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        2019  232 p. 15 €
    LA TRANSITION ÉCOLOGIQUE, C'EST MAINTENANT ET ÇA COMMENCE AVEC VOUS !

    Quel est le véritable impact de notre mode de vie sur l'environnement ? Comment le mesurer ? Et surtout : quels changements opérer dans notre vie de tous les jours si l'on veut préserver la planète ?

    Suivez le guide ! Ce livre, à la fois manifeste pour la sobriété et guide pratique, vous invite à entrer les deux pieds dans la transition écologique.

    Avec l'aide d'ingénieurs spécialisés en bilan carbone et analyse de cycle de vie, Jérémie Pichon passe au peigne fin, toujours avec humour, le coût écologique de notre vie quotidienne : transport, logement, alimentation, électronique, épargne... Saviez-vous par exemple que ce sont nos placements financiers qui ont le plus d'incidence sur notre empreinte carbone ?

    Sur la base de cette analyse fouillée, il nous invite à redéfinir nos priorités et propose un plan d'actions pour amorcer en famille une vraie transition écologique.

    " En consommant peu, en n'achetant pas en grande distribution, en choisissant des filières locales et vertueuses, en plaçant mon argent dans des fonds solidaires, en privilégiant les transports doux, en adoptant la sobriété numérique, je peux être un facteur clé du changement. "

    Illustré avec un irrésistible talent par Bénédicte Moret, ce guide est aussi la démonstration que chacun peut être acteur de la transition écologique, par le retour à un système plus humain et à un mode de vie plus simple basé sur la mutualisation des savoirs et des richesses.

     
    Jérémie Pichon est auteur conférencier, militant associatif au sein d'ONG environnementales depuis 18 ans.

    Bénédicte Moret, alias Bloutouf, est illustratrice graphiste pour des associations et institutions environnementales et de développement durable.
    Tous deux animent le blog famillezerodechet.com


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    2019  111 p.  17 €
    Chaque geste compte !

    Vous voulez réduire la taille de votre poubelle mais vous ne savez pas par où commencer ? Avec ce livre, découvrez facilement comment mettre en place de nouvelles habitudes. Un tawashi lavable à la place d’une éponge dans la cuisine, ou un savon à la place d’une bouteille de gel douche dans la salle de bain ? Commencez par une pièce, choisissez ce qui vous semble le plus facile à remplacer et progressez à votre rythme ! Cuisine, salle de bain, buanderie, salon, chambre, et même le jardin : découvrez des astuces, des conseils et plus de 30 DIY pour passer au zéro déchet en douceur.
     

    Claire Do est la créatrice de Bicar&co, un blog qui vous accompagne pour adopter un mode de vie plus écoresponsable grâce à des vidéos, astuces, conseils, recettes etc.


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  • Animaux en danger, le dernier espoir (54 mn)

    Pour sauver des espèces en grand danger d’extinction, parcs zoologiques et associations de conservation organisent le retour vers la nature d’animaux nés en captivité ou sauvés du braconnage. 
    Gorilles du Gabon, condors des Andes en Argentine, langurs de Java en Indonésie et pandas géants en Chine retrouvent leur milieu naturel d’origine. 
    Chaque réintroduction offre une aventure singulière.

     

    Location 48h (VOD): 3,50 €  

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  •   (Guillaume Coudray )

    2017    224 p.  18 €  (la Découverte)

      Les produits de charcuterie les plus courants sont allègrement modifiés pour remplir certains critères d'apparence. Ainsi le jambon, que l'on croit rose en raison des dérivés nitrés hautement cancérigènes dont il est truffé pour le rendre appétissant. Cochonneries retrace l'histoire secrète de cette filière agroalimentaire, dénaturée par les appétits abjects de quelques géants industriels qui, aujourd'hui encore, font obstacle à toute tentative de proposer une charcuterie sans poison.
       Un vent de panique souffle sur la filière cochon depuis que l'OMS l'a confirmé fin 2015 : les charcuteries sont cancérogènes, directement responsables du cancer de l'intestin. Aussi appelé " cancer colorectal ", c'est le plus fréquent chez les non-fumeurs. Principal coupable : la charcuterie traitée au nitrate de potassium et au nitrite de sodium. Les industriels jurent que ces additifs sont indispensables pour protéger le public contre certaines bactéries.
      C'est un mensonge. En réalité, ils servent à accélérer la fabrication, à donner à la chair une appétissante couleur rosée, à baisser les coûts de production et à maximiser les profits.

       Fruit de cinq années d'enquête dans les archives administratives et médicales, ce livre dévoile l'histoire secrète des " charcuteries modernes " optimisées par la chimie. Popularisés par quelques entrepreneurs de Chicago, les knacks et les jambons nitrés ont conquis toute la planète en évinçant les charcuteries traditionnelles, plus longues à fabriquer.

    Face à ce scandale sanitaire, les charcutiers français, dépositaires d'un patrimoine gastronomique authentique, sauront-ils relever le défi d'une charcuterie honnête, sans cosmétiques et surtout sans victimes ?

       Auteur et réalisateur de films documentaires, Guillaume Coudray est diplômé de Sciences Po et ancien allocataire de recherche à la Fondation nationale des sciences politiques. Il a mené l'enquête sur les charcuteries présentée en 2016 par Élise Lucet dans l'émission Cash Investigation (" Industrie agroalimentaire : business contre santé ", avec Sandrine Rigaud, sur France 2.


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  • https://www.francetvinfo.fr/sante/maladie/coronavirus/taiwan-a-endigue-le-coronavirus-sans-confiner-ses-habitants  (vidéo sur le site)

     

    Coronavirus : Taïwan a endigué l’épidémie sans confiner ses habitants

     

    Taiwan : 6 décès sans confinement aveugle pour 23 millions d’habitants

     

    France Info –  publié le 27/04/2020   21:56

     

    Taïwan a réussi à contenir l’épidémie de coronavirus sans avoir à fermer les écoles ou à confiner ses habitants.

    Lettre de Médecine du Sens n° 295

     

    Dans les rues de Taipei, la capitale de Taïwan, l’affluence n’a pas changé. Les restaurants et les marchés sont ouverts. Taïwan a réussi à endiguer le Covid-19 sans mettre l’île de 23 millions d’habitants totalement à l’arrêt. “Ici, on a fait de la prévention. On a toujours pu sortir et continuer nos vies presque normalement”, décrit un Taïwanais. À 130 km à peine des côtes chinoises, 429 cas seulement ont été enregistrés depuis janvier.

     

    10 millions de masques produits chaque jour

       Distances, contrôles de températures... De nombreuses précautions ont été prises dans les écoles, notamment. “C’est important de faire très attention, parce que sinon ils vont devoir fermer l’école”, explique un élève. Depuis le début de l’épidémie, petits et grands se plient au port du masque obligatoire dans les lieux publics et les transports. Dix millions sont produits chaque jour. Neuf masques sont distribués par personne tous les 15 jours. Dès la fin du mois de décembre, les voyageurs ont été contrôlés dans les aéroports, et les vols en provenance de la Chine ont été interdits dès le 7 février.

     

     

     


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  • Réflexion sur le coronavirus...

    La nature en état de légitime défense. L’Être Humain en vide de conscience.

    Lettre de Médecine du Sens n° 292

    La nature est d’une grande générosité et nous en avons usé et abusé. Nous l’avons pillée sans y faire attention, détruit les deux tiers des espèces. Nous l’avons poussée au bord de la rupture. Rien, aucun message ne nous a arrêtés ! Les inondations, la pollution plastique, la disparition des abeilles, la fonte des calottes glacières, les incendies dans le monde entier. 

    Rien, rien ne nous arrête. Peut-être que les humains normaux, je veux dire les humains, se posent des questions, mais nos dirigeants, nos financiers, eux rien. Il semble qu’ils soient prêt à aller jusqu’au bout, dans un « en même temps » totalement imbécile et inconscient.

    Il semble n’y avoir aucune conscience, aucune pensée consciente.

    Nous avons vu qu’il y a une impréparation incroyable de la France. A ce propos écoutez la vidéo sur les masques où Olivier Véran dit « la France est prête », puis un mois plus tard « Elle n’était pas préparée ». Coluche aurait dit, « Virez moi ça ! ».

    Mais de façon beaucoup plus profonde, c’est le vide d’une pensée consciente de nos dirigeants qui est en cause. On se demande vraiment « Comment peuvent-ils être aussi bêtes, ne pas être capables de voir au-delà du bout de leur nez ?». Certes le scandale des masques, des tests et de l’impréparation est à ce titre marquant. Mais, bien au-delà, cela fait des décennies que nous allons dans le mur et que personne ne fait rien. Il y a peut-être des personnes intellectuellement brillantes, mais d’un vide sidéral de la conscience. Cela est parfaitement dit dans cette citation de Hannah Arendt.

    « C’est dans le vide de la pensée que s’inscrit le mal ».

    La nature a des systèmes de régulation et de protection. Elle a subi un temps, elle a encaissé, nous connaissons en médecine ce que nous appelions des systèmes tampons. Dans la nature, ce sont les océans, les forêts, la biodiversité, l’abondance des capacités de reproduction. Apparemment tous ces systèmes sont dépassés et maintenant la nature se bat « le dos au mur ». Les espèces luttent pour leur survie et lâchent leurs derniers moyens.

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  • Je rappelle que tous les malades d’Alzheimer ont des troubles olfactifs.

      Docteur Willem - Lettre Santé <drwillem@lettre-medecin-sante.email> 


     
    Évidemment dans ma pratique j’ai observé ce phénomène…
     
    Et je suis fier de vous annoncer que je viens tout juste de publier un livre tout entier consacré à Alzheimer, et à aux nouvelles manières de renverser la maladie !
     
    Je l’ai nommé Alzheimer, maladie décryptée. Le parfum de l’âme (si cela vous intéresse, il est disponible sous format Kindle sur Amazon)

    Une piste concrète contre ALZHEIMER

    Dans ce livre, je décrypte comment le nez peut sauver votre mémoire.

    Tout est parti de 2 observations majeures :
     
    Première observation : les parties du cerveau associées à l’odorat sont les plus anciennes dans l’histoire de l'évolution de l’humanité.
     
    Il s’agit de l’hippocampe et du système limbique du lobe temporal dont on sait qu’ils jouent un rôle fondamental dans :

      • l’acquisition de la mémoire ;
      • l’apprentissage ;
      • les aspects émotionnels du comportement ;
    • ainsi que l’alternance veille-sommeil (qui détermine les rythmes biologiques spécifiques de l’activité diurne ou nocturne de l’espèce).

    On sait que ces régions du cerveau sont précisément celles qui sont touchées au cours de la maladie d’Alzheimer !
     
    Or, notre odorat a commencé à perdre son potentiel il y a déjà longtemps : quand notre ancêtre a découvert le feu et la cuisson.

    Avec l’alimentation cuite, on est passé du système olfactif au système gustatif, avec le développement du sens du goût, reléguant progressivement celui de l’odorat à l’état de vestige...
     
    Il est primordial de redonner son importance à l’olfaction pour raviver la mémoire et la vitalité perdues.
     
    Deuxième observation : l’impact du parfum sur le système olfactif est indéniable.
     
    Aujourd’hui on a recourt aux huiles essentielles dans les EPHAD pour traiter les différents signes de la maladie d’Alzheimer.
     
    Cela provient de l’impact du parfum sur la mémoire, qui a été releguée au second plan par un appétit pour une alimentation trop « cuite » et d’autres habitudes qui auraient été contrebalancées par un meilleur odorat. 
     
    On possède désormais la clef de cette pathologie neurodégénérative face à laquelle la médecine officielle est inopérante…
     
    Si vous souhaitez vous procurer mon livre, vous pouvez vous rendre sur ce lien : Alzheimer, maladie décryptée. Le parfum de l’âme
     
    Je suis sûr que vous trouverez des pistes concrètes pour améliorer votre mémoire et éloigner cette terrible maladie.
     
    Et si vous avez créé votre parfum, je serais ravi d’avoir votre avis ! Quelles huiles avez-vous utilisées ? Pourquoi ? Comment avez-vous procédé ?
       
    Portez-vous bien !

    Jean-Pierre Willem
     
    NB : Concrètes et absolus ne doivent jamais être utilisées par voie interne et peuvent présenter des risques allergiques en usage cutané à cause de la présence de traces des solvants utilisés (jusqu'à 2 %). La plupart ne doivent servir qu'à la fabri­cation de parfums et même là, des précautions sont à prendre car certains concrets sont extrêmement toxiques. Evitez le Gardénia et la Tubéreuse (pratiquement toujours des imitations synthétiques), le Genêt, le Narcisse qui est très violent et provoque des maux de têtes ainsi que d'autres moins connus comme le Calamus, le Buchu, le Mélilot ou encore l'absolu de Genêt qui attaque le cœur.


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  • Un peu d'humour

    Un peu d'humour

    Un peu d'humour

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    Un peu d'humour

     

     

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  • Un trou géant est apparu au milieu de l’Antarctique

       Un trou de 80 000 kilomètres carrés est apparu au milieu de la glace de l'Antarticque.   Nasa

    https://www.novethic.fr/actualite/environnement/climat/isr-rse/un-trou-geant-est-apparu-au-milieu-de-l-antarctique-et-personne-ne-sait-pourquoi-

    Changement climatique ou pas ? Trop tôt de le dire. Mais le trou, grand comme six fois l’Île-de-France ou trois fois la Bretagne, apparu au milieu de la glace de l’Antarctique, n’est pas pour rassurer. Son existence aura des conséquences néfastes pour le climat, craignent les scientifiques.

      La réalité ne peut pas être niée tant elle nous saute au visage ! La Terre est en train de changer d’aspect. Tandis que les ouragans, les incendies, les sécheresses et les pluies torrentielles ravagent l’hémisphère nord, tout au sud, l’Antarctique semble partir en lambeau. Des relevés satellites ont mis en évidence que, depuis septembre et pour la deuxième année consécutive, un immense trou est apparu au milieu du continent glacé.

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  • Santé, mensonge et (toujours) propagande ( Jeremy Anso , Thierry Souccar , Isabelle Robard)

    2018  256 p;  19,90 € (Th. Souccar)

     
    Arrêtons d'avaler n'importe quoi !

    Les recommandations nutritionnelles et médicales sont-elles toutes en accord avec la science ? Non, montre de manière éclatante Jérémy Anso : bon nombre d'entre elles, devenues vérités premières, peuvent même nuire à votre santé. Surtout quand elles sont dictées par les lobbies pharmaceutique et agroalimentaire.

    Parmi les révélations de ce livre :
    • Obésité : 50 ans de conseils nutritionnels erronés.
    • Les produits laitiers ne protègent (toujours) pas des fractures.
    • L'industrie agroalimentaire utilise les mêmes pratiques que l'industrie du tabac...
    • Le dépistage du cancer de la prostate ne réduit pas la mortalité totale.
    • Les nouveaux médicaments contre le cancer sont hors de prix mais n'ont pas d'efficacité prouvée.
    • De nombreux diabétiques de type 2 pourraient guérir... si on leur donnait les bons conseils.

    Plus de dix ans après Santé, mensonges et propagande de Thierry Souccar et Isabelle Robard, la nouvelle enquête de Jérémy Anso montre que même si les liens entre experts et industriels sont plus transparents, on continue de nous faire avaler n'importe quoi.

    " La santé reste le bien le plus précieux de l'Homme que nul intérêt économique ne saurait asservir. "
    Isabelle Robard

    Jérémy Anso est docteur ès sciences. Il anime le célèbre site " Dur-à-avaler " qui confronte les pratiques médicales et nutritionnelles aux preuves scientifiques.

    La préface est signée de Thierry Souccar, journaliste scientifique et membre de l'American College of Nutrition, et Maître Isabelle Robard, avocate et docteur en droit spécialisée en droit de la santé.


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  • Michel Serres : «Il faudrait trouver un avocat à la nature»

     >Ma Terre / Environnement|Stéphane Loignon|28 septembre 2018,  
    http://www.leparisien.fr/environnement/michel-serres-il-faudrait-trouver-un-avocat-a-la-nature

     L’historien des sciences Michel Serres, 88 ans, accuse l’économie de détruire la planète.

    Serge Picard pour Le Parisien Week-EndLE PARISIEN WEEK-END. Pionnier de l’écologie, l’académicien plaide en faveur d’un cadre juridique pour protéger l’environnement. Un projet exposé en 1990 dans son essai « Le Contrat naturel », aujourd’hui réédité. Il y a urgence.

    Dans le petit jardin de la maison de Michel Serres,à Vincennes, le marronnier est malade. « Depuis trois ans, il ne donne plus de marrons, ni de fleurs », regrette l’historien des sciences et académicien de 88 ans. « Il n’y a plus de merles, de mésanges, ni de moineaux non plus », ajoute cet intellectuel pionnier de l’écologie, qui faisait paraître, il y a vingt-huit ans, Le Contrat Naturel, un plaidoyer pour doter la nature de droits. Alors que paraît une nouvelle édition de cet essai, l’auteur de Petite Poucette renouvelle son appel à agir pour la planète. Avant qu’il ne soit vraiment trop tard.

    Dans la préface de votre ouvrage, vous affirmez que, si nous ne changeons pas nos coutumes, notre économie et notre politique, le monde court au désastre. Est-ce inévitable ?

    MICHEL SERRES. Je ne suis pas catastrophiste. Les gens le sont volontiers aujourd’hui, influencés par les médias qui n’annoncent que des attentats, des accidents, alors que la violence ne cesse de baisser. Mais le problème de la planète est toutefois très sérieux. La communauté scientifique tire la sonnette d’alarme depuis trente ans déjà. Mais plus personne ne l’écoute.

    A la fin des années 1990, il y avait un trou dans la couche d’ozone dû à l’utilisation de certains produits. Dès que l’on a arrêté de les utiliser, le trou s’est comblé. Par conséquent, on peut agir sur le monde, il n’y a pas de doute. Les scientifiques proposent des solutions. Mais ils sont un peu désarçonnés face à la société telle qu’elle est.

    Je vais vous dire, rien n’est plus léger que le vrai. Rien n’est plus inefficace que la vérité. La vérité pèse très peu par rapport au mensonge, la fausseté, l’émotivité, à tout ce que nous entendons. Si quelqu’un se lève et dit la vérité, personne ne le croit. La vérité est très légère. Très légère.

    Comment expliquez-vous cette indifférence ?

    Si vous demandez à un journaliste de réciter les dix derniers chanteurs du moment, il le fera tout de suite. Mais si vous lui demandez les dix derniers prix Nobel de physique, il n’en connaîtra pas un. La science, aujourd’hui, n’est plus dans les médias. La vraie catastrophe est là.

    Il y a eu des manifestations pour le climat récemment. Combien étaient-ils ? Quelque 50 000 à Paris. D’autres manifestations rassemblent un million de personnes pour des problèmes beaucoup plus légers. C’est aussi une affaire de génération. Mes jeunes étudiants, mes petits-enfants, sont plus avertis de ces problèmes que nous, davantage prêts à changer de conduite pour améliorer la situation. Mais je note que les gens commencent à s’apercevoir, dans leur vie quotidienne que, c’est vrai, il n’y a plus de moineaux à Paris. Ce genre de d’évolution est tangible pour tout le monde.

    La démission de Nicolas Hulot illustre-t-elle l’incapacité du monde politique à agir ?

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  • Cancers d'enfants dans le Jura : l'Agence régionale de santé lance une enquête »

    Commentaire. Pesticides : après les enfants sans bras des zones particulièrement denses en cancers des enfants.

    Il sera toujours possible de commencer à faire l’autruche, mais ça va être de plus en plus difficile.

    Le Parisien https://www.mediscoop.net/index.php?pageID=
    Le Parisien observe : « Le plus jeune est un bébé de 6 mois, le plus âgé a 13 ans. Ces dix enfants, frappés par un cancer, habitent tous dans une même zone géographique, cinq communes voisines du nord du Jura : Les Rousses, Morbier, Morez, Saint-Pierre et Prémanon ».
    Le journal s’interroge : « Pourquoi une telle concentration ? Ces maladies ont-elles un rapport les unes avec les autres ? Sont-elles liées à un contexte local particulier ? Un facteur environnemental est-il en cause ? ».
    « Des questions auxquelles tentera de répondre l'enquête épidémiologique lancée par l'Agence régionale de santé [Bourgogne Franche-Comté] face à ce «nombre anormalement élevé de cancers touchant des enfants au sein de la population» de ce secteur », 
    indique le quotidien.
    Le Parisien explique que l’ARS « va s'atteler à décrire les cas signalés. Elle s'est aussi déjà lancée dans le recensement d'éventuels autres cas dont elle n'aurait pas connaissance. Ce travail va durer plusieurs mois ».
    Le quotidien ajoute qu’« une réunion d'information s'est tenue mi-octobre avec les familles pour «échanger sur la démarche, ses objectifs, la méthode employée et l'implication de ces familles dans ce processus», poursuit l'ARS. […] Les familles devront répondre à un questionnaire détaillé pour étudier les parcours des enfants, y déceler éventuellement des points communs ».
    L'ARS relève que « les facteurs de risque liés aux cancers peuvent être multiples et la majorité des cancers pédiatriques sont aujourd'hui sans cause connue"

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  • Sens et Symboles, 140 bis, rue de Rennes 75006 Paris


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  • 2019    112 p.    13,50 €

      De plus en plus imperméabilisée et froide, la ville est devenue un milieu stérile qui contribue à aggraver la pollution atmosphérique, celle des cours d'eau et au mal-être général des habitants. Et pourtant, il existe de nombreuses possibilités pour développer la nature en ville : des trottoirs aux toits en passant par le mobilier urbain.

      Cultiver son jardin urbain : une démarche éco-citoyenne pour la ville de demain ! Développer la place de la nature en ville : c'est l'objectif ambitieux du programme de végétalisation adopté par Paris et d'autres grandes villes de France. Réponse à cette envie de reverdir nos rues, ce guide donne toutes les clés pour apprendre à végétaliser les mini-espaces remis à disposition des particuliers par les municipalités : trottoirs, poteaux, pieds d'arbres, mobilier urbain, murs et clôtures, toits, friches... Sous forme de fiches techniques, ce nouvel opus de la collection «Tout beau tout bio» contient une foule d'infos pratiques (choix des semences, boutures, semis, signalétique, entretien, association de plantes...) et dispense conseils et astuces pour mener à bien un projet de «jardin de poche», bien adapté au mode de vie urbain.

      Ce petit livre se veut très pratique et concret pour mettre en oeuvre des projets de végétalisation au sein même de la ville et la rendre ainsi bien plus accueillante et vivante, à un moment où la biodiversité s'effondre.
    Ainsi, la ville de Paris délivre déjà des "permis de végétaliser". Un dispositif qui permet à n'importe quel habitant de demander l'autorisation de planter et prendre soin de végétaux sur l'espace public.

      Une foule d'infos pratiques (choix des semences, astuces pour bouturer et réussir ses semis, permis de végétaliser, concevoir son projet, analyser la terre, signalétique, entretien…) assorties de fiches techniques (fabrication de contenants, treilles verticales…) permettent de mener à bien un projet de "jardin de poche".

      Très instructif et original pour tous les citadins en manque de nature.  Paysagiste et scénographe née en 1976, Leslie Garcias est dilpômée de l'Ensad de Paris et de Central Saint Martins College of Art and Design en scénographie. Fondatrice de Lili Garden, entreprise paysagère située à Romainville, elle conçoit en mode écolo (choix d’espèces locales, réduction de l’arrosage, recyclage…) jardins et terrasses urbains et anime des ateliers à destination d’un public en quête de nouveaux modes de culture alternatifs. Leslie Garcias a reçu le prix Daum de la création paysagère pour sa collaboration avec Thierry Dalcant au jardin Dessus-dessous en 2012.


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  •  Le saumon fumé… en mangerez-vous encore ?

    Commentaire. Un excellent article de Michel Dogna sur le traitement que l’on fait subir au saumon qui est plus que jamais ces jours-ci dans votre assiette.

    L’ARTICLE :

    Le saumon fumé… en mangerez-vous encore ?

    Lettre de Michel Dogna

    Les français sont les premiers consommateurs européens de saumon.

    Les ¾ de ces saumons proviennent des milliers de fermes aquacoles installées dans les fjords norvégiens. Le marché, c’est maintenant 600 000 tonnes par an de ce poisson qui en sont exportées.

    Mais il y a un problème de taille : les saumons sont élevés dans de telles conditions concentrationnaires (l’équivalent de 27 truites dans une baignoire), qu’il s’est installé un parasite, le pou de mer, provoquant de gros trous dans leur peau ainsi que des abcès les rendant malades et invendables. Pendant 20 ans ce problème a été traité par les antibiotiques mais comme d’habitude, une résistance s’est installée. Alors les services sanitaires ont appliqué une solution radicale, le Diflurobenzuron, un pesticide pourtant interdit en Europe (sauf en France !) dans les milieux aquatiques pour son extrême dangerosité.

    La visite de fermes avec des cages de 400 000 saumons a révélé que la moitié des saumons meurent par l’effet combiné du manque d’espace, du manque d’oxygène, et des poux. Alors, toutes les 6 semaines en moyenne, on verse des sceaux de Diflurobenzuron dans le parc ; il s’ensuit à chaque fois la mort de 2 à 300 saumons par jour pendant une semaine. Puis le produit se répand aux alentours tuant immédiatement toutes les espèces de poissons qui s’approchent du site. Les saumons sont les seuls à résister (partiellement) à ce toxique légalisé en Norvège. Bien sûr, aucune étude n’a été effectuée sur l’incidence du “Diflumachin” sur la santé humaine…

    Le lobby de l’aquaculture est devenu tellement puissant qu’il encadre tous les organismes de contrôle. La Norvège ne faisant pas partie de l’Europe, sa règlementation n’est pas assujettie à la législation européenne. Mais en raison d’un accord de libre échange (obligé par l’OMC), aucun contrôle  n’est effectué à nos frontières…

    C’est comme cela que le Diflurobenzuron, classé hautement cancérogène arrive tranquillement dans votre assiette. Renseignements pris, aucun des éleveurs interrogés ne consomment de leur “saloperie de production”…

    Bon Appétit, et…     Bonnes Fêtes !

    Michel Dogna     Lettre n°124

    Article paru dans la Lettre Médecine du Sens n° 235


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  • Ma vie zéro déchet, mode d’emploi

    Céline Mouzon 08/07/2019

    Consommateurs, villes, festivals et même multinationales : tout le monde court après le zéro déchet. Est-ce la porte d’entrée pour une transition écologique et sociale ? A certaines conditions.

    Si vous voyez une personne refuser le papier du pain à la boulangerie, sortir un sac en toile au moment des courses, ou préciser au serveur qu’elle ne veut pas de paille dans son verre, il y a de fortes chances qu’elle soit engagée dans une démarche zéro déchet. « Au départ, le zéro déchet consiste à réduire le volume de sa poubelle. Si on va plus loin, c’est ne pas gaspiller. Le mot anglais waste ne distingue pas déchet et gaspillage », indique la chercheuse en marketing Valérie Guillard. Et d’illustrer : « Je peux donner mes vêtements usagés à Emmaüs tout en allant sur l’appli Vinted acheter d’occasion des vêtements dont je n’ai pas besoin : je suis dans le zéro déchet, pas dans le zéro gaspillage. »

    Agir en amont et en aval

    L’association Zéro Waste France (ZWF), elle, défend une vision globale et ambitieuse : « Le zéro déchet, c’est autant agir en aval sur les déchets qu’on n’a pas pu éviter qu’en amont pour éviter de les produire », argumente Julie Sauvêtre, de ZWF. Un habitant de l’Hexagone jette en moyenne plus de 400 kg d’ordures par an. Le chiffre monte à près de 600 kg dès qu’on ajoute les déblais, gravats, déchets verts et tout ce qui va à la déchetterie. Si l’on s’intéresse aux ressources utilisées, il faut compter 14 tonnes par an et par habitant : ce chiffre ne comprend pas que des déchets, mais permet d’intégrer les déchets cachés dans la fabrication des produits. La production mondiale de plastique, destinée pour 40 % aux emballages, augmente en moyenne de 4,5 % par an depuis 1990. Il y a urgence.

                                         A lire Alternatives Economiques n°392 - 07/2019

                                                                 12 idées pour tout changer

    Justement, le zéro déchet est tendance. A Paris, la mairie a lancé une expérimentation d’un an, « Rue Zéro Déchet », engageant les 6000 résidents et commerçants de la rue de Paradis, dans le 10e arrondissement, en partenariat avec Zéro Waste France. Dans un autre genre, Carrefour, l’entreprise de recyclage Terracycle et 25 multinationales (Milka, Coca Cola, Lesieur…) proposent depuis mai une plate-forme d’e-commerce Loop (« boucle » en anglais), où les emballages des produits livrés sont consignables. De ce côté-là, on s’en doute, le mot d’ordre n’est pas la déconsommation.

    Pourquoi une telle vogue ? « Les déchets sont visibles par tout un chacun, contrairement à l’extinction des espèces ou au CO2 dans l’atmosphère. La poubelle, on la voit diminuer. C’est pour ça que le zéro déchet marche si bien », défend Jérémie Pichon, co-auteur de Famille (presque) zéro déchet. L’économiste Isabelle Cassiers attribue le succès des pratiques alternatives de frugalité à la désaliénation qu’elles permettent d’enclencher : en sortant d’une logique de croissance économique, les gens « se réapproprient leur destin. Ils prennent le temps de se poser les questions essentielles des finalités de leur action et du sens de leur vie »1.

    Par quoi commencer ?

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  • (....) Pour voir des vidéos aller

    sur https://www.notre-planete.info/actualites/3702-gaz_lacrymogene_sante

    La toxicité du gaz lacrymogène

    grenade-lacrymogene-PLMP-7B   Grenade lacrymogène PLMP 7B ramassée le 1er décembre 2018 lors de l'insurrection populaire des Gilets Jaunes
    © Jérémy Verset - Licence : Tous droits réservés

      En France, les forces de l'ordre utilisent principalement des grenades lacrymogène PLMP 7B, PLMP 7C, MP7, CM6 et CM3. Celles-ci contiennent du 2-chlorobenzylidène malonitrile « CS[1] », le composé chimique appelé gaz lacrymogène qui contient notamment du cyanure.

      La fiche technique de l'INRS indique que les effets sur l'Homme les plus connus sont surtout liés à une exposition aiguë : " L'effet irritant est le plus net et se manifeste sur l'œil (larmoiement, conjonctivite, parfois photophobie), sur la peau, sur le tractus respiratoire (rhinorrhée, toux, dyspnée et douleur thoracique) : parfois s'y ajoutent des troubles digestifs (nausée, vomissement et diarrhée) et des céphalées. Habituellement, ces signes sont régressifs en quelques heures ; toutefois, des effets plus prolongés sur la peau et l'œil (kératite ponctuée) ne sont pas impossibles. "

    Les effets du gaz lacrymogène à court terme sur la santé

    • Des problèmes respiratoires, une irritation des voies respiratoires.
    • Des nausées, voir des vomissements.
    • Des migraines.
    • Une irritation des voies lacrymales et des yeux
    • Des spasmes
    • Des douleurs thoraciques
    • Des dermatites et des allergies

    Les conséquences sont accentuées par temps chaud et humide et semblent de plus en plus difficiles à soutenir lorsque l'exposition est régulière.

    Une gilet jaune témoigne le 17 décembre 2018 sur Facebook : "Je suis allée à la manifestation samedi à Paris. Et bien évidemment je me suis fais gazé comme une merde alors que je n avais absolument rien fait. Suite à ça samedi soir, j ai commencé à être juste un peu gonflée sous l œil, hier des plaques partout sur le visage et je me lève ce matin je suis un monstre. Gonflée d un côté du visage horrible !!! J ai rendez vous ce soir chez le médecin. Je suis persuadée que C est le gaz car je n ai jamais fait une allergie de ma vie et je précise que j ai 39 ans !!!"

    Les dangers des gaz lacrymogènes à long terme pour la santé

    • Une nécrose des tissus dans les voies respiratoires
    • Une nécrose des tissus dans l'appareil digestif
    • Des œdèmes pulmonaires (trou ou bulle d'air dans le ou les poumons)
    • Des hémorragies internes (hémorragies des glandes surrénales)

    Sur les réseaux sociaux, en avril 2019, de plus en plus de Gilets Jaunes qui manifestent régulièrement se plaignent de conséquences sur leur santé des gaz lacrymogène : migraines, fatigue, maux de ventre, mal de gorge...

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  •  

    Bonjour,

    Nous venons de l’apprendre : Emmanuel Macron a subitement décidé de précipiter la ratification du CETA en France. Un vrai passage en force, puisque cet accord de commerce Europe-Canada pourrait être voté à l’Assemblée nationale dès le mois de juillet.

    C’est scandaleux, car c’est complètement contraire à la transparence et aux débats démocratiques dont nous avons cruellement besoin pour regarder en face les risques de tels accords de libre-échange.

    Le CETA est le premier d’une (trop) longue liste d’accords de commerce dits « de nouvelle génération ». Ces accords ne se contentent plus de réduire les droits de douane, mais visent bel et bien à s’attaquer aussi à toutes les normes, y compris sociales et environnementales. Agriculture, OGM, pesticides, droits des travailleurs, protection de la planète, tout est concerné ! 

     
     

    JE SIGNE LA PÉTITION CONTRE LE CETA ET LES ACCORDS DE LIBRE-ÉCHANGE

    https://www.foodwatch.org/fr/sinformer/nos-campagnes/politique-et-lobbies/accords-de-commerce/petition-ni-tafta-ni-ceta-ni-mercosur-ni-jefta/

     
     
     

     

     
     

    Nous ne voulons pas des accords de libre-échange qui mettent les droits des multinationales au-dessus de celui des populations et de l’environnement.

    Ensemble, continuons à faire entendre notre voix !

    L’équipe de foodwatch France

     
     

     

     
     

     

     

       
     
      JE SOUTIENS FOODWATCH  
     
     

     

     
     

    PS :  Vos dons et votre engagement à nos côtés sont la garantie de notre indépendance. Plus nous sommes nombreux, plus notre voix compte.

    66% de vos dons sont déductibles de votre impôt sur le revenu, dans la limite de 20% de votre revenu imposable. Par exemple, un don mensuel de 10 € équivaut à 3,40 €, soit 40,80 € par a

    Bonjour,

    Nous venons de l’apprendre : Emmanuel Macron a subitement décidé de précipiter la ratification du CETA en France. Un vrai passage en force, puisque cet accord de commerce Europe-Canada pourrait être voté à l’Assemblée nationale dès le mois de juillet.

    C’est scandaleux, car c’est complètement contraire à la transparence et aux débats démocratiques dont nous avons cruellement besoin pour regarder en face les risques de tels accords de libre-échange.

    Le CETA est le premier d’une (trop) longue liste d’accords de commerce dits « de nouvelle génération ». Ces accords ne se contentent plus de réduire les droits de douane, mais visent bel et bien à s’attaquer aussi à toutes les normes, y compris sociales et environnementales. Agriculture, OGM, pesticides, droits des travailleurs, protection de la planète, tout est concerné ! 

     
     

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  • 2019     123 p.    14,95 €

      Parce qu'il est urgent d'éduquer les enfants à la nature, voici le petit manuel qui saura les motiver en leur proposant de relever 50 défis, aussi passionnants que transgressifs !

       Connaissez-vous le " trouble de déficit de la nature " ? C'est un mal des temps modernes dont souffrent les enfants d'aujourd'hui, parce qu'ils sont de moins en moins souvent en contact avec la nature...
    Cela fait 30 ans que des sociologues et des pédagogues nous alertent : les enfants passent de plus en plus de temps enfermés entre quatre murs, réduisant d'autant leur temps de contact avec la nature. Or ce contact permet de maintenir un équilibre sur les plans physiologique et psychologique. Dit autrement : nous savons aujourd'hui que le plein air est essentiel au bon développement des enfants.

        La solution pour les reconnecter ? Leur donner des " prétextes " amusants pour aller plus souvent dehors. Pour cela, rien de tel que de présenter ces aventures comme autant de défis à réaliser. Et si, en plus, il y a un petit parfum de transgression cela n'en sera que plus excitant...
    Des exemples ? Grimper aux arbres, courir dans les flaques, manger une pomme directement sur l'arbre, tenir dans sa main une bête qui nous fait (un peu) peur, partir faire une promenade dans la nature de nuit, faire pipi sous les étoiles... Avouez qu'on en a tous rêvé...
        Ce guide pratique et amusant va donc permettre aux enfants de vivre ces " petits plaisirs de nature " comme autant d'aventures. Conçu comme un objet précieux et personnel, où chaque enfant pourra noter ses défis au fur et à mesure, ce livre va donc les guider et les motiver à se reconnecter avec les grands espaces. Le tout dans une démarche pédagogique des plus solides, et en toute sécurité, bien sûr...
    Alors qu'ils jouent, qu'ils explorent, qu'ils agissent, qu'ils cherchent, qu'ils trouvent... et le goût de la nature ne les quittera plus, bien au-delà de leur 12 ans
        Depuis tout petit, François Lenormand a la chance de galoper dans la nature, chez lui, en Normandie. Ancien instituteur, cela fait plus de 30 ans maintenant qu'il partage ce plaisir dans sa démarche d'animateur nature et de concepteur d'outils pédagogiques, que ce soit au sein du club nature qu'il anime, dans son travail au centre d'éducation à l'environnement Cardère, ou encore en tant que vice-président de la Fédération nationale des clubs CPN (Connaître et Protéger la Nature).

       Princess H est illustratrice et auteure de bande dessinée pour la jeunesse. Elle est, depuis 2001, l'auteure des dessins et scénarios de la bande dessinée

       -" Le Journal de Julie ", publiée dans le magazine mensuel Julie, une publication du groupe Milan Presse destinée aux jeunes filles de 9 à 13 ans. Elle dessine dans le quotidien La Croix.


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  • L'agroécologie peut nous sauver (M. DUFUMIER,

                                                                    2019    176 p.    18,50 €

         Ingénieur agronome, Marc Dufumier a découvert l’agroécologie à 22 ans, non sur les bancs d’AgroParisTech où il était étudiant, mais à Madagascar, lorsque des femmes analphabètes l’ont initié à une agriculture paysanne respectueuse de l’Homme et de son environnement. Devenu professeur à AgroParisTech et expert sur des missions de terrain aux quatre coins du monde, il est aujourd’hui l’un des spécialistes les plus reconnus dans le domaine de l’agroécologie.
        Alliant rigueur scientifique et engagement, Marc Dufumier explique dans ces entretiens avec le journaliste Olivier Le Naire en quoi la révolution agroécologique est une réponse concrète, réalisable et globale à beaucoup des maux de notre monde moderne dont la famine, la malbouffe, l’obésité, la pollution, le réchauffement climatique, la perte de biodiversité, les inégalités mondiales ou les migrations contraintes. Selon lui, tous ces problèmes étant liés, leurs solutions ne peuvent plus être étudiées séparément.

       Pour nourrir les 10 milliards d’habitants que nous serons bientôt, il faut donc à la fois renoncer à la privatisation des semences, à l’emploi des produits pesticides et aux dérives du commerce mondial, mais surtout amener les citoyens à prendre conscience que leur sort, comme celui de la planète, est entre leurs mains et non entre celles des lobbys industriels.
       Concrète, vivante, optimiste et à la portée de tous, cette conversation redonnera espoir à toutes celles et tous ceux qui seraient tentés de baisser les bras.
        Marc Dufumier, ingénieur agronome, docteur en géographie et professeur honoraire d’agriculture comparée à AgroParisTech, est aussi président de Commerce équitable France. Il a réalisé de nombreuses missions d’appui à la conception et à la mise en œuvre de projets de développement agricole dans les pays du Sud.


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  • Cours de Conception en Permaculture - 72h

    du 05 au 16 mai 2019

    Marlène Vissac, Diplômée de Permaculture Appliquée (blog d'études : www.permacultricenherbe.wordpress.com) et La Ferme de Réa organisent un Cours de Conception en Permaculture destiné aux personnes porteuses de projet agricole.

    Ce stage se déroulera à Calimont - La Bruguière près d'Uzès dans le Gard, au sein de la propriété de Péo qui cherche l'autonomie vivrièreCe stage respecte la convention internationale, fondée par Bill Mollison

    Durant cette formation, les participant.e.s seront invité.e.s à être moteur de leur apprentissage et du fonctionnement du collectif grâce à la gouvernance d'auto-gestion et l'approche pédagogique employée qui allie les apports théoriques et pratiques, accompagnés comme autonomes ; ainsi nous passons de la théorie à la pratique, du statique au mouvement, de l'écoute à l'échange.

    PROGRAMME :

    Le programme que nous vous proposons, permet de rencontrer la Permaculture à des fins professionnelles, d'approfondir des savoir-faire et savoir-être, de développer la vision holistique en vue de créer des projets agricoles résilients, bref, de se préparer à la transition dont notre civilisation à besoin, au travers d'un mode de vie bienveillant et créatif

    Ce stage comprend :

    - Une initiation à la communication intuitive avec le vivant - 1 journée avec Peggy Reboul de la Ferme de Rhéa

    - Les apports théoriques, dans le respect de la convention de Bill Mollison

    - Des ateliers pratiques, encadrés par des professionnels compétents

    - Des temps de travail en groupe autonome

    Un module complémentaire :

    - Comment monter un projet agricole ou cultural ? - 1 journée avec Joris Danthon d’Ateliers Fertiles

    Les thèmes abordés sont riches, en voici quelques exemples :

    Méthodologie de conception - Gestion de l'eau - Keyline Design - Agro-foresterie - Api-foresterie - Climat - Aquaculture - Maraîchage - Pâturage dynamique tournant - Pédologie et analyses - Bâtiment et éco-construction - Agro-écosystème résilient - Stratégie politique - Permaculture urbaine - Stratégie politique - Gouvernance - etc...

    Plusieurs intervenants professionnels seront présents afin de présenter la large palette de possibilités et de stratégies que la permaculture met à la disposition de notre créativité, pour concevoir nos espaces de vie et de cultures.

    Des ateliers pratiques sont proposés et font partie intégrante du stage, ateliers en cohérences avec la période de l'année et le planning de développement du projet / site hébergeant le cours de conception en permaculture.

    HÉBERGEMENT :

    - Camping avec votre propre matériel ou véhicule aménagé.

    - Hébergement extérieur, hors coût de formation

    REPAS :

    Les repas sont tous végétariens, préparés avec des produits issus de l'agriculture biologique et fait avec amour par l'équipe cuisine.​

    VIE QUOTIDIENNE : 

    La gouvernance de ce stage est l'auto-gestion, c'est à dire que chaque membre est autonome dans la gestion de la vie quotidienne. Un coordinateur est là pour veiller au bien être de tous et s'assurer que chaque membre trouve sa place au sein de la gestion du stage.

    TARIF : 

    - Camping : 625 €  

    Le tarif inclus : l'hébergement, les repas, les frais pédagogiques et l'adhésion à la Ferme de Rhéa. Le solde est à régler dès votre arrivée, en espèce ou en chèque.  
    Ce stage reste fidèle à la convention internationale mise au point par Bill Mollison en 1985 et est certifié par l'Université Populaire de Permaculture.

    Inscription : marlene.vissac@phacelia.fr 

    Renseignements:

    https://docs.wixstatic.com/ugd/f569a5_be6501891aac449f870e8f9da6a9034b.pdf


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  • La Lettre de Médecine du Sens n° 247

    ‘Le 21° Siècle sera spirituel ou ne sera pas’. 

    André Malraux

    Célèbre citation qui marque notre siècle et qui prend aujourd’hui une telle portée.

    Notre-Dame brûle, notre planète brûle. Quel symbole !

    Notre-Dame symbole de la spiritualité incarnée, de l’élévation vers le ciel au-delà du matériel.

    Notre-Dame en manque d’entretien par cause de manques de financements. 

    Notre-Dame pour qui les milliardaires se mettent en avant pour se faire valoir par leurs dons, après avoir fait de l’évasion fiscale au maximum, volant l’état de ses moyens.

    Comment peux t-on sécuriser à ce point les établissements financiers et laisser avec si peu de protections le bâtiment le plus aimé et le plus visité au monde.

    C’est un tel symbole.

    On a trouvé des milliards lors de la dernière crise pour sauver le système financier mais avant qu’elle ne brûle il n’y avait pas moyen de trouver les financements pour sauver Notre-Dame.

    Entendons bien que cet incendie est peut être le dernier et le plus solennel des avertissements face à ce monde que nous sommes en train de détruire à toute vitesse.

    Bientôt plus d’insectes, d’abeilles, d’animaux sauvages. Et chaque année le même décompte macabre : X espèces en moins et X nouveaux milliardaires en plus. Le lien est à chaque fois évident, comment ne pas le faire ?

    Moi franchement, je préfère que l’on sauve les uns et qu’on arrête les autres. A vous de choisir.

    Ce n'est que quand il aura fait tomber le dernier arbre, contaminé le dernier ruisseau, pêché le dernier poisson que l'homme s'apercevra que l'argent n'est pas comestible (Indien MOHAWK).

    Et rajouter « et brûlé la dernière cathédrale ».

    La Lettre de Médecine du Sens n° 247


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  • Les manifestations pacifiques ou plus radicales sont souvent contrôlées et dispersées par l'usage de gaz lacrymogène. Si ce type de répression a l'avantage immédiat de ne pas blesser directement, les gaz émis sont potentiellement très dangereux pour la santé. Un sujet brûlant lorsque l'on constate que les forces de l'ordre, notamment en France, n'hésite pas à « gazer » les populations, y compris les plus fragiles et ce sans aucun ménagement, ni discernement.

     https://www.notre-planete.info/actualites/3702-gaz_lacrymogene_sante

    Le gaz lacrymogène est un composé chimique qui provoque une incapacité temporaire par irritation des yeux et/ou du système respiratoire. Il s'agit principalement du propane dinitrile[(2-chlorophényl)méthylène] ou CS. Il est utilisé par les forces de l'ordre car considéré comme faiblement toxique et non létal.

    Pourtant, les Nations Unies classent le gaz lacrymogène comme une arme chimique, « autorisée par la Convention sur les armes chimiques à des fins de maintien de l'ordre sur le plan intérieur » mais « interdit[e] en tant que moyen de guerre. » par la même Convention.

    L'usage des gaz lacrymogènes en France

    Le gaz lacrymogène est utilisé soit en aérosol (un spray) pour l'auto-défense, soit en grenades. Les forces de l'ordre chargées d'encadrer et de contenir les manifestations en France (CRS notamment) ont de nombreux moyens de répression et abusent volontiers des gaz lacrymogène pour disperser ou faire reculer la foule.

    Plusieurs textes de loi précisent l'utilisation des gaz lacrymogènes en France. En premier lieu, l'article L-211-9 du code de la sécurité intérieure, qui reprend l'article 431-3 du code pénal, stipule que « les représentants de la force publique appelés en vue de dissiper un attroupement peuvent faire directement usage de la force si des violences ou voies de fait sont exercées contre eux ou s'ils ne peuvent défendre autrement le terrain qu'ils occupent ». Le préfet de police, « tout officier de police judiciaire responsable de la sécurité publique, ou tout autre officier de police judiciaire », le chef d'unité sur le terrain, le commandant de CRS ou le capitaine d'escadron de gendarmerie mobile sont habilités à prendre la décision de recourir aux gaz lacrymogènes.

    Malheureusement, l'actualité récente soulève de nouveau la question de l'usage abusif de ces gaz sur les personnes. En France, de nombreuses manifestations, y compris locales, et occupations pacifiques sont réprimées violemment, avec un usage tout à fait disproportionné de gaz lacrymogène, ceci avec une absence totale de discernement des forces policières envers les plus fragiles.

    Sur le même sujet :
    • Les violences policières : une menace grave pour l'Etat de droit

    De très nombreuses manifestations et vidéos témoignent de cet usage inconsidéré des gaz lacrymogène et nous citerons quelques exemples, parmi tant d'autres.

    Manifestations contre la loi El Khomri, début 2016

    Alors que les gouvernements successifs sont incapables de gouverner, le climat social s'est détérioré en France. Ainsi est né, fin mars 2016, le mouvement Nuit Debout, qui se veut démocratique et pacifique : "des assemblées se forment où les gens discutent et échangent. Chacun se réapproprie la parole et l'espace public." Ces rassemblements démocratiques sont considérés par le pouvoir comme une menace et il emploie de plus en plus la force pour y mettre fin.

    Ces aspirations citoyennes ont donné une nouvelle dimension au défilé du 1er mai 2016. Mais, cela n'a pas empêché les CRS de provoquer et gazer des manifestants pacifiques.

    À Toulouse, les syndicats ont manifesté le 31 mars 2016 contre la réforme du code du travail. Des dizaines de manifestants pacifistes, assis sur un passage piéton, sont soudainement aspergés de gaz lacrymogène par les CRS.

    La zone occupée à Notre-Dame-des-Landes sous un brouillard de gaz lacrymogène

    La répression policière envers les opposants au projet d'aéroport à Notre-Dame-des-Landes a été particulièrement violente et les gaz lacrymogènes ont été massivement utilisés (1 400 grenades par jour selon le site desarmons-les, noyant la zone occupée par les manifestants dans un épais brouillard toxique, alors que des personnes vivaient sur place.

    Plongé dans le brouillard des gaz lacrymogènes, le bocage de Notre-Dame-des-Landes était le théâtre vendredi 23 novembre 2012 de scènes de guérilla rurale entre opposants à l'aéroport et forces de l'ordre, avec des tirs nourris de projectiles de part et d'autre et de fortes explosions.

    Les familles Roms gazées et enfermées volontairement

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  • SYNOPSIS ET DÉTAILS

    Notre Dame des Landes, LGV Sud-Ouest, autoroute A 65 : trois grands projets d’infrastructures mis en œuvre au nom de l’intérêt général et qui ont suscité de très importants mouvements de contestation. Une question se pose : comment, au juste, se forge aujourd’hui en France cette notion d’intérêt général ? 

    Les réalisateurs ont mené l’enquête en allant à la rencontre des protagonistes de ces controverses : représentants des mouvements citoyens engagés contre ces projets, élus qui les combattent ou les soutiennent, hauts fonctionnaires impliqués dans les décisions, journalistes qui rendent compte de ces conflits. Un film qui interroge le fonctionnement de notre démocratie.

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  • 288 p. 20 €


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  • Des locaux très motivés (78 mn)

    Caplongue, village aveyronnais de quatre-vingt habitants, a vu naître en 2012 l’association des Loco-Motivés. Son ambition est de produire et consommer local dans le respect de la nature, des animaux et des personnes, de la manière la plus conviviale possible. Au travers de portraits intimistes et poétiques, nous suivrons pendant douze mois dans le Lévézou l’engagement d’Isabelle, Jean-Marc, Vincent et les autres autour de cette grande idée.
    " À Pierre et Anne-Marie, mes arrière-grands-parents paysans. À tous ceux qui respectent le vivant. " Oliver
    Portland Earth Day Film Festival (Etats-Unis) Grand Prix du festival
    Lužianky International Agrofilm Festival (Slovaquie) Prix du Jury

    Doubleflag Ce film est en Français, il est également disponible en Anglais.
    This film is in French, but it is also available in English.

    Un documentaire de Oliver Dickinson
     © Les Films de l’Anse - 2016 https://www.filmsdocumentaires.com/producteurs/4465-lvp
     
    Location 48h (VOD): 4,90 €  Louer le film : https://www.filmsdocumentaires.com/shopping_cart
    Le DVD : 18,00 € Deslocauxtresmotives_jaq_small

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  • Téléthon : quand les controverses s'accumulent

    Par Sabah Kemel Kaddouri , Service infographie du Figaro

    Publié le 05/12/2014 à 12:26

    Photo d'illustration - Crédits: AFP

    INFOGRAPHIE - Depuis sa création en 1987 dans le but de soutenir la recherche contre les myopathies, le succès de ce marathon médiatique lui a attiré quelques piques plus ou moins acérées. Retour sur ces polémiques.

    Baromètre de la générosité des Français à chaque fin d'année, le Téléthon est en ordre de bataille pour le lancement de sa 28ème édition vendredi. Depuis le temps, la machine est bien rôdée: compteur géant qui s'affole au gré des promesses de dons, prestigieux parrains, exploits sportifs retransmis en direct, le Téléthon donne bien des vertiges! Parfois aussi de grosses sueurs. Depuis moins de dix années, l'événement commence à accumuler quelques polémiques au compteur. Retour sur les plus marquantes.

    2006, les premières attaques

    Une partie de l'Église catholique critique l'affectation de 2% des dons à la recherche sur les cellules souches embryonnaires. Plusieurs religieux réaffirment leur attachement au «respect de la vie dès son commencement». Les organisateurs sont confrontés à une menace de boycott que le cardinal Jean-Pierre Ricard, président de la Conférence des évêques de France, finira par écarter: «l'Eglise catholique n'appelle pas au boycott». Pour autant, il ne souhaitera pas convier les fidèles à ouvrir leurs bourses.

    L'affaire se révèle suffisamment grave pour déclencher une sortie médiatique au sommet de l'État. Ainsi Jacques Chirac affiche son soutien à l'opération. Quant à l'Association française contre les myopathies, elle choisit de répliquer par la transparence, soulignant que l'utilisation des fonds est un sujet porté à la connaissance du public.

    2009, les déclarations chocs de Pierre Bergé

    «Le Téléthon parasite la générosité des français, la capte d'une manière populiste en exhibant le malheur des enfants myopathes». Le richissime homme d'affaires jette un pavé dans la mare. Selon Pierre Bergé, il serait plus vertueux de redistribuer les sommes perçues entre les associations moins bien dotées. Ses protestations trouvent un écho chez d'autres personnalités à l'instar de Line Renaud qui les justifient: «Il a été très courageux de signaler ce problème (...) il y a trop d'argent au Téléthon, trop!». Une façon de mettre l'accent sur ces associations «laissées-pour-compte» comme celles engagées dans la lutte contre le Sida. La charge du mécène de gauche est doublement virulente puisqu'il est aussi question de l'exhibition d'enfants malades entre deux écrans publicitaires.

    Le sujet est décidément politique car, de nouveau, certains élus s'expriment sur la question. Valérie Pécresse, alors ministre de l'Enseignement supérieur et de la Recherche, tente de rassurer Pierre Bergé. Elle déclare «entendre dans [son] cri, le cri des associations qui se mobilisent sur le Sida». Tout en ajoutant que l'État ne se désengagerait pas sur ce front. À gauche, Manuel Valls, qui siège à l'Assemblée nationale, évoque «une faute grave» et fustige les propos de ce proche de Ségolène Royal. Les responsables de l'AFM encaissent.

    2010, «Mettre Miss France face au Téléthon est lâche»

    C'est ce que déclare Nagui à l'adresse de TF1. Après les propos de l'animateur, plusieurs voix s'élèvent pour dénoncer «la concurrence déloyale» de la une. Entre la célébration de la beauté et la mise en lumière des maladies incurables, les téléspectateurs tranchent souvent pour le premier choix, d'après les audiences. D'autres animateurs, comme Jean-Marc Morandini, relativisent en vantant les formidables sommes récoltées par le Téléthon et rappellent aussi que la première chaîne n'oublie pas d'inclure en fin de programme «un appel aux dons».

    2013, les amis des bêtes montent au créneau

    Des mouvements de protection animale interpellent l'AFM sur les expérimentations en laboratoire. Cette dernière est accusée de pratiquer et financer la vivisection à grande échelle. Des militants veulent sensibiliser le public sur les coulisses de la recherche. Ces derniers déclarent avoir rencontré «non sans mal» des praticiens au service du Téléthon qui leurs confient: «Vous comprenez, on ne peut pas montrer ça aux gens». En filigranne, la souffrance infligée aux chiens «génétiquement modifiés» pour naître myopathes. L'élevage canin subit différents protocoles expérimentaux afin de «faire progresser la recherche». Les activistes qui parlent d'omerta dans ce milieu, veulent briser le plafond de verre pour faire bouger les lignes. La direction de l'AFM prend le parti de reconnaître publiquement le recours aux essais animaliers, «sous strict respect de la législation en vigueur». Ce nouveau coup de griffe est appelé à perdurer aux dires des organismes de protection des animaux.

    2014, quand le Téléthon pèse (trop) sur les finances d'une ville

    Joris Hébrard, maire FN du Pontet (Vaucluse), ne maintient pas la manifestation. Trop coûteuse pour la ville. Dans son plaidoyer, l'élu frontiste met en avant les 50 millions de dette de sa commune, «nous sommes obligés de faire des économies». L'AFM reçoit une contre-proposition, celle de mettre à disposition «les installations» du Pontet «sans apport humain, ni financier». Toutefois, ce phénomène n'est pas complètement nouveau. Plusieurs municipalités ont déjà communiqué sur les arbitrages financiers soulevés par une telle organisation.


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