•   La Slow Cosmétique vous aide à faire le tri à la salle de bain. Voici des conseils Zéro Déchet pour réduire les déchets dans toute la maison.

       https://www.slow-cosmetique.com/le-mag/maison-zero-dechet/

    Que diriez-vous si vous pouviez vous passer de poubelle ? Une maison zéro déchet, vous savez que c'est possible si vous avez connaissance des ouvrages de Béa Johnson ou Annie Leonard. Mais comment faire pour s'y mettre si vous débutez ?

    Nous avons synthétisé pour vous quelques conseils très pratiques qui peuvent s'appliquer dès maintenant, tant au rayon cosmétique qu'ailleurs dans la maison...

    1

    Zéro déchet à la salle de bain

     

    Nous vous avons déjà parlé des cosmétiques solides et du zéro déchet en beauté...

    Pour rappel, les shampoings solides sont tout aussi doux et efficaces que les shampoings du commerce, et ils sont moins polluants et polémiques pour la santé.

    Le déodorant solide se présente quant à lui comme une petite boule ou un petit cône à masser sous les aisselles. On peut aussi le remplacer par une friction au bicarbonate de soude, qu'on époussette ensuite avec un linge pour ne pas laisser de grains et irriter la peau. Si vous transpirez peu, l'eau d'hamamélis ou l'hydrolat de menthe est aussi un très bon déodorant Slow Cosmétique.

    Pour le démaquillage du visage autant que pour la toilette du corps, les lingettes lavables sont un must. Elles servent aussi au change de bébé !

    Enfin, les bâtonnets de coton ne sont pas très indiqués, il vaut mieux les remplacer par un oriculi qui permet de curer l'oreille en douceur.

    Et pour les dents, pensez à la brosse à dent compostable et au dentifrice solide.

    Les marques Slow Cosmétique Lamazuna, Pachamamai, Tendances d'Emma, Papillonne Couture, Fibao, et toutes les marques de savons à froid, sont idéales pour se concocter une trousse beauté Zéro Déchet.

    Pensez aussi à fabriquer vos cosmétiques vous-même, dans des contenants et flacons cosmétiques recyclés. Apprenez par exemple grâce à un atelier de cosmétique maison ou un livre Slow Cosmétique.

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  • Désert ou paradis (5Sepp HOLZER, BOURGUIGNON )

    2014    207 p.   22,54 €

       Avec ce nouveau livre Sepp Holzer continue de transformer profondément notre façon de pratiquer l'agriculture, la pisciculture et le jardinage. L'auteur complète et prolonge ainsi les enseignements de son précédent livre "La permaculture de Sepp Holzer" en approfondissant notamment la création d'étangs de pisciculture et de paysages aquatiques. Il apporte également de nouveaux éléments clefs sur la culture des légumes sur butte, des céréales, des fruitiers, la conduite de l'élevage de volailles, de cochons, des abeilles, etc.  

      En bon pédagogue, il nous enseigne aussi comment intégrer ces nouvelles pratiques sur notre terre en nous permettant de mieux appréhender le fonctionnement écologique des paysages. Car c'est à cette seule condition que l'on peut cultiver en bonne intelligence avec la nature.

      Ce livre s'adresse à tous ceux qui veulent approfondir les méthodes pratiques et la vision écologique de Sepp Holzer. Il est aussi conseillé à ceux qui ressentent le besoin de retrouver goût à l'aventure humaine dont le tableau noirci de ce début de siècle menace autant notre équilibre psychologique que la planète !

      C'est aussi un beau livre, avec une belle finition. Il peut facilement être offert à ces proches, à son maire, à son élu, ... pour les aider à voir qu'il est possible de faire autrement et qu'il n'est pas besoin de se soumettre à la fatalité du développement destructeur actuel de notre modèle de société.


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  • Elle se lance le défi de vivre un mois sans supermarché
      Publié le 12/02/2016 à 15:45Par Mathilde Golla
      http://www.lefigaro.fr/conso

       SÉRIE 1/5 - Repenser notre façon de consommer en se passant de la grande distribution pourrait être une Elle se lance le défi de vivre un mois sans supermarchésolution à la crise agricole. Mais pouvons-nous réellement vivre sans ces grandes surfaces ? Une journaliste de la rédaction du Figaro.fr va tenter de relever ce défi.

       Les Français soutiennent leurs agriculteurs et sont sensibles à leurs revendications. Une grande majorité se dit ainsi prête à dépenser plus pour les aider, selon les réponses à une question posée la semaine dernière par le Figaro.fr.

      Nous vous avons interrogé pour savoir comment et dans quelle mesure, vous étiez prêts à les aider. La question a suscité un réel enthousiasme sur les réseaux sociaux. Vous nous avez livré vos astuces pour privilégier les produits de qualité et de proximité, sans se ruiner. Nombre d'entre vous estiment même que la solution à la crise agricole serait «d'encourager les petits producteurs soucieux de la qualité et de boycotter les supermarchés».

    Mais pouvons-nous réellement vivre sans ces grandes surfaces, nous, les champions mondiaux des supermarchés? Pour répondre à cette question, je vais tenter de relever un défi: celui de vivre un mois sans mettre les pieds dans un supermarché.

    A l'écoute de vos conseils et défis

    N'étant pas une habituée de la conso' alternative, je vais devoir trouver des astuces! L'objectif de cette expérience est également d'évaluer comment cette nouvelle vie va influencer le coût, la qualité et la quantité de mes achats.

    Outre les denrées alimentaires, la grande difficulté sera de me procurer des produits d'entretien et de consommation courante sans faire exploser mon budget! Via les réseaux sociaux, vous m'avez déjà donné quelques conseils et bonnes adresses pour m'aider à réaliser cette expérience.

    Sur Facebook, Laure M. me recommande «les marchés le we, les paniers bios et sur internet pleins de contacts directs du producteur au consommateur, pour l'épicerie coopérative bio» ou les «potager participatif et la poule à la maison», lance Anne L. Pour les «produits menagers: citron, vinaigre blanc, bicarbonate», recommande Pauline M.

    Les AMAP, les paniers bios, la ruche qui dit oui, les magasins paysans, les Biocoop, les solutions maisons pour fabriquer soi-même ses détergents, les applications ou sites internet pour se procurer des produits locaux… Je vais tester un maximum de solutions.

    Je vous raconterai mon expérience au fur et à mesure du mois à venir, sur le site et sur Twitter grâce au #unmoissanssupermarché. D'ici là, continuez à me transmettre vos astuces, idées et si vous avez des défis intéressants, je tenterais de les relever! Transmettez-les sur Twitter ou Facebook

    La rédaction vous conseille :

    • Crise agricole: Valls charge Bruxelles plus que les distributeurs
    • Crise agricole: les enseignes attendues à Matignon
    • Retour sur deux mois de colère agricole
    • Crise agricole: «On devrait encourager les petits producteurs et boycotter les supermarchés»

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  • Sans supermarché mais avec Internet, consommer mieux et local coûte moins cher

      http://www.lefigaro.fr/conso/2016/03/05/05007-20160305ARTFIG00008-sans-supermarche-mais-avec-internet-consommer-mieux-et-local-coute-moins-cher.php   ((07/03/2016)

    SÉRIE 3/5 - Repenser notre façon de consommer en se passant de la grande distribution pourrait être une solution à la crise agricole. Une journaliste de la rédaction du Figaro.fr a relevé le défi des internautes de ne plus Sans supermarché mais avec Internet, consommer mieux et local coûte moins cherse rendre dans les grandes surfaces. Cette semaine, elle a testé une place de marché en ligne : un gain d'argent et de temps !

      En pleine crise du secteur agricole, j'ai décidé de relever un défi lancé par les internautes: celui de ne plus mettre les pieds dans un supermarché pendant un mois. L'expérience gustative et participative vise à privilégier les circuits courts pour soutenir les producteurs. Repenser notre façon de consommer en se passant de la grande distribution pourrait en effet être une solution à la grave crise que traverse le secteur. Mais est-ce réaliste, compliqué, coûteux de bannir les grandes surfaces de notre quotidien?

    Après une deuxième semaine de vie sans supermarché, je peux confirmer la faisabilité de cette expérience! Je partais pourtant de loin puisque j'achetais une grande majorité de mes produits en grande surface. Conseillée par les internautes, j'ai pu trouver de nouvelles solutions et bons plans pour pouvoir consommer local en privilégiant les circuits courts.

    ● Une place de marché en ligne économique

    La première semaine, je m'étais rendue sur des marchés et épiceries paysannes pour me procurer des légumes, fruits, viande et poisson. Humainement, cette solution avait été extrêmement enrichissante mais cela prenait du temps. Cette semaine, j'ai fait un autre choix, celui d'une place de marché en ligne! J'ai ainsi fait mes courses sur le site du Comptoir local, qui propose des produits issus des fermes d'Ile de France. Puis j'ai été livrée directement au bureau.

    » Retrouvez le Figaro Economie sur Facebook

    Cette solution offre donc un gain de temps indéniable. Mais est-ce réélement moins onéreux? Pour 60 euros, prix à partir duquel la livraison est gratuite, je me suis procurée pour plus d'une semaine de produits. La semaine dernière, où je suis allée à Marseille et dans la Manche dans les épiceries paysannes et les marchés de producteurs, j'ai dépensé 57,50 euros (et 27 euros pour les produits d'entretien).

    En janvier,j'avais tout acheté en supermarché pour un coût moyen de 80 euros par semaine (tous produits confondus).

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  •  http://www.terrevivante.org/412-desherber-sans-herbicides

    © Jean-Jacques Raynal
                                                                                    © Jean-Jacques Raynal
       Impossible de désherber sans noyer le jardin d’herbicides ? Bien sûr que non ! Certes, en jardinage bio, il vous faudra apprendre à être un peu plus tolérant envers ces "mauvaises herbes". Mais la lutte contre la pollution des eaux ne le mérite-t-elle pas ?

      En France, 1 million d’hectares sont cultivés par 14 millions de jardiniers amateurs, ce qui concerne une famille sur trois. La consommation des produits phytosanitaires dans les jardins particuliers représente 10% des pesticides utilisés. Or ces produits se retrouvent aujourd’hui dans l’eau de boisson, l’eau de pluie, les eaux souterraines et même l’eau embouteillée. 

    Comment maîtriser les mauvaises herbes sans herbicides ?

      Quel jardinier n’a rêvé un jour ou l’autre d’une terre où les mauvaises herbes ne pousseraient plus ? Pourtant leur développement est un signe de fertilité : seuls les sols stériles n’hébergent aucune herbe spontanée ! Le stock de graines dans le sol est quasi inépuisable. Si la place leur est laissée, les herbes adventices envahissent progressivement le terrain. Pour les en empêcher, le jardinier bio redécouvre et invente des alternatives aux herbicides.

    • Il favorise l’occupation du terrain par les cultures à croissance maîtrisée : semis d’engrais verts entre deux cultures, association de cultures à croissance lente et rapide (salades entre les choux, semis de radis et carottes en mélange).
    • Il couvre le sol avec des paillages perméables contre les plantes indésirables et pour éviter le ruissellement rapide de l’eau. : paille, tonte de gazon, feuilles mortes... En cas d’envahissement par des adventices particulièrement gênants (liseron, chardon, chiendent…), la pose d’une moquette, d’un vieux tapis, d’un plastique noir ou de carton pendant quelques mois apporte une solution efficace et écologique.

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  • Créer un jardin-forêt (Patrick WHITEFIELD)

    2012   188 p.    20 €

      Créer une forêt comestible dans son jardin avec des fruits, des légumes, des champignons, des plantes aromatiques et médicinales organisés intelligemment pour une production sans pesticide et avec peu d'entretien.

      Un livre de grande valeur pour ceux qui souhaitent une technique écologique cohérente en permaculture.

     Editions Imagine un Colibri


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  • Le guide du jardin bio (J. P. THOREZ, B. LAPOUGE-DEJEAN)

    2009    430 p.  27,40 €

      L'outil indispensable pour cultiver vos légumes, vos fruits et orner votre jardin ! Découvrez comment concilier beauté et productivité, respect de l'environnement et de la santé : désherber et contrôler les ravageurs et les maladies sans pesticides, choisir les bonnes associations, faire son compost... Choisissez, parmi la sélection de légumes, aromatiques, fruitiers, fleurs, arbres et arbustes, les espèces que vous souhaitez cultiver, et suivez les conseils des auteurs grâce à : ¦ 177 fiches techniques (une par plante présentée) ¦ 400 dessins ¦ un cahier pratique avec les gestes du jardinage bio, les calendriers des travaux, des cartes climatiques, une sélection d'adresses utiles, un glossaire...

       Jean-Paul Thorez est ingénieur agronome, spécialisé dans l'environnement et le jardinage bio. Jardinier lui-même, il est l'auteur de plusieurs ouvrages sur le jardinage biologique et il a participé à la création du magazine Les 4 Saisons du jardin bio.
       Brigitte Lapouge-Déjean est jardinière paysagiste. Avec son mari, elle a créé les Jardins de l'Albarède, en Dordogne. Brigitte collabore régulièrement au magazine Les 4 Saisons du jardin bio. Elle est l'auteure de plusieurs ouvrages sur le jardin bio ornemental.

       " Ce livre est la réédition, colorisée mais plus coûteuse, d'un ouvrage à succès écrit à l'origine par Jean-Paul Thorez.

    Son grand point fort demeure les parties consacrées aux :
    - Plantes potagères et aromatiques : chaque plante bénéficie de fiches succinctes mais complètes : méthode de semis ou de plantation, entretien, cultures associées, récolte-conservation, variétés avec leurs caractéristiques, tableau récapitulant clairement les périodes de semis, plantation et récolte. Il n'y a aucune photo, mais ce n'est pas un défaut : un croquis bien réalisé sera toujours plus clair.

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  • No impact man (Colin BEAVAN)

                                                         2011   320 p.   8,40 € (en poche) 

      Comme nous tous, Colin Beavan en a marre d'assister, impuissant, au réchauffement climatique, à la déforestation et aux gaspillages en tous genres... Il refuse d'être partie prenante dans la fonte des glaces et la disparition des ours polaires. Son défi : vivre un an en réduisant au maximum son empreinte environnementale. Jusque-là, pas de quoi parader, d'autres l'ont fait avant lui. La grande différence c'est que ledit Colin Beavan vit en plein cœur de Manhattan, au 9e étage d'un building. Et qui dit réduction des émissions de carbone dit pas d'ascenseur, de climatiseur, de réfrigérateur, de transport motorisé – entre autres –, et quand on est un jeune père de famille, l'aventure tourne vite au casse-tête. Son premier challenge : convaincre sa femme, quelque peu accro au shopping, de jouer le jeu. Le deuxième : renoncer aux couches en plastique et aux plats à emporter. Passées ces étapes... eh bien, tout reste encore à faire. L'expérience dure un an, le compte à rebours est enclenché !

       Cette histoire vraie a fait le tour du monde, grâce au succès du blog tenu par Colin Beavan pendant l'aventure. Ce blog a même été élu l'un des quinze sites écologiques les plus influents du monde par le Time Magazine !

    " Colin Beavan, c'est un peu nous, mais en courageux. "
    Guillaume Launay, Libération

    Traduit de l'anglais (État-Unis)   par Joëlle Touati

       Colin Beavan est l'auteur de plusieurs essais historiques et a collaboré avec de nombreux magazines : TheAtlantic Monthly, Men's Journal, Men's Health, Glamour, Cosmopolitain... Il vit à New York avec sa femme Michelle Conlin, rédactrice et journaliste et leur fille Isabella.


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  •  Jardin
    6 C’est de saison  Travaux du jardin, actualités, produits…
     

    DOSSIER POULES
    22 Préférez les races locales                          26 Nos coups de coeur
    30 Les bienfaits du tracteur à poules               33 Matériel et bonnes adresses
    34 Cuisine Des poules à toutes les sauces        38 Potager Faiseurs de fraises
    42 Secret de Terre vivante Laisser le gel agir    44 Ornement Héméocalles : ceci n’est pas un lis
    50 Verger La samba du feijoa                         54 Fondamentaux BRF, la part des choses
    60 Jardin d’ici Roses de peu

    Esprit 4 Saisons
    66 Actualités et produits                                 70 Habitat Toits végétaux : quoi de neuf sous le soleil ?
    76 Ecologie au quotidien Un mur végétal chez soi 78 Alternatives Cueillettes urbaines
    84 Agenda Vergers urbains                               86 Livres Notre sélection
    89 Courrier                                                    96 Petites annonces, troc septembre-octobre 2013
    Abonnez-vous 93                                           Commandez des livres 49

      Bimestriel édité par la SCOP SA à capital variable Terre vivante ©
    Domaine de Raud - 38710 Mens
    Tél. 04 76 34 80 80     www.terrevivante.org

      Prix du numéro : 6,40 €  Abonnement (1 an = 6 n°)  France : 33 € / Autres pays : 43 €


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  • Jardinez avec les insectes (Vincent ALBOUY)

    2009    360 p.    23 €

       Un ouvrage pratique, pour comprendre, prévenir, attirer et contrôler les insectes au jardin.

      Vous apprendrez comment utiliser les ressources foisonnantes du jardin pour assurer une bonne fertilité du sol, maintenir les populations d’espèces gênantes à un niveau assez bas pour ne pas causer trop de dégâts, favoriser la pollinisation des fleurs.

       Plus de 80 fiches détaillées, des conseils précis et toujours le même objectif : utiliser la nature au jardin plutôt que de s’opposer à elle.

       Né en 1959, Vincent Albouy est entomologiste de formation. Il est spécialiste des Dermaptères ou perce-oreilles.
       Il est le président de l’Office pour les insectes et leur environnement (OPIE) et également le président fondateur de PONEMA, une association locale pour la protection de la nature ordinaire dans les jardins.
       Il a également travaillé pendant plusieurs années la Ligue de Protection des Oiseaux.
    Il a publié de nombreux ouvrages sur les insectes, les oiseaux, le jardinage naturel qu’il pratique d’ailleurs dans son jardin en Poitou-Charentes.
       De 2002 à 2007, il a rédigé une chronique sur la faune et la flore sauvages du jardin dans la revue de Terre vivante, Les 4 Saisons du jardin bio

    Bibliographie sélective :

       -Papillons avec Lucas Baliteau, 2013

       -Le jardin des insectes, 2013

       -Guide des insectes et autres petites bêtes des villes et des maisons, 2013

       -Faut pas pousser mémé dans les orties et autres expressions botaniques, avec Roland Garrigue, 2013

       -Le biopotager autosuffisant, 2012

       -L’ABC de la pollinisation au potager et au verger, 2012

       -Les insectes : bien débuter en entomologie, 2011

        https://natornatex.wordpress.com/ Le blog de Vincent Albouy. ...


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  • 2009     185 p.     30 €

        Qui ne rêve de récolter tout au long de l'année de délicieux légumes, exempts de produits chimiques, pour sa famille et ses amis ? Depuis plus de quarante ans, Jean-Marie Lespinasse cultive son jardin. À force d'observation, de documentation, de réflexion et d'expérimentation, il a conçu un jardin naturel sans apport d'engrais, sans pesticides et sans herbicides. Tout repose sur la qualité du sol, le respect et la stimulation des capacités naturelles des plantes à se nourrir et à se protéger, sur la gestion de l'eau et sur le mélange et l'association de plantes stimulantes ou répulsives qui désorientent et indisposent les parasites. Richement illustré de photographies et de schémas explicatifs, ce livre nous apprend comment cultiver en respectant le fonctionnement naturel du sol et avec une grande économie de moyens.

       Cette nouvelle édition intègre l'expérimentation du BRF (bois rameaux fragmentés), du lombricompost et de la récupération des eaux de pluie. Suivons Jean-Marie Lespinasse tout au long de cet ouvrage passionnant. Nous pourrons à notre tour récolter des légumes savoureux, non traités et ayant poussé dans un sol vivant.

      Jean-Marie Lespinasse a œuvré à I'INRA de Bordeaux de 1962 à 2000 à la création variétale du pommier, à l'étude des types de fructification et à la mise en place de modes de conduite pour cette espèce.  

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  • http://www.intelligenceverte.org/Conseil-Jardinage-bio-ni.asp

    1/ Semer les bonnes plantes

    Semez les plantes qui protègent le jardin : Capucines, Comos, Oeillet d’Inde, Soucis, Bourrache. Disposez les dans le potager. Elles aident à la bonne croissance des légumes. Elles repoussent certains parasites du sol et attirent les auxiliaires.

    2/ Prendre soin des arbres fruitiers

    Les arbres fruitiers se réveillent. Ils auront besoin de beaucoup d’énergie. C’est le moment de les nourrir. Epandez du compost au pied des arbres et à l’aplomb de la couronne des branches. Les fourmis propagent les pucerons dans les arbres fruitiers. Disposez sur les troncs des bracelets englués pour freiner leur ardeurs.

    3/ Contrôler les mauvaises herbes

    Contrôlez les mauvaises herbes : pour nettoyer efficacement votre terrain avant les semis ou les repiquages, préparez votre planche comme pour des semis, arrosez et attendez 15 jours à 3 semaines. Les graines indésirables germeront et vous pourrez aisément les éliminer au râteau ou à l’aide d’une griffe. Votre terre est propre et prête à recevoir les cultures définitives. Organisez vous pour etre dans les temps.

    4/ Mettre du compost

    Mettre du compost au bon moment. Au printemps mettre du compost bien décomposé entre les cultures (semis et repiquages), puis le recouvrir de paille ou de gazon séché. L’humus est fragile, il n’aime pas le soleil direct ; sous le gazon, il sera disponible pour vos plantes sans se dégrader.

    5/ Faire pousser des légumes

    Semez en pleine terre : carottes, cerfeuil, chou, épinard, navet, panais, persil, poireaux, radis, pois. Ne semez pas trop profond et recouvrez vos graines de compost fin bien décomposé. De couleur sombre : il réchauffera vos graines, il évitera le croutage du sol, il gardera l’humidité en surface. Le fond de l’air est frais, recouvrez de P17 ou voile

    6/ Semer peu mais bien

    Semis : pour bien semer, semez peu à la fois ; échelonnez vos semis tous les 15 jours à 3 semaines. Ceci est valable pour les salades, carottes, courgettes, haricots, cerfeuil, roquette, radis … des légumes à cycle court. C’est la base pour récolter des légumes régulièrement sans surproduction ni manque.

    7/ Avoir des prairies

    Prairie fleurie et papillons. Ne devenez plus esclave de la tondeuse. Laissez vos prairies fleurir. Fauchez une fois par an pour le plus grand plaisir des insectes auxiliaire du jardin, des oiseaux, des papillons très menacées. Votre gazon abrite de nombreuse espèces de fleurs sauvages qui vont nourrir et abriter vos meilleurs alliés. Ne tondez que les passages et circulations.

    Pour plus de conseils jardinage

    Retrouvez Hervé lors des stages week-end de jardinage à la ferme de Ste Marthe


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  • Les kits de nutrition (Thierry SOUCCAR

                                                               2015     104 p.    9,90 € 

       Un drôle de guide, qui remet les idées en place et réapprend à bien manger
      Ne vous fiez pas aux apparences. Ce petit livre ludique, illustré et plein d'humour, est une arme redoutable. Une arme contre les idées reçues sur les aliments, un contre-pouvoir à la propagande de l'industrie agro-alimentaire. Mais surtout une ressource pour mieux manger.
      Avec le simple pouvoir de l'image, et des explications qui tiennent en quelques lignes, il revisite des aliments courants : ceux qui vous font du bien et les autres. C'est une surprise à chaque page :
       Le Kit de démarrage de l'ostéoporose (page 42) est sur toutes nos tables
       Mais le Kit anti-infarctus aussi ! (page 48)
       Le Kit de démarrage du cancer de l'estomac (page 16) connaît un grand succès l'été
       Quant au kit anti-gueule de bois (page 38), il soigne aussi... les enfants
      Offrez et offrez-vous ce drôle de condensé des connaissances scientifiques. Il vous divertira. Et tenez : il peut même vous sauver la vie.

       Journaliste scientifique, éditeur, fondateur de LaNutrition.fr, bête noire de l'industrie agro-alimentaire, Thierry Souccar est l'auteur de nombreux livres dont

      -Santé, Mensonges et Propagande,

      -Lait, Mensonges et Propagande,

      -La Meilleure Façon de Manger.

    De lui, le Pr Henri Joyeux dit qu'il est peut-être "le meilleur nutritionniste de sa génération".


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  • Permaculture (D. HOLMGREN)

    2014    584 p.   25 €

       Comment vivre dans le respect des limites et des ressources de la nature ? Alors que la production mondiale de pétrole a atteint son maximum et que c'en est désormais fini de l'énergie fossile bon marché (écrit en 2014!), la permaculture constitue une réponse pragmatique aux enjeux de notre époque. Elle utilise la pensée systémique pour « élaborer en toute conscience des paysages qui imitent les schémas et les relations observés dans la nature et fournissent en abondance nourriture, fibres et énergie afin de subvenir aux besoins locaux ».
      En moins de quatre décennies, la permaculture est devenue un mouvement mondial, apportant une contribution pratique au débat sur la soutenabilité. Dans Permaculture, qui est devenu le livre de référence sur le sujet, David Holmgren théorise et illustre concrètement 12 principes sur lesquels s'appuyer pour concevoir un mode de vie soutenable et s'adapter à la « descente énergétique » 
    1. Appliquer l’autorégulation et accepter les rétroactions.
    2. Intercepter et stocker l’énergie - en développant des systèmes qui collectent les ressources quand elles sont abondantes et utilisables à besoin.
    3. Utiliser et répondre au changement avec créativité - on peut avoir un impact positif sur des changements inévitables en observant avec attention et en intervenant au bon moment.
    4. Concevoir en passant des motifs généraux (structure) aux détails - en prenant du recul on peut observer les motifs dans la nature et la société et les reproduire. Ils peuvent alors devenir la colonne vertébrale de nos designs et les détails mis en place à mesure que nous progressons.
    5. Intégrer plutôt que séparer - en mettant les bons éléments aux bons endroits, des relations se développent entre ces éléments et ils travaillent ensemble pour s’entraider.
    6. Observer et interagir - En prenant le temps de s’engager avec la nature on peut concevoir des solutions qui correspondent à la situation.
    7. Obtenir un résultat - s’assurer que l’on reçoit réellement des récompenses utiles pour le travail qui est fait.
    8. Ne pas produire de déchets - en trouvant une valeur à chaque ressource disponible et en les utilisant toutes, rien n’est un déchet.
    9. Utiliser et valoriser la diversité - la diversité réduit la vulnérabilité à une variété de menaces et tourne à son avantage la nature unique de l’environnement dans lequel il réside.
    10. Utiliser et valoriser les ressources et les services - faire la meilleure utilisation de l’abondance de la nature pour réduire notre comportement consommateur et notre dépendance vis-à-vis des ressources non renouvelables.
    11. Utiliser et valoriser les bordures - l’interface entre deux choses est l’endroit où les événements les plus intéressants se produisent. Ce sont souvent les éléments qui ont le plus de valeur et qui sont les plus divers et productifs.
    12. Utiliser des solutions petites et lentes - Les systèmes lents et petits sont plus faciles à maintenir que les gros, en faisant un meilleur usage des ressources locales et en produisant des résultats durables.

      Né en 1955 à Fremantle, en Australie-Occidentale, David Holmgren est le cofondateur du concept de permaculture avec son compatriote Bill Mollison. Consultant international et formateur, il a créé et développé des fermes permaculturelles dans son pays d'origine.


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  •  

    2016     156 p.     15 €

       LE ZÉRO DÉCHET, L'ESSAYER C'EST L' ADOPTER !

      Réduire ses déchets pour la planète, pour sa santé, pour le porte-monnaie, c'est le moment ! Mais comment s'y prendre ? En marchant dans les pas de Jérémie et Bénédicte. Ce livre, à la fois carnet de bord pas triste, et guide pratique, vous mènera au but en vous épargnant bien des pièges !

      Avec humour et autodérision, les auteurs vous proposent un plan d'action détaillé et 10 défis Zéro Déchet pour vous lancer. En s'appuyant sur leur connaissance de l'écologie, ils livrent des centaines de conseils pratiques et d'alternatives simples pour le quotidien : courses, cuisine, nettoyage, mobilier, hygiène, maquillage, vêtements, jardin, bricolage, festivités... Car les déchets sont partout !

      Ce que vous allez gagner : l'amélioration de votre écobilan familial (1 poubelle de 15 L pour 1 mois), moins de toxiques et de sacrées économies. Plus le sentiment exaltant d'être acteur de sa vie, de sa santé, de créer du lien, de toucher à l'essentiel.

      « Avec ce livre, les bonnes idées de quelques-uns deviennent la chance de tous. »
    - Nicolas Hulot

      « Le Zéro Déchet n'est pas une mode, c'est une nécessité, un devoir. Ne perdez plus un instant pour lui donner une chance d'enrichir votre quotidien, de donner un sens à votre passage sur Terre. »
    - Béa Johnso

       Militant associatif, Jérémie Pichon a travaillé pour des ONG environnementales, humanitaires et éducatives : Mountain Riders, Surfrider Foundation, Du Flocon à la Vague, Action contre la faim, Temps Jeunes. Il a développé de nombreux projets autour de la question de l'empreinte environnementale (empreinteH2O.com, evenementresponsable.fr).
       Bénédicte Moret alias Bloutouf est illustratrice graphiste pour de nombreuses associations et institutions environnementales depuis 12 ans : Fondation Nicolas Hulot, Corabio, Mountain riders...
      Tous deux animent avec humour le blog famillezerodechet.com. Ils résident sur la côte landaise, à Hossegor.

       Parce que chacun peut apporter sa contribution pour un monde moins pollué et encombré d'ordures, Jérémie Pichon et Bénédicte Moret ont concocté un guide pratique à destination des familles : Famille presque zéro déchet - Ze guide. Aujourd'hui, plus d'excuse : ils nous accompagnent, avec humour, dans un mode de vie durable, plus sain pour la planète et nous-mêmes.

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  • La meilleure façon de manger (Thierry SOUCCAR)

    2015     336 p.    22 €

        LE GUIDE DE L'ALIMENTATION SAINE POUR TOUTE LA FAMILLE
      En matière de nutrition, on entend tout et son contraire. La nouvelle édition de La Meilleure façon de manger (MFM) met fin à la confusion car elle est l'aboutissement de 50 années de recherches. Vous avez l'assurance de bénéficier de conseils concrets, validés scientifiquement, qui vous aideront à préserver votre santé.
       HYPER PRATIQUE
       La MFM vous donne des repères précis pour mieux manger : aliments à privilégier, conseils pour les choisir et les préparer, fréquence de consommation, taille des portions.
    Vous apprendrez entre autres :
    - Les 10 règles essentielles à respecter pour rester en bonne santé
    - Quelles sont les 3 huiles à avoir à la maison
    - Pourquoi les eaux en bouteilles sont préférables à l'eau du robinet, et lesquelles acheter
    - Quels sont les poissons riches en oméga-3 qui contiennent le moins de mercure
    - Les 3 critères pour choisir son pain
    - Quels sucres éviter et lesquels sont acceptables
    - Pourquoi il ne faut pas acheter des thés premier prix

       NOUVELLE EDITION TOUT EN COULEURS ENTIÈREMENT REVUE
       Des dizaines d'illustrations, des recettes, des menus, de nouvelles rubriques : comment construire des repas équilibrés, établir ses listes de courses, éviter les toxiques...
    La MFM répond concrètement à la plupart des questions que vous vous posez. Par exemple :
    - Comment décrypter les étiquettes alimentaires ?
    - Quels sont les additifs à éviter absolument ?
    - Si je mange 3 à 4 laitages par jour, est-ce que c'est bon pour mes os ?
    - Puis-je faire cuire un aliment au four dans de l'aluminium ?
    - Pourquoi dit-on qu'un jus de fruit ne vaut pas un fruit ?
    - Les légumes en conserve et surgelés ont-ils les propriétés des légumes frais ?
    - Dois-je éviter le gluten ?
    - Est-ce que je dois prendre des vitamines ?
    BONUS : UN GUIDE ILLUSTRÉ QUI RÉSUME LES POINTS-CLÉS DE LA MFM
    ATTENTION : LA VERSION POCHE EST CELLE DE L'EDITION 2008 AUJOURD'HUI OBSOLETE

       Thierry Souccar est le directeur de LaNutrition.fr, le premier site indépendant sur l'alimentation et la santé.    

       Angélique Houlbert est diététicienne-nutritionniste.

      Le livre a été conçu en toute indépendance, avec la collaboration de 15 chercheurs de renommée internationale.


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  •                                                            2015    231 p.   11,90 € 

        Vous aussi, changez vos habitudes ! Ne mangez plus de produits industriels ! Stéfane Guilbaud a fait le choix, depuis plusieurs années, de renoncer aux produits industriels et il l'assume pleinement. Il vous invite à le suivre dans cette démarche engagée qui met fin à l'influence des lobbys de l'industrie agro-alimentaire.
      Vive la désobéissance industrielle !  

       Vive la désobéissance alimentaire !

      Notre alimentation a profondément changé en quelques décennies et les produits industriels ont envahi nos assiettes et modifié nos comportements. Transformés, remplis d'additifs et de conservateurs, flanqués d'une liste d'ingrédients impossible à déchiffrer, ces produits reflètent le mal de notre siècle : une course effrénée vers la rentabilité maximale, au détriment de notre capital santé.

    Heureusement, la solution est en chacun de nous ! Après avoir exposé sa démarche de vie et démêlé le vrai du faux en matière de communication alimentaire, Stéfane Guilbaud propose un guide pratique et simple pour :

    • Adopter les bons réflexes et retrouver une alimentation équilibrée.
    • Repérer en un clin d'oeil les aliments à privilégier et ceux à éviter.
    • Choisir vos produits frais en respectant les saisons.
    • Élaborer votre fonds de cuisine avec les basiques indispensables pour cuisiner sain.

    Renouer avec le plaisir de bien manger, c'est plus facile que vous ne le pensez !

    Préface de Laurent Chevallier

       Ancien formateur en changement de comportements alimentaires et spécialiste en marketing visuel, Stéfane Guilbaud est un fervent défenseur de la désobéissance alimentaire. Aujourd'hui auteur et conférencier, il sensibilise un large public aux méfaits de la malbouffe et transmet sa vision à travers plusieurs ouvrages sur ce sujet.

     

    Je ne mange pas de produits industriels (Stéphane GUILBAUD )


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  • Je me permets de vous renvoyer ce message : c'est très urgent.

    > Dans moins de 5 jours, les députés français se prononceront sur l'interdiction, ou non, des pesticides néonicotinoïdes responsables de la mort de millions d'abeilles en France, en Europe et dans le monde,  et d'une pollution gigantesque des sols et des cours d'eaux dont on commence à peine à mesurer les conséquences – et elles sont effrayantes !

    > Le combat se joue au coude à coude avec l'agrochimie, qui exerce un lobbying farouche sur l'Assemblée nationale pour empêcher l'interdiction de ses produits. Notre seul moyen de les contrer, et d'obtenir cette interdiction salutaire pour les abeilles et la nature, c'est que chaque citoyen utilise son statut d'électeur pour faire pression sur son député, et le rallie de notre côté.

    > 85 000 messages ont déjà été envoyés aux députés directement par leurs électeurs, aidez-nous à doubler cette pression dans les jours qui viennent ! Si vous ne l'avez pas encore fait, envoyez votre message à votre député en cliquant ici, et transférez l'email ci-dessous à un maximum de personnes autour de vous.

    > Merci !

    Nicolas

     

    >  

    > Seule une pression massive des citoyens peut contrer l'influence grandissante des lobbies de l'agrochimie et décider les députés français à interdire une fois pour toutes les pesticides tueurs d'abeilles.

    > Envoyez vite votre message à votre député !

    > Ça ne vous prendra que deux minutes, et ce sera déterminant pour arrêter le massacre des abeilles, et accélérer le passage vers une agriculture propre et pérenne, respectueuse de la nature et des pollinisateurs dont elle dépend.

    > Pour envoyer ce message aller sur le site:

       http://www.pollinis.org/stopneonics-deputes/

     

    > Madame, Monsieur,

    > Tous les signaux sont dans le rouge : les députés français s'apprêtent à rejeter l'interdiction des pesticides tueurs-d'abeilles néonicotinoïdes sur la base d'arguments irrecevables directement dictés par les lobbies de l'agrochimie :

    > Sans une pression massive et immédiate des citoyens sur les députés français, la décision historique d'en finir une fois pour toutes avec ces poisons pour sauver les abeilles et l'environnement passera définitivement à la trappe.

    > L'enjeu est capital. Et pas seulement pour la France :

    > Car si nous gagnons cette bataille décisive en France, l'un des principaux bastions de l'agriculture industrielle, il sera beaucoup plus simple d'obtenir ensuite l'interdiction des tueurs-d'abeilles au niveau européen.

    > C'est pourquoi je vous demande de signer de toute urgence la pétition au député de votre circonscription, en utilisant le système de pétition en ligne que nous avons préparé >> Cliquez ici

    > Un petit rappel des faits est sans doute nécessaire :

    > En mars 2015, l'Assemblée Nationale en France adoptait un amendement au projet de loi « Biodiversité » (1) interdisant purement et simplement les pesticides néonicotinoïdes sur le sol français dès janvier 2016.

    > Pour tous les citoyens et les associations qui militent depuis des années pour l'interdiction de ces pesticides mortels pour les abeilles, l'initiative courageuse des deux députés qui avaient déposé l'amendement a été une vraie bouffée d'espoir !

    > Pourtant :

    > À peine arrivé au Sénat, l'amendement a été immédiatement enterré par une poignée de sénateurs de la Commission Environnement (2) qui ont rejeté en bloc les rapports de plus en plus alarmants des académies scientifiques qui tirent la sonnette d'alarme avec de plus en plus d'insistance ! (3)

    > Pollinis a bataillé et réussi à faire redéposer l'amendement : malgré une mobilisation rapide des citoyens et 280 000 messages de protestation envoyés directement sur la boîte mail des sénateurs, il a été rejeté une deuxième fois par le Sénat français – et savez-vous sur la base de quels arguments ?

    > Quasiment mot pour mot ceux de l'agrochimie !

    > C'est affligeant : voir les lobbies balayer d'un revers de main méprisant les centaines d'études alarmantes produites par des laboratoires publics et indépendants du monde entier comme si elles n'avaient aucune valeur scientifique... Les entendre clamer que leurs produits ne sont pas si dangereux que ça, et accuser les agriculteurs de mal les utiliser et leur faire porter le chapeau pour la mort de millions d'abeilles... Ça nous fait dresser les cheveux sur la tête, ici à l'association.

    > Mais que des responsables politiques, des élus de la nation censés protéger l'intérêt général reprennent en cœur les mêmes insanités... C'est insupportable !

    > Et ça ne veut dire qu'une seule chose : que les lobbies de l'agrochimie ont renforcé considérablement leur pression sur le Parlement français.

    > Ce sont d'ailleurs les mêmes arguments fallacieux qui sont aujourd'hui repris par les députés qui s'apprêtent honteusement à rejeter à leur tour l'interdiction des tueurs-d'abeilles en France !

    > Alors, que les choses soient claires une bonne fois pour toutes :

    >   - NON : ce n'est pas parce que les agriculteurs utiliseraient mal les produits ou ne respecteraient pas les consignes de sécurité, comme le prétendent les firmes agrochimiques, que les néonicotinoïdes tuent les abeilles et tout ce qu'il y a dans le sol et les cours d'eau... et qu'ils sont en train de mettre en danger l'ensemble de la biodiversité dans le monde ! (4)

    > C'est dans la nature même de ces produits, 7000 fois plus toxiques que le DDT pour les abeilles et tous les petits insectes et lombrics indispensables à la vie, de ravager tout ce qu'ils croisent sur leur passage. Et il n'y a pas d'autre choix possible pour sauver la nature et sécuriser nos productions alimentaires que de les interdire au plus vite, purement et simplement.

    >             - OUI : la France, comme n'importe quel pays de l'Union européenne, peut parfaitement interdire unilatéralement la vente des pesticides néonicotinoïdes sur son territoire... ou de tout autre produit qu'elle jugerait dangereux pour l'environnement, la santé publique, ou pour sa sécurité alimentaire par exemple !

    > Ce n'est qu'une question de volonté politique des élus. L'Italie l'a déjà fait chez elle, et personne n'y a trouvé à redire ! (5)

    >             - OUI : les agriculteurs peuvent parfaitement se passer des néonicotinoïdes et autres pesticides tueurs d'abeilles ! Leur retrait du marché n'entraînerait aucune baisse du rendement des récoltes contrairement à ce que répètent en boucle les lobbies de l'agrochimie. 

    > L'agence de sécurité sanitaire américaine, l'EPA, vient à nouveau de le démontrer pour la culture du soja par exemple (6) ; d'autres études menées à travers le monde, en Italie, au Canada, au Brésil et aux Etats-Unis, arrivent exactement aux mêmes conclusions sur d'autres grandes cultures comme le maïs. (7)

    > Les recherches prouvent en outre que, contrairement à ce que croient la plupart des gens encore aujourd'hui, les agricultures innovantes sans pesticides produisent autant en moyenne que l'agriculture chimique industrielle… 

    > …Mais qu'elles sont systématiquement plus rentables pour les fermiers qui les utilisent ! (8)

    > Ce que les lobbies cherchent désespérément à dissimuler par ailleurs, c'est ce que coûte à l'agriculture d'éradiquer les abeilles et les pollinisateurs à coup de pesticides : 

    > …20% de récoltes en moins en moyenne quand la pollinisation n'est plus assurée - jusqu'à 30% sur le colza - c'est ce que vient de montrer une étude menée sur 5 ans dans plus de 12 pays à travers le monde ! (9)

    > C'est pour toutes ces raisons que Pollinis a besoin de vous de toute urgence.

    > Pour convaincre les députés, et exercer une pression déterminante sur l'ensemble de l'hémicycle pour que, le jour du vote, l'amendement StopNeonics - qui nous débarrassera vraiment de ces pesticides tueurs-d'abeilles - soit voté, nous devons faire déborder les boîtes mail des députés de messages de protestation.

    > C'est pour cela que je vous demande d'envoyer, dès maintenant, votre message-pétition aux sénateurs de votre région en cliquant ici.

    > Vous n'avez pas besoin de faire des recherches pour connaître le nom des députés que vous devez interpeller : entrez simplement votre code postal dans le formulaire que nous avons préparé, et la liste des députés de votre région s'affichera automatiquement.

    > Vous n'aurez plus qu'à valider pour que votre message soit envoyé pour vous.

    > Nous avons mis en place ce système simple, qui ne vous prendra pas plus de 2 minutes de votre temps, pour qu'un maximum de personnes puissent participer;

    > Alors s'il vous plaît, prenez 2 minutes pour les abeilles : signez dès maintenant votre pétition aux députes, et transférez ce message à un maximum de personnes autour de vous, pour nous permettre de rallier des dizaines de milliers de signatures supplémentaires !                                  

    > C'est le meilleur moyen, et peut-être même le seul, de mettre une pression assez forte sur les députés pour les obliger à adopter cet amendement qui mettra enfin un terme à plus de vingt ans de massacre intensif des abeilles au profit de l'industrie agrochimique.

    > L'adoption de cet amendement créera un précédent en Europe qui obligera la Commission européenne à s'aligner : si vous n'êtes pas résident Français, vous êtes quand même concerné ! Vous pouvez agir en signant la pétition de soutien à cette campagne : cliquez ici.

    > Le vote final aura lieu dans moins de 10 jours : aidez-nous à rallier le plus grand nombre de personnes pour que la pression des citoyens soit plus forte que celle des lobbies agrochimistes !

    > Un grand merci d'avance.

    > Bien cordialement,

    > Nicolas Laarman       Délégué général 

    > (1) AMENDEMENT N°754 (Rect) déposé le 12 mars 2015

    > (2) Reconquête de la biodiversité, de la nature et des paysages - Examen du rapport et du texte de la commission de l'Aménagement du territoire et du développement durable au Sénat

    > (3) Worldwide integrated assessment on systemic pesticides

    > Rapport ANSES, Janvier 2015

    > (4) Task Force on systemic Pesticide, 2015

    > (5) Furlan L., Kreutzweiser D., 2014 ; Alternatives to neonicotinoid insecticides for pest control: case studies in agriculture and forestry ; Environnemental Science and Pollution Research (2015) 22:135–147

    > (6) EPA, Memorandum, Benefits of Neonicotinoid Seed Treatments to Soybean Production, October 3, 2014

    > (7) Wilde G., et al., 2007 ; Seed Treatment Effects on Early-Season Pests of Corn and on Corn Growth and Yield in the Absence of Insect Pests ; Kansas (USA)

    > Fournier et al., 2013 ; Les néonicotinoïdes en grande culture : pertinence agronomique et impacts environnementaux ; Québec

    > (8) Crowder D. W., Reganold J. P., 2015 ; Financial competitiveness of organic agriculture on a global scale : PNAS, June 16, 2015, vol. 112 no. 24

    > (9) Mutually beneficial pollinator diversity and crop yield outcomes in small and large farms. Lucas A. Garibaldi & al.Science, Jan 22, 2016

    >  

       

    POLLINIS Association Loi 1901
    143 avenue Parmentier – 75010 Paris www.pollinis.org


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  • Semences potagères (

    2015    424 p.   38 €

       Ce livre vous enseigne comment cultiver des légumes non seulement pour leurs fruits mais aussi pour produire les graines de la prochaine récolte. Cela prend combien de temps ? De quoi avez-vous besoin ? Comment reproduire et multiplier vos variétés préférées ? Que pouvez-vous faire pour contribuer à la préservation de la biodiversité ?

      Vous apprendrez en outre tout ce qu'il faut savoir sur les possibilités de croisements entre variétés, les critères de choix, l'histoire des légumes, les maladies qui peuvent les affecter et bien d'autres choses encore. En annexe, un tableau récapitulatif de toutes les espèces de légumes, les données de base en un seul coup d'oeil.

      Alors que les semences commercialisées sont de plus en plus chères et que les jardiniers sont de plus en plus concernés par le risque de disparition de certaines variétés vernaculaires, ce livre permet à tout un chacun de se réapproprier le patrimoine vivant de son propre jardin, et de produire les légumes qui correspondent à son goût plutôt que les variétés standardisées du marché de masse.

      Ouvrage de vulgarisation scientifique de qualité, produit avec le soutien de deux associations reconnues dans le domaine de la préservation de la biodiversité, il donne les bases de la biologie florale et des régimes de reproduction avant d'aborder la pratique, espèce par espèce (114 espèces sont abordées dans le livre).

      En ce printemps 2016, voilà un ouvrage complet qui mérite à mon sens de figurer dans toutes les bibliothèques des jardiniers passionnés. « Semences potagères : le manuel pour les produire soi-même » est un beau livre publié en 2003 (dans sa version autrichienne). Il s’agit donc ici d’une réédition remise au goût du jour et traduite de l’Allemand.

       L’auteure, Andrea Heistinger, est agronome. Diplômée de l’université des Sciences de Vienne, elle œuvre à promouvoir une agriculture biologique, respectueuse de la Nature et dans laquelle la biodiversité a toute sa place.

    « Semences potagères » est soutenu par Arche Noah, une association autrichienne pour la biodiversité qui compte plus de dix mille militants et Pro specie rara, une fondation suisse à but non lucratif qui œuvre elle pour la préservation du patrimoine vivant, aussi bien dans le domaine végétal qu’animal d’ailleurs.


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  •                                                               2013    168 p.   35 €   

      Des légumes en hiver est un manuel pratique destiné aux jardiniers amateurs comme aux professionnels du maraichage. En vingt chapitres richement illustrés, Eliot Coleman, cultivateur américain et pionnier de l'agriculture biologique, dévoile les méthodes qu'il développe au coeur de son exploitation de petite surface, selon trois principes primordiaux :

       -diminuer l'impact environnemental,

      -densifier les cultures et

      -réduire le coût financier de son exploitation.

      Particulièrement connu pour ses techniques de culture hivernales et respectueuses de l'environnement, ce producteur inventif et astucieux explique comment parvenir à récolter des légumes variés et de qualité, quelle que soit la saison. Il défend l'utilité des serres mobiles et des tunnels, encore inexploités en France, l'une des clés du succès pour les récoltes de primeurs tout au long de l'année.

      Le lecteur apprend pas à pas à préparer un sol, puis à semer et à récolter à l'aide d'un équipement modeste et peu mécanisé évitant au maximum le recours aux énergies polluantes.

      Schémas et planning explicatifs jalonnent l'ouvrage afin d'aider chacun à cultiver des légumes, même lorsque les conditions climatiques ne s'y prêtent pas. Les précieux conseils de l'auteur accompagnent les producteurs en herbe à chaque étape de leur apprentissage en leur permettant notamment de faire face aux questions et difficultés qu'ils peuvent rencontrer dans la mise en oeuvre de cultures saines ou encore en abordant la question des outils nécessaires à ce travail de la terre.

      Des légumes en hiver se présente comme un plaidoyer pour une relocalisation des productions agricoles.

       Eliot Coleman est l'un des piliers du Deep Organic Farming. Il milite pour de toutes petites fermes maillant le territoire, produisant avec des moyens simples, mais efficaces, une nourriture de qualité pour les communautés locales.


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  • Pesticides   Publié le 9 février 2016
     
    Emma Bellot   Journaliste pour FemininBio, je suis aussi calme et douce qu'un petit panda roux.  
     
    Privilégiez l'agriculture bio et locale pour une vie plus saine.
    Privilégiez l'agriculture bio et locale pour une vie plus saine.
    © Fotolia

       Vous avez été nombreuses et nombreux à regarder l’excellent reportage de l'émission Cash Investigation sur France 2 consacré aux dangers des pesticides sur la santé des enfants mardi 2 février. Face à un constat sans appel (97% des produits alimentaires que l’on consomme contiennent des pesticides plus ou moins dangereux), vers quelles alternatives se tourner ?

     
       La France est le premier consommateur de pesticides. Sympa non ? Parmi eux, l’Atrazine, molécule interdite en France il y a 15 ans mais toujours présente dans l’eau du robinet, le Folpel, reconnu cancérigène probable et présent à haute concentration dans l’air ou encore le chlorpyriphos utilisé dans l’épandage des cultures agricoles et à l’origine de troubles neurologiques sévères chez les enfants. 
    Un constat décourageant, voire révoltant, mais la colère passée à qui faire confiance ? Une pétition pour l'interdiction des pesticides dangereux a été lancée. En parallèle, voici quelques conseils pour réduire son exposition quotidienne aux pesticides : 
       - Privilégiez les fruits et légumes de saison provenant des cultures raisonnées de producteurs locaux et bio. C’est vrai que cela fait beaucoup de critères mais c’est la garantie d’une alimentation saine pour toute la famille. Si vous avez cette chance près de chez vous, préférez les fruits et légumes venant des terres en permaculture. Cela fait en plus fonctionner l’économie locale et solidifie un vrai lien social et solidaire. 
      - Protégez votre potager avec des astuces efficaces et 100% naturelles : purin d’orties, mixture minéralisante, découvrez plein de conseils par ici: http://www.femininbio.com/maison-jardin/conseils-et-astuces/alternatives-astucieuses-pour-eviter-les-pesticides-dans-votre-jardin-61707.
      - Privilégiez les protections intimes biologiques ou coupes menstruelles en silicone médicale qui ne contiennent pas de pesticides. En effet, des traces du pesticide Roundup ont récemment été retrouvées dans la composition de protections périodiques conventionnelles. La pétition pour un étiquetage transparent des protections hygiéniques est d’ailleurs toujours en ligne.  
      - Choisissez bien votre eau. Optez plutôt pour une eau en bouteille et peu minéralisée comme les eaux du Mont Roucous et la Rosée de la Reine. 
      - Privilégiez les produits d’entretien naturels et biologiques et évitez les insecticides ménagers comme les aérosols ou les bombes qui se fixent dans les tissus et polluent l’environnement intérieur. 
    Retrouvez Cash Investigation : Produits chimiques, nos enfants en danger ? en replay et le livre: 
       TOXIC: Produits chimiques : nos enfants en danger Broché – 3 février 2016   

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  • Par Stéphanie Letellier le 19 janvier 2016 

    http://www.notretemps.com/droit/conso/electromenager-reparer-vous-meme-vos-appareils,i103522/2

    Electroménager… Réparer les appareils redevient possible!
        L’obsolescence programmée n’est plus une fatalité. Des sites internet, des vidéos en ligne et des ateliers en villes vous aident à réparer vous-même vos appareils.

       Tablette, smartphone, machine à laver, grille-pain...  Que faire de vos appareils lorsqu’ils tombent en panne? Les réparer? Encore faut-il savoir comment faire et disposer des bons outils. Bonne nouvelle, le "réparer soi-même" est tendance et de nombreuses initiatives fleurissent sur internet et dans les villes pour aider les consommateurs à donner une seconde vie à leurs appareils. A la clef, des économies et une démarche responsable qui s’organise face à l’obsolescence programmée, désormais punie par la loi. Voici différentes pistes pour vous lancer: 

    • Sur internet

    Les tutoriels en vidéo

    www.spareka.fr: Sur ce site créé en 2012, vous diagnostiquez votre panne grâce à quelques questions, vous achetez, si besoin, la pièce détachée qui vous fait défaut puis vous regardez la vidéo qui vous explique comment réparer vous-même votre appareil. Votre machine à laver est en panne? Vous saurez comment remplacer le hublot ou changer la courroie. Au total, une centaine de vidéos sont en ligne. Une vraie mine d’or. 

    Des fiches pratiques 

    www.sosav.fr: L’écran de votre tablette est cassé? La batterie de votre smartphone ne fonctionne plus? Ce site internet spécialisé dans la réparation des outils high-tech peut vous aider. Pour les modèles les plus connus, vous trouvez des fiches pratiques détaillées, en gros plan, pour tenter de faire la réparation vous-même.  

    Les forums d’entraide

    www.commentreparer.com: Sur cette plateforme entièrement gratuite, vous vous inscrivez, vous postez un message pour décrire votre panne et les autres internautes tentent de vous aider à trouver la solution. Les domaines les plus consultés: l'électroménager, le numérique et l'audio-vidéo. 

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  • http://www.terrevivante.org/uploads/Newsletter/Stage2015_1216.


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  • Encore Jouets pour Noël, une bonne idée pour un cadeau responsable

    Encore Jouets pour Noël, une bonne idée pour un cadeau responsable

      Encore Jouets est une entreprise familiale lancée en 2014 par Nina et Lionel Astruc.
    Une ancienne professeure des écoles et ex-photographe pour la presse de décoration s’est associée à son mari, écrivain-journaliste passionné de responsabilité sociétale, pour lancer un univers de jeu pour enfants. Le principe ? Une bande de lapins farceurs habite un éco-quartier composé de maisons écologiques modulables et de mobilier design.
       Ces jouets responsables sont composés de bois de hêtre massif, issu de forêts éco-gérés et certifié FSC. Ils sont fabriqués dans un petit atelier respectant des critères écologiques et sociaux. Les peintures et vernis à l’eau (Little Greene) décorent les jouets selon un travail manuel. Toutes les étiquettes, flyers et affiches sont imprimés sur du papier FSC avec des encres végétales.

      Mais ce n’est pas tout : chaque membre de la famille de lapins est unique et confectionné en coton bio, bordé à la main dans un atelier de réinsertion en Inde, dans lequel les couturières reçoivent un salaire leur permettant de soutenir financièrement leur famille.

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  • 2015    144 p.   16,90 €

      Pour vivre 100 % hexagonal

       C'est Arnaud Montebourg, alors ministre du Redressement productif, qui a lancé le mouvement, en octobre 2012 : priorité au "made in France" ! Défendre les savoir-faire, lutter contre la désindustrialisation du pays se doublent de préoccupations écologiques : acheter local, consommer différemment.

       Pour nous aider dans la jungle des marques et des produits, Céline Vautard part à la découverte de plus de 80 entreprises françaises, explorant tous les domaines (hors alimentaire) : mobilier, design, ustensiles, hygiène, cosmétique, sport, mode, univers des enfants... De grandes marques bien connues côtoient de petits éditeurs et fabricants encore confidentiels.
      En prime : interviews, focus et sites web malins.

    Made in France : un label très prisé à l'étranger

    Auteur de "Vivre made in France", la journaliste Céline Vautard est sur le plateau du Soir 3 pour évoquer le phénomène.

    Francetv info

    Mis à jour le 06/11/2015

    Le made in France a le vent en poupe et c'est toute l'économie française qui en bénéficie. Dans son livre "Vivre made in France", Céline Vautard décrypte 80 marques françaises spécialisées en la matière. Le made in France "demande de l'investissement et d'avoir derrière des ventes qui suivent", prévient la journaliste spécialisée dans l'économie durable.

    Le made in France semble plaire. Des marques historiques relocalisent, conscientes des bienfaits d'un mode un peu "dans l'air du temps". "Comme le bio, les gens s'intéressent à ce qu'ils consomment", note l'invitée du Soir 3, qui ajoute "ça donne aussi des idées à de nouveaux entrepreneurs qui sentent la mode du made in France".

    Des niches qui attirent les jeunes entrepreneurs

    Sophie la girafe, jouet pour enfant très connu, est un exemple typique du made in France. Depuis toujours, elle est produite en Savoie. "Le made in France est aussi un label qui permet d'exporter et qui est très prisé par les étrangers", ajoute Céline Vautard. Les jeunes entrepreneurs s'y intéressent. "Il y a des savoir-faire chez nous, des niches", assure la journaliste.


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  • Se changer

    2015    213 p.   8 €

      

      Ce sont des hommes d'une grande sagesse, réunis pour la première fois : un moine bouddhiste, un psychiatre, un agriculteur philosophe et un professeur de médecine. Face au mal-être contemporain, face à la crise de sens et aux désastres écologiques, ils proposent des remèdes. Après avoir discuté, dialogué, échangé, chacun a écrit un chapitre, fruit de son expérience, donnant au lecteur des pistes pour agir et des conseils pratiques. C'est en se changeant que l'on changera le monde.
     
      Christophe André est psychiatre. Depuis plus de vingt ans, il s'interroge sur les valeurs que chacun peut développer pour une vie meilleure (l'estime de soi, l'imperfection).

      Jon Kabat-Zinn est professeur émérite de médecine. Depuis trente ans, il se bat pour adapter la méditation au monde occidental. Il en a fait un outil de soin, scientifiquement validé. Après avoir conquis les hôpitaux, la pleine conscience est entrée dans les écoles et les entreprises.

      Pierre Rahbi le est le père de l'agro-écologie et défend, depuis plus de quarante ans, un monde plus respectueux de l'homme et de la terre. Par ses actions en Ardèche puis en Afrique et au Maghreb, par ses nombreux essais, il se bat pour une « sobriété heureuse ».

      Matthieu Ricard est moine bouddhiste. Il a passé sa vie dans l'intimité des plus grands maîtres spirituels.

      Ilios Kotsou, chercheur en psychologie des émotions, et Caroline Lesire, engagée dans la coopération au développement, ont coordonné ce travail. Ils présentent en fin d ouvrage une cinquantaine d'associations dans le domaine de l'éducation, de l'écologie, de la consommation, etc...

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  • http://www.terrevivante.org/488-bien-isoler-son-toit.htm?

    Indispensables préalables

    Vérifiez d'abord l'état de votre toiture. Si elle montre quelques signes de faiblesse, il est bien préférable de prévoir en même temps sa réfection pour plusieurs raisons. D'abord parce que cela vous permettra d'utiliser des isolants en vrac, moins élaborés et donc moins onéreux (voir la page Quel isolant choisir ?). De plus, refaire la couverture vous permettra de peaufiner deux détails primordiaux : mettre en place une seconde étanchéité sous la couverture et assurer une bonne ventilation entre ces deux éléments pour éliminer la condensation (voir dessin ci-dessous). Cela ne peut se faire qu'en intervenant par-dessus après dépose de la couverture. C'est un chantier important, plutôt réservé aux professionnels, qui nécessite des mesures de sécurité, une bonne organisation et de grandes bâches en cas d'intempéries.

    Laisser passer la vapeur d'eau     

                         Liège expansé, film pare-pluie, lame d'air et tuiles © Jean-Jacques Raynal
    Votre présence à l'intérieur de la maison génère d'importantes quantités de vapeur d'eau. Avec des isolants classiques, qui sont généralement peu respirants, on cherche à créer un barrière étanche en disposant un pare-vapeur du côté chaud de la paroi, la vapeur d'eau étant évacuée par la VMC (ventilation mécanique contrôlée). Dans les combles isolés, même avec une pose soigneuse, l'étanchéité est souvent défaillante (jonctions et raccords, perforations) et c'est là que l'humidité va se concentrer avec des dégâts potentiels importants.
     

    En rénovation écologique, la stratégie est très différente : vous n'utilisez que des matériaux respirants et les parois peuvent absorber de grandes quantités de vapeur d'eau sur toute leur surface - à condition que tous (parement intérieur, isolant, pare-pluie) respectent cette porosité. Le différentiel de pression dedans-dehors permet d'évacuer lentement vers l'extérieur l'humidité en excès. Pour optimiser ce transfert, il faut veiller à avoir une porosité croissante des différents matériaux de la paroi vers l'extérieur. Ou alors, il faut ajouter un film cellulosique freine-vapeur à l'intérieur (voir aussi la page Comment évacuer la vapeur d'eau ?)

    Surchauffes d'été

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  •    Permaculture : la nature reprend ses droits au potager

    Par Annie Lagueyrie mis à jour 16 juin 2015 

    Qu'est-ce que la permaculture? © Thinkstock

      Avec peu de travail et sans engrais ni pesticide, il est possible de créer un espace généreux... on se lance !

       Elaborée dans les années 1970, en réaction aux dégradations de l'environnement liées à l'agriculture de masse, la permaculture n'a jamais été autant d'actualité. Littéralement "permanent culture", au sens de durable, cette méthode est économe en temps de travail, eau et énergie. Elle n'utilise ni engrais ni pesticide, ne nécessite ni sarclage ni labour. L'idée consiste à s'inspirer du fonctionnement très efficace de la nature, notamment des forêts, pour tirer un bien meilleur parti de nos surfaces cultivées, dans le respect de l'environnement et de la préservation des ressources de notre planète. Voici comment l'adopter pour créer un potager, petit et généreux.

    Les cultures gagnent en hauteur

    Pourquoi s'arrêter à une culture au ras du sol, alors que, dans la nature, les plantes se développent sur plusieurs niveaux ? Voici un potager conçu sur trois étages.

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  •                                                           2015     96 p.    14,95 €

        Travailler avec la nature et non contre elle, telle est la force de la permaculture qui vous permet de décupler les possibilités de votre, jardin tout en réduisant vos efforts ! -Sans engrais chimiques ni pesticides d'aucune sorte, économe en eau et utilisant au mieux l'énergie solaire, voire jardin devient hautement comestible pour toute la famille, débordant de légumes et de fruits savoureux, d'herbes aromatiques niais aussi de plantes sauvages essentielles.

       Plus que respectueux de l'environnement, il favorise la vie d'une abondante saune très utile qui travaille avec vous, aussi bien dans le sol que sur les plantes. .Ne cherchez plus : la permaculture est la méthode qui vous manquait !

    Rédigé avec humour, cet ouvrage vous propose de découvrir toutes les techniques, les bons gestes, les astuces, les réflexes d'achat indispensables, les tours de main utiles pour jardiner sain et de manière économique…

    Tout cela sans vous raconter de salades !

      SOMMAIRE
    1/ LAISSER LE SOL TRAVAILLER
    observer : dans la nature on ne voit pas les jardiniers
    comprendre des "travailleurs" non déclarés
    applications : limiter les perturbations
    montage d'une butte
    jardiner en ville

    2/ FAIRE DES DECHETS DES RESSOURCES
    observer : la nature reste propre
    comprendre : des déchets biodégradables
    applications : boucler les cycles
    montage d'une lasagne (avec photos ! très bien fait là encore !)
    jardiner en ville

    3/ REPLANTER DES ARBRES
    observer : à l'origine était une forêt
    comprendre : les arbre et la nature
    application : Vers un jardin forêt
    jardiner en ville

    4/ UN JARDIN A ENERGIE SOLAIRE
    observer : une énergie gratuite et renouvelable
    comprendre toujours plus loin avec le soleil
    application : un plan bien conçu
    jardiner en ville

    5/ UNE ATTENTION PARTICULIERE A L'EAU
    observer : l'eau favorise l'abondance
    comprendre l'eau source de vie
    application : pour un jardin autonome en eau
    jardiner en ville

    6/ LA SANTE PAR L'EQULIBRE
    observer : la nature est toute belle
    comprendre : pullulation interdite
    application : cultiver la biodiversité
    Jardiner en ville

    7/ JARDINER AVEC LES ANIMAUX
    observer : sauvages et domestiques
    comprendre les fonctions animales utiles à l'homme
    application : du jardin à la ferme
    jardiner en ville

     
       Diplômée de l’Université de Bordeaux en Biologie, aménagement du territoire et écologie. Annie Lagueyrie est journaliste, spécialisée en jardinage. Elle collabore régulièrement à la revue Rustica et a écrit plusieurs ouvrages aux éditions Rustica dont:
       -Manuel du jardinage pour tous et
       -Mon premier potager.
    Elle est titulaire d’un Certificat de Permaculture.

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  •   (Guylaine GOULFIER)

    2012     191 p.    22,50 €

       Pour quelles raisons éviter de travailler le sol, de le mettre sens dessus dessous ?

      Quels sont réellement les bienfaits du compost ?

      A quoi peut bien servir le BRF (bois raméal fragmenté) au potager ?

      Y a-t-il vraiment de bonnes et de mauvaises associations de plantes ?

      Comment agissent les purins d'ortie et autres extraits de plantes ?

      Ce livre décrypte toutes les nouvelles pratiques du jardinage d'aujourd'hui et certainement de demain (mise en place de biomax, utilisation de JCAA ou thé de compost...).

      Ce faisant, il nous invite à partager une nouvelle façon de voir le sol, les plantes, le potager. Reposant sur des études scientifiques récentes, il offre une vision un rien révolutionnaire de ce monde passionnant encore à découvrir : si les plantes enrichissaient le sol et l'ameublissaient, si elles communiquaient entre elles et avec leur environnement, si elles savaient se défendre toutes seules contre les agressions...

      Il nous amène à reconsidérer le rôle du jardinier qui ne saurait tout contrôler mais devrait se contenter d'offrir aux plantes des conditions de culture qui leur permettent de déployer leurs multiples qualités et de croître harmonieusement.

       L'auteure se présente:

       Titulaire d'un BTS en Protection des Végétaux (je voulais être "docteur des plantes" avant de m'apercevoir que le diplôme me destinait simplement à vendre des pesticides), je suis journaliste et auteure spécialisée en jardinage.

      Mais attention, pas n'importe quel jardinage ! "Naturel", "biologique", qu'importe comment on l'appelle, j'ai à coeur de pratiquer et décrire des techniques de culture qui perturbent le moins possible les équilibres naturels : non travail du sol, arrêt de la fertilisation (même bio), mélange des plantes...
      Autant de pratiques en vogue actuellement. Peut-être un peu trop. Les purins d'orties nous sont présentées comme des panacées, l'apport de compost quasiment comme une obligation, l'association des plantes semble indispensable....
      Je déteste les diktats ! Et encore plus les recettes imposées sans qu'elles soient expliquées. En me basant sur mon expérience , je m'applique à tester et tenter de décrypter toutes ses nouvelles pratiques de jardinage.

      Parce qu'en fait, voilà ce qui importe : je suis avant tout une jardinière. Gourmande et curieuse ! Et avide d'échanger avec d'autres jardiniers curieux et gourmands


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