• Le guide de l'écobio jardinier (P. NESSMANN, Ph. PERDEREAU )

                                                                                                            2009     208 p.     26 €

       Ce guide, pratique et complet, donne les clés pour apprendre le jardinage durable - de la culture à l'entretien des plantes en passant par l'aménagement du jardin - et devenir un parfait écobio jardinier. 

        Il est vendu avec une brosse à légumes pour vous permettre de profiter au maximum des vitamines de vos productions.    

          Paysagiste et journaliste, Pierre Nessmann est diplômé de l'école d'Horticulture de Lullier (Genève). 
        Depuis plus de vingt ans, il partage son temps entre la conception de jardins et de terrasses et l'animation de cours à l'Arboretum de la Vallée-aux-Loups. Il est aussi chef de rubrique à 100 idées Jardin et animateur d'une rubrique jardin à la télévision. Il est l'auteur, chez Aubanel, de la collection " Au jardin " et a publié deux petits guides pratiques :
         - Ciel ! mon jardin a froid ! et
         -Ciel mon jardin a chaud !
          Philippe Perdereau est l'un des plus grands photographes spécialisés dans le jardin en France. Avec son épouse, Brigitte, ils parcourent l'Europe pour y photographier les oeuvres des grands paysagistes ou des simples passionnés. Le regard moderne et vivant qu'ils portent sur l'univers du jardin est apprécié par la presse française et étrangère. Ils ont notamment publié
       -Les Nouvelles Architectures de feuillages (Flammarion / La Maison Rustique)
         ainsi que les ouvrages de la collection " Au Jardin " avec Pierre Nessmann.

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  • 2009    288 p.

      Ce livre écrit par l'inventeur des EM, Tiruo Higa, relate ses nombreuses expériences avec les EM, y compris comment ils ont été découverts. M. Tiruo Higa y parle aussi de sa vision de l'avenir de l'humanité et de son évolution.


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                                                        400 pages - éd. Le Souffle d'Or (2011)  28,40 €

    Dans "Les micro-organismes efficaces au quotidien", Anne Lorch nous explique très concrètement les différentes façons d'utiliser les EM. Particulièrement en horticulure, en fonction des problématiques spécifiques.

    Présentation de l'éditeur: "Aujourd'hui, il est plus qu'urgent de revoir les méthodes de production basées sur l'utilisation des énergies fossiles, des pesticides et des engrais chimiques. Les «EM», mixture de micro-organismes mise au point par le chercheur japonais Teruo Higa, répondent à cette problématique et s'avèrent des alliés précieux pour ceux qui voudront être à la fois acteurs et bénéficiaires d'un système biologique naturel.

    «Higa savait qu'il venait de faire une découverte extraordinaire [...]. Ce qu'il ne pouvait deviner encore, c'est à quel point l'utilisation de ces combinaisons microbiennes deviendrait universelle», écrit Anne Lorch.

    Ce livre, dans lequel chacun pourra glaner ce qui l'intéresse, est richement illustré et clairement structuré :

    ° Un large tour d'horizon nous conduit de la situation environnementale actuelle au monde des EM, en abordant des sujets tels que la vie du sol, la biologie de l'eau ou encore la microbiologie, et nous prépare à mieux comprendre le rôle de ces micro-organismes.
    ° L'auteur nous fournit ensuite une description très détaillée de la fabrication des EM et de leur utilisation dans les champs, les vergers et les vignobles, les prairies et les étables, dans nos maisons, nos jardins et nos plans d'eau, dans l'artisanat et l'industrie, pour notre santé et celle des animaux.

    Des témoignages d'utilisateurs viennent clore cet ouvrage, avec des exemples concrets.

    Que vous veniez de découvrir l'existence des micro-organismes efficaces ou que vous en soyez un utilisateur expérimenté, cet ouvrage sera un guide indispensable !

       Anne Lorch est avant tout une journaliste spécialisée expérimentée, particulièrement intéressée par les univers du macrocosme et du microcosme. Rassembler des informations, les formuler dans des textes, les saisir par des images et les mettre en application dans son propre jardin est devenu pour elle un hobby. Cette passion l'a tout naturellement menée aux micro-organismes efficaces, qu'elle utilise intensivement depuis 2001. En tant qu'ancienne rédactrice en chef du magazine " Schweizer Garten ", elle a pu utiliser ses connaissances en botanique et en jardinage, acquises au cours de ses années d'études et approfondies par des années de pratique.

    Extrait de l'introduction

    Sous la dénomination de «micro-organismes efficaces» se cache une technologie authentique qui s'appuie sur un système fondamental et naturel. Avec les micro-organismes efficaces (les «EM»), les cycles de la vie, des substances vivantes et de notre propre organisme sont réorientés de la décomposition vers la régénération.

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  •                                                           2016    176 p.    19,95 € 

       350 dessins geste par geste et 50 légumes !

      Manger sainement, voir pousser ce que l'on a semé ou planté, faire des économies... voici autant de bonnes raisons pour créer un petit potager et y cultiver de manière bio ses propres légumes !

      Ce guide pratique vous donne toutes les bases du jardinage bio, puis vous propose une sélection de 50 légumes. Chacun fait l'objet d'une fiche de culture basée sur des dessins en pas-à-pas précis et légendés. De l'ail au topinambour, en passant par la carotte ou le poireau, plus de 350 dessins vous guideront dans toutes vos cultures !

      De nombreuses astuces bio complètent l'ensemble, vous indiquant comment réussir vos cultures, produire vos propres semences, éloigner les parasites, composter, pailler...

      Un guide visuel idéal pour réussir facilement son potager bio !

       Ingénieur horticole de formation, Rosenn le Page est journaliste spécialisée dans les domaines du jardin et de l'écologie. Elle a déjà publié de nombreux ouvrages sur ces thèmes aux éditions Rustica.  

        Isabelle Dervillers est illustratrice.


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  •   Composter depuis sa cuisine, c'est désormais possible ! Cet objet cache un ingénieux système capable d'accélérer le processus de façon spectaculaire...

     

    Nul ne met en doute l’importance du compostage domestique. Ça élimine les déchets, c’est écologique et ça fertilise la terre. Pourtant, la pratique peine à se généraliser. Parce qu’elle nécessite un jardin, parce qu’il faut s’organiser et parce que ça prend un peu de temps. Heureusement, cette invention pourrait définitivement généraliser les bonnes habitudes : en 24 heures, elle permet de transformer toute une semaine de restes alimentaires en engrais écologique, le tout, sans sortir de chez soi ! Explications.

    Source : Zera (https://www.zera.com/)

    Le Zera food recycler (c’est le nom de cette invention) ressemble à une poubelle tout ce qu’il y a de plus ordinaire mais, en réalité, c’est un véritable concentré de technologies au service du compostage et de l’environnement.

    Source : Zera

    D’un volume de 8,4 litres, elle permet d’accueillir 3,5 kg de déchets alimentaires, soit, en moyenne, ce que produit une famille américaine en une semaine. Versez-y un sachet contenant du bicarbonate de soude et des morceaux de coques de noix de coco, et, en moins de 24 heures, l’appareil transformera le tout en engrais !

    Le Zera food recycler s’appuie sur un système combinant l’action de l’air, de l’humidité, de la chaleur et du brassage. Grâce à lui, le volume des déchets est réduit des deux tiers et, surtout, le compostage s’effectue à la vitesse de l’éclair (alors qu’il faut compter jusqu’à plusieurs mois dans des conditions ordinaires !)

    Seuls inconvénients : son prix relativement élevé (1 120€) et le fait qu’elle nécessite l’usage de l’électricité (ce qui réduit son apport écologique). Mais, pour se mettre au compost quand on n’a pas de jardin, on fait difficilement plus simple, plus propre et plus rapide ! D’autant qu’un déchet composté sera toujours préférable à un déchet rendu inutile ! 

    Preuve que cette invention enthousiasme le grand public, la campagne de financement a déjà permis la collecte de 264 732$ alors qu’elle court pendant 18 jours encore… et que les initiateurs du projet s’étaient fixés un objectif à 50 000$ seulement !

    Les premiers Zera food recyclers seront produits dès le mois de mars pour une première commercialisation en mai. Malheureusement, les Européens que nous sommes devront attendre quelques mois supplémentaires : dans un premier temps, le produit ne sera disponible qu’aux États-Unis.

    Pas grave, ce délai d’observation nous permettra de nous faire une idée plus précise de l’invention. En tout cas, avouons que l’idée est belle !


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      Les bébés naissent aujourd’hui avec plusieurs dizaines de substances chimiques toxiques dans leur organisme. Un grand nombre d'entre elles sont des perturbateurs endocriniens.

      La récente étude de l'agence Santé Publique France, menée auprès de plus de 4000 femmes enceintes, montre une imprégnation généralisée : 70% pour le Bisphénol A, 99,6 % pour les phtalates, 100% pour les pesticides pyréthrinoïdes, 50 % pour les pesticides organophosphorés, 100 % pour les PCB, dioxines et furannes, 100 % pour les retardateurs de flamme bromés, 100 % pour les perfluorés.

      Nous savons que ce cocktail augmente le risque d’avoir une maladie chronique pendant l'enfance mais aussi à l'âge adulte : obésité, diabète, cancer du sein et de la prostate, troubles du comportement (hyperactivité, déficit d'attention, autisme...), baisse du QI, troubles de la reproduction (baisse de la qualité du sperme, infertilité, cancer du testicule, malformations génitales, abaissement de l'âge de la puberté). On sait que pour une substance comme le bisphénol A le risque d'infertilité et de baisse de la qualité du sperme peut être transmis aux petits-enfants et aux arrière-petits-enfants.

      Pour faire face à ce problème majeur de santé publique, nous demandons aux candidats à la présidentielle de s’engager à promulguer une grande Loi de Santé Environnementale et d’organiser un Grenelle de la Santé Environnementale pour débattre avec la société civile de la meilleure façon de mettre fin à cet héritage toxique.

      AGISSEZ ET SIGNEZ LA PETITION sur le site sous mentionné

    RÉSEAU ENVIRONNEMENT SANTE
    47 avenue Pasteur, Montreuil
    http://www.reseau-environnement-sante.fr


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  • Souvent par ignorance, nous jetons des morceaux de viande, des « déchets » de légumes ou de fruits encore bons à manger et souvent riches en nutriments utiles.

    On estime que la moitié de la nourriture jetée par les restaurants et les ménages est encore bonne à être mangée [1] !

    Eric Godot, un chef lausannois, avait fait parler de lui en organisant un dîner de sensibilisation au gaspillage où il n’a cuisiné que de la nourriture périmée : velouté d’asperges, sorbet de poisson fumé… Les 170 convives sont ressortis conquis [2].

    L’un des cuisiniers témoigne : « Je ne m’attendais pas à ça. Les asperges étaient dans un excellent état, avec parfois une seule abimée dans la botte ».

    Et le chef Eric Godot de conclure : « Ne jetez pas d’emblée. Sentez, touchez, goûtez. Faites confiance à vos sens et à votre bon sens. »

    Nous ne sommes pas aidés par les réglementations sanitaires qui imposent des dates de péremption hyper prudentes.

    Tant de produits prétendument périmés sur l’étiquette ont en fait conservé leur saveur et leurs qualités nutritives sans risquer d’intoxiquer qui que ce soit. C’est à se demander qui décide des critères de péremption.

    Mais j’ai en fait la réponse : ce sont des personnes qui cherchent avant tout… à éviter les ennuis. Pour éviter tout risque que quiconque leur reproche un jour d’avoir pris un risque, elles calculent des marges de prudence énormes, souvent 2 fois, 3 fois, 5 fois trop courtes.

      Il y a bactérie et bactérie

    Il existe une grande différence entre les bactéries qui font pourrir et les bactéries pathogènes (qui vous rendent malade).

    Regardez le roquefort : il est couvert de moisissures vertes et malodorantes, et pourtant il est comestible.

    À l’inverse, la listériose (qui peut vous contaminer par le fromage au lait cru) est invisible et ne dégage aucune odeur [3].

    Comme les apparences sont trompeuses, les scientifiques ont mis au point des instruments précis pour déterminer si les aliments sont encore comestibles. Mais ce n’est pas demain que le grand-public y aura accès. C’est pourquoi j’ai décidé de vous livrer mes trucs pour ne pas gaspiller et pour recycler vos « déchets » précieux en bons petits plats.

    Lait caillé

    Le lait caillé est désagréable au goût mais il peut être utilisé pour des gâteaux. L’avantage pour les crêpes, c’est que vous n’êtes plus obligé de laisser reposer la pâte.

    Dans une recette de gâteau vous pouvez aussi remplacer le lait par un yaourt périmé.

    Avec du lait caillé, vous pouvez aussi faire du fromage blanc en le passant dans un linge fin, puis essorer jusqu’à ce que ça ne goutte plus. Après, vous pouvez le saler ou le sucrer à votre convenance.

    Cela paraît « dégoûtant » ; ça ne l’est pas. C’est exactement comme ça qu’est fabriqué le fromage blanc depuis la nuit des temps, y compris celui qu’on vous vend dans des emballages en plastique multicolore dans les supermarchés…

    Rattraper du beurre rance

    Pour absorber le goût désagréable du beurre rance, on conseille souvent d’y planter des bâtonnets de carotte crue (épluchée).

    Légumes à feuilles vertes

    Si votre salade, vos épinards frais ou votre roquette vous paraissent « limite », ajoutez-les dans un potage de légumes ou dans un smoothie vert.

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  • Le guide Terre Vivante de l'autonomie au jardin

                                                   2015    512 p.    35 €   

        Qui n'a jamais rêvé de vivre de son jardin ? Cet ouvrage réunit tous les conseils et savoir-faire d'un collectif d'experts. Les piliers du jardinage bio sont présentés pour obtenir un potager nourricier : compost, engrais verts, paillage, associations, auxiliaires, potions et production de graines. Une quarantaine de fiches détaille les fruits et légumes à cultiver (carottes, fraises, poireau, etc.). Enfin, les petits élevages de poules et d'abeilles complètent cette accession à l'autonomie.  

    Extrait

    INTRODUCTION:    Les règles d'or du potager autonome

    Jean-Paul Thorez (texte), Sandra Lefrançois (photographies)

    Qu'est-ce qu'une variété ?

    ON PEUT JARDINER «AVEC LA LUNE», «SUR BUTTES». On peut être inconditionnel des variétés anciennes, ou, au contraire, des modernes. On peut cultiver un potager avec allées ou sans allées, des parcelles rondes ou rectangulaires, voire en «spirale». Bref, il est possible de jardiner selon sa fantaisie. Mais si l'on veut mettre toutes les chances de son côté, il faut absolument respecter certaines règles.

    Le calendrier

    Semez ou plantez la bonne variété à la bonne date : impossible de réussir sans respecter cette règle élémentaire. En effet, les variétés (voir encadré ci-contre) se distinguent les unes des autres non seulement par la forme, la couleur, le goût ou la taille de leurs produits, mais aussi par leur vitesse de croissance ou leur adaptation à telle ou telle saison, tel ou tel climat. Souvent, les conseils donnés sur les sachets de graines ou les étiquettes des plants sont trop imprécis. Ils sont à l'origine de nombreux échecs, tout comme les semis et plantations à l'aveuglette.
    Référez-vous aux fiches culture du présent livre (p. 273), où vous trouverez une carte des zones de culture ainsi que les périodes de semis ou de plantation pour chacune des cultures présentées. Vous saurez ainsi qu'il y a des laitues pour chacune des quatre saisons, qu'il y a un risque à planter des tomates en pleine terre avant une certaine date, qu'on ne plante pas le même chou-fleur en Bretagne et dans le Nord.
    Certaines variétés ont besoin de chaleur, d'autres apprécient la fraîcheur, d'autres encore redoutent le gel... Pour mettre toutes les chances de votre côté, apprenez à tenir compte des particularités de votre climat.
    Le Nord et l'Est de la France se caractérisent par des hivers rigoureux et des étés souvent frais. Le Sud et l'Ouest bénéficient d'hivers relativement doux et d'étés chauds.

    Environnement

    En France, sols et climats sont très variés. Il est donc quasi impossible de rendre compte de cette diversité dans le cadre d'un livre. Observez les jardins du voisinage, notez ce qui y pousse et à quelle époque. N'hésitez pas à demander conseil à des jardiniers plus expérimentés. Participez à des réunions, formations, conférences, visites, fêtes des jardins, etc. Les jardins ouvriers ou familiaux sont aussi d'excellents moyens de mieux connaître les façons de jardiner propres à votre localité.

    Le sol

    Ne travaillez la terre que si elle est suffisamment sèche pour ne pas coller aux outils. Mais trop sèche elle sera dure ! Ne vous précipitez pas : en général, vous gagnerez du temps en sachant attendre, car une plante semée ou plantée dans un sol préparé dans de bonnes conditions poussera mieux et plus vite.

    (...) 

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  • 2016     176 p.    22,50 €

          Une introduction accessible à la permaculture par un couple dont la petite ferme est un modèle d'autarcie et d'harmonie avec son milieu. Organisé en chapitres thématiques, cet ouvrage très concret livre également les réflexions des auteurs sur le sens de leur démarche et plus généralement du travail de la terre.

       Sepp et Margit Brunner vivent des produits de leur ferme qu'ils travaillent depuis des années en permaculture. Dans l'Alpe autrichienne où ils sont nés, leur domaine est devenu un lieu d'expériences culturales et d'épanouissement personnel.

       Ils y organisent des séminaires afin de transmettre leur savoir. Dans ce livre, ils présentent à la fois le concept de permaculture et les principes de base pour aménager et faire vivre un jardin en harmonie avec le cycle de la nature. Qu'il s'agisse d'organiser l'espace, d'associer les espèces, de favoriser le cycle de l'eau, de conserver la chaleur ou de soigner les plantes, ils nous guident pas à pas de la théorie à la pratique.

       Avec eux, transformons nos jardins et balcons en oasis qui nous approvisionneront en produits frais et sains, réjouiront nos coeurs par une abondance de couleurs et de parfums, et abriteront nos amis du monde animal et végétal.


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  •                                                               2016    568 p.   39 €  

        Ce manuel pratique dévoile les nouvelles techniques du jardinage bio. Une somme de secrets redécouverts et d astuces inédites.
       Micro-organismes bénéfiques, compost bokashi ou bio-dynamique, permaculture, vortex, pouvoir des éléments...
      Le Bio Grow Book vous ouvre les portes d'un jardinage en pleine (r)évolution, où productivité rime enfin avec qualité. Été comme hiver, en terre comme en bioponie, apprenez à cultiver des plantes plus saines et plus savoureuses - fruits, légumes, fleurs... - en prenant soin de votre santé et de la planète.
      Florilège de stratégies innovantes et de conseils éprouvés, ce guide écoresponsable et plein d'humour est un must pour tout jardinier, débutant ou professionnel, souhaitant cultiver en conscience. Photos, schémas 3D, microscopies, graphiques étape par étape... plus de 500 illustrations originales.
      BioScope en fin d'ouvrage avec : des adresses et des sites Web, des infos sur les salons et festivals, plus de 800 contacts pro... Préface de Michka Seeliger-Chatelain. Dessins de Pic Lelièvre. 
     

        Karel Schelfhout est, depuis plus de 30 ans, une personnalité reconnue dans le domaine de l'horticulture contemporaine. Véritable légende dans certains cercles, il a joué un rôle prépondérant dans la diffusion des techniques de culture high-tech d'abord utilisées aux Pays-Bas, avant d'opter pour un nouveau mode de jardinage alliant le respect de l'environnement et l'excellence du produit fini. Il est également cofondateur d'une entreprise qui développe des engrais bio.

      Mig, ultra-runner et journaliste publié dans diverses langues, est spécialisé dans le domaine de la bio et du jardinage urbain.


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  •                                                           2012    64 p.     6,90 €

       La Terre, tout comme l'Humain, a besoin d'attentions et de tendresse. Choyée, la planète n'en devient que plus belle et plus accueillante. Et, entourés de bienveillance, nous nous épanouissons davantage et accomplissons des merveilles. Apprenons donc à cultiver l'harmonie avec notre planète et à entretenir nos richesses intérieures !
      Devenons partisans de la «simplicité heureuse» ! Dans un élan de gratitude et d'altruisme, donnons sans compter, consommons avec mesure et nous découvrirons qu'être attentif envers la terre et l'humain est source d'une immense joie !
       Ce petit cahier d'exercices souhaite donner, à ceux qui le liront et le pratiqueront avec coeur et conscience, des clés pour s'enrichir de ressources très précieuses qui, comme l'amour, augmentent à chaque fois qu'on les partage : la sérénité et la joie éprouvées lorsque l'on offre sa tendresse au Vivant.

       Le symbole du colibri vise à inspirer, relier et soutenir, ceux qui souhaitent participer à une transformation écologique et humaine de la société. Afin que chacun puisse, individuellement et collectivement (re)prendre en mains sa destinée.

    «Quels enfants laisserons-nous à la planète et quelle planète laisserons-nous à nos enfants ?Pierre Rabhi

       Paysan, auteur et conférencier, Pierre Rabhi est un des pionniers de l'agro-écologie et l'inventeur du concept «Oasis en tous lieux». Il défend un mode de société plus respectueux des hommes et de la terre et soutient le développement de pratiques agricoles accessibles à tous. Depuis 1981, il transmet son savoir-faire dans les pays les plus arides d'Afrique, en France et en Europe en cherchant à redonner leur autonomie alimentaire aux plus démunis et à sauvegarder leur patrimoine nourricier.
      Il est l'initiateur du Mouvement Colibris, reconnu expert international pour la lutte contre la désertification, . Depuis 1981, il transmet son savoir-faire en Afrique en cherchant à redonner leur autonomie alimentaire aux plus démunis et à sauvegarder leur patrimoine nourricier. Auteur, philosophe et conférencier, il appelle à "l'insurrection des consciences" pour fédérer ce que l'humanité a de meilleur et cesser de faire de notre planète-paradis un enfer de souffrances et de destructions.
       Auteur, philosophe et conférencier, il appelle à "l'insurrection des consciences" pour fédérer ce que l'humanité a de meilleur et cesser de faire de notre planète-paradis un enfer de souffrances et de destructions.

       Passionnée d'écologie humaine et planétaire, Docteur en médecine, Anne van Stappen s'est très tôt intéressée à transmettre des clés visant à humaniser les relations intra et interpersonnelles. Son aspiration à soigner les maux du corps par les mots du coeur s'est principalement réalisée à travers sa rencontre avec la Communication Non Violente. Formatrice certifiée en CNV depuis 1995, elle propose des conférences et des ateliers sur la communication et la gestion des conflits.
     

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  • Face aux grands enjeux sociaux et environnementaux
    du XXIème siècle, nous ne sommes pas seuls !   http://www.lilo.org/fr/moteur-utile/

    savoir+

    Chaque jour, des milliers de personnes s'engagent
    pour apporter des solutions concrètes et locales.

    savoir+1

      Enutilisant Lilo, vous pouvez aussi agir au quotidien concrètement
    et efficacement en soutenant les projets que vous choisissez !

    savoir+2

    Comme des milliers d'internautes qui ont décidé d'agir,
    rejoignez la communauté Lilo et soutenez ces belles initiatives. savoir+4


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  • http://www.sortirdunucleaire.org/BD-l-energie?origine_sujet=LI201612 

     
       

    BD : "L’énergie" par Audrey Collomb

      Dans cette bande dessinée en ligne proposée par l’association Énergie Partagée, Audrey Collomb présente avec un trait d’humour l’histoire de l’énergie depuis les débuts de l’humanité jusqu’à aujourd’hui. Dépeignant la situation plutôt délicate de notre époque à ce sujet, cette BD propose aussi des solutions actuelles pour amorcer une vraie transition !

      Allez sur le site http://www.energie-partagee.org pour la lire et vous en inspirer.


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  • Vers la maison sans chauffage

    2011  143 p.  18 € 

       Journaliste indépendante. Anne-Elisabeth Bertucci travaille sur les sujets traitant de l'environnement. de l'architecture et de l'éco-habitat. Elle collabore notamment à la rubrique " Habiter" du journal Ouest-France et au magazine Architecture Bois.  
      Michel Ogier est photographe et vidéaste indépendant. Il collabore notamment à la rubrique " Habiter " du journal Ouest-France.

      L'énergie la moins polluante est celle que l'on n'utilise pas. C'est aussi la moins chère ! Or le chauffage représente en moyenne 75 % de l'énergie consommée par un logement. Aujourd'hui des solutions existent pour réduire cette dépense.

      Une maison très basse consommation parfaitement isolée, peut se passer d'une source conventionnelle de chauffage tout en offrant un grand confort. Développées en Allemagne depuis plus de vingt ans, les maisons passives ont besoin d'un seul radiateur en appoint pour maintenir une température ambiante de 20 C.

      Destiné à tous ceux qui s'intéressent à ces habitations très économes en énergie, cet ouvrage explore 20 projets Bbc ou passifs : maison familiale, maison-atelier, habitat social groupé, rénovation...

      Cas par cas, propriétaires, architectes, thermiciens répondent à toutes les questions que l'on se pose à propos de ces maisons économes et écologiques.
       Faut-il construire en bois pour plus d'efficacité thermique ? Quels types d'isolants choisir ? Comment régler la question de l'étanchéité à l'air dans le cas d'une rénovation ? Peut-on construire passif avec 150 000 € ? Des focus techniques commentés par Martial Chevalier, spécialiste du passif et du Bbc, approfondissent ces points clés.

      Par ailleurs, un suivi de chantier permet de vivre pas à pas la construction d'une maison passive.

      Ce livre s'adresse à tous ceux qui se demandent : comment dois-je construire ou rénover pour consommer le moins possible d'énergie ?


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    Créez vos cosmétiques bio (S. HAMPIKIAN )

    2007        192 p.      23€

        De véritables trésors de beauté se nichent dans votre cuisine : huiles végétales, miel, yaourt, fruits de saison, légumes... Les fleurs et les simples du jardin constituent également des alliées fidèles de votre peau et de votre bien-être. Associez-leur la puissance des huiles essentielles, la polyvalence du gel d'aloès ou la douceur des argiles, et vous créerez pour vous et votre entourage des cosmétiques naturels et efficaces adaptés aux besoins de chacun. Il suffit avant tout de choisir avec soin les ingrédients qui vous conviennent dans les sélections proposées et d'appliquer les principes de base exposés dans cet ouvrage. De nombreuses recettes, destinées aux soins du visage, des cheveux et du corps, vous y aideront. Naturels, bio et économiques, vos cosmétiques maison préserveront votre santé sans nuire à l'environnement, et vous aurez le plaisir incomparable de pouvoir varier leur composition à l'infini en toute sécurité.  


        Sylvie Hampikian est expert en pharmaco-toxicologie. Son activité professionnelle l'a amenée à travailler notamment sur les actifs naturels. Elle pratique la cosmétique naturelle depuis une vingtaine d'années.


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  • Rénovation basse consommation : Chronique d'un chantier écologique

     

    19€,   ed. Terre Vivante,    2010

      Roland a acheté une maison de 74 m2 datant des années 1990 qui, comme beaucoup de constructions de cette époque, présentait un mauvais bilan écologique. Jusque-là, rien de très surprenant. Mais il l'a rénovée afin d'en faire un nid écologique et douillet. Grâce à une rénovation simple, rapide et économique, sa maison énergivore est devenue sobre et plus confortable. Avec une consommation actuelle de 56 kwh/m2/an pour le chauffage et la production d'eau chaude, au lieu de 300 au départ, elle respecte désormais la norme du label BBC (Bâtiment basse consommation) rénovation. Et elle répond très largement aux objectifs du protocole de Kyoto, puisque ses émissions de CO2 sont divisées par six : elle ne produit plus que 160 kg de CO2 par an, au lieu de 1 t. Afin que tous les lecteurs puissent s'inspirer de son expérience, Roland transmet dans cet ouvrage des informations générales sur les économies d'énergie et d'eau ainsi que tous les tableaux de calculs qu'il a utilisés. Il décrit les choix et les techniques qu'il a mis en oeuvre pour isoler par l'extérieur, changer ses vitrages, poser une ventilation double flux, se chauffer au bois, installer un chauffe-eau solaire... Il précise enfin le budget nécessaire et le niveau, bon, de rentabilité. Ce livre modeste, pragmatique et très accessible pourra vous accompagner utilement dans vos projets de rénovation.
     

      Formé à la pédagogie nature-environnement, Roland Dutrey s'est spécialisé dans l'écoconstruction à travers son métier d'animateur au Parc écologique Terre vivante. Il a acquis une maison aux performances énergétiques médiocres et t'a rénovée pour la transformer en maison "basse consommation". Terre vivante remercie Emmanuel Carcano, charpentier, autoconstructeur et journaliste, pour sa relecture.


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  • Je crée mes cadeaux gourmands (Marie CHIOCA, Delphine PASLIN )

     

    2012    96 p.   12 €

      C'est fait maison ? Oui, c'est moi qui l'ai fait ! Quel plaisir de faire soi-même simplement ses cadeaux bio et gourmands ainsi que leurs jolis emballages... Plus de 50 idées de délicieuses recettes de petits cadeaux salés ou sucrés à offrir à bien des occasions. Un vrai régal pour les yeux ... qui leur résistera ? Lancez-vous !

    Un cadeau fait-maison c'est bien, un cadeau gourmand- et- bio- fait-maison c'est encore mieux !
    Faire ses cadeaux soi-même permet de conjuguer économies et écologie tout en retrouvant du sens. Au fil des pages, les auteures proposent 55 recettes sucrées et salées. Gressins colorés aux petites graines, vinaigres fruités, farandole de chocolats, pâtes à tartiner, thé de Noël, cupcakes, sirop d'été... autant d'idées délicieuses à décliner au gré des saisons et des occasions (Noël, Pâques, anniversaires, fête des mères, fête des pères, apéro entre amis...).
    Et pour les offrir avec plaisir, les auteures invitent à réaliser de jolis emballages associés : petits sachets, liens, étiquettes, boites cadeaux (avec 4 patrons à l'appui)...
    Une belle et bonne façon de faire découvrir le bio à ses amis !

      Jeune trentenaire et maman de famille nombreuse, Marie Chioca est auteur, styliste et photographe culinaire. Passionnée par tout ce qui touche à la cuisine et à l’alimentation saine, elle a réalisé une dizaine d’ouvrages à ce jour.
    Retrouvez-la aussi sur son blog « Saines gourmandises » : http://mariechioca.canalblog.com/
     

    Delphine Paslin

    Réunionnaise d'origine, j'habite aujourd'hui un petit village à la campagne dans le sud-ouest de la France, avec mon mari et mes 2 enfants. Auteur du blog Leplaisirdesmets (http://leplaisirdesmets.fr), je suis rédactrice et photographe culinaire. Avec originalité et fantaisie, au rythme des saisons, j'aime partager, au travers de mes recettes et photos, ma passion pour une cuisine simple, gourmande, saine et naturelle et le plaisir du «fait-maison».

    Au sommaire :

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    Comment j’ai isolé ma maison par l’extérieur

    (DR)
    Romuald a réussi à isoler sa maison par l'extérieur. Il nous livre ses secrets et les photos de son chantier pour être imité !

    Comme tout le monde, je ne suis pas né dans le bricolage, je faisais bien quelques petits travaux de-ci de-là, mais très basiques. En 2007, l’achat d’une maison des années 1950 m’a fait plonger dedans... jusqu’au cou !

    Ecolo dans l’âme (on n’est pas lecteur de Terra eco pour rien !), ma rénovation devait être aussi écologique que possible. Cela n’a pas toujours été possible, mais on a fait du mieux possible. Quand on pense « maison écolo », on imagine d’abord une maison bien isolée et forcément, une maison des années 1950 ne l’est pas. Alors, quand le moment est venu de penser à isoler, nous sommes, comme beaucoup, partis pour faire une isolation intérieure, puis, en réfléchissant un peu, nous nous sommes décidés pour une isolation par l’extérieur. Pourquoi ? Pour les raisons suivantes :

    - Nous étions pressés par le temps (arrivée imminente d’un bébé) et finir vite l’intérieur nous rendait la maison habitable, même non isolée,
    - L’isolation extérieure peut être réalisée en plusieurs fois, mur par mur par exemple, ce qui permet d’ajuster au mieux son planning et son budget,
    - En isolant par l’extérieur, on ne saccage pas l’intérieur, on ne perd pas de surface habitable,
    - L’isolation extérieure supprime (ou réduit fortement) les ponts thermiques, c’est comme mettre un manteau, on le met sur soi, on ne l’avale pas !
    - Enfin, cela permet de garder les masses lourdes à l’intérieur du volume isolé, vos murs vont donc stocker les calories de chaud en hiver, et les calories de froid en été, le bonheur !

    Je vais donc vous montrer, photos à l’appui, comment on peut isoler soi-même sa maison, par l’extérieur, sans forcément être un « pro », il suffit d’être soigneux, de faire les choses bien, et vous allez voir que ce n’est pas si compliqué.

    L’image ci-dessous vous montre la maison cobaye (la mienne) qui va voir le grand mur gris, au premier plan, isolé. Nous avons choisi celui-là en premier car il s’agit du mur le plus au nord de la maison, et il a la bonne idée d’être aveugle, ce qui rend les choses plus faciles pour commencer.

    Le processus d’isolation est assez simple : on fixe sur le mur une ossature en bois, ces « boîtes » sont remplies d’isolant, et on ferme tout ça avec un habillage joli. C’est résumé bien sûr, mais vous avez là le concept général. Et j’en profite pour faire un petit avertissement : isoler en matériaux écolos c’est bien, mais c’est un souci de « riche » ; l’important est d’isoler, et tous les moyens sont bons. Aussi, j’expliquerai plus loin dans l’article comment on peut faire moins écolo et... moins cher.

    C’est parti !

    Tout le monde comprendra que le bois c’est bien, mais cela ne fait pas forcément bon ménage avec l’eau et l’humidité. Ainsi il convient d’isoler les parties fortement exposées à l’humidité avec un matériau imputrescible afin de protéger l’ossature à venir. Et si en plus on peut en profiter pour isoler un peu le sol de la maison, c’est encore mieux. Alors on creuse un peu, on « décaisse », dans le jargon, pour préparer la pose de l’isolant en partie basse.

    Maintenant on peut commencer à poser l’isolant. L’idée est de remonter jusqu’à 35/40 cm au-dessus du sol afin de protéger l’ossature à venir des remontées capillaires. Nous avons choisi un isolant naturel et donc imputrescible, le liège. Pour faire moins cher, et tout aussi (peut-être même plus) efficace, préférez le polystyrène ou le polyuréthane. Nous collons sur le mur 2 épaisseurs de liège, une de 10 cm, et une de 5 cm, le tout en décalant les joints pour prévenir d’autant mieux les fuites de calories.

    Note : On remarquera que nous avons ici la partie facile, car notre déport de toit nous permet de mettre 15 cm d’isolant. Pour les maisons traditionnelles sans déport, que l’on rencontre en Vendée notamment, il faudra envisager des travaux de plus grande ampleur pour rallonger les toits afin de couvrir l’épaisseur d’isolation, pas simple.

    Si vous avez un poêle à bois et que vous envisagez de faire une entrée d’air dédiée, c’est le moment d’y penser. C’est ce que nous avons fait, perçage du mur, du liège, et rebouchage avec de l’isolant... pour plus tard.

    Pensez aussi à poser vos plaques bien horizontalement, soyez soigneux, précis, etc. Ensuite, on attaque l’ossature proprement dite en commençant par l’ossature périphérique. La « lisse basse » en premier, c’est-à-dire les tous premiers chevrons horizontaux, puis les chevrons aux extrémités du mur. Ici on fixe avec des équerres et surtout, on y va généreusement sur le silicone, le but étant de rendre tout ce montage étanche.

    On notera le silicone entre la « lisse basse » et le liège, là c’est pour l’étanchéité à l’air, il faut prévenir les fuites de colories. Après, c’est simple, on perce les chevrons, on fait les repérages sur le mur et on fixe ces chevrons directement en vissant au travers. Un chevron tous les 60 cm, et ça donne une ossature qui prend forme !

    Ici c’est du bois d’ossature, un moyen de faire moins cher est certainement d’utiliser du bois de charpente. J’avoue ne pas avoir étudié cette solution, mais je le ferai certainement pour mon prochain mur. Une fois l’ossature terminée, c’est ici que les solutions diffèrent selon l’isolant choisi.

    Isolation en panneaux

    C’est le moment de remplir l’ossature avec vos panneaux, c’est facile, il suffit juste de les découper très légèrement trop grands pour qu’ils remplissent le vide au mieux. Un exemple sur un autre mur que nous avons isolé est là :

    On voit que les petits compartiments ont été remplis, ici de laine de bois. La solution non écolo : utiliser des panneaux de laine de verre GR (grande rigidité) ou laine de roche. Côté écolo, il convient de penser aux panneaux de laine de chanvre/lin qui peuvent être produits localement (nous avons trouvé un fabricant en Vendée par exemple).

    Isolation en vrac

    Pour remplir l’ossature avec un matériau en vrac, il convient au préalable de fermer cette ossature. Ici nous avons utilisé des panneaux rigides de laine de bois haute densité, ça s’emboîte tout seul, ça ajoute un peu d’isolation (ils font 25 mm) et ils ont une fonction « pare-pluie », c’est à dire qu’ils vont protéger l’isolant contre l’humidité. Solution moins chère : utiliser des films « pare-pluie », en rouleaux. Faciles à poser et pas chers, mais probablement moins durable.

    Maintenant, il convient de remplir l’ossature et là, tout dépend de votre choix. Nous avons choisi une solution pas chère et écolo (c’est si rare qu’il faut le souligner) : la ouate de cellulose à insuffler. Par contre, il faut utiliser une machine spéciale pour remplir vos « boîtes », on va voir ça.

    Etant donné que l’on va maintenant insuffler de la ouate dans ces « boîtes », il convient que tout soit bien étanche, sinon... vous aurez l’impression qu’il neige ! Ce qui signifie de bien calfeutrer tous les petits trous comme ceux que l’on voit autour des chevrons de la charpente sur l’image qui suit.

    Ensuite on insuffle, et pour cela, pas d’image. Avec une scie cloche, on fait un trou dans chaque « boîte », tout en haut, trou d’un diamètre suffisant pour y faire passer le tuyau d’insufflation. Puis place à la machine. Nous en avions loué une qui tient dans le coffre d’un monospace standard.

    C’est très simple à utiliser, il faut juste bien veiller à doser la ouate aux alentours de 60 kg/m3 sinon, ça va se tasser avec le temps. Pour doser, c’est facile : + d’air = moins de matière = densité plus forte, - d’air = moins de matière = densité plus faible, car c’est l’air qui, en poussant la ouate, va la tasser.

    Ensuite, et pour chaque boîte, le processus est le même :
    - on entre le tuyau jusqu’à ce qu’il touche le fond
    - on insuffle jusqu’à ce que le tuyau se bouche (ça s’entend très bien)
    - on retire le tuyau de 50 cm environ
    - on insuffle... et ainsi de suite.

    Il faut donc être 2 pour insuffler, une personne qui alimente la machine en ouate, une qui manipule le tuyau et se charge de l’insufflation. Et là, normalement, si votre montage n’est pas étanche, vous le verrez tout de suite, la ouate volera partout !

    Comment vérifier si la ouate a la bonne densité ? Certains font des essais dans des grandes poubelles et prennent des carottages. Pour notre part, nous avons procédé plus simplement, nous avons simplement calculé le volume de chaque « boîte », puis calculé la masse de ouate par « boîte » et la masse totale en additionnant le tout. Enfin nous avons simplement vérifié que la masse de ouate effectivement insufflée correspondait bien à celle calculée.

    Pour ce grand mur de presque 40 m2 et pour 120 mm d’épaisseur de ouate, nous avons mis un peu plus de 4h pour insuffler. C’est assez rapide. Je n’ai plus les chiffres en tête, mais la masse totale insufflée correspondait assez bien à notre calcul.

    A ce moment-là, votre mur est isolé ! Reste maintenant à l’habiller. Pour cela, nous avons choisi un matériau écolo, le bois, et comme on est un peu fainéants sur les bords, nous ne voulions pas avoir à le traiter périodiquement. En acceptant que le bardage devienne gris avec le temps, quelques essences peuvent rester en l’état sans traitement : le cèdre, le mélèze et le douglas sont les plus connus. Le cèdre est connu sous l’appellation « Red Cedar » car il vient la plupart du temps du Canada... pas très écolo tout ça. Mais, on trouve des producteurs en France, ce fut notre choix.

    Mais, nous devons d’abord préparer la pose du bardage. Pour cela, on va clouter des tasseaux sur le mur, d’environ 25 mm d’épaisseur. Ces tasseaux servent à ventiler le bardage. La pose des tasseaux (du simple bois de charpente) est simple, il convient juste de veiller à maire une petite pente pour l’écoulement de l’eau qui pourrait éventuellement passer derrière le bardage. Une fois les tasseaux posés, on pose le bardage. Et le résultat est plutôt sympa.

    Un bardage bois coûte entre 40 et 80 euros/m2. Pour des solutions moins chères, on peut s’orienter vers du bois composite, du bois à peindre, voire à du bac acier dont le coût de 10 euros/m2 est quasi imbattable.

    Quelques conseils pour se lancer dans de tels travaux :

    - Être au moins 2, c’est fou comme en matière de travaux 1+1 ne fait pas 2, mais bien plus que ça encore, donc être 2, c’est le minimum

    - Avoir de bon outils, une bonne visseuse, ça coûte cher, si vous en achetez une à 40 euros et qu’elle vous lâche, c’est du temps perdu pour vous et les gens qui vous aident, donc ayez les bons outils, et si vous le pouvez, doublez les, 2 visseuses, 2 perceuses, 2 scies sauteuses, ... c’est autant de temps gagné parce qu’on peut laisser un appareil en haut de l’échafaudage et un en bas, par exemple (et je ne parle même pas des mètres, crayons...)

    - planifiez votre « session » de travail, faites l’inventaire des étapes, listez les matériaux que vous avez déjà, ceux que vous devez acheter, dimensionnez ce qui doit l’être, faites des dessins...bref, des travaux se préparent à l’avance,

    - Achetez tout avant de commencer. Cela peut paraître bête, mais ce sera d’autant de temps de gagné pour vous et vos comparses, vous serez plus efficace,

    - N’achetez pas du bas de gamme, que ce soit pour des vis, des clous, des embouts de perceuse... Achetez les marques spécialisées, si elles existent, c’est qu’elles font du matériel reconnu pour ses qualités

    - Formez-vous, savez-vous comment je me suis formé à ça ? Sur Internet, j’ai parcouru des forums et lu des bouquins, c’est tout ; après un peu de logique, comprendre par exemple comment l’eau va s’écouler à un endroit précis, et vous voilà armé pour affronter de tels chantiers, vraiment, c’est pas si compliqué !

    Contrairement au slogan de Terra eco, loin de moi l’idée de donner une leçon, mais si cet article peut vous donner le courage de vous lancer, alors il aura atteint son but.


    Merci à Romuald, lecteur responsable de Terra eco, pour ce récit

    Le projet « Donnez-nous une leçon »

    Rois de la bricole, amoureux du « Do it yourself » et champions des fourneaux, nous avons besoin de vous. Vous êtes capable de recycler un jean troué en sac à main ? Vous connaissez un moyen de réparer les cafetières ? Dévoilez-nous sans tarder vos bonnes idées. Envoyez-nous vos astuces à l’adresse suivante : vostuyaux@terraeco.net

    En quelques mots, décrivez-nous les étapes, le coût et les outils nécessaires, si besoin à grand renfort de photos ou de dessins. Nous les publierons sur ce blog. Et, puisque nous sommes pas vaches, les dix premières réponses seront récompensées. —


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  •    Auteur du livre Je ne mange pas de produits industriels, Stéfane Guilbaud revient pour FemininBio sur nos modes d'alimentation et les conséquences de 30 ans de marketing réussis de la part de l'industrie agro-alimentaire. Une interview décapante qui invite à changer nos habitudes !  

       Stéfane Guilbaud est l'auteur de Je ne mange pas de produits industriels, paru aux Editions Eyrolles.(livre chroniqué dans ce blog)

       Son site internet : stefaneguilbaud.com

      Claire Sejournet   15/04/2016   http://www.femininbio.com/cuisine-recettes/conseils-astuces/
      
        Curieuse et enthousiaste, rien ne m'inspire plus qu'une balade en forêt !

     

       Qu’est-ce qu’un aliment transformé ?
      Il s’agit d’un aliment ayant subi des modifications techniques. À l’opposé d’un aliment brut, un produit

     Nutrition Stop aux produits industriels ! Rencontre avec Stéfane Guilbaud

    transformé est « déstructuré » via des procédés chimiques ou mécaniques afin d’en extraire des ingrédients de base, utilisés par l’agroalimentaire. On ne parle plus de céréales, mais de grain, d’amidon, de son (l’enveloppe), de gluten. On ne parle plus de végétaux, mais de fructose, de glucose, de dextrose, de fibre, de pulpe…
    Ainsi, dans des usines qui ont parfois un air de Tricatel dans le film L’aile ou la cuisse de Claude Zidi, les différentes matières premières sont assemblées, mélangées, extrudées, soufflées, cuites, vaporisées… afin de reconstituer un produit alimentaire.
    Les aliments transformés usent de subterfuges pour paraitre plus appétissants. On modifie leurs textures pour les rendre plus moelleux ou plus croustillants. On paramètre leurs gouts, leurs odeurs en incorporant des palettes d’arômes et exhausteurs… Ce n’est pas de la science-fiction. C’est une réalité que l’on retrouve au quotidien dans les rayons d’une grande surface.

    Vous êtes assez remonté contre l'industrie agro-alimentaire...
    L’idée est de produire toujours plus, toujours moins cher, mais pas forcément bon marché. Si je devais donner un seul exemple, cela serait celui des Corn Flakes. Si la matière première, le maïs, est à 140 euros la tonne, après quelques manipulations d’extrusion, de recuisson, d’aplatissage et de sucrage, cette bombe glycémique se vend en rayon à presque 7000 euros la tonne. Observez le coût au kilo de toutes les barres chocolatées, les jambons reconstitués, les plats cuisinés… Ces succédanés sont finalement d’un très mauvais rapport qualité-prix.
    De manière générale, la piètre qualité des matières premières est maquillée par l’ajout de sucre, de gras ou de sel. Les aliments finissent, en rayon, affublés d’un superbe emballage qui « magnifiera » le tout.
    Un aliment brut, comme une châtaigne, une pomme, un morceau de viande, une olive… ne rapporte rien à l’agrobusiness. Les marques alimentaires savent depuis longtemps que vendre en l’état des produits de la nature ne permet pas de protéger une recette et d’engendrer du profit. Ils doivent alors trouver des « innovations » pour proposer un aliment transformé — devenant propriété de la marque. Si l’aliment transformé devient un succès, l’entreprise se présente alors comme un gardien de la recette. Garante de sa forme et de son goût standardisé, elle s’évertue à le reproduire avec la même saveur, en été comme en hiver.

      80 % de notre alimentation est à base d’aliments transformés. Qu’est-ce que cela dit de notre rapport à l’alimentation ?

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  • http://www.commecestbeau.org/

    Point n'est besoin de Rolex, de gadgets électroniques, ou d'amis milliardaires, pour goûter le bonheur simple des jours qui passent..
    Voyez où nous ont conduit la raison raisonnante, la technologie débridée et la science arrogante, la volonté de puissance et de conquête, l'avidité financière et l'obsession de la croissance...
    C'est d'autre chose dont nous avons aujourd'hui besoin : de compassion pour la Terre, de frugalité, de silence et de beauté... Et surtout : de ce souci attentif de l'autre, qui est attribut du féminin...
    Tout cela nous pouvons l'entretenir en nous en cultivant un "état de poésie", une autre vision de la vie, que nous enseignent certains poètes et artistes, ainsi qu'en témoigne le contenu de ce site.
    Celui-ci comporte deux parties : une partie variable d'articles mis en ligne au fil des jours, et une partie fixe - le catalogue - comportant des documents introuvables ou épuisés.

    Qui sommes-nous ?

    Ce site a été créé et est administré par Jean-Louis Gueydon de Dives, par ailleurs créateur de la Fondation pour une Terre Humaine ( http://www.terrehumaine.org ), fondation qui aide par des subventions les petites associations de défense de l’environnement.

    Il y a une continuité entre le travail de la fondation et les buts poursuivis dans ce site : l’idée générale c’est que le changement nécessaire du monde ne viendra que par les changements individuels de comportements, et que ceux-ci ne se produiront que si les individus ressentent réellement en eux la souffrance de la Terre et des êtres vivants. Ressenti plutôt que raisonnement utilitaire, lequel n’a jamais conduit à protéger vraiment l’environnement.


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    Elliott Lepers a inventé l'appli "90 jours" pour aider à devenir écolo

      www.90jours.org

        Pour changer pas à pas selon ses possibilités... 

    Elliot Lepers

    Créateur de 90jours

    Diplômé des Arts Déco de Paris, il étudie la capacité du numérique à générer du politique.

    Présentateur de l’émission collaborative sur la création numérique L’Oeil de Links sur Canal+ pendant 2 ans, il a également dirigé la campagne numérique d’Eva Joly à l’élection présidentielle de 2012.

    Fin 2014, il fonde CobbleCamp, laboratoire d’innovation politique par le design, au sein duquel il développe de nouvelles formes de pratique du politique, notamment MachoLand.fr et Amazon Killer.


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  • 2014   216 p.   19,90 €

        Ce manuel s'adresse à ceux qui refusent de considérer le gaspillage comme une fatalité mais qui ne savent pas par où commencer.
    - à ceux qui aimeraient faire plus d'économies au quotidien,
    - à ceux qui sont lassés d'être poussés à accumuler et à posséder toujours plus
    - à ceux qui ont oublié tout ce qu'ils pouvaient faire avec leurs mains
    - à ceux qui rêvent d'une vie plus saine et plus écolo mais qui pensent que c'est cher et compliqué...

      A travers 6 grands chapitres (habiter, cuisiner, jardiner, s’habiller, prendre soin de soi, et ralentir), son auteur explique et donne les recettes pour s’organiser, mieux (et moins) consommer, faire soi-même. On trouve par exemple la liste des fruits et légumes à consommer à chaque saison, des astuces d’éco-conduite, un guide des labels textiles et des recettes pour remplacer tous les produits d’entretien industriels par du fait-maison non toxique et très économique. Pour ne rien gâcher, la mise en page est dynamique et très agréable, avec des illustrations simples, rigolotes et efficaces.

    Au final, un vrai remède anti-crise, anti-gaspillage, anti-fatalité à lire selon ses envies, et sur lequel revenir régulièrement pour trouver de nouvelles idées à mettre en pratique.

      Stéphanie Araud-Laporte nous incite à nous interroger sur nos besoins réels pour devenir plus autonome en apprenant à préserver, à réutiliser mais aussi à partager, échanger, donner et recycler. Elle donne plein d’astuces et de recettes toutes simples à mettre en pratique au quotidien. Et pour les « aquoibonistes », une citation du Dalaï Lama ouvre l’ouvrage : « Si vous avez l’impression d’être trop petit pour pouvoir changer quelque chose, essayez donc de dormir avec un moustique… et vous verrez bien lequel des deux empêche l’autre de dormir.»   

      Stéphanie Araud-Laporte est diplômé de Communication et Ressources Humaines (1993-1996) et de Design graphique à la Parsons School of Design (1996-1998).

    Elle est directrice de création et fondatrice de l’agence de communication Betsy depuis 2008.

    Mère de trois enfants, elle est auteure d'un premier livre,

    -1001 astuces pour dépenser moins Et préserver la nature + Le petit guide anti-gaspi


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  • Nouvelles fiches pratiques "Devenir Autonome" !   3,90 € la fiche  25 fiches actuellement

    http://www.colibris-laboutique.org/18-fiches-pratiques?p=2       

      Les Éditions YpyPyp présentent ces fiches très pratiques rédigées par des spécialistes et superbement illustrées.

      Parmi les auteurs : l'éthnobotaniste François Couplan, le psychiatre Christophe André, la spécialiste de la cuisine bio Valérie Cupillard, la vétérinaire pharmaco-toxicologue Sylvie Hampikian, le spécialiste de la vie primitive Kim Pasche, ou encore l'auteure et bloggueuse culinaire Linda Louis.

      Éditeur engagé sur la thématique de l'autonomie, YpyPyp est né d'une amitié de plus de 25 ans entre un rédacteur en chef spécialiste de l’écoconstruction, Yvan Saint-Jours, et un paysagiste-jardinier créateur d’écosystèmes naturels, Philippe Pellan. Le fruit de leurs 20 années de pratiques et de recherches est désormais disponible dans une collection originale de fiches pratiques superbement illustrées.

       "Je construis ma maison en paille et terre", "Mes semis sont réussis", "Je fabrique mon capteur solaire thermique", "Fabuleux jardin d'eau", et "Boissons nourrissantes" :

      ce sont les dernières fiches pratiques, superbement illustrées, proposées par les Éditions YpyPyp. Parmi les auteurs : Yvan Saint-Jours, spécialiste de l'écoconstruction, et Philippe Pellan, paysagiste-jardinier créateur d'écosystèmes naturels.


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  •                                                             2015    416 p.  11,90 €  

       Une approche révolutionnaire de l'écologie vue sous l'angle financier !
    Aujourd'hui, être éco-responsable cela passe par une bonne gestion de son argent, pour prendre de bonnes décisions, se faire du bien et plus globalement, faire du bien aux autres.
      Dans ce guide d'un genre nouveau, Philippe Lévêque propose des solutions économiques et écologiques pour vivre mieux en dépensant moins.
      Retrouvez 96 fiches pratiques détaillées et émaillées de nombreux exemples pour apprendre simplement à faire des économies tout en améliorant sa qualité de vie ! Et en réduisant dans le même temps son impact sur l'environnement.

       Philippe Levêque  a 40 ans. Il a travaillé pendant 12 ans dans une banque d’investissement de Wall-Street. Passionné par l’environnement et convaincu que l’on peut changer le monde en ayant les pieds sur terre et la tête dans les étoiles, il pense que le porte-monnaie peut rendre vertueux, si les arguments sonnants et trébuchants sont utilisés pour convaincre les entreprises et les individus de réduire leur impact environnemental.

     Il est le fondateur de l’Ecofrugal Project    http://www.ecofrugalproject.org/


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  • 2014    96 p.    8 €

     

    VOUS ÊTES ÉLU, DIRIGEANT D’ENTREPRISE OU CITOYEN MILITANT ?
    VOUS AUSSI, DEVENEZ ACTEUR DE LA RÉDUCTION DES DÉCHETS !

    Le scénario Zero Waste, c'est la possibilité de :
    - faire des économies considérables en matière de traitement des déchets ;
    - créer des emplois locaux dans la collecte, la réparation ou encore
    le réemploi ;
    - préserver les ressources naturelles et économiser de l’énergie,
    grâce à des modes de consommation et de production évitant le gaspillage ;
    - développer le réemploi et le recyclage via, en particulier, la généralisation du tri à la source pour un maximum de produits et matériaux.
    LE SCÉNARIO ZERO WASTE EST DÉJÀ APPLIQUÉ À CAPANNORI, À TRÉVISE ET À SAN FRANCISCO, OU LE POIDS DES DÉCHETS RÉSIDUELS A ÉTÉ RÉDUIT JUSQU’À 80 % !
    POUR QU'IL DEVIENNE AUSSI UNE RÉALITÉ EN FRANCE, OUVREZ CE LIVRE !

       Zero Waste France est le nouveau nom du Cniid (Centre national d'information indépendante sur les déchets), association créée en 1997 qui a pour mission de fournir à tous une information indépendante et de décrypter les enjeux environnementaux, sanitaires et économiques liés à la gestion des déchets. Relais de vigilance citoyenne,  Zero Waste France est aussi une force de proposition qui va à la rencontre des citoyens et des élus pour faire connaître les moyens de prévention et les modes de gestion les plus écologiques.

      Pour en savoir plus :   www.zerowastefrance.org


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  • http://www.femininbio.com/agir-green/actualites-nouveautes/soldes-out-vers-vestiaire-ethique-2-84555

    Sonia Bellouti
    Formée aux massages et au Feng Shui, responsable d’un espace bio de bien-être. Dans ma vie 2.0, j’ai fait de belles rencontres et partagé sur la toile mes passions, mes coups de gueule et mes coups de main. Biotiful green, sustainable kindness & cyber active !    Publié le 1 juillet 2016
     
    © Pixabay

       Il y a quelques semaines, Sonia nous parlait de l'importance de reconsidérer nos pratiques liées à la mode. Aujourd'hui, elle nous aide à adopter les bons gestes !

      Après avoir parlé de la Slow Fashion, et si on s’attaquait à l’étiquetage ?

       Mieux vaut opter pour des matériaux naturels car moins polluants et biodégradables. Autre alternatives : des pièces à partir de matériaux recyclés ou encore à partir de vieux vêtements. 

       Autre info sur l’étiquette ; le lieu de fabrication : en France et en Europe ou alors très loin à condition que le fabricant réponde à une charte de commerce équitable et choisi à minima, un acheminement low impact. Ces deux critères sont (à peu près) l’assurance que les conditions de travail et de rémunération sont correctes. Leurs prix sont souvent plus élevés sans être exorbitants pour autant. Les questions environnementales riment désormais avec tendance, délicatesse et créativité. La mode green n’a pas à rougir de ses grandes sœurs plus conventionnelles.

    Et si tu as peu de moyens, offre une seconde vie aux vêtements en achetant dans des vides-dressing ou des ventes caritatives, comme Shopping Ethique et Engagé en banlieue parisienne, plutôt que du neuf « cheap ». Je ne te cache pas que je n’étais pas particulièrement attirée par l’idée de porter des vêtements qui avaient déjà servis et puis un jour je me suis laissée tenter. Je sortais d’une longue maladie, ma silhouette avait changé et je n’avais pas trop les moyens de renouveler toute ma garde-robe. L’été approchait et j’avais envie de sortir de mes anciennes habitudes vestimentaires : plus de couleurs, plus girly… bref, de modifier mon style plus en adéquation avec ma nouvelle vie. Une amie organisait avec d’autres copines une vente de pièces peu ou pas portées. Je suis sortie de là revêtue de la tête aux pieds : 2 robes, 1 pantalon, 1 paire d’escarpins et même une veste avec encore l’étiquette dessus, le tout pour… 70 €. Ces vêtements, même s’ils ont été fabriqués et acheminés dans des conditions médiocres, sont recyclés et on permet de réduire leur impact initial.

    Soldes « out » / Soldes green :

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  • L'art de la simplicité (Dominique LOREAU)

                                                             2013   320 p.  6,50 € (Poche)

       Simplifier sa vie, c'est l'enrichir, contrairement à ce que prône notre société de consommation. Découvrez un mode de vie zen, directement issu de l'art de vivre japonais, reposant sur le principe du "moins pour plus", appliqué à tous les domaines. Essayer : épurez votre intérieur, videz vos armoires, abandonnez vos achats compulsifs, apprenez à manger plus frugal, prenez soin de votre corps et donc de votre esprit...L'élégance, le bien-être et le mieux-vivre à l'usage des femmes occidentales, telles sont les promesses de cet ouvrage inspiré des philosophies orientales. L'Art de la simplicité appréhende toutes les approches pour se sentir en harmonie avec soi-même et, par conséquent, avec les autres : vivre zen, voici la clé de l'équilibre et du bonheur.  

    Sommaire

    La première partie aborde le matérialisme et le minimalisme en 3 temps:

    1. les excès du matérialisme: le poids des possessions (au sens propre et au figuré); la maison : non à l'encombrement; les choses: qu'éliminer, que garder?; la garde-robe: style et simplicité
    2. les avantages du minimalisme: le temps: moins le perdre pour davantage et mieux en profiter; l'argent (notre serviteur et non notre maître)
    3. Ethique et esthétique: le besoin de beauté; "moins pour plus" d'ordre et de propreté.

    La deuxième partie traite du corps en 3 rubriques:

    1. la beauté et vous: découvrez votre propre image; libérez votre corps par les soins et le sommeil
    2. les soins d'une minimaliste: la peau, les cheveux et les ongles; Dites adieu aux impuretés; sans les clubs de sport
    3. manger moins mais mieux: les excès de l'alimentation; les repas: sobriété et raffinement; quelques rappels de diététique pour "é-li-mi-ner": réapprenez la faim

    La troisième et dernière partie parle du mental sous 3 angles:

    1. votre écologie intérieure: purifiez votre esprit; contrôlez votre mental; concentration et méditation
    2. les autres: simplifiez votre carnet d'adresses; quand vous êtes en compagnie; altruisme et solitude
    3. polissez-vous comme un galet: soyez prêt à changer; lecture et écriture; les exercices et la discipline, économisez votre énergie

     Dominique Loreau est une essayiste française qui vit depuis la fin des années 1970 au Japon, où elle propose des séminaires destinés à ceux qui veulent simplifier leur vie.

     « Je ne suis pas du tout écrivain », déclare-t-elle. Lorsqu'elle a commencé à rédiger son livre à partir de ses notes personnelles, certains passages s'adressaient spécifiquement aux femmes, d'autres aux hommes, puis elle s'est dit: « Flûte! Le monde est toujours au masculin, moi je le mets au féminin. C'est une petite plaisanterie ».

      L'idée de son livre est née en voyant les citadins japonais « vivre dans tant d'encombrement et de choses, et d'être toujours stressés et fatigués, à chercher leurs affaires, à vivre dans des intérieurs qui sont vraiment pleins à craquer. On ne sait pas où s'asseoir. Et je me dis: "A quoi ça sert tout ça?". »

        Elle propose des séminaires à ceux qui veulent simplifier leur vie. Elle est l'auteur, chez Marabout, de 

       -L'Art des listes,

       -L'Art de la frugalité et de la volupté, et de

       -Faire le ménage chez soi, faire le ménage en soi.


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  •   Sonia Bellouti  http://www.femininbio.com/agir-green/conseils-astuces/soldes-out-vers-vestiaire-ethique-1-84465

     
    Formée aux massages et au Feng Shui, responsable d’un espace bio de bien-être. Dans ma vie 2.0, j’ai fait de belles rencontres et partagé sur la toile mes passions, mes coups de gueule et mes coups de main. Biotiful green, sustainable kindness & cyber active !
      Mis à jour le 19 juin 2016

    Soldes out … vers un vestiaire éthique #1  On a parlé la semaine dernière des conséquences de l’industrie textile. Une des plus polluantes et des moins éthiques.  D’un autre côté se vêtir en se faisant plaisir est important … la mode ne date pas d’aujourd’hui.

       Comment concilier ton bonheur avec certains principes déontologiques ? Pas besoins d’être parfait pour agir. Pas besoin de verser dans le sacrifice ni même dans l’informe néo-hippie « sac de jute » en coton rêche ou en poils de chèvre du Larzac pour constituer une garde-robe responsable.

      Mais d’abord permets-moi de te définir ce qu’est, selon moi, un vêtement « éthiquetable ».

     Idéalement le vêtement doit être fabriqué localement, avec des matériaux naturels, bio et avec des teintures végétales. Les conditions humaines, sociétales et salariales doivent être respectées. Je te rassure ce vêtement n’existe pas … ou peut-être seulement du côté des grandes marques de luxe.

    Mais pour toi et moi, pauvres mortelles, il nous reste le compromis. L’idée est de faire de son mieux en appliquant quelques règles simples, trouver deux ou trois marques qui, après vérifications des méthodes et des sources d’approvisionnement, feront l’affaire et te suivront des années durant.

    Pour ça, j’aimerais te parler de mon expérience de la slow-fashion.
    D’abord, j’ai commencé par acheter moins… mais mieux ! Il y a 10 ans j’étais tombée sur un passage tiré du livre de Dominique Loreau «  L’art de la simplicité » dans lequel elle expliquait que, pour éviter d’avoir un bazar permanent dans ses placards, il valait mieux miser sur 2 ou 3 pulls en cashmere qu’une multitude de tops de qualité moyenne et de pulls qui se déforment au premier lavage. Je me souviens m’être insurgée contre ses propos que je trouvais élitistes et j’ai refermé le livre. Non mais, pour qui elle se prenait, tout monde ne peut pas se payer du cashmere !

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  • 2012   770 p.   32 €  

      "Mon excellent et regretté collègue Jean Seignalet aurait été heureux de la nouvelle version de son best-seller qui soutient fortement et scientifiquement cet aphorisme d'Hippocrate il y a 2512 ans : "Que ton alimentation soit ta médecine."
       Encore aujourd'hui, on oppose facilement médecine traditionnelle et médecines douces. En réalité, elles se complètent. Le grand mérite de Jean a été de promouvoir la troisième voie avec grand succès. Une méthode simple et rigoureuse, souvent nettement plus efficace que des traitements traditionnels ou modernes très coûteux dans de nombreuses maladies de civilisation. Ce livre est une mine d'or.
       Nos ministres de la Santé devraient le connaître afin de promouvoir d'importantes économies pour leurs budgets qui explosent de toute part. Une mauvaise alimentation est capable d'être à l'origine, avec d'autres facteurs associés, de maladies de longue durée handicapantes pour le restant des jours. La méthode Seignalet
    consiste précisément à changer ses habitudes alimentaires. Le plus beau cadeau que vous puissiez faire à vos amis, à votre médecin, c'est ce livre. Vous apprendrez beaucoup sur votre patrimoine de santé et ce que vous ne comprendrez pas, votre médecin vous l'expliquera." Henri Joyeux
        Ancien interne des hôpitaux de Montpellier, Jean Seignalet fut un pionnier des greffes d'organes et de tissus, en particulier des transplantations rénales. Il a développé des examens biologiques qui aident au diagnostic et à la prévention de certaines maladies. Il a dirigé, pendant trente ans, le laboratoire d'histocompatibilité de Montpellier, tout en menant ses recherches sur l'alimentation.

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  • 2016     96 p.     12 €

       Voici le premier ouvrage argumenté consacré à l'urine, ce véritable or liquide permettant de recycler et produire dans le même temps.
      Il fait la synthèse des connaissances actuelles sur le numéro un des engrais naturels : valeur agronomique, salinité, santé et environnement. Le recyclage de l'urine au jardin permet d'éviter de coûteux traitements de l'eau et de bénéficier d'une ressource gratuite, riche en sels minéraux propices à la culture des végétaux et à la biodiversité.
      Pour cultiver sans polluer, l'auteur donne des recettes combinant urine et compost ; il renseigne sur les dosages à apporter et propose deux modes d'épandage - non dilué ou dilué - suivant la périodicité choisie. 
      L'ouvrage est illustré par des dessins inédits d'Avoine, dessinateur humoristique (""À suivre"", ""Le Monde"", ""Marie-Claire"", ""New York Times"", ""Le Figaro"", ""Les Échos"", ""Siné Hebdo"").
      Dans ce manuel pratique, découvrez la valeur de cette formidable ressource et la manière de l'utiliser en toute innocuité, et adoptez une nouvelle habitude de jardinage, astucieuse et productive.

       Renaud de Looze est ingénieur (École polytechnique de Bruxelles - ULB 1981) et pépiniériste, créateur en 1995 de la Palmeraie des Alpes en Isère. Passionné par la nutrition en boucle des écosystèmes, il expérimente les techniques de recyclage durables sur son site de production. Cet ouvrage est le fruit de ses essais sur le comportement des effluents organiques utilisés comme engrais bio liquides.

     Son site: www.palmeraiedesalpes.com/author/palm3ra13  Sur ce site , vous trouverez les références pour regarder sur youtube un certain nombre de vidéo  concernant ce sujet.


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