•     (Xavier MATHIAS)

    2018     64 p.   8 €

      Bravo ! Vous vous êtes laissé tenter et avez débuté votre potager en expérimentant la permaculture, cette lame de fond qui depuis quelques années déjà bouleverse certitudes et habitudes au jardin. Vous êtes venu, vous avez vu, vous avez semé, planté, paillé, butté et accompli tant d’autres gestes, tous plus recommandés et recommandables les uns que les autres : vous avez envie de continuer, approfondir, faire mieux, plus, réussir ce qui n’a pas marché…

      Continuer, même si parfois les résultats, sans être décevants au point de vous pousser à remiser grelinettes et sarcloirs aux oubliettes, ont eu ce mérite de vous faire apprécier la justesse du dicton : “On naît jardinier, on meurt apprenti.”

      Une excellente nouvelle pour tous ceux qui ont vu leurs premiers pas si couronnés de succès qu’ils n’ont qu’une envie : mieux faire. Mais aussi pour les autres, qui ont eu le sentiment de consacrer beaucoup d’énergie pour finalement nourrir limaces ou pathogènes. Sans oublier ces quelques-uns chez qui est né un désir imprévu : approfondir leur vision permacole, étendre cette pratique au-delà des frontières du jardin, dans l’intimité de leur vie.

      Ancien maraîcher bio, producteur de légumes et de semences, Xavier Mathias se consacre désormais à la formation au maraîchage inspiré de la permaculture et à sa transmission. Auteur de nombreux ouvrages sur le potager, il collabore aussi à des revues de jardinage.

      Après des études de sculpture et de cinéma d'animation, Cécilia Pepper est aujourd'hui décoratrice, croqueuse et illustratrice indépendante. Elle collabore régulièrement avec la revue Kaizen.


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  • Traité Rustica du potager bio

     Référence 49585N1       2018   432 p.     29,95 €   en stock 

                                                                 Produit vendu par : libraires et
    Rustica Editions

        Le  traité Rustica du potager bio est la bible à avoir pour tous les jardiniers, amateurs comme confirmés. Cette édition mise à jour vous permettra de connaître les méthodes de production sans pesticides et d'apprendre de nouvelles approches telles que les cultures sur buttes.

       Mine d'informations et de conseils, le Traité Rustica du potager bio est l'ouvrage de référence incontournable pour les jardiniers débutants comme pour les plus confirmés. Victor Renaud, pionnier et fervent défenseur du jardinage au naturel, nous livre ici tout son savoir-faire et son expérience pour réussir la culture de plus de 140 légumes et plantes condimentaires. Il nous présente les meilleures méthodes pour obtenir une production saine et savoureuse grâce aux pratiques biologiques les plus adaptées : rotations des cultures, associations de plantes, compostage, macérations et purins... Dans cette nouvelle édition, retrouvez les nouvelles approches du potager, comme les cultures en carrés ou sur buttes. Dates de semis et de récolte, multiplication, bons mariages, lutte biologique contre les maladies ou ravageurs, choix des meilleures variétés, conseils de conservation et d'utilisations culinaires, le potager n'aura plus aucun secret pour vous !

      Officier du mérite, technicien d'agriculture biologique, collectionneur et spécialiste des plantes potagères anciennes et rares, Victor Renaud a été pionnier en matière de jardinage biologique. Il est l'auteur de plusieurs ouvrages aux éditions Rustica.

    SOMMAIRE

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  • Les 10 plus gros mensonges sur l'économie

    2007     268 p. 

       " Tant que le citoyen ne reprendra pas le pouvoir sur l'économie, il en restera l'esclave". L'ambition de cet ouvrage est donc d'aider chacun à reprendre ce pouvoir en se libérant de la manipulation qu'exerce sur nous des théories assénées en vérités absolues, des idées toutes faites et de fausses croyances. Un ouvrage facile à lire, documenté et riche de pistes pour un avenir plus humain.

     

    · Table des matières
    Mensonge 1 : C'est l'Etat qui fabrique l'argent qui est garanti par l'or
    Mensonge 2 : Les banques prêtent l'argent des épargnants
    Mensonge 3 : On ne peut pas le faire, « ça coûte » trop cher
    Mensonge 4 : L'Etat doit être géré « en bon père de famille », la dette appauvrit la Nation, il faut la rembourser !
    Mensonge 5 : Toute production ne se justifie que si elle est rentable
    Mensonge 6 : Il faut soutenir la croissance pour dynamiser l'emploi
    Mensonge 7 : Baisser les prix, c'est défendre le pouvoir d'achat
    Mensonge 8 : Il faut lutter contre l'inflation pour sauvegarder l'emploi
    Mensonge 9 : On vivrait beaucoup mieux si on payait moins d'impôts.
    Mensonge 10 : La mondialisation, une promesse de prospérité pour tous les peuples

       Ancien chef d'entreprise, Philippe Derudder la quitte volontairement pour mettre sa vie en cohérence avec ses valeurs. Il est consultant et anime des séminaires sur l'économie alternative. Auteur de

       -"La renaissance du plein emploi ou la forêt derrière l'arbre",

      -"Les aventuriers de l'abondance",

      -"Rendre la création monétaire à la société civile".
     

       Ancien pilote de Concorde à Air France, André-Jacques Holbecq profite d'une retraite dans la force de l'âge pour revenir à sa première passion : l'économie. On lui doit :

       -Un regard citoyen sur l'économie, Éditions Yves Michel - 2001,

       -Une alternative de société : l'écosociétalisme, Éditions Yves Michel - 2004.

       Il s'exprime sur son site internet http://www.societal.org. Comme d'autres se battent pour faire apparaître au grand jour les mensonges ou les non dits sur les OGM, les pesticides, le nucléaire ou les diverses pollutions, il tente à travers ses livres, ses articles et son site, de nous apporter " un autre regard sur l'économie ", en particulier sur des sujets tels que le PIB, la dette, les déficits, la création monétaire, en nous " forçant " au changement de paradigme, par l'analyse des dysfonctionnements économiques actuels, qui contribuent à plonger notre société dans le désarroi.


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  • Université d’été : c’est le moment de s’inscrire !

     
     
     

    Événement 26 juin 2018

     
     

     Notre Université d’été aura lieu cette année sur le Campus universitaire de Grenoble, du 22 au 26 août.
    Attac co-organise cet évènement avec plus de 200 organisations, associations, syndicats, médias indépendants, collectifs et réseaux.

    Vous avez envie de participer à des formations à l’action, des ateliers, des séminaires et des moments festifs autour de nombreuses thématiques ? Vous souhaitez vous former à de nouvelles méthodes d’éducation populaire, sur les enjeux de la finance ou de la transition énergétique ? Vous vous préparez aux mobilisations sociales de la rentrée, pour défendre nos retraites et les services publics ? Vous voulez mieux connaitre les réseaux de soutiens aux migrants et de solidarité internationale ? C’est à Grenoble que cela se passe, du 22 au 26 août !

    Et c’est maintenant qu’il faut vous inscrire ! (https://ue2018.org/S-inscrire-a-l-Universite-d-ete)
    Rejoignez les quelques milliers de participant·e·s qui se retrouveront pour ce rendez-vous incontournable, ce temps fort de convergence des mouvements sociaux, citoyens, de solidarité internationale et d’éducation populaire.


    • > > les premiers éléments du programme sont en ligne
    • (https://ue2018.org/spip.php?page=programme&pk_campaign=Infolettre-1465&pk_kwd=ue2018-org-spip-php-page-programme)
    • et le reste sera mis en ligne dans les jours à venir
    • > > l’inscription à l’Université d’été est ouverte sur le site www.ue2018.org
    • > > N’attendez pas pour vous inscrire, d’autant plus que les réservations d’hébergement au CROUS ne sont possibles que jusqu’au 5 juillet !
    • > > Et pour ne rien rater de notre actualité et de celle des organisations et partenaires, suivez-nous sur les réseaux sociaux ! Rendez-vous sur Facebook et sur Twitter

     Un temps d’accueil spécifique pour les adhérent·e·s d’Attac aura lieu le mercredi 22 août de 15h à 16h30, avant la plénière d’ouverture, alors n’arrivez pas en retard à Grenoble ! Et le jeudi 23 août au soir, sur le campus, nous fêterons les 20 ans d’Attac !

    L’équipe d’organisation

     


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  • La silicolonisation du monde (Eric SADIN)

                                                                   2016   256 p.  17 €

       Berceau des technologies numériques (Google, Apple, Facebook, Uber, Netflix, etc.), la Silicon Valley incarne l'insolente réussite industrielle de notre époque. Cette terre des chercheurs d'or, devenue après-guerre le coeur du développement de l'appareil militaire et de l'informatique, est aujourd'hui le lieu d'une frénésie innovatrice qui entend redéfinir de part en part nos existences à des fins privées, tout en déclarant oeuvrer au bien de l'humanité.
       Mais la Silicon Valley ne renvoie plus seulement à un territoire, c'est aussi et avant tout un esprit, en passe de coloniser le monde.   Une colonisation d'un nouveau genre, portée par de nombreux missionnaires (industriels, universités, think tanks...), et par une classe politique qui encourage l'édification de valleys sur les cinq continents, sous la forme d'écosystèmes numériques et d'incubateurs de start-up.
      Après avoir retracé un historique de la Silicon Valley, ce livre, à la langue précise et élégante, montre comment un capitalisme d'un nouveau type est en train de s instituer, un technolibéralisme qui, via les objets connectés et l'intelligence artificielle, entend tirer profit du moindre de nos gestes, inaugurant l'ère d'une « industrie de la vie ».
      Au-delà d'un modèle économique, c'est un modèle civilisationnel qui s'instaure, fondé sur l'organisation algorithmique de la société, entraînant le dessaisissement de notre pouvoir de décision. C'est pour cela qu'il est urgent d'opposer à ce mouvement prétendument inexorable d autres modalités d existence, pleinement soucieuses du respect de l'intégrité et de la dignité humaines.

       Écrivain et philosophe, Éric Sadin est l'un des penseurs majeurs du numérique et de son impact sur nos vies et nos sociétés. Son dernier essai

      -La Vie algorithmique. Critique de la raison numérique (L échappée, 2015)

      a rencontré un accueil enthousiaste de la part de la critique et du public.


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  •  
    2016    168 p.    18,90 €
     
      À l'heure où les guides pratiques sur la méthode Montessori se multiplient, voici celui que Maria Montessori a elle-même conçu pour « entrer dans les familles », écrit en espagnol en 1939 (étayant une première version de 1914 en anglais). Inédite en français, cette version historique a néanmoins gardé toute son actualité.

      Dans ce manuel, qui n'est pas seulement pratique, Maria Montessori présente aussi la philosophie de sa pédagogie en rappelant son objectif final : servir la Paix. Elle insistait en effet sur le fait que l'éducation était la meilleure arme pour la Paix, et qu'il fallait, pour l'atteindre, considérer l'enfant comme le guide de son éducation. Qui mieux que lui-même sait ce qui est bon pour son propre développement ?

      Originalité de ce manuel : il est le seul illustré par des photos personnelles de Maria Montessori. La traductrice s'est efforcée de reproduire en couleur ces photos soigneusement choisies. La mise en parallèle des clichés historiques en noir et blanc et des photos contemporaines montre bien qu'en dépit du siècle qui s'est écoulé depuis l'ouverture de la première « Maison des Enfants », et malgré toutes les évolutions de la méthode qui n'est ni figée ni passéiste, l'essentiel est resté identique.

       Maria Montessori, (1870-1952), est une femme médecin et pédagogue italienne. Elle est mondialement connue pour la pédagogie qui porte son nom. L'intégralité de son oeuvre est publiée chez Desclée de Brouwer.
      Charlotte Poussin, éducatrice Montessori diplômée de l'AMI, est membre du conseil de l'Association Montessori de France, et l'auteur de plusieurs ouvrages de référence autour de la pédagogie Montessori.


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  •                                                            2018    320 p.   20 € 

      La moitié des Français expriment un mal-être au travail. Une organisation néo-taylorienne soumise au rendement financier est en train de détruire notre monde commun. Cette machine à extraire le profit écrase le travail vivant : celui qui mobilise notre corps, notre intelligence, notre créativité, notre empathie et fait de nous, dans l'épreuve de la confrontation au réel, des êtres humains.

       Contre les " réformes " néolibérales du travail, on a raison de lutter. Mais pour défendre les conquêtes du salariat et prendre soin du monde, il nous faut repenser le travail. Nous avons besoin d'un souffle nouveau, d'un " avenir désirable ". La liberté, l'autonomie, la démocratie au travail, doivent être replacées au cœur de toute politique d'émancipation.

       La gauche politique et syndicale a trop longtemps privilégié le pouvoir d'achat au pouvoir d'agir dans le travail. Paradoxalement, les innovations dans ce domaine sont d'abord venues des managers : " l'entreprise libérée " inspire des initiatives patronales souvent futiles et parfois stimulantes. Des consultants créatifs proposent des modèles " d'entreprise autogouvernée " plus audacieux que les rêves autogestionnaires les plus fous. Mais surtout, des expériences multiples fleurissent un peu partout inspirées du travail collaboratif, du care, de la construction du commun, qui sont autant d'écoles d'une démocratie refondée.

       Et si on libérait le travail, vraiment ? C'est possible : ce livre en fait la démonstration ! 

       Thomas Coutrot est un économiste français, actuellement chef du département Conditions de travail et santé à la DARES au ministère du Travail. C'est un économiste engagé et depuis longtemps : il a été coprésident d'Attac et est membre son conseil scientifique. Il appartient également au groupe des Économistes atterrés.


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  • 125 pages, 10€. Sortie le 13 juin 2018 aux éditions Les liens qui libèrent.
    Pour recevoir le livre en service de presse, merci d’adresser votre demande à medias@attac.org.

    Nouveau livre d’Attac : 10 ans après la crise, prenons le contrôle de la finance

    lundi 11 juin 2018, par Attac France

      Dix ans après la crise financière de 2008, l’époque est toujours aussi favorable à la finance, aux fonds d’investissement et aux banques. Les timides réformes engagées depuis n’ont pas réussi à ébranler sérieusement leur pouvoir. Sans compter qu’un nouveau cycle de dérégulation financière voit le jour en Europe et aux États-Unis.

      Mais, aujourd’hui, de plus en plus de gens ne supportent plus de devoir payer pour les dérives du secteur financier. Plus encore, ils ne croient plus que la croissance est sans limites, que la question écologique est secondaire, et qu’une société peut vivre sans désordre avec de fortes inégalités.

      Publié en plusieurs langues, ce livre donne des clés de compréhension aux citoyennes et aux citoyens afin qu’ils s’approprient le débat sur la finance. Il présente les réformes nécessaires pour mettre la finance au service de la société. Il est aussi le support d’une vaste campagne, « 10 ans après la crise », organisée par les mouvements sociaux et citoyens européens, dont le point culminant est fixé au 15 septembre 2018, date anniversaire de la chute de la banque Lehman Brothers en 2008, qui a marqué le début de la crise financière internationale.

       Ce livre a été conçu par une équipe internationale composée de membres d’Attac Allemagne, Attac France et SOMO (Pays Bas).

      Isabelle Bourboulon (Attac France) en est la rédactrice principale et des contributions substantielles lui ont été apportées par

      -Dominique Plihon (Attac France),

      -Myriam Vander Stichele (SOMO, Pays Bas) et

      -Peter Wahl (Attac Allemagne).


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  •  Justin Delépine et Marc Chevallier 08/06/2018 Alternatives Economiques n°379

    https://www.alternatives-economiques.fr//enquete-laristocratie-cac-40/00084707?utm_source=emailing&utm_medium=email&utm_campaign=NL_Quotidienne%2F08062018

      Inaugurée par Airbus le 11 avril dernier, la saison des assemblées générales des entreprises du CAC 40 se clôturera à la mi-juin avec celles de Carrefour et de Renault. Moments rituels durant lesquels les petits et gros actionnaires des principaux grands groupes cotés de l’Hexagone se réunissent pour approuver les comptes de l’exercice passé, ces assemblées générales sont également l’occasion de valider la rémunération des dirigeants et de renouveler une partie des conseils d’administration (CA).

    Derrière les changements de façade, la réalité du pouvoir reste souvent concentrée entre les mêmes mains.

    Objets de critiques récurrentes depuis des années pour l’entre-soi qui y règne, ces organes de contrôle ont vu les règles de leur composition changer au fil des ans, qu’il s’agisse de limiter le cumul des mandats ou bien d’y faire entrer plus de femmes ou d’administrateurs salariés. Mais comme le montre le travail réalisé par Alternatives Economiques sur cette élite économique, derrière ces changements de façade, la réalité du pouvoir reste souvent concentrée entre les mêmes mains.

     Enquête sur l’aristocratie du CAC 40

    A lire Alternatives Economiques n°379 - 05/2018
     

    L'aristocratie du CAC 40. Enquête sur les grands patrons

    Moins de 1 000 personnes

    Ils sont une petite quinzaine à siéger au conseil d’administration ou au conseil de surveillance de chaque entreprise (suivant sa forme juridique), et une douzaine au sein de chaque comité de direction. Le premier est chargé de contrôler le second, responsable quant à lui de la gestion opérationnelle. Cela représente moins de 1 000 personnes au total, à l’échelle des 40 plus grandes entreprises en matière de capitalisation boursière qui composent l’indice phare de la Bourse de Paris, le CAC 40. Sur cette population, 74 personnes siègent au conseil d’administration d’au moins une autre entreprise du CAC 40, tissant ainsi des liens entre les géants tricolores. LVMH, Carrefour, Orange, Saint-Gobain ou encore Veolia ont ainsi plus de cinq membres de leur conseil d’administration ou de leur comité directeur en commun avec d’autres sociétés du CAC 40. Mais l’intensité des liens est très variable d’une entreprise à l’autre.

    LVMH, Carrefour, Orange, Saint-Gobain ou encore Veolia ont plus de cinq membres de leur conseil d’administration ou de leur comité directeur en commun avec d’autres sociétés du CAC 40. Mais l’intensité des liens est très variable d’une entreprise à l’autre.

    Parmi les groupes possédant le plus de connexions avec leurs homologues figurent surtout des entreprises entretenant une relation privilégiée avec les pouvoirs publics. Que l’Etat soit présent à leur capital (Orange, Safran ou Engie), ou bien que leur activité dépende fortement de lui, par le biais de la commande publique (Veolia, Saint-Gobain ou Bouygues) ou de la régulation qu’il exerce sur leur secteur (BNP Paribas). C’est sans doute la raison pour laquelle ces entreprises sont plus souvent dirigées par d’anciens hauts fonctionnaires ou d’anciens membres de cabinets ministériels... Font exception dans ce tableau des groupes comme L’Oréal ou LVMH, dont les nombreuses connexions sont en partie liées à des participations au capital d’autres entreprises du CAC.

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  • Wifi gratuit, géolocalisation, mouchard... Vous pensez que votre téléphone vous espionne ? C'est pire que ça.

    https://www.francetvinfo.fr/internet/securite-sur-internet/cyberattaques/wifi-gratuit-geolocalisation-et-mouchard-vous-pensez-que-votre-telephone-vous-espionne-c-est-pire-que-ca_2698752.html#xtor=EPR-51-[wifi-gratuit-geolocalisation-mouchard-vous-pensez-que-votre-telephone-vous-espionne-c-est-pire-que-ca_

    Après les révélations sur les données conservées par Facebook et Google, nous avons demandé à des spécialistes des cyberattaques d'ausculter notre smartphone.

      Si, comme moi, votre smartphone est vissé à votre main toute la journée, puis glissé dans votre poche, avant de terminer sur votre table de nuit, vous vous êtes forcément posé la question : divulgue-t-il des informations à mon insu ? Si oui, lesquelles ? Et ne serait-il pas un faux-ami, capable de surveiller le moindre de mes faits et gestes et de les diffuser ? Mais à qui ? Après les révélations sur les données collectées et conservées par Facebook et Google, j'ai voulu espionner cet espion présumé.

    >VIDEO. Trois règles d’or pour éviter d’être espionné par son portable

    https://www.francetvinfo.fr/internet/securite-sur-internet/cyberattaques/video-trois-regles-dor-pour-eviter-detre-espionne-par-son-portable_2704086.html

    Pour découvrir ce qui filtre, je me suis tourné vers des spécialistes des cyberattaques, des personnes rompues au piratage et capable d'analyser les données qui pourraient éventuellement filtrer. Rendez-vous est pris, pour moi et mon téléphone, au 26e étage de la tour Franklin à la Défense avec Gérôme Billois, expert au sein du cabinet Wavestone, et Vincent Nguyen, responsable CERT (computer emergency response team), un informaticien chargé d'intervenir en urgence lors d'attaques informatiques et capable de retrouver la trace des assaillants. D'entrée, ils m'expliquent que ce que les utilisateurs ont découvert avec les scandales autour de Facebook et de Google – et que je vais découvrir en testant mes propres applications – n'a rien de surprenant. "Le grand public ouvre simplement les yeux sur les données qu'il communique au quotidien."

    En se penchant avec eux sur ce que mon iPhone SE transmet, tous les jours, lorsqu'il est allumé, je ne vais pas être déçu.

    Des applications qui ne cessent de transmettre des données

    L'expérience commence à l'aide d'un logiciel qui scrute les données que mon téléphone communique. Pour ce faire, Vincent Nguyen le connecte à un logiciel spécialisé qui va détecter toutes les "requêtes" lancées depuis mon mobile. Comprenez des informations envoyées à différents sites. Et là, c'est la stupeur pour l'utilisateur naïf que je suis.

    Je commence par l'application Vélizy 2, du nom de ce grand centre commercial de région parisienne où je me rends régulièrement, que j'ai téléchargée en amont pour l'expérience. Une succession d'adresses complexes s'affichent immédiatement sur l'écran des deux experts.

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  • Hubert Reeves : "Faisons comme si c’était pas foutu"

    Version originale en français
    v.o.f.s.-t.a. : La terre vue du coeur

    1h31 Documentaire Québec 2018    - Couleur - v.o. : français

    Réalisateur et scénariste: Iolande Cadrin-Rossignol 

     Distributeur:Maison 4:3                Studio:  JANE LOSA Films
     

    Dans La Terre vue du cœur, l’auteur et astrophysicien évoque l’état de la planète et l’urgence d’agir. Cette fois, pas juste avec «un regard qui essaie de comprendre, mais un regard qui essaie de sentir".

    https://voir.ca/cinema/2018/04/11/hubert-reeves-faisons-comme-si-cetait-pas-foutu/

    Adaptation du dernier livre d’Hubert Reeves, Le banc du temps qui passe, le film donne la parole à de nombreux experts qui apportent leur éclairage sur la situation environnementale, que ce soit Frédéric Lenoir pour discuter de philosophie, ou le bassiste Jérôme Dupras, de la fondation écologiste des Cowboys fringants. On y parle d’intelligence animale, de forêts tropicales, d’identité et, surtout, de cette sixième extinction de masse qui est en cours: la nôtre. Entrevue avec Hubert Reeves, scientifique et militant.

    Voir: Quand vous êtes-vous rendu compte de l’urgence de la situation environnementale?

    Hubert Reeves: Ç’a été progressif. Dans les années 1980, on parlait peu de la hausse de la température; c’était des rumeurs… Puis je m’y suis intéressé parce que ça promettait d’être sérieux. On commençait à avoir des preuves que la température augmentait vraiment, mais on ne savait pas si c’était dû à l’activité humaine ou si c’était un phénomène naturel, comme les grandes glaciations.

    Le GIEC (Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat), mis sur pieds par les Nations-Unies, a déterminé que le rôle de l’homme dans les changements climatiques était majeur par rapport à d’autres phénomènes naturels invoqués, comme le changement du champ magnétique du Soleil. Maintenant, il est très clair que la part humaine est plus que majeure: le réchauffement climatique est presque dû à 95% à l’activité humaine. Et aujourd’hui, c’est suffisamment prouvé pour qu’une personne raisonnable puisse s’en convaincre.

    Trouvez-vous qu’aujourd’hui les gens sont suffisamment conscients de la situation?

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  • Europe: une partie de l’épargne bientôt saisie en banque

     https://www.letemps.ch/economie/2017/09/25/europe-une-partie-lepargne-bientot-saisie-banque

    Les politiciens votent des lois stipulant que l’épargnant sera désormais saisi d’une partie de son patrimoine en banque afin de renflouer les institutions financières. L'opinion de Didier Maurin, le directeur de Katleya Gestion

    OPINION. De nombreux Etats sont aujourd’hui tellement endettés qu’ils ne sont même plus en mesure d’assurer le remboursement des intérêts de leurs dettes. La conséquence ubuesque de cette situation en est l’apparition de taux d’intérêt négatifs, qui impliquent qu’en leur prêtant de l’argent, les banques centrales leur versent des intérêts dans le même temps! Une nouveauté historique en somme!

    Imaginez! Votre banque vous prête 100 000 francs à –0,5%. Cela signifie que vous toucherez 500 francs d’intérêts par an pour avoir eu la gentillesse de contracter ce prêt. Ne riez pas! C’est exactement ce qui arrive à de nombreux Etats surendettés dans le monde, car leur banquier, les banques centrales, leur octroie des taux d’intérêt négatifs afin qu’ils ne fassent pas faillite.

    Une crise financière grave

    Naturellement, en cas de crise financière grave, un tel Etat n’est absolument pas en mesure de renflouer des banques ou des compagnies d’assurances en difficulté étant donné qu’il a déjà du mal à rembourser ses dettes lui-même. Or, de nombreux Etats européens sont dans cette situation, ce qui a amené les politiciens à voter des lois stipulant que l’épargnant sera désormais saisi d’une partie de son épargne en banque afin de renflouer les institutions financières.

    Blocage des contrats d’assurance vie en France

    La loi Sapin 2, ensuite, votée le 9 décembre dernier par le gouvernement français et qui donne toute latitude au ministre des Finances pour bloquer les contrats d’assurance vie et ne pas procéder au remboursement de tout ou partie de l’épargne, soi-disant pour une période limitée.

    Ne perdons pas de vue que dans le prolongement de ces deux réglementations, une troisième serait en préparation pour octroyer tout pouvoir à des ministres de bloquer les comptes bancaires dans le cas d’une crise grave, afin d’éviter le bank-run, comme disent les Anglo-Saxons, cette situation dans laquelle tout le monde se précipite à sa banque pour retirer ses économies.

    Au regard de toutes ces réglementations, il est clair que nombre de politiciens se préparent à la prochaine crise financière internationale, car ils ne comptent pas, comme ce fut le cas lors de la crise des «subprime» en 2007, appeler les Etats en comblement de passifs. Or, pour bien protéger les banques et les compagnies d’assurances, ils doivent donner un cadre légal à ces futures saisies, car ils s’attendent à ce qu’elles soient attaquées juridiquement par nombre d’épargnants et autres associations de consommateurs. En effet, il faut pouvoir leur répondre: «C’est la loi!»

    La menace «Donald Trump»

    Par ailleurs, nous n’aurons peut-être pas à attendre si longtemps pour connaître une nouvelle crise, puisque Donald Trump vient d’abroger de nombreuses règles qui prévalaient jusqu’alors pour empêcher les banques de faire tout et n’importe quoi. C’est pourtant l’annulation de la réglementation instaurée après la crise de 1929 qui généra plus tard la crise des «subprime» aux Etats-Unis.

    Pour conclure, même si certaines banques centrales, telle la Réserve fédérale américaine ou la Banque centrale européenne (BCE), laissent entrevoir que les taux d’intérêt vont remonter afin de donner le sentiment que la situation s’améliore, je fais partie de ces financiers qui n’en croient rien. En effet, le monde entier est aujourd’hui trop endetté pour que les banques centrales remontent leur taux, car elles nous mèneraient alors vers une forme de suicide économique.

    La protection apportée par l’or et l’immobilier international

    Aujourd’hui, l’immobilier international et l’or sont sans doute les meilleurs vecteurs du moment pour bien protéger l’épargnant face à ces risques. En effet, dans tous les cas, c’est la valeur des actifs qui compte aujourd’hui en matière de sécurité, le reste n’étant que du papier, à l’image de ces obligations d’Etat dont on ne sait jamais si elles seront remboursées un jour.


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  • "Tout ce que vous employez au-delà des besoins et des bienséances de votre état (...) est un vol que vous faites aux pauvres."
    Massillon, 1663-1742


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  •     La dégradation de nos sols, due aux activités humaines, nuit aujourd'hui à notre bien-être. Elle entraîne l'extinction d'espèces et accentue le changement climatique. Elle contribue également aux déplacements de populations et à la multiplication des conflits. Ce sont les résultats alarmants d'une étude rendue publique hier.

      Pollution, déforestation ou encore pratiques agricoles non durablesappauvrissent nos sols. C'est la conclusion alarmante d'un rapport publié ce lundi. Le résultat de la toute première étude en ce genre menée à l'échelle mondiale par une centaine de chercheurs de 45 pays.

    « La dégradation des sols n'est pas un problème isolé : elle affecte de multiples régions et de nombreux habitants du monde. Elle altère la production de nourriture et la qualité de l’eau. Lorsque la terre se dégrade, souvent les gens migrent, car il n'y a plus de terres cultivables et donc une perte des moyens de subsistance », a déclaré à l'AFP le scientifique Robert Watson.

     
    Selon les spécialistes, plus de 75 % de la surface de notre Terre subit aujourd’hui — et cela pourrait atteindre plus de 90 % d’ici 2050 — de manière substantielle, les conséquences des activités humaines. © Popsuievych, Shutterstock

    À l’origine de cette dégradation, l’humanité en subira les conséquences

    La dégradation part de la « transformation de toute végétation originelle. Cela peut être la reconversion d'une forêt en terre agricole ou d'une mangrove en élevage de crevettes », a expliqué Robert Watson. Et une gestion déraisonnable des terres provoque une dégradation des sols en causant pollution, érosion, épuisement des sols, qui perdent en nutriments et en productivité. Or, selon l'Organisation des Nations unies pour l'alimentation et l'agriculture, 95 % de notre nourriture provient directement ou indirectement de la terre.

      Il y a donc urgence à agir. Le rapport propose d'ailleurs quelques pistes, comme la mise en œuvre de pratique de gestion du bétail dans les zones de pâturage, la restauration des zones humides par drainage, la plantation d'espècesindigènes ou la remédiation des sols contaminés.

    Il faut sauver les sols

    La dégradation des sols serait « la crise silencieuse du monde » selon l'un des experts internationaux réunis en Islande. Elle participe largement au dégagement de gaz à effet de serre et compliquera la tâche pour nourrir les neuf milliards d'humains qui habiteront la Terre en 2050.

    Article de Jean-Luc Goudet, paru le 05/09/2007

    « D'ici à 50 ans, il faudra produire autant de nourriture que durant les 10.000 dernières années. » Dans leur message préliminaire, les organisateurs du Forum International, qui réunit 150 experts mondiaux du 31 août au 4 septembre à Selfoss, en Islande, annoncent la couleur. Imaginé pour le centenaire du Soil Conservation Service, créé en 1907, ce forum abordera cette question cruciale.

    La dégradation des sols et la désertification, que l'on observe partout dans le monde, constitueront bientôt un problème ardu à résoudre mais qui reste aujourd'hui à peu près ignoré. Andres Arnalds, directeur adjoint du Soil Conservation Service, parle d'une « crise silencieuse ». « Les informations sur la santé des sols dans le monde ne sont pas exactes, affirme-t-il, mais nous savons que les sols et la végétation sont dégradés à un niveau alarmant dans de nombreux pays. Certains estiment que chaque année une surface végétale de la taille de l'Islande disparaît. »

    Cette atteinte aux surfaces cultivables survient alors qu'il faut préparer l'augmentation de production agricole indispensable à court terme pour nourrir les trois milliards d'hommes supplémentaires attendus d'ici une cinquantaine d'années. « La dégradation des sols a un effet dévastateur sur la production de nourriture » insiste Olafur Ragnar Grimsson, responsable du Forum.

     
    En rouge sur cette carte, les zones arides sur notre planète. © USDA, Wikipedia, Domaine public

    De la protection de la terre à celle de la Terre

    Mais d'autres conséquences se font déjà sentir, sur les ressources en eau et sur le climat. « Le sol et le couvert végétal retiennent l'eau et la relâchent progressivement, explique Zafar Adeel, Directeur du Département en charge de l'eau, de l'environnement et de la santé à l'Université Internationale de l'ONU. Là où la végétation se réduit, la résistance des écosystèmes aux autres agressions diminue aussi. » L'effet sur le climat est également connu. La dégradation des sols et la désertification contribuerait pour environ 30 % à l'augmentation de gaz à effet de serre, en réduisant la captation par la végétation.

    Au mois de juin dernier, un rapport de l'ONU, rédigé par 200 experts internationaux sous la direction de Hans van Ginkel, recteur de l'Université des Nations Unies, sonnait déjà l'alarme. Malheureusement passée relativement inaperçue, cette synthèse indiquait que deux milliards d'êtres humains, soit un sur trois, souffraient déjà d'au moins une des conséquences de la dégradation des sols. Zafar Adeel, qui fut un des auteurs de ce rapport, affirmait à l'époque que « les pouvoirs politiques et les décideurs publics ne mesurent pas la gravitéde la situation ».

    Pourtant, les solutions existent. Le rapport de l'ONU en faisait la liste, depuis un frein à la déforestation jusqu'à l'aide aux pays et aux populations en zones désertiques. La protection des sols aurait un impact très efficace sur le bien-être d'un grand nombre de personnes, sur la production agricole et sur la lutte contre l'effet de serre.

    Pour faire entendre ce message, les experts veulent profiter de leur réunion en Islande et, notamment, réclamer la mise en place d'une année internationale de la protection des sols.


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  •    Dans le cadre du budget 2018, Emmanuel Macron avait décidé de supprimer l’essentiel de l’Impôt de solidarité sur la fortune (ISF) et d’abaisser fortement l’imposition des revenus du capital en instaurant un Prélèvement forfaitaire unique (PFU). Tout en accroissant parallèlement les impôts non progressifs comme la Contribution sociale généralisée (CSG) ou les taxes touchant l’énergie ou le tabac. L’ensemble de ces mesures sociales et fiscales a profité quasi exclusivement – mais fortement – aux 5 % des Français les plus riches en termes de revenu selon les estimations de l’OFCE.

    Il s’agissait de combattre plus efficacement l’évasion fiscale que pratiquent surtout les très riches

    Dans ce contexte, le président de la République n’a pourtant pas hésité à annoncer le 1er mai dernier au magazine américain Forbes, spécialisé dans les grandes fortunes, sa volonté d’aller plus loin encore en supprimant en 2019, l’« exit tax » qui avait été mise en place en 2012 par le gouvernement de Nicolas Sarkozy, alors président de la République. A un moment où la dette publique s’envolait du fait de la crise financière de 2008 et de ses suites, il s’agissait en effet de combattre plus efficacement l’évasion fiscale que pratiquent surtout les très riches. Les personnes qui possèdent plus de 800 000 euros de valeurs mobilières et veulent quitter la France pour se domicilier fiscalement dans un autre pays doivent déclarer les plus values latentes accumulées sur les titres composant leur patrimoine. Ces plus values seront ensuite imposées en France lorsque ces titres seront effectivement vendus.

    Une taxe dissuasive

    A lire Alternatives Economiques n°379 - 05/2018

    L'aristocratie du CAC 40. Enquête sur les grands patrons

    Cette taxe ne concerne évidemment que très peu de personnes compte tenu du niveau élevé du seuil de patrimoine retenu. Les enjeux en sont néanmoins importants, de l’ordre de 800 millions d’euros par an pour le budget de l’Etat selon le Conseil des prélèvements obligatoires. Le fait que les rentrées effectives n’aient été que de 70 millions d’euros en 2017 – argument souvent avancé pour justifier l’abandon de cette taxe – signifie tout d’abord que la mesure a probablement été dissuasive. De plus, la plus grande partie des sommes concernées reste due à l’avenir lorsque les plus values seront réalisées.

    Ce serait une grande honte pour la France de figurer parmi les pays qui contribuent le plus à saper la lutte contre la fraude et l’évasion fiscale en relançant le dumping fiscal

    Mais surtout, il est parfaitement justifié pour un Etat de chercher à récupérer les impôts qui lui sont dus sur un tel accroissement de richesses. Celui-ci n’a pu se produire en effet pour une bonne part que grâce aux infrastructures matérielles et immatérielles fournies par la collectivité aux individus qui veulent la quitter via notre système éducatif, notre système de santé, nos infrastructures de transports, les aides apportées aux entreprises avec le Crédit impôt recherche (CIR) ou le Crédit d’impôt compétitivité emploi (CICE)… C’est la raison pour laquelle d’ailleurs, la plupart des pays développés possèdent eux aussi ce type de taxe, parfaitement conforme également aux règles européennes. C’est pourquoi il faudrait réussir à empêcher l’iniquité fiscale supplémentaire que constituerait la suppression de l’« exit tax ». Alors qu’il conviendrait plutôt de renforcer le caractère progressif du système fiscal français, déjà affaibli par les mesures prises dans le cadre du budget 2018. Dans un contexte international marqué par des progrès sensibles en matière de lutte contre la fraude et l’évasion fiscale ces dernières années, ce serait en effet une grande honte pour la France de figurer parmi les pays qui contribuent le plus à saper cette action en relançant le dumping fisca


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  • Cette crise qui n'en finit pas, par ici la sortie (ATTAC)

    2017    252 p.    12 €

       Dans ce nouvel opus décapant, Attac dresse un constat alarmant de cette gigantesque crise mondiale actuelle, qu'elle soit d'ordre économique, social ou écologique. Ciblant avec précision ses causes et ses conséquences, dénonçant implacablement les faux remèdes mis en place pour la contrecarrer et proposant un changement de cap radical pour une transition écologique et sociale, cet ouvrage invite vivement à prendre parti, et à s'engager pour éviter le pire.

       Attac est une association qui milite pour plus de justice sociale et environnementale, et conteste radicalement le pouvoir pris par la finance sur les peuples et la nature.


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