•    La chaîne de supermarché allemande Edeka distribue depuis quelques jours des sacs biodégradables qui font pousser des légumes. Chaque sac contient des graines de tomates, d'aubergines ou de poires. Il suffit de remplir le sac de déchets organiques comme des épluchures de légumes et de le planter.

      Il se nomme le FEEDitBAG. À première vue, il ressemble aux sacs plastiques classiques que l’on retrouve dans les rayons fruits et légumes des supermarchés. Et pourtant, il a une particularité. Entièrement biodégradable, ce sac, inventé en seulement 10 semaines et distribué par la chaîne de supermarché allemande Edeka, permet de faire pousser des légumes. 

    Concrètement, le consommateur peut mettre ses épluchures de légumes ou d'autres déchets organiques dans le FEEDitBAG et le planter directement sous terre. Ce dernier contient une pastille qui abrite plusieurs graines. Elles vont utiliser cette ressource pour se développer. La première version de ce sac contient des graines de tomates, aubergines et poires mais les consommateurs sont invités à voter sur le site internet du FEEDitBAG pour choisir d'autres graines.

    100 000 tonnes de déchets de sacs plastiques chaque année

    Un sac en plastique classique met plus de 450 ans à se décomposer. "Tout le monde parle des alternatives pour le plastique, mais les sacs pour les fruits et les légumes continuent d’être utilisés chaque jour. Nous avons pensé que si nous touchions les émotions des consommateurs, alors nous pourrions changer leur comportement", a déclaré le patron de l’agence Cheil, qui a participé à l’élaboration du FEEDitBAG. Plusieurs autres pays seraient intéressés par ce nouveau modèle.

    L’utilisation de sacs plastiques génère chaque année plus de 100 000 tonnes de déchets, polluant les océans et menaçant les espèces marines. Une étude publiée en janvier par une université belge a ainsi montré que les consommateurs des produits de la mer ingéraient chaque année jusqu’à 11 000 microparticules de plastiques. Chaque minute, dans le monde, l’équivalent d’un camion d’ordure de déchets plastiques est versé dans la mer. D’ici 2050, c’est près de quatre camions par minute qui pourront souiller les océans. 

    Marina Fabre @fabre_marina   
    © 2017 Novethic - Tous droits réservés


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  • 2017    368 p.   25 €
     
      Nos dirigeants ont-ils tiré les leçons de la crise financière mondiale de 2008 ? Une telle catastrophe peut-elle se reproduire ? De toute part, on se veut rassurant : les banques seraient mieux encadrées, plus solides... Et pourtant, moins de dix ans après le krach, la dette mondiale a été multipliée par quatre ! Pourquoi évoque-t-on la dette des Etats, mais jamais le surendettement, tout aussi préoccupant, du secteur privé ?
       Dans cet ouvrage détonnant, Lord Adair Turner livre un verdict implacable. Homme du sérail, économiste et financier, il devient président de l'Autorité des services financiers britannique quatre jours après la faillite de Lehman Brothers. "Je croyais comprendre les risques du système financier mais, sur certains points essentiels, je me trompais."
       Pour Turner, la croissance démesurée de la dette peut être considérée comme une forme de pollution économique illustrée par la spéculation immobilière et générée par un libéralisme économico-financier dont il pourfend l'irresponsabilité.
       Dès lors, des mesures beaucoup plus fermes doivent être prises pour que les Etats reprennent le contrôle de la dette : séparer les activités de marché des banques et les activités de dépôt, exiger que leurs actionnaires les recapitalisent à hauteur suffisante, contrôler les mouvements de capitaux. C'est à ce prix que le monde sortira du marasme économique dans lequel il est plongé.
       "En 2008, j'étais loin de me douter que je formulerais un jour de telles propositions", indique Lord Adair Turner. Son livre et sa postface à l'édition française sonnent comme un avertissement : si nous ne tirons pas les leçons des erreurs passées, les électeurs se tourneront vers les politiques "anti-élites" et "la victoire populiste de Donald Trump sera suivie de beaucoup d'autres".

       Lord Adair Turner, ancien dirigeant européen d'une banque américaine, a présidé l'Autorité des services financiers britannique de 2008 à 2013. Ancien directeur général de la Confédération de l'industrie britannique, et ancien président du Comité britannique sur le changement climatique, il est actuellement président de l'Institut pour une nouvelle pensée économique (Inet) et président de la Commission pour les transitions énergétiques. 

      Gaël Giraud est chef économiste de l'Agence Française de Développement (AFD) depuis janvier 2015. Directeur de recherche au CNRS, directeur de la chaire Energie et prospérité, il est l'auteur de plusieurs essais parmi lesquels

       -Illusion financière (Editions de l'Atelier, nouvelle édition, 2015).

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  • audio CD  22,57 €

     Ce n'est pas un livre mais un disque ! Nouvel album des frères Volo qui s'ouvre sur une mise en boîte de la production industrialisée de grands tubes internationaux. On appréciera la justesse de La crise sur nos comportements sociaux et J'hésite ravira les critiques des élites économiques européennes. On s'amuse bien avec Un gars honnête qui réinvente le hold-up (virez-moi tout ce que vous avez sur un compte aux Caïmans !) pour nous parler des questions liées à la dette. Et quelques autres titres encore, à découvrir.

      Christian Chavagneux 12/07/2017

      https://www.alternatives-economiques.fr//dix-ouvrages-a-emporter-bronzer-intelligent


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  • DVD de la maison 3E

     

      A commander sur http://heol2.org/nos-ouvrages/

    Ou par chèque, 27€ transport inclus à l’ordre de :
    La Maison Autonome
    Adresse : Route de Louisfert
    44520 Moisdon la rivière
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    Introduction

    Ecologique Economique Entr’aide

    Un document exceptionnel qui explique la construction de A à Z d’une maison en paille, terre, ossature bois, laine de mouton, puits canadien, chauffe-eau solaire, etc.

    Et qui vous donne l’idée de participer activement à construire partiellement ou totalement votre maison sans passer votre vie à la payer.

    De Patrick Baronnet – éditions La maison autonome


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  • 2013    252 p.   19 €

      Appels téléphoniques, SMS, chats, recherches Google, statuts sur Facebook : chaque jour nous communiquons des données sur nos fréquentations, nos opinions, nos habitudes, nos peurs, nos désirs ou nos pensées intimes, sans nous soucier de ce qu elles deviennent.

       Or ces informations privées sont enregistrées, stockées et peuvent facilement être analysées et exploitées. À l heure où nous échangeons de plus en plus via Internet, des systèmes de surveillance globaux se déploient pour tirer profit du nouvel or noir du XXIe siècle : les données personnelles.
     Internet, ce formidable outil d'émancipation, est-il en train de devenir le plus efficace instrument de contrôle jamais mis en place ?
      C'est la crainte de Julian Assange et de ses amis militants pour un Internet libre. Leur discussion, limpide et informée, nous ouvre les yeux sur les menaces qui pèsent aujourd hui sur nos libertés politiques et individuelles.
      Un livre à mettre entre toutes les mains.

       Julian Assange est le concepteur et le rédacteur en chef de Wikileaks. Il est le lauréat, en 2009,

    • du prix « nouveau média » d'Amnesty international et, en 2011,
    • du prix de la fondation Sydney pour la paix,
    • du prix Walkley pour le journalisme et
    • du prix Martha Gellhorn.   Il est l'auteur, avec Sulette Dreyfus, de

      -Underground (Éditions des Équateurs).


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  •  
                                                                                  2017      252 p.     12 € 

       La crise est l’expression d’un système économique capitaliste à bout de souffle, qui épuise le travail et la nature. Ce livre décrypte les causes de cette crise globale et pointe les raisons profondes de la permanence de cette situation. Dans ce nouvel ouvrage, Attac propose des voies pour une véritable sortie de crise en considérant que l’épuisement du système économique et social dominant constitue une opportunité historique pour opérer le basculement vers un système alternatif.

       La crise dure encore, alors qu’elle a éclaté depuis près d’une décennie. Elle est l’expression d’un système économique capitaliste à bout de souffle, qui épuise le travail et la nature.

       Ce livre décrypte les causes de cette crise globale et pointe les raisons profondes de la permanence de cette situation et de l’instabilité financière : les politiques d’austérité qui aggravent le chômage et les inégalités, les réformes néolibérales qui accroissent la précarité, et les injections massives de liquidité par les banques centrales qui alimentent les bulles spéculatives.

       Attac propose également des voies pour une véritable sortie de crise. L’épuisement du système économique et social dominant constitue une opportunité historique pour opérer le basculement vers un système alternatif. La mise en œuvre de ces alternatives ne dépend que d’une volonté politique qui aujourd’hui fait défaut. Or changer de modèle productif, mettre en œuvre la transition écologique, réduire le temps de travail, mettre la finance au service de la société constituent les voies d’une « bifurcation » pour laquelle de plus en plus de citoyens s’engagent.

    Coordonné par Jean-Marie Harribey, Michel Husson, Esther Jeffers, Frédéric Lemaire, Dominique Pliho

       Attac est une association qui milite pour plus de justice sociale et environnementale, et conteste radicalement le pouvoir pris par la finance sur les peuples et la nature.


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  •                                                             2015   128 p.  14,95 €

     Produire, conserver et préparer soi-même l'essentiel de son alimentation quotidienne permet à la fois de faire des économies, de redécouvrir le plaisir du fait-maison et de consommer davantage d'aliments sains et forts en goût.

      À la campagne comme en ville, faire pousser soi-même assez de fruits et légumes pour nourrir sa famille, installer un petit poulailler ou même quelques ruches dans son jardin, c'est possible et, surtout, ce n'est pas compliqué !

      Laissez-vous guider sur le chemin de l'autosuffisance alimentaire et découvrez une multitude d'astuces et conseils pratiques pour créer un jardin vivrier, mener un petit élevage, conserver les produits et apprendre à gérer vos provisions tout au long de l'année.   

      Spécialiste du développement local, de par sa formation et son expérience (Directeur de l’innovation rurale au Conseil départemental du Puy de dôme), Bernard Farinelli est un ardent défenseur des campagnes vivantes. Considéré comme un des principaux connaisseurs du phénomène des néos-ruraux, son intérêt pour le monde rural porte aujourd’hui sur l’économie locale, la relocalisation des échanges, les expériences de retour à plus d’autonomie au quotidien.
       Après  avoir tenu chaque samedi matin une chronique citoyenne sur France bleu Pays d’Auvergne durant plusieurs années, Bernard Farinelli, co-président de l’association « 3B » (bocages, bouchures, bourbonnais) s’engage pour la préservation de la haie et du bocage, dans le Bourbonnais où il réside, et ailleurs.


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  • 2017    144 p.   12 €

      75 % des variétés de semences ont disparu en un siècle. Or elles sont la base même de la vie. Comment expliquer, alors, que ce sujet crucial ait été si longtemps maintenu hors de portée et de compréhension du grand public ?
       La réglementation, il est vrai, est particulièrement complexe. Mais surtout, celui qui possède la semence contrôle toute la chaîne alimentaire. Détenir ce marché mondial représente des enjeux financiers colossaux.
      Cette appropriation du bien commun a commencé à se mettre en place, il y a plus de cinquante ans, avec les semences industrielles.

      Aujourd’hui, elle s’accentue avec les OGM et les « nouveaux OGM », privant des paysans du monde entier du droit élémentaire de cultiver leurs propres graines.
      Comment et pourquoi ce bien si précieux, qui devrait appartenir à tous, a-t-il été privatisé ?

      Quelles sont les conséquences avérées d’une telle logique ?

      Quels risques fait-elle courir à la nature, dont l’être humain est lui-même une composante ?

      Telles sont les questions, vitales pour notre avenir, abordées dans ce carnet.  

       Pierre Rabhi, agriculteur, est un essayiste, romancier et poète français, fondateur du mouvement Colibris. Il est l'auteur de plusieurs livres parmi lesquels

      -Manifeste pour la Terre et l'Humanisme (Actes Sud, 2008),

      -Vers la sobriété heureuse (Actes Sud, 2010),

      -Eloge du génie créateur de la société civile (Actes Sud, 2011),

      -La Puissance de la modération (Hozhoni, 2015).

       -Pour en finir avec la faim dans le monde (2017)


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  • La maison autonome, le livre

     

      A commander sur:  http://heol2.org/nos-ouvrages

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    Introduction

      6ème édition d´un livre qui vous fait « décoller »… en changeant de mode de vie ! Schémas, croquis, explications techniques pour être définitivement autonome en électricité, avec le soleil et le vent, en eau sanitaire, en eau potable, en eau chaude, en épuration et pour plus de moitié en alimentation.

      Pour sortir de la spirale des incohérences, une famille décide de vivre en harmonie avec ses convictions et aspirations profondes, tant dans les détails techniques que par la philosophie qui sous-tend leur action.

      Cela va dans le sens de l’évolution de l’homme : gérer en adulte cette boule bleue unique où nous vivons.


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  • 2017    350 p.   17 €

         Ce livre, dont on nous a dit le plus grand bien, arrive en français en août. Réjouissances.

      L'enquête de terrain d'Anna Lowenhaupt Tsing commence dans les forêts dévastées de l'Oregon aux États-Unis, où les grands pins ponderosas ont été coupés pour alimenter l'insatiable industrie du bois, et se termine dans celles du Yunnan, où la marchandisation fait des ravages dans les campagnes, après être passée par la Laponie et le Japon. Le sujet du livre ? Le matsutake, un champignon très cher au Japon qui ne pousse quasiment plus sur l'archipel nippon et qu'il faut donc importer. Anna Tsing va explorer les mondes que ce champignon éclaire ou même fabrique. Le matsutake n'est donc pas un prétexte ou une métaphore mais une loupe pour observer le monde.

       Les cueilleurs de l'Oregon sont des réfugiés d'Asie du Sud-Est, des vétérans des guerres américaines ne pouvant plus vivre en ville, des sans-papiers... Ce sont des précaires qui vendent chaque soir les champignons qu'ils ont trouvés. Pour l'auteure, la " précarité " n'est pas seulement un terme décrivant la condition des cueilleurs sans emploi stable ni aucun des avantages liés au salariat mais, avec celui de " ruines ", un concept pour penser le monde dans sa globalité.

       Anna Tsing montre comment le modèle de la plantation de canne à sucre au Brésil, en tout point opposé à une forêt de matsutakes, a été le modèle du capitalisme fordien aujourd'hui en train de disparaître. C'est dans les rapports entre le Japon et les États-Unis que le capitalisme s'est totalement réinventé depuis la Seconde Guerre mondiale, l'Europe ne jouant manifestement aucun rôle. Mais quelles seront les conséquences à terme de ces changements pour ce continent au-delà du seul problème dit des délocalisations ?

       Suivre les matsutakes mène aussi à une nouvelle manière d'apprécier la biologie et la science. Les champignons sont une espèce vivante si particulière qu'elle fait trembler les fondements de la biologie contemporaine. Ils révèlent aussi pourquoi la " science japonaise " et la " science américaine " ne coïncident pas.

       Anna Lowenhaupt Tsing est professeur d'anthropologie à l'université de Californie, Santa-Cruz, et à l'université Aarhus au Danemark.


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  •   

    2017    288 p.    19 €

      Stockés dans des décharges, éparpillés à la surface des océans ou dispersés en particules invisibles dans l'atmosphère, les déchets sont désormais des traces indélébiles de notre présence sur terre autant que des symptômes de la crise du monde contemporain.
       Après les avoir enfouis et brûlés, il est devenu impératif de les réduire, de les réutiliser, de les recycler. À l'heure de l'économie circulaire, cette promesse d'un monde sans restes rappelle un mensonge de la tribu Chagga, évoqué par l'anthropologue Mary Douglas : les mâles adultes de cette tribu affirment ne jamais déféquer !  

      Ce livre fait un point complet sur la problématique déchet : de l'invention des déchets, à leur devenir : élimination puis recyclage voire réutilisation. Mais, pour une grande partie d'entre eux c'est la dispersion dans la nature qui les attend, au point que l'auteur reprend volontiers le terme d'anthropocène pour décrire notre époque, "un monde plastique" né de la société de consommation.

      Comment y faire face ? Le plastique véhicule de dangereux polluants qui se sont immiscés partout dans les écosystèmes, au point que l'ensemble du vivant est contaminé. Stockés dans des décharges, éparpillés à la surface des océans ou dispersés en particules invisibles dans l'atmosphère, les déchets sont désormais des traces indélébiles de notre présence sur terre autant que des symptômes de la crise du monde contemporain.

       De même, ce livre montre que la quête de pureté et de maîtrise technicienne du déchet dans nos sociétés industrielles fabrique un aveuglement collectif. Il raconte comment Homo detritus, face cachée d'Homo œconomicus, a cru sauver la planète en " bien jetant ".

       Et si le déchet était la preuve tangible de notre incapacité à durer sur notre unique support de vie ?
      Un livre fort sur les impasses des approches " gestionnaires " de notre société du déchet.

      Baptiste Monsaingeon (né en 1983) enseigne au département de sociologie de l'université Paris 1. Chercheur postdoctoral à l'IFRIS, il est titulaire d'un master en philosophie et d'un doctorat en sociologie pour lequel il obtient, en 2009, la bourse doctorale de l'Ademe (Agence de l'environnement et de la maîtrise de l'énergie). La même année, il devient cofondateur de l'association Watch the Waste, et participe à la première expédition dédiée à l'identification de concentrations de débris plastiques en Atlantique Nord. Il est membre du bureau de l'association Worgamic, dédiée à la gestion des déchets organiques en ville. Il est également membre du conseil scientifique de l'exposition Vies d'ordures au Mucem, programmée pour l'été 2017 à Marseille.


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  • Un vieil Indien explique à son petit-fils que chacun de nous a en lui deux loups qui se livrent bataille. 
     

    Le premier loup représente la sérénité, l’amour et la gentillesse.

    Le second loup représente la peur, l’avidité et la haine.
     
    « Lequel des deux loups gagne ? » demande l’enfant.
                      « Celui que l’on nourrit » répond le grand-père.       
    Sagesse amérindienne

     


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  • Attac France

    21 ter rue Voltaire
    75011 PARIS     France     12/07/2017

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  • 2015      143 p.    19,50 €

        De nombreux projets à réaliser avec ce que la nature offre, saison après saison Vous allez découvrir combien il est facile de tirer profit des bienfaits naturels des plantes. Elles sont capables de nous aider à nous sentir bien, à avoir bonne mine et à passer toute l'année en bonne santé !

       Sof McVeigh présente une multitude de recettes faciles et d'astuces, qu'elle a toutes testées chez elle.  

      Vous découvrirez combien il est facile de tirer profit des bienfaits naturels des plantes. Elles sont capables de vous aider à mieux vous sentir, à avoir bonne mine et à être en bonne santé toute l'année !

      Ce livre comprend des recettes de gommages énergisants pour le corps et de baumes à lèvres hydratants, ainsi que de délicieuses confitures et gelées à base de baies que vous pouvez facilement trouver dans la nature.

      Il vous indique, pour chaque saison, les plantes à cueillir dans la nature ou à garder à disposition à la maison pour confectionner des remèdes bénéfiques ou de superbes cadeaux.

    Plus de 50 projets à réaliser, avec ce que la nature offre saison après saison :

    • Soupe à l'ortie et à l'oseille,
    • Gloss au chocolat,
    • Huile à la menthe,
    • Savon à la lavande...

     Pas besoin d'avoir la main verte pour se lancer dans la préparation des recettes !   L'ensemble de techniques et du matériel est bien précise. Pas de recettes superflues, elles répondent à des besoins quotidiens.


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  • 2016    412 p.    24,90 €

       Vous êtes parent et vous avez envie d'élever vos enfants différemment ? de changer certaines habitudes ? d'adopter un mode de vie plus naturel ou de transmettre vos valeurs concernant l'écologie ? 

      Ce guide alternatif, rédigé par des auteurs reconnus pratiquant leur spécialité au quotidien, vous aidera en douceur à passer le cap en matière d'alimentation, de santé, de décoration et de loisirs.

       Plus de 200 recettes, modes d'emploi, trucs et astuces pour faire grandir vos enfants de 0 à 10 ans dans un environnement sain et serein, et les entourer de bien-être. Au programme :

      - des recettes végétariennes et des conseils en nutrition pour prendre de bonnes habitudes alimentaires dès les premiers mois (menus gourmands et équilibrés approuvés par un diététicien) ;

      - les bienfaits de l'aromathérapie pour profiter des vertus des huiles essentielles, huiles végétales et hydrolats (soin et prévention des affections infantiles et renforcement du système immunitaire) ;

      -des idées créatives et tendance pour une chambre saine et zen grâce à des techniques naturelles et artisanales (meubles, objets déco et revêtements pour un espace de vie sans produits nocifs et risques allergiques) ;

       -des jouets écolos et rigolos réalisés à partir de matériaux recyclés à fabriquer ensemble pour s'amuser à plusieurs (bricolages inventifs et initiation ludique à l'esprit récup').

       Des réalisations faciles et peu coûteuses, des recettes inspirées, des solutions efficaces pour une vie de famille plus harmonieuse... Un ouvrage indispensable pour offrir le meilleur à vos enfants. 

     Recettes et modes d'emploi conçus par des auteurs (et blogueurs) spécialistes passionnés, véritablement engagés dans la recherche d'un mode de vie alternatif riche de changement et de mieux-être, vivant leur démarche dans leurs activités professionnelles quotidiennes, parmi lesquels Nathalie Boisseau, Anne-Laure Jaffrelo et Marie Laforêt.  

       Les guides de la collection Tout beau tout bio réunissent leurs meilleures pages consacrées aux enfants en un volume dédié au bien-être des 0-10 ans.


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  •                                                               2017    136 p.   10€ 

       Encore un livre sur les déchets ! Malheureusement le sujet est toujours d'actualité et prend une dimension catastrophique, là où nous l'attendions le moins : dans l'immensité de nos océans, berceau de la vie sur Terre.

    L'auteur fait principalement l'état des lieux des déchets plastique dans les océans : origine, statistiques, conséquences sur la faune aquatique mais aussi notre santé !

      Un très bon moyen, accessible (seulement 10 euro) pour s'informer, remettre en question nos habitudes et oeuvrer pour un monde plus propre.

       Nous regrettons une mise en page trop condensée et un optimisme un peu candide sur les solutions envisagées pour nettoyer les océans. Aujourd'hui, malheureusement, il est impossible de nettoyer les océans des micro-plastiques qui forment les "continents de déchets". Mais il est tout à fait possible de ne plus y contribuer ! Et c'est aussi l'objet de cet ouvrage.
       Il amène ainsi à de nouveaux comportements à propos de l'achat ou de l'utilisation de produits en plastique. Ce livre salutaire écrit pas un enseignant, doit être transmis aux générations futures pour renouveler les consciences et sauver notre planète.

        Jacques Exbalin a été enseignant et formateur en développement durable pendant 42 ans. Actuellement, il fait des conférences dans toute la France en milieu scolaire et associatif sur le réchauffement climatique et les déchets ménagers.


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  •                                                                2017    119 p.   10€

       Notre société est celle du changement. Au fur et à mesure des évolutions technologiques, sociales, politiques et économiques, de plus en plus de questions se posent, qui nous concernent tous. Nous sommes nombreux à y réfléchir et à chercher des pistes concrètes pour agir, chacun à notre échelle.
      Mais par quoi commencer ? Ecologie, alimentation, travail, bénévolat... Qu'est-ce qui est le plus important ? Comment être sûr de faire les bons choix, pour soi, pour les autres ?
      Ce livre a pour objectif d'apporter des réponses et des solutions pour se mettre en mouvement vers un avenir meilleur. Parce que la possibilité que nous puissions vivre dans un monde plus juste et plus durable dépend des choix et des actions quotidiennes de chacun d'entre nous. Ensemble, faisons les bons choix dès aujourd'hui pour construire le monde de demain !

       Bernard Farinelli est directeur de l'innovation rurale au Conseil départemental du Puy-de-Dôme et auteur de nombreux ouvrages. Il travaille sur les questions de l'économie locale, de l'autonomie et du changement citoyen et est considéré comme l'un des spécialistes du monde rural et notamment du phénomène des néo-ruraux.  

       Philippe Bertrand anime depuis dix ans l'émission Carnets de campagne qui attire chaque jour plus d'un million d'auditeurs sur France Inter.


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  •  Peut-on dire que nous avons apporté la culture aux Arabes, eux qui ont conservé pour nous les traditions grecques pendant le moyen âge ?

    « Lettre à Jean Giraudoux » (1940), dans Écrits historiques et politiques, Simone Weil, éd. Gallimard, 1960, p. 362

       L'hitlérisme consiste dans l'application par l'Allemagne au continent européen, et plus généralement aux pays de race blanche, des méthodes de la conquête et de la domination coloniales.

    « À propos de la question coloniale dans ses rapports avec le destin du peuple français » (1943), dans Œuvres, Simone Weil, éd. Gallimard, 1999, p. 431

     

      Si l'on admire l' Empire romain, pourquoi en vouloir à l'Allemagne qui essaie de le reconstituer, sur un territoire plus vaste, avec des méthodes presque identiques ?

    L'enracinement: prélude à une déclaration des devoirs envers l'être humain (1949), Simone Weil, éd. Gallimard, 1960, écrit en 1943, p. 127

     

      L'Église commet un abus de pouvoir quand elle prétend contraindre l'amour et l'intelligence à prendre son langage pour norme. Cet abus de pouvoir ne procède pas de Dieu. Il vient de la tendance naturelle de toute collectivité, sans exception, aux abus de pouvoir.

    Mon dialogue avec Simone Weil, Joseph-Marie Perrin, Simone Weil, éd. Nouvelle Cité, coll. « Rencontres », 1995  p. 172

     

      Le mot de révolution est un mot pour lequel on tue, pour lequel on meurt, pour lequel on envoie les masses populaires à la mort, mais qui n'a aucun contenu.

    Réflexions sur les causes de la liberté et de l'oppression sociale (1934), Simone Weil, éd. Gallimard, coll. « Folio essais », 1955, p. 39

     

      Pour apprécier les partis politiques selon le critère de la vérité, de la justice, du bien public, il convient de commencer par en discerner les caractères essentiels.
    On peut en énumérer trois :
    Un parti politique est une machine à fabriquer de la passion collective.
    Un parti politique est une organisation construite de manière à exercer une pression collective sur la pensée de chacun des êtres humains qui en sont membres.
    La première fin, et, en dernière analyse, l'unique fin de tout parti politique est sa propore croissance, et cela sans aucune limite.

    Note sur la suppression générale des partis politiques (1940), Simone Weil, éd. Flammarion, coll. « Climats », 2017 p. 28  

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  • 2014     160 p.    22 €

       Mode de culture mais aussi philosophie de vie, la permaculture est fondée sur une fine observation de la nature avec un objectif de grande productivité. Ce guide, irrigué par l'expérience de pionniers ayant expérimenté cette démarche en France et en Belgique, nous initie à ses méthodes.
    Pour des récoltes abondantes, y compris en ville !

    Extrait de l'introduction

    Des jardiniers et des agriculteurs se réclamant de la permaculture, des stages ouverts à tous en France et dans le monde... En quelques années, ce mouvement, venu des pays anglo-saxons, a gagné de l'ampleur, apportant des réponses nouvelles à ceux qui voulaient inventer une société moins dépendante du pétrole ou simplement retrouver un lien avec la nature en cultivant leur jardin.
    Dans un monde de plus en plus mécanisé, artificialisé, la permaculture offre une approche neuve, résolument écologique, qui prend la nature comme modèle et favorise la biodiversité en s'intéressant aux interactions entre les espèces, en créant des mares, des haies fruitières, des forêts comestibles... Et le plus souvent, cette approche donne des résultats étonnants dans les jardins : haricots ou courges grimpant à l'assaut des arbres, légumes et plantes aromatiques s'épanouissant sous les pruniers ou les cerisiers... Idéal pour ceux qui veulent produire eux-mêmes leur nourriture, même sur de petites parcelles !

    Un mouvement venu d'Australie

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  • Cher·e adhérent·e,

    Vous l’attendiez, le voilà ! Le programme (https://www.esu2017.org/spip.php?page=programme&pk_campaign=Infolettre)  de l’Université d’été européenne des mouvements sociaux qui aura lieu à Toulouse du 23 au 27 août est en ligne !

    Au menu, de grands forums-débats dans lesquels interviendront des personnalités militantes et intellectuelles venues des quatre coins de l’Europe et du monde. Mais aussi une centaine d’ateliers et de séminaires portant sur des sujets aussi variés que l’écologie, la finance, le droit du travail, les migrations, les luttes féministes et queer…

    La culture aura également une place importante au sein de cette Université d’été ; car la convivialité, la découverte et l’art sont les éléments nécessaires d’un autre monde qui reste à construire.

    Pour passer à l’action, des formations pour les activistes en herbe vous seront proposées. Vous y trouverez toutes les ressources nécessaires pour mettre en place les actions créatives, désobéissantes, durables et nécessaires pour mener à bien les luttes à venir !

    Organisez votre venue à Toulouse

    L’équipe du comité local d’Attac Toulouse vous a préparé tout ce qu’il faut pour préparer votre venue à Toulouse. Toutes les infos pratiques sur le transport, l’hébergement et l’alimentation sur place sont disponibles dans la rubrique « Infos pratiques » (https://www.esu2017.org/fr/infos-pratiques/?pk_campaign=Infolettre) du site web de l’évènement.

    Il reste encore des places au camping ou en hébergement militant, si vous souhaitez en bénéficier, penser à demander une place ici. (https://www.esu2017.org/fr/infos-pratiques/article/hebergement?pk_campaign=Infolettre)

    Aidez à la réussite de l’Université d’été

    Réussir l’Université d’été européenne des mouvements sociaux ne serait pas possible sans l’aide de nombreux·ses bénévoles. Les tâches disponibles sont multiples et accessibles à tou·te·s. Si vous souhaitez nous aider à faire de cet événement un succès populaire et militant, rejoignez notre équipe de bénévoles dès maintenant.

      (https://www.esu2017.org/fr/je-participe/article/je-deviens-benevole?pk_campaign=)

    Nous lançons également un appel à don spécial Université d’été européenne des mouvements sociaux 2017.
    Les recettes seront notamment utilisées afin d’inviter des intervenant·e·s du monde entier, de proposer des activités variées pour tous les publics, et finalement pour faire de l’Université d’été européenne à l’initiative des Attac d’Europe et accueillie par Attac France, LE lieu d’échange, de propositions et de mobilisation de l’altermondialisme et des mouvements sociaux en Europe.
    Chaque contribution compte et votre soutien sera une fois encore précieux !

    Passez le mot autour de vous !

    Grâce au bouche à oreille, vous êtes déjà des centaines à vous être inscrit·e·s pour l’Université d’été européenne des mouvements sociaux. Mais nous pouvons (et devons) être encore plus nombreux·ses ! N’hésitez pas à en parler à vos amis et à les inviter sur la page Facebook, « ESU2017 », à suivre le compte Twitter, @SummerUniv2017, et à utiliser le hashtag de l’évènement, #ESU2017.

    On parle de l’Université d’été chez nos partenaires média :

    • > « Débattons, résistons, agissons : l’Université d’été des mouvements sociaux se tiendra à Toulouse » sur Basta !
    • > À venir, une interview d’Aurélie Trouvé sur Reporterre
    • > Dans l’agenda d’Alternatives économiques
    • > Sur Mediapart

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  • 2017   120 p.  14 €

       Comment récolter 300 kg de fruits et légumes dans 150 m² ? Joseph Chauffrey invite les lecteurs dans son jardin urbain. Il leur dévoile, pas à pas, comment transformer leur jardin en un lieu vivant et ultra-productif grâce à la permaculture. Il cultive un potager de 25 m² et un verger, et optimise les moindres espaces disponibles (sur le toit du garage, bottes de paille sur la terrasse, cultures verticales…). Il propose des solutions accessibles et rapides, visibles dès la première année. Plus qu'un témoignage, une véritable expérimentation, dans un but d'autosuffisance et selon une démarche scientifique. 
     

       Joseph Chauffrey est éducateur à l'environnement pour la Métropole Rouen-Normandie : il forme et anime des réseaux de jardiniers, et travaille avec les professionnels des espaces verts sur les problématiques de végétalisation des villes. 

    Exploit : dans son micro-jardin, Joseph produit 300 kilos de légumes

    Pour rentabiliser chaque mètre carré de son petit jardin, Joseph a multiplié les astuces. Il a réussi à y caser un potager, un verger, une mare, une serre et à y faire pousser une centaine de fruits et légumes différents.http://tempsreel.nouvelobs.com/rue89/rue89-planete/2

    Thibaut Schepman Thibaut Schepman   25 juillet 2015
    Le jardin de Joseph, Sotteville-ls-Rouen, le 10 juillet 2015
     Le jardin de Joseph, à Sotteville-lès-Rouen, le 10 juillet 2015 - Thibaut Schepman/Rue89

    (De Sotteville-lès-Rouen, Seine-Maritime) Un coin de gazon, quelques rangs de légumes, une petite serre. Vu de la rue, on pourrait croire qu’on passe devant un jardin comme un autre, cultivé depuis quelques décennies par un gentil papi consciencieux. On aurait tout faux.

    L’autonomie ?

    Joseph ne cultive ni pommes de terre, ni ail, ni endives. Il n'est donc pas autonome à 100%. «  Par contre, on a encore des courges et des petits pois de l’an dernier, on est capables de faire le tour de l’année, d'avoir des légumes pendant la saison la plus dure, vers mars et avril. »

    Le jardinier note tout, avec une rigueur impressionnante : « Je pèse tout ce qui sort de mon jardin et je compile dans un tableau Excel (voir ci-dessous). Ça me permet de tirer des conclusions, de ne rien oublier. »

    Joseph Chauffrey et sa compagne ont emménagé à Sotteville-lès-Rouen – à quelques minutes en métro du centre-ville de Rouen (Seine-Maritime) – il y a quatre ans. A l’époque, ils étaient presque néophytes et une bonne partie du jardin actuel était bitumée.

    Depuis, cet espace de 150 m² est devenu un micro-jardin hyper-productif.

    On y trouve un potager de 25 m2, un verger de 10 m2 mais aussi une mare et une serre minuscules.

    En 2014, 252 kilos de plus d’une centaine de fruits et légumes différents ont été récoltés ici.

    Lire la suite...


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  • Guide familial de la vie bio (Nathalis COUSIN)

    2008   29 p.

       Maisons, santé, enfants, cuisine, beauté, animaux de compagnie, jardin, écocitoyenneté... ce guide explore tous les domaines de la vie quotidienne et offre une mine d'astuces pour vivre sainement !

       Il propose des solutions saines, naturelles, intelligentes afin de prendre soin de soi, de sa famille, de son cadre de vie et de la planète.

      Entretenir son capital santé en pratiquant des activités physiques bien pensées et en ayant recours à des produits naturels.

      Adopter des comportements simples, bénéfiques pour tous, comme utiliser produits et recettes naturels de type huile essentielle, citron, savon noir, vinaigre blanc, huile de lin plutôt qu'eau de javel.

       Ou fermer le robinet en se brossant les dents, récupérer l'eau de pluie, privilégier dans la cuisine une huile végétale riche en oméga 3, consommer des pâtes non raffinées ou encore découvrir les vertus des mauvaises herbes du jardin...

       Ce livre offre réellement une foison d'astuces pour bien vivre en harmonie avec son environnement.

        Nathalie Cousin est journaliste dans le tourisme, spécialisée sur le patrimoine français, depuis 1980, naturopathe et auteur.

       Elle a suivi une formation en naturopathie au Cenatho à Paris, pendant 4 ans et une formation à l’hypnose thérapeutique à l’École Centrale d’Hypnose de Dany Dan Debeix à Paris.

        Nathalie Cousin a commencé à écrire des ouvrages et des articles pour participer à faire connaître les bases d’une meilleure santé, d’un meilleur équilibre.

        Mère de deux enfants, elle vit dans la Touraine.


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  • 2016    230 p.    22,46 €

       Ouvert au printemps 2000 par Olivier Pinalie, le « Jardin solidaire » de l'impasse Satan, à Paris dans le xxe arrondissement de Paris, est vite devenu une respiration dans ce quartier populaire de la capitale. Dans ce livre, il raconte lui-même ce lieu pour lequel il n'avait d'autres ambitions que de créer un jardin ouvert à tous, pour la promenade comme pour la plantation, mais qui est vite devenu un poste d'observation de la vie du quartier. On voit la débrouillardises des jardiniers autoproclamés, des jeunes du quartiers qui viennent passer un moment. On sent aussi les mutations qui s'amorcent, la gentrification qui point, les politiques qui prennent ombrage de ce lieu à l'autogestion joyeuse.

        Olivier Pinalie, est né en 1964 à Paris. Il est artiste plasticien autodidacte, peintre et graveur. En 2000, il crée le Jardin solidaire, qui l'occupe pendant cinq ans. Il est aussi l'auteur d'

       -Un dimanche de la vie, la révolution espagnole, 1936-1939.


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  • Réseau Sortir du Nucléaire

    Depuis 2005, L’Autorité de Sûreté Nucléaire savait que les procédures de fabrication de la cuve de l’EPR de Flamanville comportent de graves manquements. (http://www.sortirdunucleaire.org/article50957http://www.sortirdunucleaire.org/article50957 )

      Or, la cuve est une pièce maîtresse d’un réacteur nucléaire. L’ASN avait à l’époque averti EDF et Areva des risques encourus, mais ces derniers ont tout de même lancé sa construction.

      Le gendarme du nucléaire doit rendre un avis définitif sur la question en septembre prochain mais subit une pression considérable de la part d’EDF, d’Areva, de l’État français et même de la Commission Européenne dans l’optique de faire homologuer cette cuve défectueuse. C’est dans 6 jours que se réunit le prochain groupe d’experts mandaté par l’ASN.

      Empêchons les intérêts de l’industrie nucléaire de l’emporter sur la sécurité de chacun.e d’entre nous, mettons la pression sur l’ASN pour qu’elle refuse d’homologuer cette cuve !

       Cette pétition sera remise à l’ASN lors du Groupe permanent d’experts pour les équipements sous pression nucléaires les 26 et 27juin.

      Pour signer la pétition:

      http://sortirdunucleaire.org/Petition-cuve-EPR?origine_sujet=EPR201706


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  • L’AlterVillage met le cap sur la Bretagne !Les inscriptions sont ouvertes    

     
     
     

    Évènement 19 juin 2017

     
     

    Cher·e adhérent·e,

    L’édition 2017 de l’AlterVillage aura lieu du 27 juillet au 3 août, à la « Cidrerie du Golfe » , près de Vannes dans le Morbihan.  Pour s'inscrire:

       https://france.attac.org/agenda/article/l-altervillage-met-le-cap-sur-la-bretagne?pk_campaign=Infolettre-969&pk_kwd=france-attac-org-agenda-article-l

    C’est à l’ombre des pommiers (bio), abritant aussi concerts et événements culturels, que l’AlterVillage d’Attac installera son campement éphémère. Rendez-vous pour sept jours de créativité, de formation militante, de mixité générationnelle, d’enrichissement mutuel et de convivialité !

    Depuis 10 ans, ce village éphémère alternatif, autogéré et autofinancé, accueille une centaine de participant·e·s d’Attac et d’ailleurs. Tour à tour cuisinier·ère, distributeur·trice de parole, porteur·euse de savoir, barman·aid, musicien·enne… les altervillageoi·se·s œuvrent et s’organisent au sein de cet espace collectif.
    Une semaine pour échanger, réfléchir, découvrir des alternatives socialement et écologiquement innovantes. Ici, chacun·e est porteur·euse d’expériences, de savoirs et savoir-faire à partager.
    Un lieu d’éducation populaire, pour se former à des techniques militantes, pratiquer, gagner en efficacité, et tout cela dans la bonne humeur.
    Une pause pour se ressourcer, se rencontrer et repartir dans nos comités locaux, nos quartiers, nos campagnes... chargé·e·s à bloc pour l’année !

    Programme

    Au programme de cette dixième édition, ateliers pratiques, d’auto-formation et d’échange de savoirs sur des thèmes variés portés par les participant·e·s : théâtre forum, désobéissance civile, luttes sociales, ZAD, extractivisme, clown-activisme, climat, communication non-violente, féminisme, démocratie, manif de droite, permaculture, logiciel libre etc. Sans oublier les ciné-débats, conférences gesticulées, concerts et autres soirées en musique, où l’on refait le monde, on chante, on danse, on rit…

    Certains thèmes vous intéressent ? Vous souhaiteriez en proposer d’autres ? Participez à leur (co)animation/préparation !
    Nul besoin d’être un·e expert·e ou un·e grand·e conférencier·e ... Contactez-nous !

    Nous co-construisons un programme pour les « petits », n’hésitez pas à amener idées et matériel (jeux, crayons, récup de papier, livres, déguisements etc...) et nous faire des propositions d’animation.

    Le programme jour par jour sera prochainement accessible sur le site d’Attac et le blog de l’AlterVillage 'https://blogs.attac.org/altervillage/?pk_campaign=Infolettre-969&pk_kwd=blogs-attac-org-altervillage).

    Accueil et organisation sur place

    Nous vous accueillerons dès jeudi 27 juillet à partir de 9 h pour l’installation des tentes, l’auberge espagnole, l’apéro cidre & la première plénière « fonctionnement ». L’après-midi du jeudi et le vendredi seront consacrés à l’aménagement du site. Suivront quatre jours d’ateliers, d’animations et de surprises. Et nous clôturerons cette dixième édition le jeudi 3 août après un dernier repas pris ensemble, et avoir rangé le site.

    La forme principale d’hébergement se fera sous la tente ou dans son véhicule (camping car, camion, yourte, tipi ...), dans et autour du verger. N’hésitez pas à nous contacter si vous ne pouvez pas dormir en tente.

    Enfin, l’AlterVillage souhaite contribuer au renforcement du réseau local alternatif, en adoptant une cuisine bio et locale, en mettant en place des partenariats et en mobilisant les forces vives de la région.

    Un événement non pas que l’on consomme mais que l’on (é)co-construit, ensemble…

    Et parce que 10 ans ça se fête, n’hésitez plus et rejoignez-nous !

    Retrouvez toutes les informations sur l’AlterVillage sur le site d’Attac France :

    Au plaisir de vous y retrouver !

    L’équipe de préparation de l’AlterVillage 2017

     


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  • 2016   413 p.  12€

       Sur  la terre, aucune liberté ne s'obtient sans souffrance et sang versé. Là réside une des lois les plus constantes de l'histoire humaine. Mais aucune liberté ne se gagne sans amour agissant, sans une solidarité profonde entre les peuples. Ce livre tente de retracer l'histoire et de montrer les pratiques et les théories des mouvements armés de libération nationale du Tiers Monde.

       Les nationalistes révolutionnaires d'Afrique, d'Asie ou d'Amérique latine - leurs combats, leurs victoires, leurs sacrifices - modifient profondément le paysage politique et social de notre planète. Ils bouleversent les rapports entre classes de nombreux pays et changent, sur plusieurs continents, l'équilibre entre les deux superpuissances. Pourtant, ces mouvements armés de libération demeurent très mal connus en Occident. Idéalisés, ou bien relégués au rang de "terroristes" quand il mènent les combats, ils sont souvent perçus comme les simples instruments d'une superpuissance quand, leur victoire acquise, ils tentent de bâtir un Etat.

       Il faut faire un sort à ces naïvetés et à ces calomnies. En cette fin du XXe siècle, alors que l'oppression policière, le cynisme des grandes puissances ou les tyrannies de la faim ravagent l'existence de millions d'hommes et de femmes, les nationalistes révolutionnaires du Tiers Monde tentent de mettre en oeuvre des principes d'autonomie politique, d'autosuffisance économique, de liberté et de justice, qui répondent aux désirs les plus irrépressibles des hommes.

       Où en cette grande espérance ? Quelles leçons pouvons-nous tirer - pour notre propre liberté - de ces combats lointains ? Jean Ziegler, familier du Tiers Monde, raconte ici une épopée mal connue chez nous. Il esquisse avec une générosité vibrante mais lucide un bilan mondial du demi-siècle.

      Rapporteur spécial de l’ONU pour le droit à l’alimentation (2000-2008), Jean Ziegler est actuellement vice-président du comité consultatif du Conseil des droits de l'homme de l'ONU. Il a notamment publié

         -La Haine de l'Occident,

        -Retournez les fusils! et

        -Les Nouveaux Maîtres du monde.


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  • 2017    128 p.   12 €

       Afin de justifier l’agriculture intensive, certains nous expliquent que, depuis cinquante ans, la faim dans le monde a diminué. Et qu’il est impossible de nourrir 7 milliards d’humains grâce aux techniques respectueuses de l’environnement.
       Comment justifier qu’aujourd’hui des enfants, des femmes et des hommes meurent encore de faim ? Et surtout, comment mettre un terme à ce délit collectif insoutenable ?
       Entre surabondance et pénurie, le système alimentaire mondial actuel est en échec. Pour faire face à l’augmentation de la population et à la dégradation de l’environnement, des choix urgents s’imposent.
      L’agroécologie, qui ne requiert aucun pesticide chimique, est parfaitement adaptée à la condition souvent précaire des paysans.    Elle est la solution pour, enfin, éradiquer la faim dans le monde.
       Issu d’une enquête approfondie, ce livre propose des solutions. Car il est possible de nourrir tous les enfants que porte notre Terre.  

       Agriculteur, écrivain et penseur français d'origine algérienne, Pierre Rabhi est l'un des pionniers de l'agroécologie. Il est l'auteur de nombreux ouvrages dont:

       -Semeur d'espoirs avec Olivier Le Noire (Actes Sud, 2013) et

       -Vers la sobriété heureuse (Actes Sud, 2010)


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  • Power to Change

    Titre original: Power To Change - Die EnergieRebellion

    Date de sortie 11 janvier 2017 (1h 30min)
    De Carl-A. Fechner
    Avec acteurs inconnus
    Genre Documentaire
    Nationalité allemand
    Distributeur Jupiter Films

    Synopsis et détails

       POWER TO CHANGE - La Rébellion Énergétique présente une vision d’avenir : un système de fourniture d’énergie démocratique, durable et d’un coût abordable, à partir de sources 100% renouvelables.
      Le film nous entraîne dans un voyage à la découverte d’un pays où des centaines de milliers de personnes — les rebelles d’aujourd’hui — transforment cette vision en une réalité concrète. Des pionniers combatifs, des bricoleurs amateurs, luttant pour la révolution énergétique grâce à des technologies innovantes et surprenantes. Passionnés et pleins d’espoir, ils acceptent les revers et célèbrent leurs succès.
      L’avenir de l’Énergie du Monde est lié à des sources décentralisées et propres, 100% renouvelables. Ce film est un plaidoyer impressionnant pour une mise en œuvre rapide de la révolution énergétique.

    Secrets de tournage

    Faire bouger les lignes

    Power To Change : la Rébellion Énergétique est le premier film de Carl-A. Fechner depuis 2010 et La 4e Révolution, déjà centré sur les énergies renouvelables. "Lorsque nous avons réalisé le film La 4e Révolution, il y avait un sentiment d’euphorie qui reflétait le développement incroyable des énergies renouvelables à l’époque, principalement solaires. Puis il y a eu depuis une régression. Le film nous avertissait déjà que les opérateurs des centrales nucléaires et au charbon, qui gagnent des millions d’euros de bénéfices, ne laisseraient pas le changement se produire sans résistance. Et c’est exactement ce qu’il s’est passé", explique le réalisateur. "Nous avions donc le sentiment qu’il nous fallait agir pour contrecarrer ce mouvement de régression. C’est ce que nous cherchons à faire dans le film Power To Change".

    L'exemple de l'Allemagne

    Power To Change : la Rébellion Énergétique se concentre sur le modèle allemand pour étayer son argumentaire, le pays étant déjà fortement engagé dans une politique d'énergie renouvelable à grande échelle : "Nous aurions tout aussi bien pu prendre les USA. Mais en faisant abstraction du battage publicitaire à ce sujet, en réalité la part des énergies renouvelables dans la production d’énergie totale des USA, ne dépasse toujours pas les 13%. Ici en Allemagne, nous en sommes déjà à 33%. En Allemagne, nous avons vu qu’il existait une grande variété et un grand nombre d’engagements concrets en faveur de cette révolution énergétique", indique Carl-A. Fechner.

    Ambition et exigences

    Carl-A. Fechner voulait réaliser bien plus qu'un film documentaire : "Nous voulions réaliser un documentaire qui ressemble à un long-métrage classique, car j’apprécie particulièrement les images fortes et mémorables. Et nous avons pris beaucoup de temps - sept mois - pour le monter. Nous avons choisi l’Orchestre philharmonique de Prague pour la musique du film, ce qui a été un grand moment pour moi", résume le cinéaste.

    Film unique

    Power To Change : la Rébellion Énergétique a été monté sans financement public ni subventions officielles, mais seulement grâce à des sponsors et des collaborateurs. Ce choix fait suite au refus des subventions pour La 4e Révolution, qui a ensuite connu un éclatant succès en salles, aussi bien en Allemagne que dans le monde. "Nous avons cherché à avoir le financement le plus dispersé et indépendant possible en utilisant autant de sponsors différents que possible, et qui n’avaient du coup aucune influence sur le contenu du film. C’est la première fois qu’un projet de film de ce genre est lancé et co-financé par le grand public", explique Carl-A. Fechner.

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  • couverture

    2015    270 p.   18 €

      

    Les hommes-lézards dirigent-ils le monde en secret ?
    Le concombre espagnol est-il un serial killer ?
    La laïcité est-elle, comme le pot-au-feu, une spécialité française ?
    Votre supermarché vous connaît-il mieux que vos parents ?

    Face à la complexité du monde, cet ouvrage, drôle, original, accessible et intelligent, propose en neuf chapitres une véritable initiation à l'esprit critique. Du discours des complotistes à celui des publicitaires en passant par ceux des politiciens, des scénaristes de séries télé, des pseudo-scientifiques ou des extrémistes de tout poil, il nous invite à décrypter toutes les formes de rhétorique susceptibles de nous influencer.
    Un livre essentiel, à l'usage des jeunes générations, mais aussi de tous ceux qui souhaitent combattre efficacement langue de bois, intox, raccourcis, amalgames, fausses rumeurs et psychoses en tout genre.

       Née en 1980 dans le sud de la France, Sophie Mazet a fait ses classes préparatoires littéraires à Toulouse avant d'intégrer l'École normale supérieure de Cachan. Agrégée d'anglais, elle choisit de se consacrer à l'enseignement secondaire et donne des cours depuis 2007 dans un lycée de Seine-Saint-Denis classé ZEP. Le 8 mars 2015, le ministère de l'Éducation nationale salue la création de ce " cours d'autodéfense intellectuelle " et lui remet les Palmes académiques.


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  • Antoine de Ravignan    01/06/2017   Alternatives Economiques n°369

      Face aux dégâts infligés par le modèle agricole actuel, la ferme France aurait intérêt à se convertir massivement au bio. Mais cela implique aussi de manger autrement.

      Quelque chose ne tourne pas rond dans nos assiettes. Elles sont remplies par des agriculteurs qui bénéficient année après année d’environ 9 milliards d’euros d’aides publiques, via la politique agricole commune. Ces soutiens, qui représentent 80 % du revenu des 297 000 exploitations dites "professionnelles"1, sont certes nécessaires. Dans un contexte de marchés ouverts et dérégulés, où les prix mondiaux sont trop faibles pour rémunérer la plupart des productions, ce sont des pans entiers de l’agriculture qui s’effondreraient en leur absence, et avec eux la sécurité alimentaire du pays. Mais l’argent du contribuable est loin d’avoir pour contrepartie une alimentation dont les conditions de production répondent à l’intérêt commun. Cette question devrait être au coeur des très attendus Etats généraux de l’agriculture et de l’alimentation prévus par le nouveau président.

    L’argent du contribuable est loin d’avoir pour contrepartie une alimentation dont les conditions de production répondent à l’intérêt commun.

    En premier lieu, les subventions ne permettent pas de maintenir l’emploi. De 1999 à 2013, le nombre des agriculteurs en activité est passé de 519 000 à 313 500 ; près de 90 000 exploitations professionnelles ont disparu au cours de ces quinze dernières années. Notamment parce que les règles de distribution des aides, largement assises sur la surface de terres dont disposent les agriculteurs, entretiennent les inégalités au sein du monde agricole. En 2015, après subventions, un quart des exploitations professionnelles a dégagé un revenu annuel inférieur à 8 500 euros, avec un résultat négatif de plus de 6 000 euros pour les 10 % en bas de l’échelle2.

     

     Par ailleurs, les conditionnalités environnementales attachées aux aides sont trop laxistes pour stopper la destruction de ce qui constitue les bases mêmes du système productif : la diversité des espèces et des espaces, l’eau et les sols. La consommation de pesticides, loin de reculer comme l’avaient promis les plans qui se sont succédé depuis le Grenelle de l’environnement en 2007, a progressé de 22 % entre 2009-2010 et 2014-20153.

     La consommation de pesticides a progressé de 22 % entre 2009-2010 et 2014-2015

    La toxicité de ces produits conjuguée à la destruction des milieux naturels et à l’appauvrissement biologique des espaces cultivés se traduit par des pertes de biodiversité inédites. De 1989 à 2013, les populations d’oiseaux des champs ont décliné de 45 %. Sur dix ans, le taux de mortalité des abeilles est passé de 5 % à 30 %. Les excès d’azote liés aux épandages de fertilisants expliquent qu’en 2014-2015, 17,7 % des points de suivi des eaux de surface et 49,8 % de ceux des eaux souterraines avaient une teneur moyenne en nitrates supérieure à 25 mg/l4, niveau considéré en France comme le seuil d’alerte.

    Sur le plan sanitaire, des liens sont établis entre l’apparition de cancers et maladies neurodégénératives chez les producteurs et leur exposition chronique aux pesticides. Ces produits sont également détectables dans 45,4 % des aliments consommés en Europe, selon un rapport récent de l’Agence européenne de sécurité des aliments. Si les limites légales sont respectées dans 97 % des cas, beaucoup de chercheurs suspectent la toxicité à faible dose de ces produits classés comme perturbateurs endocriniens. Un autre sujet, moins souvent évoqué, concerne les résistances aux antibiotiques, à l’origine de 25 000 décès par an en France. L’élevage fait partie du problème, les usages vétérinaires représentant dans leur ensemble la moitié de la consommation d’antibiotiques.

    Le boom des surfaces 

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