• Vingt recettes pour vous soigner avec du vinaigre de cidre 

      Aujourd’hui, pour la plupart des gens, le vinaigre n’évoque que la sauce vinaigrette. Mais au-delà de ses qualités gustatives, sait-on encore comment cet ingrédient s’est imposé à tous dans l’alimentation d’abord et dans la trousse à pharmacie familiale ensuite ?

      Trois qualités fondamentales ont imposé le vinaigre dans les foyers de nos aînés : il était indispensable à la conservation des aliments, il facilite la digestion, c’est un produit antiseptique de première main. C’est à ce titre, et bien d’autres qu’il a été inscrit au Codex en 1748 et vendu très longtemps chez les apothicaires.

    Votre cuisine, c’est votre pharmacie
    vinaigre de cidre
    antibiotique   Si tout vinaigre est bon par définition, le vinaigre de cidre sort du lot. Ses particularités en font :
      • un grand tonique du système nerveux
    et du cœur, antifatigue,
      • un nettoyeur et régénérant cellulaire,
      • un reminéralisant hors pair,
      • un stimulant digestif,
      • un immunostimulant,
      • un anticholestérol…
    vinaigre de cidre
       Rhume, troubles circulatoires, intestinaux, hypertension, problèmes de pieds ou de peau, douleurs articulaires ou musculaires, coups de soleils et piqûres d’insectes… le vinaigre est bon pour tout. Et pour en tirer le meilleur, il suffit d’y associer quelques ingrédients de base comme le miel qui, tous, sont à votre portée. Sans compter les mille recettes de beauté que vous pouvez concocter avec ce vinaigre. On n’attrape peut-être pas des mouches avec du vinaigre mais on se refait sûrement la cerise, et gratis ! Lisez cet article jusqu’au bout, je vous livre plusieurs recettes très simples qui pourront sans doute soulager un certain nombre de vos maux quotidiens.

     Le secret du vinaigre : une soupe de microbes et trois acides

    La formation du vinaigre est un phénomène naturel dû à l’oxydation de l’éthanol des boissons alcoolisées par un processus de fermentation acétique. Les Anciens savaient reproduire ce phénomène en utilisant « la mère à vinaigre », ce voile gélatineux qui se forme à la surface du vin avec le temps. On ignorait alors que cette fermentation acétique est le fait d’une bactérie Acetobacter suboxydans.

    Très sociable, elle se développe ultra rapidement en s’associant avec ses consœurs pour former un biofilm. On sait depuis peu que d’autres bactéries cousines ont ce pouvoir acétifiant. Le résultat final se distingue par un concentré d’éléments-trace mais surtout par sa concentration en acides : acétique principalement (5 à 8 %), et acides tartrique et citrique en quantité variable.
    L’acide acétique fait du vinaigre un détergent domestique mais c’est aussi, pour l’essentiel, cet acide qui lui confère ses qualités bactéricides et médicinales.

     Pourquoi de cidre ?

    L’acide acétique expliquant les vertus désaltérantes, désinfectantes et curatives du vinaigre, l’origine de ce dernier, me direz-vous, importe peu. Pourtant, c’est le vinaigre de cidre qui est généralement employé comme remède. Pourquoi ?

    Comme d’autres, le vinaigre de cidre est très riche en phosphore, calcium, magnésium, soufre, fluor, fer, bore et silice qui, l’un dans l’autre, contribuent à son pouvoir énergisant et curatif. Mais on aurait tort d’ignorer les particularités du vinaigre de cidre dues à la teneur en acides essentiels, enzymes et surtout à son impressionnante teneur en potassium (jusqu’à 1 g par litre).

    Le potassium est à nos tissus mous ce que le calcium est à nos tissus durs. Il joue un rôle clé dans le liquide intracellulaire et pour le maintien de l’équilibre acido-basique. C’est un excellent antidote à la pollution, à l’empoisonnement médicamenteux et vaccinal et à l’alimentation déséquilibrée qui attaquent notre équilibre acido-basique au point d’entraîner de nombreux désordres, de la thrombose au cancer. Alors tant qu’à sortir 3 ou 4 euros de sa poche, autant choisir du vinaigre de cidre. Bio et non pasteurisé !

    Ajoutons que le vinaigre est très riche en antioxydants. Il contient environ 600 mg/l de composés phénoliques.

    Lire la suite...


    votre commentaire
  •   Objet : Où est caché l’argent ?

    Salut,

    La Banque des règlements internationaux, cette institution dont tu n’as probablement jamais entendu parler, considérée comme la « banque centrale des banques centrales », collecte régulièrement des données sur les flux financiers vers les paradis fiscaux. Ces informations seraient extrêmement précieuses pour lutter contre la corruption et l’évasion fiscale.

    Seulement voilà, le problème est que cette banque ne veut pas les rendre publiques !

    J’ai signé la pétition de ONE appelant la Banque des règlements internationaux et son président, Christian Noyer, à publier ces données sur les paradis fiscaux. Et si tu signais aussi ?

    http://act.one.org/sign/paradis_fiscaux/?referring_akid=6857.6438477.gXiD-l&source=taf

    Merci


    votre commentaire
  •  

    Le bicarbonate à la maison
    L’entretien de la maison, une évidence de l’efficacité du bicarbonate, le champion de votre ménage.
    Pour neutraliser les mauvaises odeurs

    bicarbonate
    Utilisez-le comme déodorant naturel, pour votre penderie, les odeurs de peinture, dans la voiture.
    Une simple coupelle dans votre réfrigérateur pour neutraliser les mauvaises odeurs.
    Saupoudrez vos chaussures de bicarbonate et les odeurs seront neutralisées.
    Idéal pour lutter contre les odeurs de litière ou du panier de votre chien ou toutes autres odeurs d’urine.
    Nettoyage du sol au plafond
    Pour nettoyer la vitre et la grille de votre four, il suffit de passer un torchon mouillé imprégné de bicarbonate.
    Le lavabo de la salle de bain et les robinetteries prendront un aspect comme neuf. Si vous saupoudrez votre baignoire de bicarbonate et laissez agir 30 minutes elle retrouvera sa brillance.
    Votre porte de douche, tout comme vos vitres.
    Pour désinfecter vos sanitaires. Deux grandes cuillères de poudre et un peu de vinaigre blanc que l’on verse le long des parois de la cuvette, laisser agir quelques minutes et le résultat est spectaculaire.
    Désodorise les moquettes et tapis, fauteuils et canapés, faisant ainsi la chasse aux acariens.
    Efficace pour nettoyer la semelle de votre fer à repasser. Saupoudrez un chiffon humidifié de bicarbonate et frottez doucement la semelle tiède. Essuyez.
    Les moisissures dans les joints n’auront plus de résistance avec le bicarbonate.
    Pour une vaisselle impeccable
    Sur un chiffon humide, on ajoute quelques pincées de bicarbonate de sodium, avec un mélange de vinaigre et de bicarbonate.
    Redonne brillance à vos verres et ravive votre argenterie.
    bicarbonate
    Votre batterie de cuisine en inox, redeviendra comme neuve.
    Vos plaques vitrocéramiques, il suffit de saupoudrer là encore de bicarbonate et de frotter doucement avec une éponge humide, puis de rincer.
    Pour détacher votre théière ou vos bols
    Une découverte pour moi :
    - 1 cuillère à soupe de bicarbonate de sodium,
    - 1 cuillère à soupe d’eau et
    - 1 cuillère à soupe de vinaigre blanc.
    Mettez ce mélange dans vos récipients, en prenant soin d’en appliquer sur les parois. Laissez agir une petite heure, rincez, la vaisselle a retrouvé un bel aspect.
    Comme détachant avant lavage
    Réalisez une pâte avec 1 dose d’eau pour 1 dose de Bicarbonate.
    Appliquez sur la tâche (graisse, rouge à lèvres) et laissez agir une heure Vous pouvez ensuite mettre votre linge dans la machine débuter votre lavage.
    Le linge de maison
    Ravivez les couleurs de votre linge en ajoutant 1 cuillère à soupe de bicarbonate dans votre machine à laver.
    Désodorise les matelas
    Saupoudrez le matelas de bicarbonate et laissez reposer une demi-journée. Aspirez ensuite les résidus de bicarbonate et remettez vos draps.
    Entretien et désodorise votre lave-vaisselle
    Versez 4 cuillères à soupe de bicarbonate directement dans le lave-vaisselle et faites-le tourner à vide sur cycle rinçage et ce une fois par mois ce qui permet de dégraisser et de désodoriser votre appareil.
    Votre plan de travail
    Une éponge avec un peu de bicarbonate.

     

    Le bicarbonate et le bricolage
    Le bicarbonate a également sa place chez les bricoleurs.

    bicarbonate
    Il permet de déboucher un évier sans problème :
    - versez 1/2 verre de bicarbonate de soude puis 1/2 verre de vinaigre blanc.
    - laissez agir pendant 10 minutes. Ça mousse et c’est normal.
    - pendant ce temps, faites bouillir un litre d’eau et versez-la progressivement dans l’évier,
    - l’eau va remonter, des bulles vont se former et l’eau avoir un peu de mal à s’évacuer, c’est normal.
    - attendez que l’eau s’en aille avant d’en rajouter.
    À titre de prévention vous pouvez toutes les semaines versez 4 cuillères à soupe de bicarbonate puis faire couler de l’eau chaude.
    Certaines salissures dans la cuisine sont très tenaces. Soulevez vos poêles et casseroles, regardez autour de la plaque de cuisson, jetez un coup d’oeil dans le four. Il y a parfois des résidus de gras, durcis par la chaleur, qu’un passage au lave-vaisselle ou un coup d’éponge ne peuvent pas éliminer.
    bicarbonatePréparez une crème avec :
    - 50 ml de vinaigre blanc d’alcool
    - 50 gr de bicarbonate de soude
    - ½ cuiller à café d’huile essentielle de citron, d’orange ou de cannelle.
    Rajouter un peu de bicarbonate de soude si le mélange est trop liquide et si vous préférez la consistance d’une pâte.
    Mettez un peu de produit sur une brosse à dents spéciale ménage ou la face grattante d’une éponge spéciale salle de bains, frottez les salissures avec.
    Pour les taches tenaces, laissez agir le produit, et frottez de nouveau.
    Une pâte magique pour nettoyer votre véranda en aluminium.
    Votre bicyclette retrouvera une jeunesse avec un bon nettoyage au bicarbonate, idéal pour faire briller les chromes de votre moto et même votre véhicule.
    Pour aiguiser vos couteaux.
    Pour déneiger sans abîmer vos chaussures.
    Pour nettoyer les taches de graisses ou d’huile dans votre garage : rincez le sol à l’eau bicarbonatée (30 g soit 2 cuillères à soupe) par litre d’eau chaude. Ajoutez si nécessaire du bicarbonate en poudre et frottez avec une brosse ou un balai à poils durs puis rincez.
    Pour enlever les traces de peinture sur vos mains. Passez vos mains sous l’eau, saupoudrez l’équivalent d’une cuillère à soupe de bicarbonate et frottez puis rincez. Idéal pour les enfants car le bicarbonate n’est absolument pas toxique.
    Pour nettoyer le vert-de-gris sur les cuivres.
    Excellent pour l’entretien de la piscine.

     

    Le bicarbonate en cuisine

    bicarbonate
    Le bicarbonate peut être d’un grand secours pour récupérer une casserole brûlée. Pour se faire, il suffit de trois cuillères à café de poudre et d’un peu d’eau chaude. On laisse le mélange agir une petite demi-heure puis on frotte. bicarbonate
    Lavage des fruits et légumes en ajoutant du bicarbonate à l’eau, 14 g environ par litre d’eau, permet d’augmenter l’efficacité du lavage de 20 à 90 %. Utilisé en petite quantité lors de la cuisson des légumes gardent une belle couleur.
    Vous rendrez votre omelette plus légère en lui ajoutant un peu de bicarbonate et vos blancs d’œuf plus aérés.
    Le bicarbonate est aussi « une poudre à lever » étonnante car au-delà de 70° il a une action levante, mais il est toujours mélangé à la levure chimique, ½ cuillère à café pour 250 g de farine suffit.
    Allège les pâtisseries, le pain et les gâteaux.
    Atténue l’odeur du gibier en mettant du bicarbonate dans l’eau de cuisson ou de braisage.
    Attendrit les volailles en saupoudrant dans la carcasse : frotter l’intérieur de la volaille avec du bicarbonate en poudre, bien répartir et laisser agir une nuit. Bien rincer avant la cuisson.
    Attendrit les viandes, comme le porc, le mouton, gibier : ajoutez 10 g (2 cuillères à café) dans ½ litre (50 cl) d’eau, y plonger la viande et la laissez reposer 2 heures au réfrigérateur. Rincez.

     

    En bref, vous l’aurez compris en parcourant ces lignes, le bicarbonate est d’une efficacité redoutable pour toute sorte de taches, et a une durée de conservation illimitée.

     

    Astuce pour vérifier si le produit est périmé
    Diluez une cuillère à soupe de bicarbonate dans un verre d’eau, ajoutez quelques gouttes de vinaigre ou de jus de citron ; si une effervescence se produit, le bicarbonate est encore valable.

     

    Précautions d’usage

    bicarbonate
    L’emploi du bicarbonate de sodium est contre-indiqué pour les personnes souffrant d’insuffisance cardiaque ou rénale.
    Certaines personnes peuvent être sensibles au produit, notamment au contact avec les yeux, la peau et lors d’indigestion, peut causer des nausées et vomissements.
    Le bicarbonate n’est pas n’est pas recommandé aux personnes qui suivent un régime sans sel.
    Il est déconseillé également pour les femmes enceintes et les enfants de moins de 5 ans.
    De même, demandez conseil à un médecin ou à un pharmacien si vous prenez des médicaments.
    Par ailleurs si les symptômes s’aggravent consultez votre médecin.

    Pour en savoir plus :
    Le dictionnaire à tout faire du bicarbonate de Inès Peyret - éd. Dauphin
    bicarbonate1001 usages du bicarbonate pour la santé, la maison, le jardin… et devenez fou de lui : Calmez les douleurs d’une indigestion avec une demi-cuillère à café de bicarbonate dans un demi-verre d’eau. Soulagez les piqûres d’abeille et de guêpe, de puce, d’autres insectes identifiés ou non, ainsi que celles des méduses, avec une pâte de bicarbonate. Calmez vos courbatures dans un bain additionné de 2 tasses de bicarbonate. Brossez-vous les dents avec du bicarbonate en cas de panne de dentifrice. Idem pour le tartre et la plaque dentaire Chassez le stress avec un bain bien chaud additionné de bicarbonate et de gros sel de mer. Faites un shampooing sec avec du bicarbonate …
    bicarbonate
    Le bicarbonate de Collectif - éd. Artémis
    bicarbonateAprès avoir été remisé au fond des placards avec les autres « remèdes de grands-mères », on redécouvre aujourd’hui toutes les vertus du bicarbonate de soude. Ingrédient naturel et non toxique, facile à trouver dans le commerce et très économique, il permet mille et une astuces qui vous simplifieront la vie au naturel et au quotidien. Polyvalent et efficace, le bicarbonate de soude trouve son utilité dans l’ensemble de la vie quotidienne : hygiène, beauté, médecine douce, entretien de la maison et du jardin, cuisine… D’une réelle innocuité : il peut être utilisé pour le bien-être des petits et des grands, pour les plantes comme pour les animaux domestiques. Non polluant : il est totalement biodégradable …

     

    Principales sources :
    • Biolaune : www.bioalaune.com
    • Comment ça marche : www.commentcamarche.net
    • Compagnie Bicarbonate : www.compagnie-bicarbonate.com
    • Le Bicarbonate : www.le-bicarbonate.com
    • Top Santé : www.topsante.com
    • Wikipedia : www.wikipedia.org

     

    Jackie Thouny Site web : La cuisine de Jackie

     

    Vous pouvez reproduire librement cet article et le retransmettre, si vous ne le modifiez pas et que vous citiez la source : www.energie-sante.net

    Lire la suite...


    votre commentaire
  •  Le bicarbonate de sodium

     ou les pouvoirs insoupçonnés de cette petite poudre blanche. 

    Utilisé autrefois par nos grands-mères, pour l’entretien de la maison, du linge, la cuisine, la digestion, le jardin, voire blanchir les dents où fabriquer sa propre pâte à dents, le bicarbonate a au fil du temps peu à peu été remplacé par les produits chimiques, et mêmes des médicaments. Mais aujourd’hui, on redécouvre ses extraordinaires propriétés et le bicarbonate devient un ennemi pour l’industrie pharmaceutique et chimique.

    Le bicarbonate de sodium où bicarbonate de soude
    bicarbonate
    bicarbonate  Entendons-nous bien : bicarbonate de soude où bicarbonate de sodium sont tous les deux le même produit. Il reste que le nom bicarbonate de soude est une mauvaise dénomination et n’a aucun lien avec la soude caustique.
    bicarbonate
      Le bicarbonate de sodium est un produit tout à fait naturel, non toxique, écologique, économique, extrêmement soluble que l’on peut se procurer facilement dans le commerce. Le bicarbonate est un produit multi-usages, biodégradable et ne cause aucun dommage à l’environnement.
    Le bicarbonate est présent dans la nature, les océans, dans le sol, dans notre propre corps et dans les légumes.

      Un peu d’histoire 
      Il y a 5000 ans les Égyptiens connaissaient déjà cette petite poudre blanche appelée alors le natron, l’ancêtre du Bicarbonate. On en retrouve des traces dans les papyrus égyptiens et la reine Nefertiti comme nous le savons qui accordait beaucoup d’importance à la beauté l’utilisait comme produit. Nul doute que ce produit devait avoir une place importante dans la trousse médicale d’Imhotep, grand médecin de l’Égypte ancienne et auteur d’un traité médical. 
      Polyvalent, le bicarbonate peut à lui seul, remplacer de nombreux produits.

    Le bicarbonate et la santé
     
    Il est efficace pour :
    La sphère digestive
    La formule chimique NaHCO3 fait du bicarbonate un sel alcalin qui a le pouvoir de neutraliser un milieu dont le Ph est trop acide et le rend efficace contre les brûlures d’estomac. Diluez une cuillère à café de bicarbonate dans un grand verre d’eau et buvez le doucement. La sensation de soulagement est assez rapide. Vous pouvez également utiliser le bicarbonate en cas de digestions difficiles.
    Pour les lendemains de fête difficiles, 1 c à c de bicarbonate dans un grand verre d’eau.

    Urticaire, piqûre d’insectes et démangeaisons des boutons de varicelle
    Préparez une pâte à base de bicarbonate et d’un peu d’eau. Appliquez ensuite cette pâte sur les piqûres où les boutons et laissez agir pendant une vingtaine de minutes. Résultat presque immédiat. Agit également sur les coups de soleil.

    L’eczéma
    Dans votre bain, ajoutez 4 à 5 cuillères de bicarbonate préalablement dilué (cent cinquante grammes pour dix litres d’eau chaude). Efficace également congre les coups de soleil.

    Lire la suite...


    1 commentaire
  •  

    CHERS COLIBRIS,

    Le mouvement Colibris et les Amanins sont issus de la pensée de Pierre Rabhi. Ce lien nous amène à co-construire un chemin commun, un chemin de solidarité. Le centre des Amanins peut être un point d'ancrage pour les citoyens colibris. Un oasis de transmission où nous produisons des expériences alternatives sociétales basées sur l'éducation, l'entrepreneuriat et l'agriculture.

    En ce début d'année, l'équipe des Amanins vous souhaite une très belle année, et comme 2015 c'est l'année internationale des sols, un bel ancrage à tous vos projets !

    Pour l'équipe des Amanins, 2015 c'est un anniversaire : 10 bougies ! Ce sera l'année de nouveaux défis : continuer à innover, continuer à semer, à essaimer, et à nourrir de plus en plus de personnes de l'expérience mise en oeuvre pendant ces dix années d'expérimentations agroécologiques.

    Coopérativement,
    L’équipe des Amanins      www.lesamanins.com/

     

    A VENIR AUX AMANINS

    Forum
    "L'Ecoentrepreneur"


    Du 28 janvier au 1 février
    Entrepreneurs, managers, consultants... voici l’opportunité de vivre un séminaire d’intelligence collective riche et unique pour co-construire un cheminement concret vers l’entrepreneuriat et le manageriat de demain.
    Avec Rodolphe BALZ, Béatrice et Gérard BARRAS,Emmanuel DRUON,Jean-Guy HENCKEL, Didier PERREOL et Pierre RABHI


    Séjour "Papilles"

    Du 17 au 20 février


    Découvrez à travers des ateliers pratiques les savoir-faire culinaires et artisanaux des Amanins : cuisine, fabrication du pain, fabrication du fromage... Mais aussi jeux en famille pour apprendre à coopérer, balades et découverte de la vie de la ferme.

    Séjour "un hiver à la ferme"

    Du 22 au 27 février

    Loin de la folie des stations de ski, venez vous ressourcer au cœur du calme d’une ferme en hiver.
    Une ferme en hiver : les prémices d’un printemps, la période des naissances, et de semence de nos aliments de l’été.
    Un séjour familial autour du faire ensemble, de la rencontre et du lien à la terre.

    Atelier "Ecoprojet"

    Du 3 au 6 mars

    Un atelier dédié à des organisations qui sont confrontées à une phase de maturité et qui envisagent une évolution de leur écoprojet :
    direction, stratégie, modèle économique, pilotage, gouvernance.

    Week-end "Pause partagée"

    Du 19 au 22 mars

    Un week end aux Amanins. Une PAUSE à la campagne, une découverte du VIVRE ENSEMBLE
    Une PAUSE pour partager avec les autres... participants... vers la même quête de SENS !
    La journée du vendredi est dédiée à une rencontre avec Pierre Rabhi.

    Séjour "Un Printemps enjoué"

    Du 17 au 21 avril
    Partagez avec l’équipe des Amanins, un séjour familial et festif à l’occasion du printemps. Des animations et ateliers participatifs pour les grands et les petits.
    Atelier chocolat, chasse aux oeufs, jeux coopératifs, ateliers en lien avec la vie de la ferme, ateliers créatifs...

    Séjours d'été

    Vivre ses vacances autrement …
    En famille, seul ou entre amis, venez partager des moments de détente respectueux de l’homme et de la terre.
    Expérimentez des savoirs écologiques à travers des ateliers : faire le fromage et le pain, découvrir la terre à bâtir, travailler le potager, découvrir le compost et la phyto-épuration, etc.

    votre commentaire
  • Engrais naturel

    2014    118 p.   12 €  

    Un plaidoyer pour la Terre… Et pour les hommes et les femmes qui la cultivent.

    S’appuyant sur les dernières découvertes scientifiques, l’auteur explore les sources de l’agriculture, et quand il y décrypte les croyances attachées à la permaculture et à l’agroécologie, c’est pour mieux sonder la nature humaine.

    Il s’interroge, il nous interroge : quel est le projet de notre espèce ?

    Fort de ses recherches et enquêtes sur le terrain, Christophe Gatineau analyse la mondialisation des pratiques et des savoir-faire agricoles, y compris agro-écologiques. Il propose des orientations pour le développement d’une véritable agriculture permanente, une agriculture qui se maintient indéfiniment au même endroit par l’art de cultiver la terre pour la rendre fertile.

    Un regard original et inédit sur nos pratiques et notre devenir.

      « J'avais aussi envie de parler du monde agricole sous l'aspect social, des quelques multinationales qui gouvernent le monde de la culture, à l'envers du manuel du cultivateur », précise Christophe Gatineau qui est également documentariste, photographe et donc auteur…

      Et si nous mettions de l’urine dans l’arrosoir ? Par Christophe Gatineau

    By Gilles Domenech On 18 avril 2014 · 

    Note de Gilles : A l’occasion de la sortie prochaine de son livre « aux sources de l’agriculture, la permaculture, illusions et réalités »,  Christophe Gatineau nous propose un petit article de circonstance en cette saison où les plantes ont des besoins énormes en azote. La façon la plus simple d’en amener est gratuite et à portée de tous ! Je l’utilise d’ailleurs beaucoup.

    Extrait du livre aux sources de l’agriculture, la permaculture, illusion et réalité à propos de l’urine :

    « petit clin d’œil à ce fabuleux fertilisant gratuit à portée de toutes les bourses et dont à la louche, 7 millions de tonnes sont produits tous les jours par notre espèce.

     Gratuit parce que chacun est propriétaire de droit de ses déjections ; et fertilisant, parce que les plantes ont les moyens d’en extraire la substantifique moelle.

    Un réservoir renouvelé en permanence depuis le départ de l’humanité, et des mers entières remplies chaque année d’un pipi qui rivalise même avec les engrais chimiques selon toutes les études.

     Fleuron des phytostimulants naturels en plus de ses puissantes propriétés phytosanitaires, il est utilisé avec succès dans certains pays mais chez nous comme partout ailleurs, il jouit d’une très mauvaise réputation comme tous les produits de transformation de notre corps … »

     La technique du « pisser dans l’arrosoir » est à la portée de tous même si le genre féminin se positionne dès le départ avec un handicap …

    Aux sources de l'agriculture... (Christophe GATINEAU)Sur la photo ci-contre, la jardinière montre avec sa main qu’elle a su viser juste en suivant à la lettre le protocole qui consiste à stimuler la vie de la terre par un arrosage régulier d’un mélange d’eau additionné de 25 % d’urine fraîche au pied de ces légumes tous les 15 jours ; un arrosage complété par un binage pour oxygéner la terre et lui apporter de « l’air ».

    (l’oxygène est indispensable aux bactéries qui accompagnent le développement racinaire. En dessous de 5 % d’oxygène, il n’y a plus de croissance racinaire… donc moins de nourriture pour la plante, donc affaiblissement de son développement et de son système immunitaire)

    Et dans une terre presque morte et fortement minéralisée, elle a récolté de gros légumes tendres dont plusieurs carottes de plus d’un kg et une betterave de 3,2 kg.

    Essayez, c’est gratuit et à portée de la main …

    Nb : des études américaines et finlandaises publiées en 2007 et 2009 sur l’utilisation de l’urine humaine comme fertilisant dans la culture de la betterave rouge, de la tomate et du choux ont conclu qu’elle pouvait être un substitut aux engrais minéraux pour augmenter les rendements.

    Par ailleurs, elles montrent un impact moins important des prédateurs sans poser aucun problème sur le plan sanitaire ou sur la saveur des aliments.

      http://pubs.acs.org/doi/abs/10.1021/jf9018917 .

    En Zambie, on fertilise les champs avec

    http://www.rue89.com/2010/05/25/en-zambie-on-fertilise-les-champs-avec-de-lurine-humaine-151849


    votre commentaire
  • Consommez écologique (Matthieu COMBE)

    2014     208 p.    18 €     

     

       Alors que les médias et les publicités nous inondent de conseils censés garantir le développement durable, ce livre met en question les bonnes résolutions généralement admises. Parce que couper l'eau en se brossant les dents ne suffira pas pour « sauver » la planète, ce livre à la portée de tous apporte des solutions simples applicables au quotidien au-delà des simples éco-gestes et des guides pratiques habituels.

      En se basant sur des études scientifiques reconnues, l'auteur invite le lecteur à s'interroger notamment sur les questions d'alimentation, de pollution, de recyclage des déchets et de transition énergétique.

      Ce livre explore les enjeux environnementaux à travers une série de dessins originaux qui rendent le propos abordable et ludique.

      La pollution est due à notre mode de vie, à nos modes de consommation et à nos pratiques agricoles. Tous les jours, nous entretenons ce cercle vicieux alors qu'il est possible de choisir des produits alternatifs moins nocifs, sans pour autant diminuer notre confort de vie !

      Cet ouvrage de référence bien documenté couvre un grand nombre de questionnements sur comment mieux vivre au quotidien. L'écologie n'est pas un sacrifice, mais une série de petits gestes quotidiens faciles à adopter !

      Matthieu Combe est né le 1er décembre 1985 en région parisienne. Durant ses études d'ingénieur chimiste, il entreprend une année de césure au sein d'Irstea (Cemagref) durant laquelle il étudie la pollution des cours d'eau par les micropolluants. Il finit ses études en échange au Canada où il étudie la gestion de l'eau et des déchets. Après son stage de fin d'études, il travaille à nouveau à Irstea pendant un an et demi sur la pollution des rivières par les micropolluants.

      En parallèle de ses études et de son travail, Matthieu Combe fonde et devient directeur des publications du site Internet Natura-sciences.com en 2009. Il y traite les enjeux environnementaux et leurs actualités en lien avec l'agriculture, l'énergie, la pollution, la biodiversité et la gestion de l'eau et des déchets. En 2011, il entreprend l'écriture du livre "Consommez écologique - Faits et gestes", écriture qui nécessitera deux ans et demi d'enquête. Depuis 2012, la gestion de Natura Sciences devient son activité principale.
     

    votre commentaire
  •  



    POUR NOËL, OFFREZ À VOS PROCHES
    UN ABONNEMENT À ALTERMONDES
    ET GAGNEZ DEUX INVITATIONS
    POUR LA MAISON EUROPÉENNE
    DE LA PHOTOGRAPHIE
    oCher(e) abonné(e),

    À l'occasion des fêtes de Noël, offrez à l'un de vos proches un abonnement d'un an à Altermondes, un cadeau original et porteur de valeur.

    Et parce que vous aussi vous avez droit à votre cadeau de noël, en retour Altermondes vous offre deux invitations pour La Maison Européenne de la Photographie, valables jusqu'au 14/12/2015.

    Altermondes, c'est désormais, dans tous ses numéros, un superbe reportage photo du terrain. Le titre s'est alors associé avec la Maison Européenne de la Photographie pour vous faire partager sa passion pour la photo.

    Alors n'attendez plus !
    Abonnez l'un de vos pro
    ches à Altermondes avec la formule de votre choix et recevez vos invitations pour La Maison Européenne de la Photographie.

    L'équipe d'Altermondes

    votre commentaire
  • Bons plans pour économiser l'énergie (PH. RIGAUD )

      

                                                    01-2011     96 p.      12,50 €

         Ce livre est une véritable mine de bonnes informations qui permettent de réduire ses dépenses énergétiques et en même temps de limiter son impact environnemental. Vous y trouverez des conseils simples et efficaces pour bien concevoir ou rénover votre maison, en optimiser le confort tout en dépensant moins :

       - réaliser une bonne isolation,

       - installer un chauffage performant et économe, l'équiper d'un système de ventilation judicieux pour éviter une climatisation coûteuse,

       - baisser vos consommations d'eau et d'électricité...

       L'auteur donne tous les outils pour mesurer les avantages économiques des différents systèmes de chauffage, en calculer le temps d'amortissement, choisir son type d'énergie... Ainsi, en dotant votre maison d'équipements bien sélectionnés et en adoptant quelques gestes simples, vous améliorerez votre bien-être tout en limitant vos consommations et en déboursant moins.


    votre commentaire
  •   Adressez à vos proches ce message de fraternité, de tolérance et de liberté, laissé en héritage par ce Grand Homme, modèle de courage et fervent défenseur d'un monde plus juste.

      Le lot de 10 cartes au visuel identique et leurs enveloppes. Format 12 x 12 cm.

      Vendu par Amnessty international


    votre commentaire
  • Comment j'ai sauvé la planète (Sophie CAILLAT)

    2014     232 p.    17 ,95 €

        Comme moi, vous redoutez les conséquences du réchauffement climatique tout en rêvant de sauter d'un avion à l'autre ? Vous défendez de nobles idéaux mais votre vie ressemble plutôt à Sex and the City ? En clair, vous aimeriez sauver la planète sans changer vos habitudes ? Pour résoudre ces contradictions, j'ai expérimenté tous les possibles.
      J'ai adopté des vers mangeurs de déchets, passé mes soirées dans des Disco Soupes, chassé le gaspi électrique, participé à la vélorution... J'en ai évalué le rapport plaisir-efficacité-économies pour vous éviter les pièges du marketing vert.
       L'écologie appliquée au quotidien ne doit pas être une punition. Entre grandes joies et petits moments de solitude, ce récit se veut un guide pour une vie plus zen.
          Sophie Caillat est journaliste à Rue89 en charge des rubriques Planète et Santé. Elle y anime une communauté de contributeurs sur l'environnement. En 2012, elle a coécrit un livre d'entretiens avec Pierre Rabhi,
       -Il ne suffit pas de manger bio pour changer le monde (Rue89/Versilio).
      

      Voici un extrait du chapitre sur le lombricompostage, une activité dans laquelle elle s’est plongée après son reportage chez les amis de Pierre Rabhi. Si j’ai bien pigé, il s’agit d’élever des vers et d’exploiter leur caca. Pascal Riché (Rue 89)

    Un jour, je commence à ne plus supporter de jeter mes épluchures avec le reste de mes ordures. Je visualise mes trognons de pomme en train de brûler à grandes flammes dans l’incinérateur d’Ivry après un trajet en camion, alors qu’elles auraient pu se décomposer chez moi. Je décide de lutter contre cette absurdité de refuser d’alimenter plus avant ce double gâchis, qui coûte à la collectivité et me prive de ressources.

    Pour être cohérente, je m’équipe dans le même temps d’un minuscule potager de 70 x 70 cm où j’ai mis en terre trois plants de tomates et des herbes aromatiques.

    Ce carré et les trois plantes de mon balcon, rhododendron, osier et bambou seront mes cobayes : il faut bien un destinataire pour mon engrais. Et si j’en ai trop, je redistribuerai.

    Chaque Français « produit 354 kilos d’ordures ménagères par an », dit-on pour faire simple. En réalité, cette somme correspond au ramassage global des ordures divisé par le nombre d’habitants, sans compter les déchets occasionnels comme les encombrants, la déchetterie, etc., qui portent le vrai chiffre global à 587 kilos par habitant.

    Mes premiers animaux de compagnie

    Nous n’avons ni raton laveur, ni poisson rouge, des enfants à mi-temps, et décidons de cohabiter avec des vers… faut-il être dingues ! Voilà ce que pense mon entourage, à commencer par ma mère, qui jure de ne plus mettre les pieds dans ma cuisine. Elle a beau m’avoir répété toute mon enfance que « les petites bêtes ne mangent pas les grosses », elle ressent une aversion absolue pour tout ce qui est moucheron de cuisine.

    Victime des moustiques qui raffolent de mon sang sucré et de l’allergie aux poils de chien, je n’avais pas, moi non plus, vocation à cohabiter avec des Eisenia. Ce seront mes premiers animaux de compagnie. Car, oui, je le découvrirai plus tard, les vers sont des bébêtes attachantes. Il n’y a qu’à voir comment en parle Helder, un ami qui en a installé dans son bureau :

    « Ne t’inquiète pas, ils vont vivre leur vie, construire leur territoire, développer leur colonie, créer leur écosystème.

    ‒ Une colonie ? Tu veux dire qu’ils vont coloniser mon appartement ?

    ‒ Si la boîte est bien fermée, non. Ils n’aiment pas la lumière et préfèrent rester au chaud.

    ‒ Mais quand je l’ouvre, aucun risque qu’ils ne soient tentés de s’échapper ?

    ‒ Non, ils ne sont pas très intelligents mais ils savent que leur intérêt est de rester là où il y a à manger. Tant que tu leur donnes à bouffer, ils seront heureux.

    ‒ Ok, je vais éplucher plein de fruits et légumes et tout ira bien. Mais le compost que je récolte, c’est du terreau ou bien quoi ?

    ‒ Non c’est du caca de vers.

    ‒ Ah ! bon, je vais garder cette info pour moi. Histoire que ma fille ait envie de manger les tomates du potager (où j’étalerai, à terme, le compost). »

    L’assistance téléphonique « Allô mes vers »

    Je passe commande sur le site Internet qui répond au doux nom de « Vers la Terre » et dont le slogan est « le lombricompostage facile ». Le modèle « Mini Worms » semble avoir toutes les qualités requises. Dépassant mes rêves les plus fous, cette échoppe virtuelle propose une assistance téléphonique gratuite, « Allô mes vers ». Ma boîte est, paraît-il, en plastique « 100% recyclé et 100% recyclable », et le produit, « garanti vingt ans ». Je ne projette pas si loin ma colonie de vers, à vrai dire.

    Le fabriquant, que je commence à maudire en silence, est un littéraire : il m’a fourni un livre de 200 pages intitulé « Les Vers mangent mes déchets ». Cadeau dans mon colis, avec le guide d’utilisation simplifié compliqué. Sur la couverture orange de ce pavé dont les auteurs semblent avoir fumé beaucoup de cannabis aux riches heures de Woodstock, un troupeau de vers souriants est dessiné. Ils sont debout et portent des lunettes, signe de leur intelligence. Sur le marque-page, une citation (de Lao-Tseu) annonce la couleur :

    « Accepter toutes les immondices du royaume, c’est être le seigneur du sol et des récoltes ».

    Ses auteurs, deux Américaines, décédées depuis, sont les sommités mondiales du lombricompostage et prennent la chose très au sérieux. Elles décrivent tout sur la fabrication maison de la caisse (en bois si l’on veut bien faire), sur les habitudes de vie des vers et de toutes les bestioles qui peuvent se développer dans ma colonie (collemboles, cloportes et autres acariens) et sur la sexualité des vers.

    Je vous épargne les détails de l’accouplement de ces hermaphrodites, mais cette remarque me met la puce à l’oreille :

    « Vu leur potentiel reproductif, se pose la question de savoir pourquoi les vers ne conquièrent pas le monde entier. »

    Par moments, le livre veut nous dégoûter (« Certains vers mourront de vieillesse… heureusement eux aussi se décomposeront »), nous faire douter (« on peut décomposer avec succès viande et os s’ils sont suffisamment recouverts »), et par d’autres il rassure (« Ce sont mes besoins et pas ceux des vers qui guident la fréquence à laquelle je les nourris »).

    Il est évident qu’il y a des terrains où je ne glisserai pas, comme la récolte des vers, que l’illustratrice considère comme « un moment de méditation ». Perso, je suis, à ce stade, incapable de me projeter au-delà de l’expérimentation et ne me vois pas redistribuer la surpopulation de vers à des voisins ou des amis amateurs de pêche à la ligne.

    Ma première récolte de thé de compost

    Au bout de deux semaines, les premières bestioles indésirables apparaissent : de minuscules pucerons rouges. Ils vont parfois se balader jusque sur le plan de travail. Les premiers jours, je passe l’éponge rapidement pour les faire disparaître et évite de parler de ces nouveaux colocs. Mais, lorsque trois semaines plus tard, je pars en week-end, je reviens un peu inquiète de savoir s’ils ont eu assez à manger. L’effet animal domestique, j’étais prévenue : on s’attache.

    Au bout d’un mois, je rappelle Helder pour des conseils sur ma récolte de thé de compost. Il me dit – ce qui n’est indiqué nulle part sur la notice – que l’engrais naturel issu du compost est si puissant qu’il faut le diluer avec neuf volumes d’eau. Très zen, il n’a qu’un conseil :

    « Oublie-les, vérifie juste qu’ils sont vivants. »

    En dix ans de compost, lui n’a vécu qu’une mésaventure : après Noël, il avait provoqué par mégarde un assassinat de vers en leur donnant tous ses restes de houx d’un coup.

    Au bout d’un mois et demi, le cycle est enfin en place et je pense être durablement rassurée : j’en retrouve dans le troisième bac, jusque dans le tapis en chanvre où ils se fourrent et qu’ils grignotent peu à peu, ce qui veut dire qu’ils sont en pleine santé.

    Agiles, les bestioles ont tenu leur promesse : elles mangent, dans le noir de la boîte, n’en sortent pas, et les quelques kilos d’épluchures que j’ai mis sont réduits à peau de chagrin.

    Pas plus dégoûtant qu’une poubelle de McDo

    Au bout de deux mois, je trouve les vers inéquitablement répartis entre les différents étages et entreprends de faire un grand ménage de printemps. Dans un compost de jardin, on remue le tout avec une grande fourche, mais dans mon appartement, tout mélange entre les bacs dégoulinant de jus et pouvant laisser s’échapper un ver vire à Mimi Cracra.

    Mieux vaut être seule pour cette opération. Accroupie devant mes trois bacs, me voilà mélangeant mes mixtures d’âges différents, le sol de la cuisine recouvert de papier journal. Devant cette belle matière organique, je me demande ce qui est le plus dégoûtant : ça ou une poubelle de McDo, arrosée au vinaigre (technique couramment utilisée par les employés afin qu’aucun SDF ne se serve avant le passage des éboueurs) ? Dénué de viande, poisson, fromage, sauce, plastique, médicament… mon compost est finalement bien plus « propre ».

    Avant de partir en grandes vacances, je vais purger le bac du bas, celui où s’est répandu tout le jus issu de la décomposition et distribuer mon surplus d’engrais. Je récupère une ancienne bouteille de limoncello, que mon homme manque de confondre avec une liqueur de châtaigne, (à cause de la couleur Coca), et l’offre en cadeau à des amis pourvus d’un grand jardin. (....)


    votre commentaire
  • Cosommez écologique (Matthieu COMBE)

    2014    208 p.  18 €

      Le premier livre de Matthieu Combe, fondateur du site d'actualités environnementales Natura Sciences vient de paraître. Ce livre fait le tour des grands enjeux environnementaux et explique avant toutes choses les faits qui doivent nous pousser à vivre de façon plus écologique.

      Le livre « Consommez écologique – Faits et gestes » se dote d'une double mission : décrypter les principales problématiques environnementales liées à la consommation et être un plaidoyer pour une consommation écologique, plus respectueuse de notre environnement. Matthieu Combe fournit des conseils d'achats et de comportements à adopter au-delà des simples éco-gestes et des guides pratiques habituels pour diminuer notre empreinte écologique. Face aux discours pro-environnementaux et face aux critiques, difficile de démêler le vrai du faux. Sur l'ensemble des sujets qu'il aborde, Matthieu Combe essaye donc de clarifier le débat en se basant notamment sur des faits scientifiques et des entretiens avec des experts. Car l'écologie repose sur des faits et n'est pas une simple question d'opinions ! Si le sérieux est au rendez-vous, des dessins humoristiques ponctuent le texte pour rendre aussi la lecture ludique. « Consommez écologique » dresse un panorama des grandes problématiques environnementales à travers trois axes précis : « vous deviendrez maître de votre alimentation », « vous chasserez la pollution » et « vous serez acteur de la transition écologique ». Ainsi, le livre explique l'impact positif d'un mode de vie plus « durable » par rapport aux impacts négatifs engendrés par la surconsommation.

    Concrètement, comment et pourquoi consommer écologique ?

    Voici un exemple de questions auxquelles répond « Consommez écologique » en donnant de vrais arguments :

      - Pourquoi manger local, de saison, bio et équitable ?

      - Pourquoi diminuer sa consommation de viande et de poisson ?

      - Qui sont les perturbateurs endocriniens et comment s'en protéger ?

      - Comment s'assurer du bon recyclage de ses déchets ?

      - Quel est l'intérêt du recyclage : que garantit-il concrètement ?

      - Que deviennent les matières recyclées ?

      - A quels labels peut-on faire confiance et quelles sont leurs garanties ?

      - Comment choisir son poisson, sa viande, ses vêtements, ses cosmétiques, ses détergents, son fournisseur d'électricité ?

     L'auteur apporte aussi des conseils pour lutter contre la déforestation, s'éclairer, choisir son véhicule et favoriser la transition énergétique ! Bref, voici un ouvrage complet pour qui veut avoir une vision globale des enjeux environnementaux grâce à une synthèse abordable par tous !


    votre commentaire

  • votre commentaire
  • Agriculture bio-dynamique

     Le MABD   http://www.bio-dynamie.org

     (site très riche en conseils, articles de fond pour les agriculteurs mais aussi pour les jardiniers, ouvrages à acheter éventuellement....)

      Le Mouvement de l’Agriculture Bio-Dynamique (MABD), fédération des organismes régionaux, nationaux et francophones
    de l’agriculture biodynamique est une association à but non lucratif qui rassemble environ 1800 adhérents
    consommateurs et jardiniers et 300 adhérents professionnels de la biodynamie.

    Il est représenté localement par une vingtaine d’associations dont les activités sont assurées par des jardiniers bénévoles.

    L’objectif du MABD est le développement et la promotion du jardinage et de l’agriculture biodynamiques en France.

    Pour répondre à cet objectif, le MABD est organisé en différents pôles :

    • Le pôle information et communication s’engage à répondre à vos questions pratiques grâce à différents outils : site internet, travail avec les médias, présence sur les salons, accueil téléphonique…
    • Le pôle formation propose un panel de formations courtes à destination des particuliers et des professionnels, coordonne l’unique formation diplômante française en biodynamie (BPREA), accompagne des fermes
    • Le pôle édition assure une offre d’ouvrages sur la biodynamie et sur le jardinage écologique, édite le Calendrier des semis, la revue Biodynamis et des cahiers thématiques (apiculture, eau, météo…)
    • Le pôle préparations propose des préparations biodynamiques et des produits pour le jardin ; il contribue aussi à améliorer la qualité et à faciliter l’élaboration des préparations par des groupes en région
    • Le pôle vie régionale soutient les associations régionales dans leurs activités
    • Le pôle recherche coordonne nos groupes de travail sur l’apiculture (Biodynapis) et sur les prévisions météo
      et est en lien avec l’association PEUV (www.universitedu-vivant.org)
    • Le pôle représentation et relations internationales entretient la place de la biodynamie au sein du réseau associatif de l’agriculture biologique et du mouvement anthroposophique national et international.

      Les méthodes et techniques

      L’agriculture biodynamique se base avant tout sur des pratiques agricoles durables, des pratiques semblables à celles qui ont permis à des générations de paysans de se succéder en léguant à leurs enfants une terre dans un aussi bon état que celle qu’ils avaient reçus de leurs parents. Ces pratiques forment un tout indissociable, comme l’est une ferme, mais nous pouvons les décrire ici autour de quatre grands thèmes : le travail du sol, la fertilisation, les rotations, le respect des animaux.

    Le travail du sol

    Le sol devrait être travaillé avec des outils légers et ne pénétrant pas trop profondément. La fréquence de travail doit se limiter au minimum et être toujours réalisée à des moments opportuns (sol ni trop humide, ni trop sec). Un travail du sol raisonné, évite le compactage, la détérioration de sa structure et respecte la vie du sol. Il faut également veiller à ne pas enfouir trop profondément les matières organiques.

    La fertilisation

    La fertilisation se base sur l’apport de matière organique (fumiers et lisiers, déchets des cultures, déchets domestiques, engrais verts…), compostée ou non. Ces apports d’éléments naturels sont à raisonner selon les objectifs recherchés : nourrir les êtres vivants du sol, maintenir la teneur en humus, entretenir la structure grumeleuse…

    La rotation des cultures

    La rotation des cultures, en évitant le retour de deux cultures identiques sur la même parcelle à des intervalles de temps trop rapprochés, empêche un trop fort développement des maladies ou des parasites. Cela permet également de cultiver successivement des plantes plus ou moins « gourmandes » et des légumineuses ou des prairies qui redonnent une bonne fertilité au sol. De plus, la rotation suppose une importante diversité de cultures sur une même ferme, l’assolement est diversifié.

    Le respect des animaux de ferme

    Les animaux sont considérés comme des partenaires que l’homme doit élever, et non comme des machines à produire du lait ou de la viande – avec des conditions d’élevage et une alimentation respectant la nature des animaux – toutes les mutilations courantes dans les élevages très productifs (écornage des bovins et caprins, équeutage des porcs et des moutons…) n’ont plus de raison d’être.

    Après quelques dizaines d’années d’une agriculture « minière », oubliant ces principes et puisant dans les réserves de fertilité du sol, nombreux sont les agriculteurs, bio ou non, qui se réapproprient ces principes et les font évoluer en accord avec les besoins de notre société moderne.

    L’agriculture biodynamique, respectant ces bonnes pratiques, apporte la possibilité d’aller plus loin dans le soin porté à la terre par ses pratiques spécifiques : l’organisme agricole, l’utilisation des préparations biodynamiques et le travail avec les rythmes cosmiques.


    votre commentaire
  •   Bangladesh : Rana Plaza - Auchan, Benetton, Carrefour : il est irresponsable d'attendre davantage.

       Il y a eu un choc et le sol a cédé. C’était le chaos (…) J’essayais de me protéger la tête, mais j’ai été coincée dans les décombres (…) j’ai cru que j’allais mourir. ” Shila Begum

    Signer la pétition sur    peuples-solidaires.org

       Bientôt un an d'attente pour les victimes du drame du Rana Plaza. L’effondrement de cet immeuble au Bangladesh a causé la mort de 1 138 personnes et a fait plus de 2000 blessé-e-s, essentiellement des ouvrières fabriquant des vêtements pour des grandes marques européennes et américaines. Les victimes et leur famille n’ont à ce jour aucune garantie qu’elles toucheront une indemnisation complète, juste et transparente, qui leur permette de reprendre une vie digne.

    Plus d’excuses : les marques doivent payer !

    A ce jour, seules 10 des 28 marques identifiées au moment des faits ont confirmé publiquement leur participation au fonds d’indemnisation. A l’approche de ce sinistre anniversaire, Peuples Solidaires et le Collectif Ethique sur l’étiquette appellent BENETTON, CARREFOUR et AUCHAN à contribuer de manière significative et dans les plus brefs délais à l’indemnisation des victimes et de leurfamille.

    Ecrivez à Benetton, Carrefour et Auchan pour qu'elles participent au fonds d'indemnisation :

    J'ai été informé-e par l'association Peuples Solidaires et le Collectif Ethique sur l’étiquette que votre entreprise ignore les demandes d’indemnisation des victimes de l’effondrement du Rana Plaza au Bangladesh, et de ce fait, sa responsabilité en tant que multinationale qui se fournit auprès de sous-traitants du Bangladesh.

    A l'instar de ce qu'ont déjà fait d'autres entreprises, je vous demande de contribuer dans les meilleurs délais, et en tout cas avant le 24 avril 2014, au fonds d’indemnisation « Rana Plaza Donors Trust Fund » mis en place dans le cadre des négociations qui ont abouti à la signature de l’ «Arrangement » par les principales parties prenantes et notamment les organisations syndicales locales et internationales.

    Ce fonds d’indemnisation permettra aux victimes du Rana Plaza et à leur famille d’avoir accès à une indemnisation juste, transparente et s'inscrivant dans les principes de l'Organisation internationale du travail, conformément à leur droit à réparation.

    Les travailleurs et les travailleuses du textile au Bangladesh méritent mieux que le silence et le mépris des marques acheteuses au Bangladesh. Votre entreprise n’a pas d’excuse. Le fonds est opérationnel, le mécanisme d’indemnisation a été négocié pendant de longs mois. Il est aujourd’hui temps de contribuer à l’indemnisation des victimes.


    votre commentaire
  • Cosmétiques, le geste écologique (Pascaline PAVARD, MOUTSIE)

    2011    151 p.   18 €

       Cosmétiques naturels, biologiques, le marché est en plein essor avec une croissance annuelle impressionnante. Face à la multiplication des labels, le consommateur soucieux de qualité et de transparence sur la composition des produits est souvent déconcerté.

      Fabriquer soi-même ses produits de soins peut être la solution. Facile, rapide, économique et écologique, cette alternative ne se limite pourtant pas au folklore et permet de lutter contre les idées reçues. Oui, un shampooing maison peut se garder trois ans sans conservateur !

       Oui, une crème maison peut être beaucoup plus efficace et moins chère que dans le commerce... Il s'agit d'un véritable choix pour notre santé, celle de la terre et souvent pour celle de notre porte-monnaie. Dans notre société où l'indépendance devient chaque jour un peu plus un luxe, il est temps de retrouver notre autonomie, de nous réapproprier les savoirs ancestraux et le plaisir de faire soi-même, de redécouvrir l'évidence : en se formant et s'informant sur les produits et précautions de base pour les fabriquer, qui mieux que nous peut savoir ce qui est bon pour notre corps .

       Moutsie est formatrice au sein de l'association L'Ortie et administratrice de Nature et Progrès Aude. Sa passion : les plantes et leurs usages. Pour rester en cohérence avec ses convictions, elle s'interroge sur l'impact écologique de chaque achat et sur chaque geste quotidien.
       Après quelques années comme journaliste en presse écrite, Pascaline Pavard s'est tournée vers le monde associatif en devenant coordinatrice de projets pour Nature et Progrès, association de développement et de promotion d'une agriculture écologique et paysanne.

    votre commentaire
  • Produits d'entretien à faire soi-même (Rachel FRELY)

    2012   128 p.  9,50 € 

      Voici le guide incontournable pour diminuer, voire éliminer, tous les produits d'entretien toxiques en les remplaçant par des alternatives naturelles et écologiques, soucieuses de l'environnement et de la santé de tous. Il contient un grand nombre d'informations utiles, des conseils pratiques ainsi que de nombreuses recettes de produits ménagers naturels qui vous permettront d'entretenir votre maison de façon écologique. Les ingrédients sont faciles à trouver, les recettes simples à réaliser. Les formules sont non seulement efficaces, mais elles vous feront gagner du temps et réaliser de substantielles économies !
       Rachel Frely dirige la rédaction du magazine "Plantes et Nature". Journaliste spécialisée dans les domaines de la santé, nutrition, homéopathie et plantes médicinales, elle a écrit de nombreux ouvrages dont "Les remèdes miracles contre les maux de l'hiver", "Comment vaincre sa fatigue", "Les 25 plantes qui révolutionnent la santé" et "Le boom des médecines naturelles". Elle est aussi l'auteur avec Olivier de La Roque, botaniste, d'ouvrages sur le jardinage au naturel et les plantes aphrodisiaques.
       "Pas cher et pratique à ranger (l'ouvrage est minuscule), le guide de Rachel Frély vaut tous les conseils de grand-mères du monde ! Même s'il nécessite une gamme de produits de « base », comme par exemple les indispensables savon de Marseille et vinaigre blanc (à ce titre, tous ces produits sont largement détaillés dans la première partie « ingrédients »), toutes les « recettes » explicitées dans ce petit livre sont ultra-économiques et préservent l'environnement. Plus besoin d'acheter des dizaines de produits chimiques coûteux, car les produits d'entretien naturels présentés ici sont tout aussi efficaces, voir plus. J'ai spécialement apprécié la partie sur les tâches, dont le résultat a dépassé toutes mes attentes et surpasse n'importe quel détachant vendu en grande surface. Une tâche de fruit sur mon t-shirt blanc : Un peu de vinaigre blanc et de savon d'Alep et le tour est joué... Et que dire de ce savant mélange de savon de Marseille, d'eau et d'huile de lin pour nettoyer le lino !Contrairement aux autres ouvrages, le livre va à l'essentiel et n'est pas encombré par des photos d'illustration qui souvent prennent la moitié de l'ouvrage. Ici, tout est chapitré (tâches, sol, meubles, cuisines, bijoux, etc) et parfaitement clair. En bref, un livre que je conseille car c'est un investissement durable !" [commentaire d'un(e) utilisateur(trice) trouvé sur Amazon]

    votre commentaire
  • 4 saisons sans gluten et sans

    2011     192 p.    14,99 €

         Douleurs, migraine, fatigue chronique, dépression... Une personne sur cinq, explique Thierry Souccar dans son avant-propos, souffre de troubles chroniques qu'aucun traitement ne soigne de façon satisfaisante. La raison : une intolérance au gluten ou au lait, qui passe souvent inaperçue. La solution : le régime Seignalet, sans blé ni laitages. Mais comment le rendre acceptable quand on vit en famille ?

      Il y a 6 ans, Christine Calvet a réussi à vaincre ses migraines chroniques en éliminant le gluten et le lait de son alimentation. Comme elle a toujours refusé de faire assiette à part, elle a imaginé pour chaque saison des recettes faciles sans gluten ni laitages pour la table familiale, aussi savoureuses et équilibrées que leurs équivalents classiques.
    - Pas à pas, découvrez comment faire la transition vers une nouvelle alimentation plus respectueuse de votre physiologie
    - Apprenez à réinventer votre cuisine au fil des saisons en vous familiarisant avec de nouveaux ingrédients : tofu soyeux, arrow-root, farine de pois chiches, de châtaignes, poudre d'amande, lait de coco, purée d oléagineux...
    - Maîtrisez les tours de main qui vous permettent en un clin d'oeil d'avoir un délicieux repas sur la table
    - Pour chaque saison, vous disposez d'un panel de recettes faciles à réaliser pour se régaler : des pâtes à tartiner pour l'apéro, des entrées, des plats, des desserts, des goûters, des petits déjeuners...
    - Y compris des recettes de pain, tartes et pâtes...

      Un guide complet pour comprendre et se lancer illico dans un art culinaire simple, créatif, joyeux et qui, en plus, fait du bien au corps !
       Christine Calvet est mère de famille et intendante de lycée. Elle est présidente de l'association:
        -Un plus Bio
       à l'origine de l'introduction des produits biologiques dans la restauration collective et à ce titre, conseillère technique du film:
       -Nos enfants nous accuseront.

    votre commentaire
  •  

     

    Rencontres de l'écologie au quotidien à DIE du 23 janvier au 3 février 2014

     

        12e édition des Rencontres de l'écologie de Die (26) !
    Le thème de cette année :
      Biodiversité : cultivons la vie !


      C’est un rendez-vous magnifique auquel nous vous invitons tous à venir participer ! Un programme très riche et varié, dans plusieurs lieux, des films, des ateliers, des visites de fermes, des conférences avec des personnalités remarquables, et le tout dans une ambiance très conviviale et simple !
    Et nos livres y sont en vente.  

      L'association "Écologie au Quotidien" a pour objectif de sensibiliser sur l'impact de nos gestes quotidiens sur l'environnement, la santé et la société et de proposer des alternatives. C'est un réseau d'associations et de citoyens qui oeuvrent dans les domaines de l'éducation par l'environnement, la santé, la préservation de la vie et de la biodiversité, l'Agriculture Biologique, les Énergies Renouvelables, l'éco-construction, les transformations personnelles et sociales, l'éducation à la Non-Violence et à la Paix.

       Elle est animée par des valeurs de solidarité, d'humanisme et d'éco-citoyenneté.

    Ecologie au Quotidien          Le Chastel          26150 DIE

    Tel 04 75 21 00 56 – 06 65 05 41 67

    Courriel : ecologieauquotidien.die@gmail.com

    Site : www.ecologieauquotidien.fr


    votre commentaire
  •  Green IT : 4 conseils simples pour faire de grosses économies

    Comment réduire les coûts et, si possible, l'empreinte écologique de l'entreprise ? Il suffit d'adopter quelques bonnes pratiques et d'investir dans des projets simples et efficaces. Voici quatre conseils exclusifs de Frédéric Bordage, expert Green IT et blogger.

    1. Allonger la durée de vie des postes de travail

    On ne le répétera jamais assez : 80 % de l'empreinte écologique des équipements informatiques et télécoms se concentre lors de leur fabrication et, dans une moindre mesure, de leur fin de vie. La phase d'utilisation est négligeable. La fabrication d'un Macbook Pro 15 pouces émet par exemple 90 fois plus de gaz à effet de serre qu'un an d'utilisation en France. Par ailleurs, les coûts cachés liés au renouvellement des postes de travail sont importants.

    Dans ce contexte, il suffit d'allonger la durée de vie active des équipements pour réaliser d'importantes économies, tant d'un point de vue financier qu'écologique. C'est un geste simple puisqu'il nécessite surtout de... ne rien faire. Sur 15 ans et pour 2 000 postes, passer de 3 à 5 ans d'utilisation permet d'économiser près de 3 millions d'euros (environ 200 000 euros par an) et 1 600 tonnes de gaz à effet de serre (environ 100 tonnes par an). Pour éviter que les PC « rament » il suffit d'ajouter de la mémoire vive, tout simplement.

    2. Eteindre les PC la nuit

    Le déploiement d'une stratégie de groupe (ou GPO pour Group Policy Object) permet d'éteindre les ordinateurs la nuit, par exemple de 21h à 7h du matin. Cette opération ne coûte quasiment rien à mettre en place. Sur 2 000 poste de travail pendant 15 ans, elle permet pourtant d'éviter l'émission de 169 tonnes d'équivalent CO2 et d'économiser 225 000 euros. A raison de 10 heures de repos par jour, le matériel s'use aussi moins vite, ce qui contribue à allonger sa durée de vie active.

    3. Imprimer mieux pour imprimer moins

    L'impression est l'un des premiers postes d'un budget informatique. Elle peut représenter jusqu'à 1 200 euros par an et par employé, et, selon l'activité de l'entreprise, jusqu'à un tiers des émissions de gaz à effet de serre de son système d'information. La réduction des volumes d'impression est donc intéressante tant d'un point de vue écologique qu'économique. D'autant qu'il suffit, pour commencer, de paramétrer par défaut en noir et blanc, mode économique (brouillon) et recto-verso, les imprimantes existantes. Cette simple action réduit généralement le budget impression de 15 à 20 % sans déployer de solution technique supplémentaire !

    Pour imprimer moins, il faut cependant aider les utilisateurs à imprimer mieux. C'est à dire les former. Par exemple à l'impression sélective dans Word (sélectionner uniquement les pages ou le bloc de texte sélectionné que l'on souhaite imprimer) et à la création de PDF avec un outil gratuit tel que PDF Creator. Investir un peu de temps sur la conduite du changement dans ce domaine permet de réaliser d'importantes économies dans le temps.

    4. Pratiquer la sobriété fonctionnelle et applicative

    On l'oublie trop souvent : c'est la traduction des besoins fonctionnels des utilisateurs sous la forme d'un logiciel qui induit le dimensionnement des infrastructures techniques (bande passante, nombre et puissance des serveurs, baies de stockage, etc.). Amener les utilisateurs à plus de raison peut paraître être un geste anodin, mais il a un impact économique et écologique fort.

    Un traitement de texte « simple » qui couvre 80 % des besoins de 80 % des utilisateurs ne demande pas plus de 15 Mo d'espace disque et consomme à peine 32 Mo de mémoire vie. Sans compter qu'il fonctionne sur un quart de la puissance processeur d'un smartphone ! La sobriété fonctionnelle des applications métier se traduit donc par la possibilité de conserver ses ordinateurs (poste de travail, serveurs, etc.) quasiment ad vitam aeternam. Et ce d'autant plus si l'entreprise pratique en plus une forme de « sobriété applicative » : la suppression régulière des logiciels inutiles permet de récupérer des licences tout en libérant des ressources sur les postes de travail et sur les serveurs.

    À lire également :
    Cloud et visioconférence : calculer les économies et l'impact écologique

    * Frédéric Bordage est également l'auteur du livre : Éco-conception web : les 100 bonnes pratiques, Eyrolles, 2012. Découvrez son blog : www.greenit.fr


    votre commentaire
  •  

    2013   400 p.  17 €

       Bea Johnson nous explique comment elle et sa famille ont maintenu leur style de vie tout en ne produisant quasiment aucun déchet. Ils ont réduit leurs dépenses annuelles de 40 %, et n'ont jamais été en aussi bonne santé, à la fois physiquement et émotionnellement.

       Elle nous donne des centaines de trucs faciles pour une vie respectueuse de l'environnement qui, même pour les plus occupés d'entre nous, sont simples à appliquer.
       Sa devise (et seulement dans cet ordre) : « refuser, réduire, réutiliser, recycler, composter »
    Plus d'une centaine d'outils et astuces :

       Pourquoi mettre une brique dans le réservoir d'eau des toilettes ? Comment faire son mascara, sa laque ou son dentifrice ? Comment fabriquer sa propre moutarde, emballer le déjeuner des enfants sans utiliser de plastique, avoir une alimentation saine et sans gâchis, créer ses produits d'entretien et éviter tous les toxiques, refuser les pubs intempestives dans la boîte aux lettres, faire son papier recyclé ou son compost ?

       « Bea Johnson ne nous enseigne pas juste à sauver la planète. Elle nous enseigne à nous sauver. » Colin Beavan, auteur de No impact man.
      Bea Johnson et sa famille sont connus outre-Atlantique pour un défi qu'ils relèvent depuis trois ans : vivre sans générer de déchets. Française, originaire d'Avignon, Béa Johnson est arrivée aux États-Unis en tant que fille au pair. Elle y a rencontré son mari et n'est jamais repartie. Son blog actuel, www.zerowastehome.com, est un immense succès relayé dans tous les médias américains.

    Objectif zéro déchet : 5 règles qui changent la vie avec Béa Johnson

     Capucine Jacob   pour femininbio.com  (14/10/2013 )


    Stop au gaspillage !! "Zéro Déchet", c'est le livre témoignage de Béa Johnson, une française installée aux Etats-Unis avec sa famille. Elle s’est lancée dans une singulière aventure, celle de réduire considérablement ses déchets du quotidien. Aujourd'hui les déchets annuels des Johnson tiennent dans... un bocal d'un litre !

     
    Béa Johnson 
      Habitués à remplir une poubelle de 240 litres chaque semaine, les Johnson, une famille de quatre personnes n’en produit plus qu’un litre par an. Voici 5 conseils efficaces à mettre en application immédiatement pour une vie 0 % déchet.  

    1 - Refuser (ce dont nous n’avons pas besoin)

      Le premier objectif est de réduire sa consommation pour réduire ses déchets. En effet, nous n’aurons pas à jeter ce que nous ne consommons pas. L’objectif "zéro déchet" n’est pas de recycler plus mais de faire barrage aux éléments qui envahissent nos maisons.

      "La moindre petite chose qu’on accepte, ou qu’on prend, fait augmenter la demande. En d’autres termes, accepter de manière compulsive (par opposition au fait de refuser) revient à tolérer et à renforcer des pratiques génératrices de gâchis. (…) Lorsque l’on accepte passivement un prospectus publicitaire, un arbre est abattu quelque part dans le monde." explique Béa Johnson dans son livre.

      Nous avons déjà le choix de refuser 4 éléments de la vie de tous les jours pour entamer notre démarche "zéro déchet" :

    • Les articles en plastique à usage unique       • Les cadeaux gratuits

    • Les imprimés publicitaires                           • Les pratiques non durables

    2 - Réduire (ce dont nous avons besoin et ne pouvons pas refuser)

       Préférer la qualité à la quantité, l’expérience aux biens matériels. Ainsi, vous allez remettre en questions toutes vos habitudes d’achat et de consommation pour aller à l’essentiel et vers un mode de vie simplifié. Voici trois astuces pour réduire efficacement sa consommation :

    • Évaluez votre consommation passée :

       Faire le vide donne naissance à de nouvelles habitudes d’achats : déterminez l’utilité de chacun de vos biens et débarrassez-vous de ce qui n’est pas nécessaire. Faire le vide permet de partager avec les autres : votre essoreuse à salade est-elle si indispensable ? Elle peut peut-être rendre vos voisins heureux ? On troc. Enfin, faire le vide permet de mieux gérer votre démarche zéro déchet : avoir moins, c’est avoir moins de raisons de s’inquiéter, moins de choses à nettoyer, à stocker, à réparer ou à jeter plus tard.

    • Restreignez votre consommation actuelle et future :

       Commencez par ne pas vous ruer sur les produits emballés dans votre supermarché. Le même produit existe-t-il en vrac ? Ne prenez pas nécessairement votre voiture, vous pouvez sans doute faire ce trajet à pied ou en vélo. Avez-vous vraiment besoin d’imprimer ce document ?

    • Évitez les activités qui soutiennent ou amènent de la consommation

       Nous sommes tous victimes des coups publicitaires des grands industriels et il faut bien se l’avouer, nous sommes faibles et craquons parfois sous l’impulsion de nos désirs créés de toutes pièces par le merchandising. Et si nous arrêtions de regarder la télé ? D’aller faire du shopping ? "Se contenter de ce que l’on a est la plus grande richesse" disait le penseur bouddhiste David Loy.

    3 - Réutiliser (ce que nous consommons et ne pouvons ni refuser, ni réduire)

       Réutiliser permet d’utiliser plusieurs fois le même objet en lui donnant (ou non) une autre utilité. Un sac plastique peut servir à transporter des chaussures boueuses ou encore de sac poubelle. Ainsi, "vous évitez la consommation inutile, vous atténuez l’épuisement des ressources et vous allongez la durée de vie des biens déjà acquis."

    4 - Recycler (ce que vous ne pouvez ni refuser, ni réduire, ni réutiliser)

       Après avoir refusé ce dont nous n’avons pas besoin, réduit ce dont nous avons besoin et réutilisé ce que vous consommez, il reste finalement peu de chose à recycler. Quand vous voulez recycler quelque chose, vous devez: 

    • Faire le tri sélectif en choisissant des endroits pratiques chez vous pour le recyclage

    • Envisager de vous rendre dans un centre de tri ou trouver des sites de collecte pour les matériaux (ampoules, piles, peintures, huile de moteur…) qui ne sont pas aussi facilement recyclables comme le verre ou le plastique.

    5 - Composter (le reste)

    Le compostage est le recyclage des matières organiques. Quand vous décidez de vous lancer dans le compostage de vos déchets, pensez :

    • au coût      • au lieu       • à l'esthétique     • à votre consommation alimentaire

    • au produit fini et à son utilisation     • à votre implication

    • aux ravageurs et autres bêtes qui permettent la décomposition de la matière

    • aux excréments de vos animaux de compagnie et aux composteurs qui pourraient les digérer.


    votre commentaire
  • Lombricompost pour tous (

     128 p.    15 €

      Comment recycler de façon écologique le tiers de sa poubelle, y compris en ville ? Obtenir un compost de grande qualité, et de l’engrais liquide organique en sus ? Faire comprendre aux enfants comment fonctionne un écosystème, en l’hébergeant dans la salle de classe ?
    Un petit ver, Eisenia, apporte la réponse à ces questions.

      Ce livre, résolument pratique nous fait découvrir ses besoins, assez faciles à satisfaire, et surtout son incroyable appétit et son tonus.
      Enrichi en témoignages, schémas et illustrations cet ouvrage nous apprend tout ce qu'il faut connaître sur ce qui sera votre meilleur allié au jardin et sur vos balcons !
       Cela vous correspond ? Alors, chiche…

     " Pour ceux qui ne le sauraient pas, le vermicompost (plus connu sous le terme erroné de "lombricompost") convient aux personnes qui jardinent sur balcon ou dans un micro-jardin de quelques mètres carrés, et qui n'ont que des débris de cuisine à recycler. Le processus ne génère pas d'odeurs, au point que vous pourriez décider d'héberger vos vers dans le salon !

      On arrive ainsi à récolter un excellent amendement, d'une qualité globalement supérieure à celle du compost ordinaire produit à l'extérieur dans un coin de jardin. Par contre le compostage en jardin permet de fabriquer des quantités d'amendement bien plus élevées.

    Sur le thème précis du vermicompost, il est difficile voire impossible de trouver plus complet que cet ouvrage de Jean-Paul Collaert.

    Tout y passe :
    - Culture générale sur le ver de compost (Eisenia, qui n'est pas un Lombric) ;
    - Fonctionnement du vermicompostage (trouver les bons vers, quoi leur donner à manger, les difficultés éventuelles) ;
    - Nombreux exemples de vermicaisses avec photos ;
    - Expérience personnelle, mais aussi témoignages d'autres amateurs et associations, jusqu'à un éclairage sur les pratiques dans diverses régions du monde ;
    - Bonnes adresses (fournisseurs, associations)

    Si votre objectif est de tout savoir sur le vermicompost, ce livre est pour vous. Mais pour moi l'auteur est allé trop loin dans des développements non indispensables qui n'apportent rien d'appréciable au lecteur. Je donne quatre étoiles à cet ouvrage, uniquement pour en récompenser le Fond, et recommande en priorité Je réussis mon compost et lombricompost, bien plus clair, et qui traite à la fois du compost ordinaire et du vermicompost, pour un prix équivalent."
      (Commentaire d'un lecteur)

    votre commentaire
  • Les soins naturels

    2008    176 p.    18 €

       Un ouvrage pratique, pour soigner les arbres à partir de préparations naturelles selon différentes techniques... Un livre complet, des recettes précises, pour comprendre le fonctionnement des arbres et lutter efficacement contre les maladies tout en respectant la nature. 

      Livre divisé en plusieurs parties bien distinctes.
    Historique des modes de traitement, biologie de l'arbre, systèmes de défense, ... et enfin les préparations et les plantes à utiliser pour chaque types de problèmes (insectes, champignons, biostimulant) avec les modes de préparation et les dosages.
     
      Éric PETIOT est né en 1965. Après un BEP d'Horticulture à Annecy en 1980, il suit une formation par uv en biologie végétale de l'arbre à Thenon ainsi qu'une formation en ethopharmacologie et Biochimie à GENÈVE. Il a aussi obtenu son CS d'arboriste Grimpeur.
       Installé depuis 1990 à Crozet dans le Pays de Gex, Éric Petiot a su donner plusieurs orientations à son entreprise, allant des soins aux arbres à la création de jardins. Ses compétences et son expertise s’adressent aussi bien aux particuliers, aux professionnels qu’aux collectivités.
       Recherche :
       Son expérience lui a permis de développer et de mettre au point différents traitements biologiques qui ont débouché sur un certain nombre de brevets.
        Des protocoles sont en cours avec la ville de Bourg en Bresse sur le chancre coloré du platane et la maladie de l’encre sur le châtaignier en Ardèche.
       Toutes ses activités l’ont amené à collaborer en 2002 au livre
        -«Purin d’ortie et Compagnie».

    votre commentaire
  • Se soigner

    2012     307 p.    19 € 

       Pour vous soigner au naturel, profitez des conseils d'un médecin pour vous et toute votre famille, comme si vous veniez le voir en consultation. Cet ouvrage très pratique vous explique comment enrayer une rhinopharyngite dès les premiers éternuements ou comment diminuer et même faire disparaître les manifestations allergiques (eczéma, rhume des foins, etc.). Connaissez-vous par exemple les vertus du citron ? II permet, par exemple. de soigner un début de syndrome fébrile par un grog, associé à du thym et des clous de girofle. Ce guide vous indique saison par saison quels sont les maux les plus courants en fonction de votre terrain et comment les soigner. Quels sont les dosages à respecter en prévention ou en traitement d'attaque mais aussi quels sont les produits à éviter pour leurs effets néfastes.
       Médecine millénaire (+ de 7000 ans), la phytothérapie est l'ancêtre de la pharmacopée chimique. Les récents problèmes sanitaires dont le scandale du Médiator ont encore accru sa popularité. Peu coûteuse et sans effets indésirables, cette médecine vous permet de vous soigner avec des produits facilement disponibles en pharmacie ou que vous avez déjà chez vous. Le + : des cures préventives pour chaque saison.
       Dr Jean-Christophe Charrié est médecin généraliste installé depuis 1998 à La Rochelle, il est formé à la phytothérapie clinique dès 1997 qu'il enseigne depuis 2003 en France comme à l'étranger. Il a participé à des actions humanitaires pour le compte du Ministère de la santé Malgache pour lutter contre le choléra.
      Marie-Laure de Clermont-Tonnerre est journaliste. Elle est co-auteur avec le Dr Jean-Claude Lapraz d'un essai sur la santé paru au printemps 2012 aux éditions Odile Jacob. 

        Commentaire d'un lecteur: (publié sur Amazon) 

      "Le livre du médecin généraliste (et phytothérapeute reconnu !) qu'est Jean-Christophe Charrié, écrit en collaboration avec Mme Marie-Laure de Clermont-Tonnerre, est un document très intéressant !

      Rédigé de façon simple et compréhensible, ce livre permet de trouver le traitement le plus naturel possible suivant nos besoins afin de nous aider à nous soigner par nous-mêmes au lieu d'avoir automatiquement recours aux traitements chimiques via les médicaments.

      Le chapitre : " Bien se connaitre pour bien se soigner " est fort instructif ! Il nous en apprend sur comment réagissent certains organes vitaux suivant chacun(e) d'entre nous.
    Ces réactions peuvent ainsi expliquer des "modes de fonctionnements" bien différents suivant les personnes et ainsi nous en apprendre un peu plus sur notre organisme et donc sur nous-mêmes...

      En homme et médecin avisé et responsable, Jean-Christophe Charrié indique (suivant les maux) d'aller évidemment consulter si besoin est ; mais les traitements proposés dans son livre peuvent être aussi pris dans certains cas en complément d'une ordonnance médicamenteuse prescrite par un médecin car la plupart des traitements proposés dans ce livre n'ont pas de contre-indications ou d'effets secondaires (*sauf indiqués par l'auteur) et peuvent donc nous aider à combattre une maladie et ainsi retrouver la santé au plus vite !

      Un livre à connaitre et à avoir chez soi si l'on veut se soigner et/ou éviter des maux récurrents ou nouveaux, qui à terme fatiguent notre organisme !

      Le livre d'un médecin humaniste en soutient aux femmes et aux hommes qui veulent réellement prendre soin de leur santé."

    votre commentaire
  • Le pari de l'arbre et la haie (Bernard FARINELLI)

    2011    240 p.   19 €

      Avec cet ouvrage, Bernard Farinelli, nous présente la situation actuelle de l'arbre et de la haie et donne les clés pour mieux les comprendre. Il est temps de leur donner un statut, de les protéger et de les multiplier.
    A ce titre, un guide pour la plantation (32 pages) permet à chacun de planter sa haie. La reconsidération essentielle pour l'humanité de l'arbre et de la haie est un pari pour l'environnement, l'agriculture et l'économie locale.

      L’arbre, symbole de la vie, et la haie, symbole paysan, appartiennent à l’inconscient collectif. Ils devraient naturellement être l’objet d’un respect partagé. Ce n’est pas le cas : de remembrements en aménagements, d’arrachages en limitations, ils ont été et restent les victimes du développement agricole, urbain, industriel. Ils gênent le voisinage, les lignes aériennes, ils font de l’ombre… Là, où ils sont supportés, ils sont taillés, contenus dans des parcs.
       Or, l’arbre et la haie sont porteurs de toutes les qualités – écologique, paysagère, économique, agricole et bien entendu culturelle.

       Cet ouvrage fait le point sur ces qualités indiscutables, portées par la demande sociétale. Il analyse les aspects psychologiques du blocage, voire de la haine, dont sont sujets l’arbre, la haie, et donne les clés pour mieux les vaincre.

       Il est temps de leur donner un statut, de les protéger et de les multiplier. A ce titre, un guide pratique pour la plantation permet à chacun de planter sa haie.

       Bernard FARINELLI est l’auteur d’une quinzaine d’ouvrages portant sur l’économie locale, la question paysanne, le renouveau des campagnes.


    votre commentaire
  • 2013    112 p.   5,90 €

      Extrait

    Désherber sans désherbant

      Que le jardinage serait agréable S'il ne fallait pas désherber ! Concevoir, planter ou semer, admirer la pousse, et même arroser... tout cela est positif; digne d'intérêt. Mais qui songerait à dire : «Je me suis régalé en désherbant» ? Parce qu'à l'instar du ménage, ce genre de tâche ne se remarque que si on la néglige.
    La nature semble prendre plaisir à nous contrarier, en faisant pousser l'ivraie à la place du bon grain ! Du moins, c'est ainsi que des générations de jardiniers ont considéré la chose. Jusqu'à ce qu'enfin apparaisse la solution : le désherbage chimique. Molécules contre plantules, le match était enfin gagné... Pour s'apercevoir que les jardins ainsi traités étaient tristes, comme s'il manquait la fantaisie du liseron ou le piquant du chardon.
      Se passer de ces produits est tout à fait possible... avec un peu de méthode et d'huile de coude. D'abord, il s'agit d'apprendre à reconnaître ces «herbes spontanées non désirables». Savoir d'où vient leur force pour repérer aussi leurs faiblesses. Ensuite, par une sorte d'aïkido horticole, se servir de leur vitalité pour la contrer.
    Enfin, si malgré nos conseils, la partie vous semble perdue, posez-vous cette question : mon jardin n'est-il pas trop compliqué ? Un peu plus de prairie fleurie, des arbustes paillés régulièrement... voilà quelques pistes pour un jardin plus hédoniste.

    AVANT-MATCH DES ADVERSAIRES EN PRÉSENCE

    À moins de jardiner dans le désert de Gobi, et encore, vous avez forcément été confrontés à des mauvaises herbes envahissantes. Voyez le côté positif : ce sont de belles illustrations de la Vitalité delà nature...

    État des lieux

    «Ah bienheureux les jardiniers du Midi qui n'ont pas besoin de désherber en été, grâce à un ciel sans nuage qui bloque la végétation !» C'est du moins ce que pensent les amateurs de hamac nordistes, venus en vacances dans le Sud, auxquels les autochtones rétorquent qu'ils feraient bien de revenir au printemps pour voir combien Se débarrasser de la Salsepareille n'est alors pas de tout repos.

    Que tous ceux qui trouvent que l'herbe est plus verte ailleurs se rassurent : chacun a sa part. Que le jardin soit tout neuf ou épanoui, il y aura toujours quelques plantes inopportunes pour troubler le souci de perfection... et la sieste du jardinier...  (...)
     
      Gilles Bonotaux est illustrateur jeunesse (Milan, Autrement, Hachette) et animalier.
     
      Hélène Lasserre, son épouse, travaille avec lui sur les textes des ouvrages. Ils sont déjà les auteurs, dans la collection « Larousse attitude », de
      -Mon Chat est un hypocrite (best seller),
      -Les Vacances du Chat hypocrite, S’taupons les taupes !,
      -Haltes aux sales bêtes qui foutent la trouille
      -Drôles d'oiseaux ! (MEV : mars 2012).

       Ingénieur agronome de formation et jardinier, Jean-Pierre Collaert a été rédacteur en chef de Jardins de France, la revue de la Société nationale d’horticulture de France. Il a écrit de nombreux livres sur le jardin dont
        -Le Beau jardin du Paresseux (1985),
        -Le Jardin comme on l’aime,
        -L’Art du potager en carrés (avec Éric Prédine, 1999),
        -En vert et malgré tout (avec Nadia de Kermel, prix Saint Fiacre 2005)…
     et en tant que spécialiste du compost,
       -Compostons ! (2008) et
       -Lombricompost pour tous (2009).

    votre commentaire
  • 2011   136 p.  15,50 €

      Voici enfin le premier livre sur les soins aux plantes par les huiles essentielles ! Eric Petiot nous livre ici le fruit de nombreuses années d'expérimentations et d'études dans un domaine encore inexploré. Ainsi vous trouverez dans cet ouvrage unique les notions élémentaires pour mieux comprendre le fonctionnement des huiles essentielles au sein du végétal puis des recettes pour guérir les maladies les plus courantes.

      Éric Petiot, en véritable pionnier, nous livre ici à le fruit de nombreuses années d'expérimentations et d'études scientifiques dans un domaine encore largement inexploré.

    Grâce à lui vous apprendrez à constituer une trousse d'huiles essentielles de secours et serez autonome pour soigner vos plantes tout au long de l'année. Ainsi
    vous trouverez dans cet ouvrage unique les notions élémentaires pour mieux comprendre le fonctionnement des huiles essentielle au sein du végétal puis des recettes pour traiter les maladies les plus courantes selon différentes techniques (pulvérisation, perfusion, injection...)

    De nombreuses illustrations et une mise en page claire et détaillée vous permettront un diagnostic facile et des soins efficaces.

      Livre excellent à bien étudier pour une utilisation optimum, mieux qu'un simple livre de recettes pour lutter contre les parasites du jardin. Il faut commencer par approfondir la théorie pour bien comprendre les raisons de faire . La théorie est présentée clairement et logiquement, c'est un véritable cours très bien fait.. une vraie mine de savoir.
      

    votre commentaire
  • La taille des arbres fruitiers (

      2005   222 p.  25,20 €

        En s'appuyant sur des dessins d'une grande précision, ce livre décrit, pas à pas, espèce par espèce, toutes les étapes de la taille des principaux fruitiers pommier, poirier, pêcher, abricotier, prunier, cerisier, vigne, figuier, olivier. Principes généraux. Taille de formation : plein vents, fuseaux, gobelets, cordons, palmettes, tridents, U simples, U doubles, candélabres, treilles, etc.   Toutes les formes simples et attractives, présentant un intérêt pour les jardins d'amateurs, sont ici présentées : origine, avantages, inconvénients, porte-greffes conseillés et formation, à partir d'un scion ou d'un sujet déjà préformé du commerce. Taille de fructification et d'entretien : qu'il s'agisse d'un simple élagage périodique, ou d'une taille d'hiver annuelle rigoureuse, suivie d'opérations complémentaires en été, le type de taille adapté à chaque situation est décrit en détail.   Taille de restauration : les opérations permettant de restaurer les arbres âgés ou déséquilibrés sont également présentées.
      
       JACQUES BECCALETTO est depuis plus de 35 ans responsable des cultures du Potager du Roi de Versailles. Ce verger fameux, créé sous Louis XIV, constitue la plus grande collection de formes fruitières du Monde. Jacques Beccaletto en est un des meilleurs connaisseurs. Il est l'auteur de l'
       -" Encyclopédie des formes fruitières " parue en 2001 aux éditions Actes Sud.
      
       DENIS RETOURNARD est depuis plus de 20 ans responsable de la très riche collection fruitière du Jardin du Luxembourg, à Paris. Il est, par ailleurs, chargé des cours sur la taille des arbres fruitiers que le Jardin du Luxembourg prodigue aux amateurs. Il est, entre autres, l'auteur d'
       -" Arbres fruitiers " paru en 2003 aux éditions Ulmer

     


    votre commentaire
  • La forêt fruitière (Maurice CHAUDIERE)

    2008   95 p.  12 €   éd.de Terran

       Donner à ceux qui croient encore au Paradis le plaisir de cueillir une pomme, une poire, une pistache dans la garrigue ou dans une friche voisine...

      C'est le pari réussi par Maurice Chaudière, ce magicien de la vie ! Après de longues années d'expériences concluantes, l'auteur nous démontre qu'il est possible de produire des fruits aux dépens des broussailles...

      Une formidable note d'espoir, à l'heure ou l'on se demande comment nourrir une humanité galopante !


    votre commentaire
  •  L’iode, une solution trop simple au mildiou

      Depuis 8 mois, j’ai la chance de travailler dans une toute petite boîte agricole qui se spécialise en alimentation animale et aussi en fertilisants, tous à base d’algue.

    Iode et mildiou  Le fondateur de la petite entreprise, M Serge Therrien, est un libre penseur, un homme sans diplôme mais avec un sens de la liberté féroce et une attitude face au pouvoir que ne détesterait aucun Kokopellien.

      Des décennies avant tout le monde, il prônait l’utilisation de bactéries en agriculture, et même pour assainir les plans d’eau moribonds pour cause d’empoisonnement chimique. Les grands penseurs du gouvernement ont tôt eu fait de s’élever contre la  »libération » de bactéries sources de vie dans les plans d’eau, because  »il faut établir des protocoles », la machine a dit non mais de nombreux propriétaires riverains ont travaillé en silence pour revivifier leurs lacs, pour le grand bénéfice des plans d’eau. Célébrons la ré-apparition de la vie, qui commence toujours avec la micro-flore et la micro-faune.

    Même chose avec l’utilisation de l’iode. Rappelons que l’iode est accepté, même en bio, mais comme  »désinfectant ». Or, que fait un désinfectant: il tue les bactéries et les fungus, les champignons microscopiques.

    Quand on opère une personne dans un hôpital, on désinfecte avec quoi? Pourquoi ces ventres bruns?

    L’iode, bien sûr, est le fongicide et bactéricide le plus puissant connu par l’homme.

    Mais l’iode a un énorme défaut: il est naturel, pas de copyright à l’horizon. Même une petite boîte peut le manufacturer, je suis bien placé pour le savoir, on est 3 dans la compagnie…et puis il est 10 fois plus cher à fabriquer, rien d’intéressant pour une multi-nationale…

    Il y a quelques années, une crise de phytophtora ( mildiou) dans l’industrie de la pomme de terre au Québec s’est pointée le nez. Serge et Jean Claude, un fermier, aussi distributeur pour lui, sont partis sur la route distribuer de l’iode. Tant et si bien que le fonctionnaire chargé de la  »phyto-sécurité » a eu l’idée brillante d’envoyer un fax à tous les producteurs mentionnant que l’iode, un ÉLÉMENT NATUREL, n’était pas APPROUVÉ comme fongicide, mais seulement comme désinfectant ( ne combattons pas les fungus, désinfectons les, dirait Voltaire). Le résultat: tous les producteurs de la période  »pré fax » ont sauvé leur récolte. Pas les autres. Jean-Claude, le fermier distributeur, m’a avoué que le fonctionnaire responsable l’a contacté, apparemment sincèrement désolé, en lui disant qu’ils auraient dû être avisés, que les choses auraient pu être différentes etc etc…

    En bref, le gouvernement s’est fait foutre sous le nez un produit naturel qui fonctionne, a constaté son efficacité, foutuement corollaire de la même efficacité dans les hôpitaux, et puis rien ne s’est passé depuis, malgré la preuve accablante.

    Pour le sens commun et le sens de l’observation, on repassera.

    Je tiens à souligner que j’ai posé la main il y a quelques semaines sur un pommier qui fut un jour en train d’être bouffé par une maladie cryptogamique ( un fungus, mais je sais pas lequel, je n’ai pu constater que les anciens dommages ), le coeur tout vide, j’ai vu les photos d’il y a quelques années et constaté leur exactitude de visu, qui a été sauvé par le remplissage du coeur pourri par de l’iode ( on en met jusqu’à temps que cela déborde) et de fréquents arrosages foliaires. Aujourd’hui, la plaie, ouverte sur près de 30 centimètres, est presque totalement refermée et le pommier revit malgré son coeur vide, encore légèrement visible malgré la fermeture quasi totale de la plaie.

    Et le plus beau: la dose d’iode utilisée pour combattre la maladie ( 400 ppm) est inférieure à ce que Jean-Claude ingère presque quotidiennement, 7 ou 8 gouttes dans un verre d’eau. Il en met même dans l’eau de son bain,

    Je vous reviens là -dessus, mais sachez que nous sommes sur une bonne piste, et j’invite mes amis du nord de l’Europe, entre autres les bretons qui m’ont fait découvrir leur cidre et redécouvrir la crêpe, à sérieusement lorgner de ce côté pour combattre le mildiou et les autres maladies cryptogamiques ( les fungus)

    À bientôt j’espère

    Michel     20 juillet 2011  (Kokopelli)


    votre commentaire


    Suivre le flux RSS des articles de cette rubrique
    Suivre le flux RSS des commentaires de cette rubrique