont déclaré qu’il était trop tôt pour imposer de sévères restrictions à ce stade. Ces restrictions pourraient durer plusieurs mois et provoquer la «fatigue d’isolement», les personnes quittant la maison au moment où l’épidémie est à son apogée. Les personnes âgées sont particulièrement à risque de développer des symptômes graves. Mais beaucoup d’entre elles sont déjà isolées. Les exclure de leur communauté à ce stade, alors que les risques sont encore relativement faibles, leur créerait des difficultés inutiles.

    Les deux super experts ont également déconseillé la suspension des réunions de masse. Encore une fois, leurs modèles informatiques indiquent que cela serait moins efficace et plus perturbateur que les mesures qu’ils ont recommandées : se laver les mains et demander aux gens de s’auto-isoler s’ils présentent des symptômes de la maladie. Ces mesures, si elles sont correctement mises en œuvre, pourraient réduire le pic de cas de 20%, explique Sir Patrick.      

    « Les gens sont beaucoup plus susceptibles d’attraper le virus d’un membre de la famille ou d’un ami quelque part dans un petit espace plutôt que dans un grand espace, comme un stade de sport », a-t-il dit. Et il en va de même pour les fermetures d’écoles. La fermeture des écoles pour Vallance et Whitty est efficace pour contrôler les épidémies graves de grippe, mais le Covid-19 semble affecter moins les enfants. Cela semble être confirmé par les résultats italiens, où la fermeture des écoles – comme cela a été révélé épidémiologiquement – a entraîné une diminution drastique des cas de grippe saisonnière. Pour les Britanniques, cependant, il y a un autre risque : les enfants de l’école confinés à la maison pourraient transmettre le Covid 19 – auquel ils semblent nettement plus résistants – à leurs parents et grands-parents.

    La stratégie britannique est donc de retarder le début du pic de la maladie jusqu’aux mois d’été, diluant pour ainsi dire le nombre de cas. Les efforts pour l’éliminer trop rapidement risquent de faire revenir l’épidémie, peut-être au cours de l’hiver à venir, une fois les mesures extrêmes levées. Sir Vallance a expliqué qu’il faut essayer d’« étaler » le cours de l’épidémie, et non pas l’éliminer complètement en peu de temps. « Ce que nous ne voulons pas, c’est que tout le monde le prenne en peu de temps en obstruant les services de santé », a-t-il dit, mais en même temps, puisque la grande majorité des gens présentent la maladie sous une forme non grave et guérissent « en retardant les mesures restrictives nous construisons une sorte d’immunité collective afin que davantage de personnes soient immunisées contre le virus et que les infections soient réduites tout en protégeant les personnes les plus vulnérables ». Si l’on supprime quelque chose de manière très, très radicale, lorsque l’on assouplit les mesures, il y a un effet de rebond et ce rebond intervient au mauvais moment, a insisté Vallance.

    L’immunité collective est un concept qui est devenu assez connu à la suite des débats sur les vaccinations : si un pourcentage suffisamment élevé d’une population a développé des défenses immunitaires, par vaccination ou grâce à l’immunité naturelle acquise en ayant eu la maladie, la circulation du virus est bien moindre et cela permet à cette partie de la population immunisée de protéger même celle qui ne l’est pas. Le pourcentage de personnes immunisées qu’il faudrait atteindre pour avoir une immunité efficace du troupeau est de 60%.

    Il est important de souligner que si un scientifique comme Sir Vallance, qui dirige le secteur de la recherche et du développement d’un géant de la vaccination comme GlaxoSmithKline depuis des années, se concentre sur la vaccination naturelle, et non sur un vaccin hypothétique, cela signifie que la plupart des spéculations qui sont faites sur d’éventuels vaccins qui seront bientôt disponibles n’ont aucune consistance. Vallance a averti que le Covid-19 est susceptible de devenir un virus annuel, une infection saisonnière annuelle. Le bloquer sera impossible, au moins pendant une certaine période de temps, et il nous faut nous donc apprendre à vivre avec, et pour cette raison, cela n’a pas de sens de vivre dans un état d’urgence continue, et cela n’a aucun sens de fermer les activités économiques, productives, sociales et éducatives.

    Une fois de plus, l’Angleterre témoigne de son proverbial « Restez calme et continuez ». Une ligne de réalisme, illustrée par le Premier ministre Johnson qui n’a pas voulu pour autant tromper les Britanniques : « De nombreuses familles perdront leurs proches », a-t-il déclaré. Un choix de clarté qui a rappelé celui de Winston Churchill qui avait promis « du sang, de la sueur et des larmes » pour gagner. La guerre contre l’épidémie ne sera pas courte. Aucune rhétorique telle « nous reviendrons bientôt aux embrassades » donc, mais une vision qui fait face à la réalité d’aujourd’hui dans une perspective future.

    Cependant, certains pensent que cette stratégie dans son pragmatisme ne prend pas en compte les pertes qu’elle peut coûter. Pertes de personnes fragiles, âgées, immunodéprimées, qui pourraient être très élevées en raison de la propagation contrôlée de l’infection. Dommages collatéraux pour obtenir l’immunité du troupeau et la protection contre de futurs nouveaux foyers possibles. Nous verrons qui a raison. » 

    Francesca de Villasmundo

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  • Chère lectrice, cher lecteur

    Dr Thierry Schmitz - Lettre Médecin Santé <drschmitz@lettre-medecin-sante.email>

    Malgré tout ce que j’entends aux informations, le coronavirus ne m’inquiète pas.

    Tout simplement parce que j’ai une arme secrète pour l’affronter.

    Rassurez-vous, c’est une arme immunitaire !

    Son nom ? La quercétine.

    Découverte en même temps que la vitamine C, c’est un antioxydant tellement puissant qu’elle est aussi appelée : vitamine « P » !

    Elle élimine tous les déchets cellulaires qui encombrent votre organisme.

    Ainsi, votre corps peut consacrer toute son énergie à se protéger.

    Ce n’est donc pas pour rien que la quercétine a valu à celui qui l'a découverte le prix Nobel de médecine…

    Ce trésor naturel procure une résistance maximale

    Les pigments des plantes s’appellent les polyphénols.

    Ce sont les meilleurs aliments qui soient, voilà pourquoi une assiette colorée est une assiette saine.

    Mais parmi eux, il y a une catégorie d’élite, des pigments qui sont de vrais petits trésors pour notre organisme.

    On les appelle les flavonoïdes. Et la quercétine est le plus réputé d’entre eux.

    Voilà pourquoi elle se retrouve dans bien des aliments colorés, tels que les épinards, le curcuma, les pommes, les carottes…

    C’est un méga-antioxydant qui démultiplie vos forces immunitaires.

    Ceci vous donne une résistance maximale au coronavirus.

    Toutefois, ce ne sont pas ses seuls effets…

    Une solution idéale pour limiter le développement des cancers et de l'arthrose

    La quercétine a des effets stupéfiants sur votre corps. Elle permet de :

      • Ralentir les effets de l’âge en protégeant le cerveau et le système nerveux. C’est une approche prometteuse dans les cas d’Alzheimer et du stress oxydant impliqué dans les maladies neuro-dégénératives (Parkinson, sclérose en plaques) ;
      • Réguler la production de collagène, dont dépend l’élasticité de votre peau ;
      • Diminuer l’hypertension. Des études sur de nombreux patients en attestent avec des résultats plus que significatifs.
      • Réduire l’agrégation des plaques d’athérome dans les artères, responsables des infarctus, des thromboses et AVC.
      • Limiter le risque de cancer. Elle est une molécule anticancer très précieuse, prouvée scientifiquement à de multiples reprises.
    • Empêcher vos cellules de rouiller. Elle les protège des effets néfastes des radicaux libres et des dommages oxydatifs. Elle réduit l’inflammation et les douleurs qui vont avec et apaise significativement l’arthrose. 

    C'est une aide précieuse pour le système respiratoire

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  • 7 antidépresseurs à éviter selon Prescrire (2020)

    Psychomédia   30 janvier 2016
    http://www.psychomedia.qc.ca/antidepresseurs/2016-01-30/7-plus-dangereux-que-utiles-revue-prescrire

    Mise à jour novembre 2019 - La revue Prescrire a actualisé sa liste « des médicaments à écarter des soins et à remplacer par de meilleures options car leur balance bénéfices-risques est défavorable dans toutes leurs utilisations ».

    Sept antidépresseurs figurent dans cette liste 2020 de 105 médicaments plus dangereux qu'utiles.

    « Plusieurs médicaments autorisés dans la dépression exposent plus que d’autres antidépresseurs à des risques graves, sans avoir une meilleure efficacité que les autres médicaments de la dépression, qui ont en général une efficacité modeste, souvent d’apparition lente », estime la revue. « Le choix est plutôt à faire parmi des antidépresseurs dont on connaît le profil d’effets indésirables par un plus long recul d’utilisation. »

    Ces antidépresseurs sont les suivants :

    • « L’agomélatine (Valdoxan ou autre), d’efficacité non démontrée au-delà de celle d’un placebo, expose à des hépatites et des pancréatites, des suicides et des accès d’agressivité, des rhabdomyolyses, des atteintes cutanées graves (dont des syndromes de Stevens-Johnson). » (L'antidépresseur Valdoxan devrait être retiré du marché, estime Prescrire - 2016.)

    • Le citalopram (Seropram, Celexa…) et l’escitalopram (Seroplex, Lepraxo, Cipralex…), « des antidépresseurs inhibiteurs dits sélectifs de la recapture de la sérotonine (IRS), exposent à un surcroît d’allongements de l’intervalle QT de l’électrocardiogramme et de torsades de pointes par rapport à d’autres antidépresseurs IRS, ainsi qu’à des surdoses aux conséquences plus graves. » (Citalopram et escitalopram : préférer d'autres antidépresseurs de la même classe, conseille Prescrire - 2016.)

    • « La duloxétine (Cymbalta ou autre), le milnacipran (Ixel ou autre) et la venlafaxine (Effexor LP ou autre), des inhibiteurs de la recapture de la sérotonine et de la noradrénaline, exposent aux effets indésirables des antidépresseurs IRS, et en plus à des troubles cardiaques liés à leur activité noradrénergique, dont des hypertensions artérielles, des tachycardies, des troubles du rythme cardiaque, des allongements de l’intervalle QT de l’électrocardiogramme et, pour la venlafaxine, à un risque élevé d’arrêts cardiaques en cas de surdose. La duloxétine expose aussi à des hépatites et à des réactions d’hypersensibilité avec des atteintes cutanées graves (dont des syndromes de Stevens-Johnson). » (L'antidépresseur venlafaxine [Effexor] est à écarter en raison d'effets cardiovasculaires selon Prescrire - 2015.)

    • « La tianeptine (Stablon ou autre), d’efficacité non démontrée au-delà de celle d’un placebo, expose à des hépatites, des atteintes cutanées graves, parfois mortelles, dont des éruptions bulleuses, et des toxicomanies. »

    En septembre 2018, la revue a présenté « quelques points de repère » sur les antidépresseurs. Elle mentionnait notamment un « sevrage pénible » à l'arrêt de ces médicaments. (Antidépresseurs : quelques mises en garde de la revue Prescrire).

    • Arrêt et sevrage des antidépresseurs : la diminution doit souvent être beaucoup plus graduelle que les recommandations

    • Les antidépresseurs font prendre du poids, confirme une grande étude

    • Les antidépresseurs ne sont efficaces que pour les dépressions sévères

    • TEST : Quelle est la sévérité de votre dépression ?

    • Liste 2020 de 105 médicaments plus dangereux qu'utiles selon Prescrire

    Pour plus d'informations sur les antidépresseurs et la dépression, voyez les liens plus bas.

    Psychomédia avec source : Prescrire.
    Tous droits réservés.

    Voyez également :
    • Qu'est-ce que le « syndrome de discontinuation des antidépresseurs » (sevrage) ? (DSM-5)
    • Psychothérapie pour le traitement de la dépression : actualités

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  • « Le méningiome peut être unique ou multiple. Ces tumeurs sont le plus souvent non cancéreuses mais peuvent être à l’origine de troubles graves, pouvant nécessiter une intervention chirurgicale lourde et à risque », indique le document.

    « Plusieurs études montrent que les méningiomes liés à la prise d’acétate de cyprotérone peuvent régresser dans de nombreux cas à l’arrêt du traitement. »

    Les personnes actuellement traitées par Androcur et ses génériques sont incitées à consulter leur médecin pour qu’il réévalue leur situation et leur prescrive une IRM cérébrale.

    « Il est à noter que l’acétate de cyprotérone ayant des propriétés contraceptives, des méthodes contraceptives efficaces devront être utilisées en cas d’arrêt du traitement y compris en cas d’interruption ponctuelle (dans le cas d’une non-délivrance en pharmacie en l’absence d’attestation d’information signée) », précise le communiqué de l'ANSM.

    « Une fiche d’information sur Androcur et ses génériques et le risque de méningiome devra désormais être remise par les prescripteurs à leurs patients », indique le communiqué de l'ANSM.

    « La délivrance de ces médicaments en pharmacie sera obligatoirement soumise à la présentation d’une attestation annuelle d’information signée par le patient et cosignée par son médecin prescripteur, à compter du 1er juillet 2019 pour les nouveaux traitements et du 1er janvier 2020 pour les renouvellements. »

    « Des courriers d’information cosignés par l’Assurance maladie et l’ANSM sont actuellement adressés aux professionnels de santé et aux patients ayant respectivement prescrit et reçu Androcur ou ses génériques au cours des 24 derniers mois afin de les inciter à se rencontrer pour échanger sur ce risque et les suites à donner à leur traitement. »

    Un numéro vert 0.805.04.01.10 est accessible gratuitement du lundi au vendredi de 9 h à 19 h pour répondre aux questions, rappelle l’ANSM.

    Pour plus d'informations, voyez les liens plus bas.

    Psychomédia avec source : ANSM, Le Figaro.
    Tous droits réservés.


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  •  Tous les casse-têtes, jeux de stratégie et de réflexion tels que les mots-croisés et les anagrammes sont régulièrement mis en avant pour les bénéfices qu'ils apportent à notre cerveau. Est-ce le cas ? Et si oui, que se passe-t-il lorsqu'on y joue?

    https://www.futura-sciences.com/sante/questions-reponses/cerveau-sont-bienfaits-mots-croises-cerveau

      Rappelons-le en préambule. Un mode de vie sain pour prendre soin de votre cerveau doit tout d'abord se concentrer sur l'alimentation, l'exercice physique et la sociabilité. Ces trois paramètres sont les piliers d'une bonne santé cérébrale. Ensuite, pour améliorer ou entretenir vos différentes capacités cognitives, les jeux logiques comme les mots-croisés, les anagrammes, les casse-têtes et même les jeux vidéo peuvent contribuer à conserver ou à améliorer votre cognition initiale. Que pouvez-vous attendre de ces stimulations cognitives diverses et variées ?

    Les trois piliers de la santé cérébrale

    Avant de répondre à nos questions concernant l'impact des jeux sur notre cognition, rappelons brièvement quelques points importants concernant les trois piliers fondamentaux d'une bonne santé cérébrale. Une alimentation équilibrée, riche en fruits et légumes colorés et de saison, un apport quotidien en oléagineux (notamment les noix) et modéré en poisson gras est indispensable. Ensuite, de l'exercice physique régulier, mêlant activité aérobie, résistance musculaire et plaisir, est très fortement recommandé.

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  •  

    Sucre : appel à la résistance !

     

    Le sucre peut faire de vous quelqu’un de plus agressif, de plus violent, de plus dangereux.

    Cela paraît difficile à croire et pourtant le sucre peut prendre le contrôle de notre cerveau jusqu’à nous faire devenir quelqu’un d’autre.

    Et voici comment se déroule ce coup d’état à l’intérieur de notre corps.

    Dans une voiture sans frein

    Pour comprendre l’attirance qu’exerce le sucre, il faut faire un petit voyage jusqu’à la base du cerveau. Il y a là un petit noyau bleuté qu’on appelle « locus coeruleus ». S’il est bleuté, c’est qu’il contient du cuivre, nécessaire à la production de noradrénaline. C’est cette substance qui est responsable de l’éveil, de l’attention, de la concentration, de la vigilance.

    En cas de problème ou de menace, la noradrénaline va être sécrétée plus abondamment pour produire un état de mise en alerte. Cette vigilance augmentée est associée à une augmentation de la mobilisation des muscles, de l’oxygène (bronchodilatation), des carburants énergétiques (sucres et graisses) pour permettre des réponses concrètes aux dangers.

    La noradrénaline est en quelque sorte l’accélérateur de nos pulsions.

    Mais comme dans toute bonne machine, pour calmer les ardeurs de l’accélérateur il faut aussi un frein.

    Notre système de freinage ABS est un neurotransmetteur qu’on appelle la sérotonine, qui a besoin de l’insuline pour être synthétisée. Une grande partie de notre équilibre personnel va reposer sur l’harmonie entre ces substances organiques.

    Le problème du sucre, c’est qu’il enraye cette mécanique de notre cerveau. 

    Lorsque l’on consomme des glucides lents – pain aux céréales, pâtes complètes, céréales semi complètes… – le glucose passe lentement dans le sang et fait monter progressivement l’insuline qui reste à des niveaux raisonnables et redescend progressivement. De ce fait, l’effet de la sérotonine est durable.

    La pulsion est satisfaite et le système de freinage fonctionne. En d’autres termes, nous sommes à la fois comblés et apaisés.

    Mais lorsque les glucides sont rapides, comme avec les boissons et aliments sucrés, c’est l’emballement moteur : le glucose monte rapidement dans le sang, faisant grimper l’insuline en proportion.

    Et environ deux heures plus tard, ce glucose descend en dessous de son niveau normal de base.

    C’est l’accélérateur qui s’emballe. L’effet de la sérotonine, lui, faiblit. Comme un « shoot » de drogue, l’effet du sucre est puissant et immédiat mais retombe vite. Et appelle une autre dose…

    Voilà comment le sucre arrive à « prendre le contrôle ». Et le problème est qu’il peut nous faire perdre toute limite.

    Le sucre qui rend… fou à tuer

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