• http://www.commecestbeau.org/

    Point n'est besoin de Rolex, de gadgets électroniques, ou d'amis milliardaires, pour goûter le bonheur simple des jours qui passent..
    Voyez où nous ont conduit la raison raisonnante, la technologie débridée et la science arrogante, la volonté de puissance et de conquête, l'avidité financière et l'obsession de la croissance...
    C'est d'autre chose dont nous avons aujourd'hui besoin : de compassion pour la Terre, de frugalité, de silence et de beauté... Et surtout : de ce souci attentif de l'autre, qui est attribut du féminin...
    Tout cela nous pouvons l'entretenir en nous en cultivant un "état de poésie", une autre vision de la vie, que nous enseignent certains poètes et artistes, ainsi qu'en témoigne le contenu de ce site.
    Celui-ci comporte deux parties : une partie variable d'articles mis en ligne au fil des jours, et une partie fixe - le catalogue - comportant des documents introuvables ou épuisés.

    Qui sommes-nous ?

    Ce site a été créé et est administré par Jean-Louis Gueydon de Dives, par ailleurs créateur de la Fondation pour une Terre Humaine ( http://www.terrehumaine.org ), fondation qui aide par des subventions les petites associations de défense de l’environnement.

    Il y a une continuité entre le travail de la fondation et les buts poursuivis dans ce site : l’idée générale c’est que le changement nécessaire du monde ne viendra que par les changements individuels de comportements, et que ceux-ci ne se produiront que si les individus ressentent réellement en eux la souffrance de la Terre et des êtres vivants. Ressenti plutôt que raisonnement utilitaire, lequel n’a jamais conduit à protéger vraiment l’environnement.


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  • La défense de l’environnement, c’est vital !!

      http://www.terrehumaine.org/terre-humaine

    La Fondation pour une Terre Humaine (FTH) a pour vocation de soutenir le travail des associations de défense de l’environnement, en les aidant par différents moyens : subventions, mises en réseau, mises en relation avec des bailleurs de fonds, etc.

    Nous sommes en effet convaincus que le rôle des associations est essentiel : ce sont elles - et elles seules - qui tirent les sonnettes d’alarme, qui poussent aux changements nécessaires, qui proposent des alternatives constructives, et qui portent l’espoir d’un monde meilleur.

    Car c’est bien d’espoir dont nous avons tous besoin, et ce ne sont pas les petits hommes gris obéissants, ou les idéologues en tous genres, qui vont porter nos espoirs, mais bien plutôt ceux qui désobéissent, qui agissent spontanément avec le coeur, qui s’indignent du cours "habituel" des choses, et qui sont en relation avec tous les êtres vivants.

    Ce site est destiné à tous ceux là, les PORTEURS D’ESPOIR, afin qu’ils sachent qu’ils ne sont pas seuls dans leurs luttes.

    La Fondation a été créée en 2001 par quelques personnes privées, soucieuses de l’état de l’environnement. C’est une Fondation reconnue d’utilité publique dont le siège est à Fribourg en Suisse. Elle est uniquement financée par des dons de personnes physiques, et ne sollicite aucune subvention publique, ni aucune subvention auprès d’entreprises.

    Domaines prioritaires d’intérêt

    La Fondation s’intéresse en priorité aux initiatives de personnes changeant effectivement leurs modes de vie et manières de faire.

    Depuis quelques années en effet, la prise de conscience générale des problèmes environnementaux a entraîné de nombreuses initiatives de sensibilisation, d’information, de formation, de plaidoyer, etc, pas toujours accompagnées de mises en œuvre concrètes. C’est pourquoi, ne pouvant satisfaire toutes les demandes de subventions, nous avons décidé de ne plus aider que les projets incluant des actions concrètes et des changements effectifs des porteurs de projets dans leur propre vie.

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  •  
                                                                     2015   249 p.   17 €
     
       Pendant plus d'un an, Audrey Jougla a enquêté en caméra cachée dans les laboratoires publics et privés français pour comprendre la réalité de l'expérimentation animale. Quels sont les tests pratiqués aujourd'hui ? Dans quel but ?
       En Europe, plus de 11, 5 millions d'animaux subissent chaque année des tests, qui ne concernent pas seulement les rongeurs mais de nombreuses espèces familières comme les chats, les chiens, les chevaux ou les singes. En poussant les portes de ces lieux interdits au grand public, où personne n'a encore pu accéder sans effraction, Audrey Jougla nous embarque dans le récit de son aventure aux côtés des militants de la cause animale. Une enquête inédite et un récit saisissant sur la souffrance infligée aux animaux, qui interroge notre humanité face à l'absurdité de la violence.

        Diplômée de Sciences Po Paris, Audrey Jougla a été journaliste avant de reprendre ses études de philosophie. Passionnée d'éthique animale, elle obtient les félicitations du jury pour son mémoire de recherche sur la question de l'expérimentation animale comme "mal nécessaire". Elle est co-auteur de

        -Nourrir les hommes, Un dictionnaire (Atlande, 2009).   

      Le 27 avril 2016 dernier, Audrey Jougla est passé à Webedia pour une longue interview sur cet essai nourri d'une réflexion très documentée aux révélations impitoyables.( http://www.mandor.fr/tag/audrey+jougla )Interview:

    Ce qui m’a surpris, c’est que j’ai lu ton livre comme un thriller.

    J’ai raconté simplement, chronologiquement l’enquête et toutes les phases par lesquelles je suis passée. Il ne s’agissait ni de faire quelque chose de théorique, ni quelque chose de journalistique. Je voulais qu’il y ait de l’émotion et que ce livre soit incarné.

    Cette cause te touche-t-elle depuis longtemps ?

    Je suis végétarienne depuis toute petite. Pendant longtemps, je n’ai rien fait pour les animaux, je faisais juste un chèque pour certaines associations. A 25 ans, je me suis dit qu’il fallait que je milite activement. J’ai commencé à tracter et  à manifester.

    Tracter t’as apporté beaucoup?

    C’est une excellente formation. On apprend tout en tractant. On a très peu de temps et on est souvent face à des réactions épidermiques chez les gens. On constate les préjugés qui nous reviennent constamment.

    On vous reproche quoi le plus souvent ?

    On nous demande souvent pourquoi on ne fait pas ça pour les humains.

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  • Naomi Klein : «Il faut être fou pour croire aux conférences climat»

    Par Christian Losson , Isabelle Hanne et Coralie Schaub 8 avril 2015 
    http://www.liberation.fr/futurs/2015/04/08/il-faut-etre-fou-pour-croire-aux-conferences-climat_

    La journaliste et militante canadienne Naomi Klein était à Paris, vendredi, pour la sortie de son livre, "Tout peut changer"  

    De passage à Paris pour la sortie de son dernier livre, Tout peut changer ( Editions Actes Sud, 640 pp., 24,80 €.), l’altermondialiste canadienne Naomi Klein enchaîne conférences et entretiens pour appeler à la convergence des mouvements anti-austérité avec ceux pour la défense du climat.

    Quand avez-vous pris conscience de l’ampleur de la crise climatique ?

    Je n’ai jamais nié le changement climatique. Mais je ne l’ai vraiment regardé en face qu’à partir de 2009, après avoir rencontré Angélica Navarro, une ambassadrice bolivienne. Elle comparait la question de la dette climatique [des pays du Nord, qui ont une responsabilité historique vis-à-vis de ceux du Sud, ndlr] aux réparations pour l’esclavage. Mais ce livre découle aussi du précédent, la Stratégie du choc, dans lequel je parlais de l’ouragan Katrina qui a ravagé La Nouvelle-Orléans en 2005. Katrina était un aperçu du futur que nous sommes en train de créer. De plus en plus de désastres, auxquels nous répondons avec de plus en plus de brutalité, d’inégalités, de militarisation. Cette frénésie de privatisations - des écoles ou de la police -, ces mercenaires qui sillonnaient les rues… C’était de la science-fiction.

    Croyez-vous encore aux négociations de l’ONU pour répondre au défi climatique ?

    Il faut être fou pour croire au processus onusien : depuis vingt-cinq ans qu’on essaye de réduire les émissions mondiales de gaz à effet de serre, celles-ci ont grimpé de 60% ! Je ne dis pas que c’est un processus inutile, ni qu’il faut l’abandonner. Mais y croire aveuglément et le laisser suivre son cours, seul, serait pure folie. Car le bilan, jusqu’ici, est consternant. Sans une pression immense, cela ne va pas s’améliorer. Le niveau de réduction d’émissions que les gouvernements mettent sur la table en vue de la conférence de Paris est totalement insuffisant pour maintenir la hausse des températures mondiales en dessous de 2°C par rapport à l’ère préindustrielle.

    Vous n’attendez pas grand-chose, donc, de cette conférence de Paris ?

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  •                                                                               2015    256 p.   22 €

    Le développement économique de l'Asie menace-t-il notre approvisionnement en métaux? Les ressources de la Terre sont-elles inépuisables? L'activité minière est-elle compatible avec un développement durable?
      Flambée des cours, tensions géopolitiques... les ressources minérales sont régulièrement au coeur de l'actualité.   Or, Cuivre, Charbon, Terres rares... : Michel Jébrak présente dans cet ouvrage un panorama de la production mondiale et ses enjeux socio-économiques.

      Michel Jébrak, professeur au Département des sciences de la Terre et de l’atmosphère et vice-recteur à la recherche et à la création de l’UQAM, docteur ès sciences (Université d’Orléans), a reçu plusieurs distinctions prestigieuses et prix internationaux, entre autres, le Marteau d’or, le Mérite géoscientifique, Ressources minérales et le prix Conférencier émérite CIM. Comptant à son actif près de soixante-dix publications scientifiques ainsi que plus d’une centaine de conférences, ses recherches actuelles portent sur les systèmes hydrothermaux dans la croûte continentale, de l’observation à la simulation numérique ainsi que sur leurs applications dans le domaine des ressources minérales et à l’environnement. Il est passionné par l’innovation et le développement des savoirs au sein de la société. 

    Revue de presse

    " Michel Jébrak [...] offre un panorama mondial de la production et de la consommation des ressources minières " L'Ecologiste
     

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  •  
     
    2003    410 p.    20 €
     
         L'ère du développement fait suite à celle de la colonisation, tout comme l'ère de la mondialisation prend le relais de celle du développement. L'occidentalisation du monde et l'uniformisation planétaire se renforcent avec l'accumulation sans limite du capital sous la domination toujours accrue des firmes transnationales.
       La guerre économique et les inégalités ne se déploient plus seulement entre les peuples mais aussi au sein des espaces nationaux.
       La destruction de l'environnement est universelle. Il n'y a d'avenir écologique, culturel et politique soutenable et souhaitable qu'au-delà d'une nécessaire décolonisation de l'imaginaire.
       Il faut sortir non seulement de la mondialisation, mais encore du développement, en secouant le joug de la dictature de l'économie.
      Les questions soulevées dans ce livre sont nombreuses et essentielles :
      Quels sont les " habits neufs " du développement ?
      L'économie criminelle est-elle l'avenir ou la vérité du développement ?
      Ne sommes-nous pas dans un processus de développement suicidaire ?
      Pourquoi ne pas laisser les pauvres tranquilles ?
      Comment répondre à l'oppression politique du développement ?
      Comment survivre au développement ?
      Y a-t-il des alternatives au développement ?...
     

    Sommaire 

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  • Petit manuel de transition(

    2016    112 p.   7,50 € (Editions Les liens qui libèrent)

     Nouvelle édition revue et augmentée

       Voici le Manifeste d'attac, à l'instar de celui des économistes atterrés, pour changer notre modèle politique et économique.

      L’Europe est au bord du gouffre et la planète ne va guère mieux. Licenciements, montée du chômage et de la pauvreté, austérité, spéculation, pollutions, dérèglement du climat, démocratie en berne… le néolibéralisme va de crise en catastrophe.

      Il est grand temps de bifurquer ! De rompre résolument avec ce capitalisme débridé, intrinsèquement inégalitaire et productiviste. D’engager la transition écologique et sociale. De remettre la démocratie au poste de commande.

      Dans ce « Petit manuel de la transition » publié aux éditions Les liens qui libèrent, Attac met en débat 40 propositions pour changer de modèle. 40 propositions et une méthode : la construction des convergences.Car si les mouvements sociaux ne parviennent pas à travailler ensemble, nous serons emportés par les désastres qui s'annoncent, une multitude de solutions concrètes pour changer de modèle et propose :

    • une cible : l’hégémonie de la finance ;
    • un objectif qui est aussi un instrument : la prise de pouvoir des citoyens sur leur vie ;
    • une méthode : la construction de convergences entre les mouvements sociaux, du local au global.

      Les propositions présentées dans ce nouvel opus s’inscrivent dans un choix de société qui pose les bases d’une véritable émancipation humaine. Du local au global, à court terme ou à plus long terme, elles s’articulent autour de 6 grands thèmes : mettre au pas la finance ; refuser la menace de la dette, l’austérité et la compétitivité ; engager la transition écologique ; relocaliser ! ; aller vers la justice sociale et l’égalité réelle ; en finir avec l’oligarchie, étendre et approfondir la démocratie.   

      Commande comités locaux, merci d’envoyer un mail à materiel-militant@attac.org.


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  • 2015    168 p.   15 €

       Si le XXIe siècle semble encore très dépendant du pétrole, l´huile de roche est pourtant d´un usage très ancien. Sumériens et Indiens d´Amérique la connaissaient, et Dieu lui-même aurait conseillé à Noé de s'en servir pour son Arche. Souvent au mépris du droit, de la paix et de la démocratie, le dernier siècle a quant à lui prouvé notre addiction à l´égard d´un carburant inégalé.

      Or face aux nouveaux impératifs écologiques, l´impossibilité d´un mix énergétique idéal nous oblige à repenser les rouages politique, économique, industriel et fiscal en amont et en aval de son extraction. S´ouvrant sur une étude du cas saoudien, premier producteur mondial dans une région très instable, c´est à une passionnante socio-anthropologie que se prête ici Alain Gras.

       Alain Gras est actuellement professeur émérite à l'Université Paris I Panthéon-Sorbonne. Il a fondé en 1989 le Centre d'Étude des Techniques, des Connaissances et des Pratiques (CETCOPRA), autour du thème de la socio-anthropologie des techniques et de la réflexion sur le devenir technologique et le sens du progrès. Études de mathématiques et de physique en même temps que de sciences politiques et de sociologie à Paris. Études à l'université de Stockholm (M. S. Sc.), thèse de 3e cycle sous la direction de Jean-Claude Passeron et de Raymond Aron sur les intellectuels suédois ; thèse d'État sur Les formes du temps social (1984 avec Georges Balandier).

      Chercheur au Centre Européen de Sociologie Historique (EHESS, dir. R. Aron) puis Centre de Sociologie des Arts (EHESS, dir. R. Moulin) jusqu'en 1989. Professeur à HEC, assistant puis associé jusqu'en 1989, Maître de Conférence puis Professeur titulaire (1986) à l'Université de Paris 1. Professeur invité à l'Université de Valencia.

      Travaux sur le devenir du système éducatif, puis sur la prospective, en France, en Suède, au Ghana, au Maroc, expert du PNUD BIT au Ministère du Travail (Brésil) dans les années 1980. Création avec l'Université de Valencia d'un réseau européen latin de recherche sur la société post-carbone.

    Il a ensuite longtemps développé une intense collaboration avec l'aviation en liaison avec un autre centre d'intérêt principal, sur le plan théorique, qui est la recherche sur les macro-systèmes techniques comme objet en devenir, central dans la société moderne. Une sévère critique du progrès technique accompagne cette réflexion.

      Ses activités se sont orientées maintenant vers le débat écologique et il participe à plusieurs revues (L’Écologiste, La Décroissance, Entropia) en tant qu’auteur, et chroniqueur dans ce domaine. Cofondateur d’Entropia, revue d’étude théorique et politique de la décroissance.

     Il a publié entre autres:

    • Les imaginaires de l'innovation technique, Manucius, 2012
    • Le choix du feu – Aux origines de la crise climatique, Fayard, 2007
    • Fragilité de la puissance, se libérer de l'emprise technologique, Fayard, 2003

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  •                                                              2016    168 p.    11 € 

       La guerre de l'information fait rage : vidéos de l'Etat islamique, propagande et contre-propagande en Ukraine, affrontements d'images entre le Hamas et Israël, polémiques visuelles sur les multiples rebondissements de la guerre civile en Syrie,... Les fabricants d'intox oeuvrent dans tous les camps.
      Il ressort de ce constat que la franchise, pas plus que l'abjection, ne sont des clés de succès. L'auteur rapporte des récits édifiants et des histoires méconnues, analyse et documente ces nouvelles guerres de propagande, qu'elles soient étatiques, militaires, citoyennes ou économiques.
      Un objectif : désintoxiquer le citoyen et lui apprendre à se prémunir de tous ces enfûmages sophistiqués dont il est parfois la cible, parfois la victime collatérale. 
     

      Christian Harbulot (1957), directeur de l'École de guerre économique (EGE) à Paris, est considéré comme l'un des meilleurs spécialistes de l'intelligence économique. Il est également l'auteur de:

      -Sabordage. Comment la France détruit sa puissance (Éditions nouvelles François Bourin, 2014)

      et a dirigé l'édition du

       -Manuel de l'intelligence économique (PUF).


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  • A propos de ma radiation de l’Ordre des Médecins : une extrême gravité Par Mr Henri Joyeux (23/08/2016)

    La lettre du Professeur Joyeux

    Chers amis de la Santé,

    J’ai appris par voie de presse ma radiation de l’Ordre des Médecins à compter du 1er décembre 2016.

    Les médias, dont ceux qui font la publicité des fabricants de vaccins, se sont chargés d’informer très largement le grand public.

    Par cette décision du 8 juillet (prise par la chambre disciplinaire du Conseil Régional de l’Ordre des Médecins, Languedoc-Roussillon), on veut m’interdire d’exercer mon métier de médecin cancérologue.

    Comme il ne m’est rien reproché sur le plan strictement professionnel mais qu’on me reproche de m’être exprimé publiquement, c’est qu’on cherche à me faire taire. 

    J’ai reçu un très grand nombre d’encouragements, par téléphone ou mails, de France comme de l’étranger, à la fois de collègues, de consœurs et confrères médecins et d’un très grand nombre de patients connus ou inconnus qui ne comprennent pas une telle décision disciplinaire.

    Soyez-en ici très chaleureusement remerciés, car je n’ai pas pu le signifier à chacun par manque de temps d’autant qu’il m’a fallu préparer ma défense.

    J’ai d’abord été conforté par la position immédiate du Conseil de l’Ordre des Médecins de mon département qui a décidé de faire appel face à la gravité de la sanction. Je remercie très chaleureusement toute l’équipe autour du président du Conseil de l’Ordre de l’Hérault à Montpellier.

    Heureusement, l’appel auprès du Conseil national de l’Ordre des Médecins a un effet suspensif

    J’ai donc pu poursuivre des consultations bénévoles en différents endroits pendant l’été.

    J’ai pris conseil et travaillé avec un avocat, étonné comme moi et mes collègues de Montpellier par la gravité de la sanction. Je conteste non seulement la sanction – la plus lourde qui soit à l’encontre d’un médecin, en principe réservée à des gens qui ont commis des faits pénalement répréhensibles -, mais avant tout je réfute le principe même de toute faute déontologique.

    Etre mis au ban de la médecine comme si j’avais assassiné, volé, violé, comme si j’étais incompétent et dangereux, après 40 ans d’exercice de ce métier où j’ai tout fait pour donner et donner encore le meilleur de moi-même, être sans cesse au courant des découvertes les plus récentes, est insupportable tant pour ma personne, ma famille que pour mes nombreux élèves et les très nombreux patients que j’ai soignés, que je consulte et conseille encore régulièrement.

    Je reste déterminé, car les accusations portées contre ma personne sont entachées de nombreuses erreurs. La plus importante est que je ne suis pas contre les vaccins, en particulier ceux qui sont obligatoires, mais lanceur d’alerte contre les abus consistant à imposer des vaccins non nécessaires à un nouveau né de 2 mois et même avant sa mise au monde.

    Tout cancérologue doit bien connaitre le système immunitaire

    Je reconnais l’importance du système immunitaire pour comprendre et éviter les nombreuses maladies liés à des défenses immunitaires fortement perturbées, par bactéries, virus, champignons ou parasites dans telle ou telle partie du corps, et l’intérêt des thérapeutiques dites ciblées utilisées de plus en plus efficacement en cancérologie.

    Je demande à ce que le carnet de vaccination soit revu de fond en comble, afin que l’allaitement maternel soit proposé en première intention et que les vaccinations dites recommandées restent de la responsabilité exclusive des médecins référents. Sollicités par les familles, contrôlés sans cesse par l’assurance maladie, poussés par les publicités, mes confrères et consœurs médecins sont parfois désorientés. Ils savent parfaitement que les vaccinations des nouveaux nés dépendent d’abord de la santé des parents et que le système immunitaire d’un enfant nouveau né en bonne santé a besoin de 1000 jours après sa conception pour être mature et fonctionnel, c’est à dire pas avant l’âge de 2 ans.

    On cherche à médicaliser l’émotion dès la naissance ou même avant

    Ainsi peut-on proposer la généralisation des vaccinations sans tenir compte de l’état de santé des parents et en ne tenant aucun compte des effets délétères des vaccinations imposées si précocement à des nouveaux nés naturellement fragiles.

    En dehors de cas très particuliers, la vaccination à 2 mois contre l’hépatite B et dès 9 à 12 ans contre les papilloma virus responsables de maladies sexuellement transmissibles, est totalement abusive et impose de résister à de fausses bonnes solutions car prises en dépit de certaines réalités et parfois du bon sens.

    Je crains de ne pas être convoqué, par les responsables de la concertation citoyenne sur les vaccins (http://concertation-vaccination.fr), pour représenter un très grand nombre de personnes qui perdent chaque jour un peu plus confiance dans la médecine traditionnelle face aux excès thérapeutiques, en particulier avec la généralisation abusive des vaccinations.

    A la mi-août, la pétition ”Vaccin obligatoire : les Français piégés par la loi et les laboratoires !” <http://petition.ipsn.eu/penurie-vaccin-dt-polioa été signée par un grand nombre de personnes, dépassant 1 million 74 000 signataires. Il faut continuer à la faire connaître.

    J’ai décliné une pétition pour me soutenir, car j’ai pensé qu’il était plus important et urgent que les 1 million 74000 signataires soient entendus et qu’enfin soit annoncée la re-fabrication du seul vaccin obligatoire le DTP sans Aluminium, cet adjuvant dont on ne peut plus cacher les effets délétères, qui est ajouté pour stimuler une immunité encore immature.

    A propos de la concertation citoyenne qui veut ”réconcilier les français avec la vaccination”

    Sachez que je prépare un argumentaire étayé que j’enverrai à mes collègues nommés par la ministre de la Santé pour le débat sur la vaccination (http://concertation-vaccination.fr) qui a commencé, auquel je n’ai pas été convié. Ce débat citoyen a pour but ”de réconcilier les français avec la vaccination”.

    Je crains surtout que ne soit recherchée la couverture vaccinale la plus large, dès la naissance, soi-disant contre le plus grand nombre de maladies. Et cela sans certitude d’efficacité, en utilisant le mot ”exigibilité” pour le plus grand nombre d’institutions (milieu scolaire en particulier) et de structures (crèches, maisons de retraite…).

    Etre lanceur d’alerte auprès du grand public quand on n’est pas entendu par les responsables politiques est-il si répréhensible ?

    Restant à votre service, toujours pour la meilleure santé de vos familles et de vos enfants, je souhaite à toutes et à tous une bonne fin de vacances et une bonne reprise pour celles et ceux qui sont déjà au travail.

    Professeur Henri Joyeux


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  • TDAH, hyperactivité et troubles du comportement : la solution est peut-être dans l’assiette

    Hyperactivité et nourriture

    « Ne tient pas en place », « turbulent », « gère mal ses émotions », « perturbe ses camarades » ou bien à l’opposé : « distrait », « timide », « dans la lune », « tête en l’air », « n’arrive pas à se concentrer », etc. Si vous retrouvez ces remarques dans son bulletin, cherchez dans son assiette, vous y trouverez des éléments de réponse. Une étude faite sur des enfants prouve que les additifs alimentaires nuisent à leur santé, et plus particulièrement sur leurs comportements. Preuve en images.

    Docteur Jekyll & Mister Hyde

    En 1941 sort aux écrans un film d’épouvante : Docteur Jeckyll et Mister Hide, une adaptation filmographique d’une courte nouvelle écrite soixante ans plus tôt par Robert Louis Stevenson. Aujourd’hui, on en rigolerait. Mais à l’époque, elle marqua de nombreuses âmes sensibles. Et ma mère en fît partie. Et pourtant elle l’a vu trente ans plus tard, soit dans les années soixante-dix.

    Ce film raconte l’histoire d’un médecin (Dr Jekyll) qui, à cause d’un breuvage de son invention, se transforme en monstre (Mister Hide) d’une sauvagerie incontrôlable qui arpente « tous les soirs les ruelles mal famées de Londres, heureux de satisfaire ses instincts violents »1.

    Quand je vois le comportement de certains enfants, je ne peux m’empêcher de penser à cette histoire.

    Lorsque j’ai commencé, par exemple, à exercer en cabinet, une mère est venue consulter pour le comportement particulièrement difficile de sa fille. Elle avait quatre ans, ne tenait pas en place, n’écoutait personne, brutalisait les objets, provoquait sa mère, rentrait dans des colères phénoménales, se roulait par terre en hurlant à la moindre contrariété, et rien, absolument rien, ne la calmait. Il y avait une telle tension intérieure, une telle agressivité, qu’il fut impossible de la mettre en maternelle. Le maîtresses abandonnèrent.

    On aurait dit qu’un sort avait été jeté, que la cigogne s’était trompée en livrant l’enfant à une mauvaise adresse tellement le contraste entre la mère – douce et calme – et l’enfant était choquant. Mais la mère, aujourd’hui, arrivait au bout de ses limites. Elle n’arrivait plus à gérer sa fille.

    Il me fut d’ailleurs impossible de l’ausculter. Je dus me battre pour qu’elle ne sorte pas de la pièce !

    Devant ma difficulté à la cadrer, je fis appelle à une collègue, chez qui nous nous étions tous donnés rendez-vous. Je pressentais que la séance allait être difficile.

    Cette dernière se plaça à la tête pendant que j’occupais la petite pour la faire rester sur la table d’auscultation. Elle se débâtit, hurla comme si on l’égorgeait, me frappa et tira sur ma chemise si fortement que j’ai cru qu’elle allait me la déchirer.

    Nous avions testé si la présence de la mère changeait quelque chose. Rien. Au final, devant notre échec, ma collègue reconduisit le rendez-vous, en demandant d’arrêter tout produit laitier.

    La mère, pour la première fois, nota un petit changement. Ma collègue avait trouvé la brèche, s’y engouffra et aida la mère à libérer sa fille.

    J’ai rarement rencontré des cas aussi extrêmes, mais c’était la première fois que je voyais combien un aliment pouvait rendre fou. Finalement, peut-être que ce dangereux breuvage inventé par Dr Jekyll existe vraiment ? D’ailleurs, on sait depuis longtemps que lait, gluten et sucre peuvent engendrer chez des individus sensibles de graves troubles neurologiques. Il est dit d’ailleurs dans le reportage sur le jeûne que les médecins russes virent des schizophrènes guérir après des restrictions alimentaires. Mais ceci ne veut pas dire que le jeûne guérit tous les schizophrènes !

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  •  « Le mensonge dans lequel nous vivons », une vidéo qui fait le tour du monde

       http://sousesprit.com/le-mensonge-dans-lequel-nous-vivons/

    « Le mensonge dans lequel nous vivons », une vidéo qui fait le tour du monde

        

       Le mensonge dans lequel nous vivons (“The Lie We Live“) est un court-métrage écrit et réalisé par Spencer Cathcart qui donne son regard sur le monde actuel.    Cette fameuse vidéo, « The Lie We Live » (Le mensonge dans lequel nous vivons) est en train de faire le tour du monde et c’est compréhensible ! Le narrateur y présente pas mal de faits qui ne tournent pas rond dans notre société, de quoi faire réfléchir les plus petits et les plus grands et de quoi nous ouvrir les yeux sur le monde dans lequel nous vivons. Le but de tout être humain est d’atteindre le bonheur, mais à quel prix ? Prenez le temps de partager cette vidéo à vos proches, qu’elle soit vue par le plus de monde possible…


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  •                                                          2011     372 p.    21,50 € 

      " Nous allons vous rendre le pire des services, nous allons vous priver d'ennemi ! ", avait prédit en 1989 Alexandre Arbatov, conseiller diplomatique de Mikhaïl Gorbatchev. L'ennemi soviétique avait toutes les qualités d'un " bon " ennemi : solide, constant, cohérent. Sa disparition a en effet entamé la cohésion de l'Occident et rendu plus vaine sa puissance.
       Pour contrer le chômage technique qui a suivi la chute du Mur, les États (démocratiques ou pas), les think tanks stratégiques, les services de renseignements et autres faiseurs d'opinion ont consciencieusement " fabriqué de l'ennemi " et décrit un monde constitué de menaces, de risques et de défis.
       L'ennemi est-il une nécessité ? Il est très utile en tout cas pour souder une nation, asseoir sa puissance et occuper son secteur militaro-industriel. On peut dresser une typologie des ennemis de ces vingt dernières années : ennemi proche (conflits frontaliers : Inde-Pakistan, Grèce-Turquie, Pérou-Équateur), rival planétaire (Chine), ennemi intime (guerres civiles : Yougoslavie, Rwanda), ennemi caché (théorie du complot : juifs, communistes), Mal absolu (extrémisme religieux), ennemi conceptuel, médiatique...
       Comment advient ce moment " anormal " où l'homme tue en toute bonne conscience ? Avec une finesse d'analyse et une force de conviction peu communes, Pierre Conesa explique de quelle manière se crée le rapport d'hostilité, comment la belligérance trouve ses racines dans des réalités, mais aussi dans des constructions idéologiques, des perceptions ou des incompréhensions. Car si certains ennemis sont bien réels, d'autres, analysés avec le recul du temps, se révèlent étonnamment artificiels.
       Quelle conséquence tirer de tout cela ? Si l'ennemi est une construction, pour le vaincre, il faut non pas le battre, mais le déconstruire. Il s'agit moins au final d'une affaire militaire que d'une cause politique. Moins d'une affaire de calibre que d'une question d'hommes.

        Pierre Conesa, agrégé d'histoire et ancien élève de l'ENA, fut membre du Comité de réflexion stratégique du ministère de la Défense. Enseignant à Sciences-Po, il écrit régulièrement dans le Monde diplomatique et diverses revues de relations internationales. Il est notamment l'auteur de

       -Guide du Paradis : publicité comparée des au-delà (L'Aube, 2004 et 2006) et de

       -Les Mécaniques du chaos : bushisme, prolifération et terrorisme (L'Aube, 2007).


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  •   « Quand j’ai commencé à lire Chomsky, je me suis dit que son déploiement d’arguments, leur quantité, leur implacabilité, étaient un peu, comment dire, insensés. Un quart des arguments qu’il avait amassés auraient suffi à me convaincre. J’avais l’habitude de me demander pourquoi il devait travailler tant. Mais maintenant, je comprends que l’amplitude et l’intensité du travail de Chomsky sont un baromètre de l’amplitude, de l’étendue et de l’implacabilité de la machine de propagande à laquelle il fait face. »

    [Arundhati Roy, The Hindu, 2003]

      Si la liberté d'expression se limite aux idées qui nous conviennent, ce n'est pas la liberté d'expression.

    Si l'on ne croit pas à la liberté d'expression pour les gens qu'on méprise, on n'y croit pas du tout.

      Si nous avions un vrai système d'éducation, on y donnerait des cours d'autodéfense intellectuelle.

       Pour une éducation humaniste de Noam Chomsky
       L’éducation ne consiste pas à remplir un contenant mais, bien plutôt, à accompagner l’éclosion d’une plante    (en d’autres termes, à préparer le terrain où fleurira la créativité).
     
        La doctrine des bonnes intentions de Noam Chomsky
       "Il faut détruire les syndicats, il faut détruire les interactions entre les gens, il faut les atomiser, pour qu'ils ne   se soucient plus les uns des autres. Voilà ce qu'il y a vraiment derrière l'assaut contre les caisses de retraites."
      
       Comprendre le pouvoir : Tome 1 de Noam Chomsky
       La véritable éducation consiste à pousser les gens à penser par eux-mêmes.
      ----
       Étant donné la structure du pouvoir dans la société où fonctionnent les écoles, leur rôle institutionnel est  surtout de former les gens à l'obéissance et au conformisme, et de les rendre manipulables et endoctrinés. (...) Et ce processus commence dès la maternelle.
     
        L'an 501 : La conquête continue de Noam Chomsky
       Par miracle économique, on entend un ensemble intégré de belles statistiques macroéconomiques, de grands profits pour les investisseurs étrangers et de vie de luxe pour les élites locales ; avec, en petits caractères, un accroissement de la misère pour la majorité de la population.
     
      La doctrine des bonnes intentions de Noam Chomsky
    "Plus vous jouissez de privilèges, plus vous êtes responsables."
     
      Dominer le monde ou sauver la planète ? : L'Amérique en quête d'hégémonie mondiale de Noam Chomsky
    Un principe intellectuel et moral fondamental veut que les puissants fassent la loi. C'est une règle essentielle de l'ordre mondial, de même que dans la Mafia. Toute ressemblance n'est d'ailleurs pas fortuite.
     
         Futurs proches de Noam Chomsky
    La "thèse dominante" émane des riches et des puissants, qui, après avoir promu la libéralisation de l'économie pour autrui (et parfois aussi pour eux même), y ont acquis une position dominante et se sont disposés à affronter la concurrence dans des conditions identiques à tous, c'est-à-dire dans un contexte qui leur est nettement favorable. Certains historiens de l'économie comparent cette conduite à celle de quelqu'un "qui, parvenue au sommet de l'édifice, renvoie l'échelle d'un coup de pied afin d'empêcher les autres de le rejoindre", puis de déclarer avec suffisance: "Jouons franc-jeu, à armes égales."
        
         Le Bien commun de Noam Chomsky
        Pour Aristote, la démocratie doit nécessairement être participative (même s'il en exclut notamment les femmes et les esclaves) et viser le bien commun. Pour fonctionner, elle doit veiller à ce que tous les citoyens jouissent d'une égalité relative, d'une fortune moyenne, mais « suffisante » et d’un accès durable à la propriété.
    Autrement dit, Aristote considère qu'un régime ne peut être sérieusement qualifié de démocratique si les inégalités entre riches et pauvres y sont trop grandes. la véritable démocratie correspond pour lui à ce qu'on qualifierait aujourd'hui d'État-providence, mais dans une forme radicale allant bien au-delà de tout ce qu'on a pu envisager au XXème siècle.
        L’idée voulant que grandes fortunes et démocratie ne puissent coexister fera son chemin jusqu’aux Lumières et au libéralisme classique, notamment chez des figures comme Alexis de Tocqueville, Adam Smith et Thomas Jefferson, qui en assumeront plus ou moins les implications.
    /…/
        James Madison (quatrième président des Etats Unis de 1809 à 1817), loin d’être bête, était conscient du problème, mais, contrairement à Aristote, il s’employait à limiter la démocratie. Selon lui, le principal objectif d’un gouvernement consistait à « protéger la minorité des possédants contre la majorité. »
    /…/
        Madison a donc conçu un système destiné à empêcher la démocratie de fonctionner, où le pouvoir serait  détenu par « une équipe d'hommes parmi les plus compétents », ceux auxquels appartenait « la richesse de la nation ». Au fil des ans, les autres citoyens seraient relégués aux marges ou divisés de diverses façons: découpages des circonscriptions électorales, obstacles aux luttes syndicales et à la coopération ouvrière, exploitation des conflits interethniques, etc..
    /.../
        Il est fort peu probable que ce que l'on considère aujourd'hui comme les "conséquences inévitables du marché"   puisse être toléré dans une société vraiment démocratique.

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  •                                                                2012     274     19 €   

       Avec la précision d un procureur aguerri et la force morale d un prophète de l'Ancien Testament, Garry Leech révèle que la puissance qui gouverne le monde à notre insu est responsable de dizaines de millions de morts chaque année. Ses actes sont froidement calculés ; ses crimes, prémédités ; les preuves, indiscutables. Mais le monstre n'a pas de visage, ou plutôt il en a mille.

      Mu par une avidité sans limites, il contrôle tout, avale tout, détruit tout. Son nom : la mondialisation néolibérale ; son géniteur : le capitalisme.

      Puisant dans l'histoire bouleversante des paysans dépossédés de leurs terres au Mexique et en Inde, dans celle des Africains qui meurent par millions chaque année faute de soins, Garry Leech démonte méthodiquement les mécanismes meurtriers de la mondialisation néolibérale et livre un réquisitoire implacable sur la nature génocidaire du capitalisme.

       Ouvrage essentiel et révélateur, Le Capitalisme : Un génocide structurel ne se contente pas de dresser l'acte d'accusation du capitalisme et de remettre en cause la mondialisation néolibérale, il montre aussi comment les révolutions d'Amérique Latine peuvent établir les fondations d'une alternative mondiale viable, plus égalitaire, plus démocratique. Dans le sillage de la crise financière globale et des coupes sombres budgétaires appliquées par les gouvernements dans le monde entier, tous les « Indignés » de la Terre, qu'ils participent au mouvement Occupy Wall Street, aux révolutions d'Amérique Latine ou aux manifestations contre l'austérité en Europe, trouveront sans nul doute dans ce livre un guide pour continuer le combat.

       Garry Leech est l'auteur de nombreux ouvrages, dont : The FARC: The Longest Insurgency (Zed Books, 2011) ; The Failure of Global Capitalism: From Cape Breton to Colombia and Beyond (CBU Press, 2009) ; Beyond Bogotá: Diary of a Drug War Journalist in Colombia (Beacon Press, 2009) ; Crude Interventions: The United States, Oil and the New World (Dis)order (Zed Books, 2006).

       Il est directeur du Centre for International Studies et maître de conférences au département de Sciences Politiques de l'université de Cap-Breton, au Canada. 

    Revue de presse

    Au fur et à mesure que les gens s'opposent à ce système meurtrier, ils trouveront dans « Le Capitalisme : Un génocide structurel » un guide indispensable. --Joel Kovel, auteur de « The Ennemy of Nature »

    Il faut absolument lire ce livre ... --William I. Robinson, auteur de « Latin America and Global Capitalism »

    En s'appuyant sur des preuves convaincantes, Leech expose les effets destructeurs du capitalisme et montre qu'il n'y a qu'une seule alternative plausible... --Samir Amin, auteur de « Sur la Crise » 
     

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